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  • : Le blog de Ampad Embiem
  • : Culture intra-utérienne d'une fleur technologiq : cheminement d'une réflexion de l'esprit sur les bords brillants de lyrism du théatre alternatif ~
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  • Ampad Embiem, je ne suis la qu'un jour sur deux, mais je le vis plutot bien
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Archangelism scientifiq

" (...) proche le moment ou, par un processus de caractere paranoiaque et actif de la pensee, il sera possible (simultanement a l'automatisme et autres etats passifs) de systematiser la confusion et de contribuer au discredit total du monde de la realite. " Salvador Dali, Minotaure No1, 1933.

Un tres beau site sur DALI

 

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Bienvenue a tout nouveau visiteur

Ce blog créé il y a un peu plus de 2 ans maintenant de l'association uniq de la surprise et du tant attendu, restitue intactes les bribes

de restes d'authentiques retrouvés ici ou la, de ce que les littérateurs et créateurs de ce monde, ont contribué,

avant nous déja, est-ce a dire et, encore aujourd'hui, a élaborer le Beau pour qu'il vienne jusqu'a nous

dans l'état merveilleux ou nous avons le bonheur de le trouver pour tenter d'y toucher.

J'ai pour but ici et ailleurs, Ici Et Maintenant, dans cet IEM permanent et constant d'instabilité, de le propager, de l'expérimenter, de le faire travailler, de le dédoubler, de le transposer et de le faire permuter avec ses doubles et avec ses moitiés, de le mettre tour a tour en exergue, en abime, en difficulté, en chaloupe meme et en page pour enfin et a terme, pouvoir le remettre a la retraite d'ou il se trouvera la force apaisée et sereine méritée d'une vie multiséculaire sur toutes les plages des temps, de mener devant nous, et pour nous, de lui-meme des actions pour s'autorégénérer sans plus s'en laisser conter ~

25 septembre 2022 7 25 /09 /septembre /2022 08:35

De plvs en plvs souvent, l'espace d'une seconde, il entrevoyait de façon de plvs en plvs nette et profonde, l'immensité de ce quelq chose qui le dépassant transcendait même les notions d'espace et de temps, de météo et de physiq des matériaux auxquelles il avait par son éducation à l'existence parmi les mondes ambiants de l'inertie, de l'usure, de la corrosion, des frictions et des réactions été habitué à s'accoutumer. En l'espace d'un instant il était plongé dans un univers de sens au sens cataclysmiq où la perception n'avait aucune emprise, elle glissait, littéralement, et où tout semblait contrecarrer ce qu'il avait pu jusq là apprendre, tant et si bien qu'il en revenait, une seconde après, semblant vouloir inculquer à qui voudrait l'entendre qu'il devait prendre conscience de ne rien savoir. La malédiction des interprètes. Bien sûr, ces expériences, tant d'aller/retour que de ce qui s'ensuit, ne purent être qu'à son désavantage, et il hésitait bientôt à seulement en tenir compte, tentant tantôt d'en faire abstraction et d'oublier désormais ce qu'il avait sur le bout de la langue, mais c'était, évidemment bien pire. Ce monde, il en était enfin convaicu même s'il n'y trouvait ni d'explication ni d'application, ni quelq possible exploitation ou issue, sans échappatoire donc, n'était pas fait pour lvi. Ayant cherché d'abord à s'offrir la mort, c'était le monde lvi-même qu'il aurait dû faire taire, et non l'inverse. Tenter par tous les moyens de le faire basculer dans cette nouvelle perception, tenter par tous les moyens de le projeter dans ce qui, selon lvi, et selon lvi seulement, devait être son environnement. Loin des contraintes connues et des apparences, où tout serait instantanément su, et l'aspect visible serait au-delà de ce qui constituait dans ce monde l'essence de ce qui est connu, effacé pour rendre toute transparence synonyme d'une objectivité qui ici n'existait nulle part. Et de là enfin, de ça il était certain, il aurait la place qui lvi était dédiée. Une place dans le monde

(..) je hais les gens qui s'aiment et se font aimer. Plvs encor, je hais ceux qui les admirent (...) Ce qui ne laisse pas grand monde que je puisse aimer, en dehors de moi-même.

En 1933, Besa étant tombée amoureuse sur les lettres que KeJo s'était adressées à lvi-même de 1661 à 1679, elle leur consacra les années qui suivirent, et les ayant lues et relues de multiples fois - 4000 pages de notes manuscrites, qui commençaient toutes par Cher KeJo - en a extrait cet ouvrage synthétiq, qui analyse avec pertinence toute la consistance de l'esprit de KeJo, où les chiens qui jappent disent en fait des choses sensées et n'ont pas besoin de se répéter, où les croassements inélégants des corbeaux sont des poésies lyriq, où les gens qui s'insultent en sont directement à la phase de conversation sobre et constructive où chacun ayant mis le doigt sur le nœud réel du problème, conversent avec intelligence, où les discours mielleux des manipulateurs en tout genre révèlent tous leurs mensonges, et les chaînes de causes et conséquences sont perçues dans l'instant uniq où un élément comprend toute l'antériorité et le potentiel de son événement. Besa a titré son œuvre adaptée de KeJo La Révolution des Brouettes. Je titre l'œuvre adaptée de Besa Échappée dans l'Espace d'une Seconde, toute l'essence de l'œuvre de 1933 à 1937 de Besa. Puis il fallut attendre presq un siècle de plvs pour que reviennent à nos mémoires les idées novatrices de Besa, de KeJo, sous le pseudo Bejo, comm Bérénice, sans qui ces écrits seraient encor enfouis dans l'inéluctabilité visqueuse et la rugueuse vacuité des profondeurs abyssales où tombent les temps.

Mal assigné.
L'espace d'une seconde
L'espace d'une seconde
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8 mars 2022 2 08 /03 /mars /2022 07:20

Collerette sur le site de la part du fait.

L'écriture d'une page sur le versant mobile d'une ville, sa luge plane et son penchant pour la première partie de la vie à deux.

Entre les surfaces, leurs textures d'intermède qui ne laisse rien deviner des côtes, de main en main dans un délai de patio tenté de rafraîchir les ondes mollissantes d'un enchevêtrement de vêtements rustres qui comm une vérité froissent sitôt qu'on y touche, ou couche une idée neuve, non repassée, réchauffée selon le temps et le cheveux d'une liasse.

Au peintre les primeurs, aux agrumes la priorité de l'ordre de s'en faire. Il faut !~ disent-ils, solubles et se mélangeant, extraire un jus et s'en boire aux bouches.

Réfraction des soleils, de façade en façade et de rayons en arc, jusq 'au cœur utérien.

L'intérieur rieur d'une cour sthéniq du corps mise en scelle comm un diptyque mouillé.

 

 

 

 

 

Angle d'attaq, en forme

Angle d'attaq, en forme

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19 juillet 2021 1 19 /07 /juillet /2021 09:42

Oui, j'ai bien créé un terme, téléactif, vous pouvez chercher partout, n'existe pas.

Il y a bien Teleactis, qui joue avec les nerfs des ménages 3 à 4 fois par jour, et les télé-actifs qui sont des chômeurs abonnés à Netflix, mais téléactif toutattaché, ça n'existait pas encor. Pourquoi créer un mot nouveau, on n'en a pas assez vous croyez ?, la question est pertinente, alors non, il en manq encor plein, il faut se le dire et en tenir compte, la plupart des expressions formulées manquent de précision. 

Sur la base d'une formulation de corps radioactifs, l'esprit téléactif est le moteur mental d'une commande à distance. Comm un joueur d'échecs est un esprit téléactif : il faut pour être bon, être capable d'entrer dans l'esprit de son adversaire non seulement, mais d'influer aussi sur ses choix, et sa perception. Faire diversion ne suffit souvent pas, encor faut-il aussi que l'attaq masquée ait, à l'instar de la boîte de télé-prospection ci-avant citée, un numéro d'appelant qui ne permette pas d'en remonter le fil jusq'à l'origine. Qu'un joueur émérite parvienne par cent neuf fois à vaincre ses opposants suivant la même techniq à peu de choses près adaptée selon les circonstances, et sa diversion n'en sera plus une le jour j d'un jeu d'importance cruciale, où ses amorces auront toutes été passées au peigne fin. Effacer ses traces, on dirait le plan machiavéliq d'un plancher ourdi par un criminel averti du bâtiment. Et en effet, le jeu d'échecs peut tenir par bien des aspects du calcul élaboré qu'en intrigue on distinguerait chez certains homms très vils à l'ambition sans scrupule. C'est, je l'avais remarqué en jouant avec le mari de Madame X, un jeu qui ne permet que difficilement de rester potes, tant il y a de pernicieuses manipulations dans ce jeu, et de traits de caractère sournois qui peuvent s'en révéler. Je ne pense pas être quelq'vn de mauvais fond, personne qui me connaisse ne.le.croit, pourtant, dans le jeu d'échecs, je me mets d'une agressivité impitoyable à élaborer des plans qui à moi, avec le recul, me font frémir. On peut se comporter, heureusement et on le doit, en société autrement qu'on se comporte aux jeux.

Téléactif, l'esprit prend le contrôle. Comm Lucy**** (4è occurence récente, il va quand même falloir que je revoie ce film un de ces quatre), Quelle différence avec la télékinésie, me demanderez-vous. La psychokinèse, en plvs d'être très connotée, car trop citée à tort et à travers, est hypothétiq, et en rien avérée. Quel genre de spectacle sérieux a jamais montré quelq'vn calable de déformer la matière à distance comm dans Xmen ?

Les références ciné affluent, c'est normal, on touche au domaine de l'espionnage, du chantage affectif, de la science-fiction et du polar fantastiq. Et à part The Queen's Gambit - le jeu de la Reine -, il n'y aurait pas pas beaucoup de rappels aux échecs à coucher ici sans risquer de vous perdre dans des codes imbitables comm Rh6+ ; Kh6 ; fxg5#

 

P. 1419 (!+#)

P. 1419 (!+#)

Alors, quelle déformée physiq ? 

L'homm est immense, son esprit sans limite est capable d'ourdir les plans les plvs élaborés et, à la manière d'une AI qui prendrait le contrôle et ne pourrait plus être arrêtée, il peut effacer ses traces, ne rien laisser entrevoir de son plan, ni ne rien laisser transparaître d'une action menée. L'esprit sait faire croire à ce que l'homm est capable de supporter. Oui, mais l'homm, et l'esprit de l'homm, c'est bien la même chose, non ? C'est là que ça se corse. À mon avis, l'esprit a sa propre et autonome faculté de contrôler l'homm, où l'homm lvi-même, son cœur s'entend, son âme, je ne sais, voudrait sauter ou faire n'importe quoi pour se prouver que l'esprit n'est rien face à sa propre volonté. La proprioception, est une notion élaborée selon le point de vue de l'âme, et non de l'esprit. L'homm est défini selon ses âme et esprit, qui interagissant ou actant au contraire parfois en autonomie, chacun de leur côté, se trouvent être au centre d'une coordination complexe de ce qui peut, doit et est désiré réalisé. La déformée physiq est du ressort pur de esprit. Lvi seul, par les choix faits, les actes réalisés, les faux-mouvements, les actes manqués, les faux pas et les foulées bridées, impacte sur l'apparence physiq. Tandis que l'homm, des tréfonds de son âme, en elle et conscience n'a d'autre choix que de s'en adapter. Laisser l'esprit compromettre cette qualité première de l'homm vierge de tout internement dans les viscosités sur-plastiq de l'esprit, ses réseaux électriq d'AI humaine toute puissante, c'est prendre le risq de compromettre l'âme et de l'user. Tant et si bien qu'elle sera, à terme cette chose flasq, molle et amnésiq, inerte en fait qui ne souvient rien de son origine, et qui peut reprendre, le jour venu, de zéro cette infinie succession d'apprentissage et de décrépitude qui l'a menée là. L'âme connaît l'impasse, elle en a "conscience" (on manq vraiment de vocabulaire); l'esprit veut vivre, il aime sa terre, il veut l'habiter, en prendre possession et en modifier tout ce qui peut l'être pour qu'elle finisse par lvi ressembler trait pour trait. À terme, la nature - bien sûr vaincra mais just avant ça - sera à l'image de l'esprit de l'homm. Elle sera un champ connecté de rêves et d'idées qui relayées à la vitesse de la dématérialisation, en interactivité complète et instantanée avec les corps physiq qui s'en approcheront pour un reproche ou la demande d'un conseil, aura sa propre faculté décisionnelle. On y enseignera les arts, les sciences et ke hasard, les métaphysiq complexes et les nombres irrationnels. Des plantes qui répondent quand on leur parle, un arbre qui émet l'image réelle d'une pensée à peine suggérée, ou d'autres virtualités tout à fait défaites de leurs corps physiq originels. Just après ce sera l'AI, et, enfin, donc, la nature vaincra.

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18 juillet 2021 7 18 /07 /juillet /2021 11:31

Il me faudrait parvenir à une écriture qui ne soit pas pré-déterminée par une idée fondée par le chocs des idées entre elles, une écriture qui n'ait rien à prouver. C'est compliqué, tout, qu'on le veuille ou non finit par être politiq, comm motivé dans quelq détail, si ce n'est dans l'œuvre entière, par une conviction personnelle, celle que la polysémie est un archipel d'îlots turquoises superbe, celle qu'une maison doit être une ville de création au foisonnement orchestré, celle encor, que le lever est un joyau, comm si chercher à vendre une idée et chercher à l'imposer devait en dernier lieu au lecteur sembler être au cœur du récit, en être sa finalité, ce qui je dois bien l'avouer, et bien.malgré moi, qui, lors d'une euphorie matinale avec emphase et l'enthousiasm né d'une petite révélation picturale bien portante,  pleine de rires et de sonorités neuves, chargée de sens et même un rien stimulante par excès, tant dans le prosélytism qu'elle peut à moi avoir causé faire le chant, semble virale non seulement en soi, mais nécessairement porter en elle l'essence ascendante d'une naissance d'outres fonctions, que je me mets alors en tâche, c'est de ça qu'il s'agit bien souvent pourtant en tâche de seulement chercher définir, sans idée initialement, étrangement, croyez-moi ou pas, qui soit fermement acquise, qu'une chose mouvante, encor fluide et libre, à la fluidité insaisissable et qui ne demande qu'à être tenue des deux mains comm un liquid ou le sable que parvenir à retenir un instant permettrait de se montrer dans le détail infiniment plvs intéressant que ne l'est l'ensemble dont l'extrait s'est issu tissé un échantillon pas forcément uni, bien au contraire. Le présent text est déjà, en soi, politiq, il a déjà en lvi la rigueur et la vigoureuse passion olympiq pour l'exploit d'une démonstration. Le text purement poétiq, celvi qu'il serait le plvs plaisant de lire à voix haute, lyriq et surréalist, déchaîné, détaché des idées préconçues, sans liens avec l'irrationalité qui, c'est paradoxal et très déroutant déjà, était censé l'en affranchir avant expédition par voie maritime aux confins du sens établi et des ateliers de la bureaucratie moderne ultra-compartimentée, sache se complimenter seul et sans complotter quelq désir de conviction, de preuve par l'essai et de tâche d'envoûtement dont se fait l'apanage le gourou, l'homm politiq, le chef de clans, le leader des dealers, le maître des lieux, le foutu paternel de la maison patriarcale de merde, le vendeur de chaussettes et de lunettes de toilettes, l'autre vendeur de poisson et de toiles de maître, l'architect ambitieux, le technicien en téléphonie, l'installateur de fibre, le déposeur d'arbres et son complice qui plante des mâts électriq, tout ça et même le présent text, que je le veuille ou non, est déjà politiq. Alors que j'y ajoute les mots communism, les notions quantiq de la psychologie superfine de mes notions ésotériq de ce qu'est l'existence et de ce que je veux en faire, bien sûr, c'est forcé et c'est dommage, je m'en mords les lèvres tant c'est regrettable, prend d'emblée une tournure, un air inquisiteur, une sonorité vindicative presq autocratiq, comm une marche forcée, alors que ce n'est évidemment en aucun lieu ce qui devrait aboutir d'une étincelle de l'image oniriq dont est l'amorce, l'instigatrice première. Qu'un simple mot ou son affiliation plaisante avec d'autres sans une formation irrégulière et si agréable à faire tourner pour en tisser un textile neuf, m'amène un instant à venir ici en explorer exploitée de l'instant la teneur substantielle ou l'extrait deviné, portant en soi l'énergie créatrice et la pulsion motrice d'une emphase stimulante de la démonstratrice qui à mon esprit s'est jouée un peu plvs tôt et en sa parade paoniq, à l'orée sortante du rêve ou à la naissance du jour qui l'a accouché, super-hypnotiq ou seulement la fraîcheur d'une vague en filigrane, si je n'en calme pas la danse, finit par l'élan redoutablement ~ et regrettablement donc démonstratif d'un acte marchand dont la poésie ne veut pas. Il faudrait arriver à une pureté défaite de toute ambition, mais dans mon cas présent, parce que je suis en quelq sorte, aux abois, cherchant en l'instant où vous me trouverez, ici et maintenant donc, à vous intéresser à cette page, à un projet 2O3O, à un cheminement, et que rien n'est acquis, tout au contraire se bâtit, est en train, se déconstruit aussi parfois aussi oui, parce que les circonstances sont telles donc qu'il y a d'emblée la motivation perverse de l'accueil - pas mielleux mais - persuasif, l'invitation à participer, l'envie et le désir de vous y arrêter, de vous y faire prendre part et non de de faire demi-tour, ce qui pourtant pour ce que je viens de décrire en résulte, malheureusement, pour ces raisons l'allure peut être faussée de mon ambition première à l'écriture d'une huile de massage de l'esprit qui faire brillants les bords sauvages d'un théâtre en plein air qui ait celvi d'une grande étendue vibrante de temps en pleins préparatifs. Floraison* !~ devrait être le terme le plvs usité de cette page. Et l'éclosion d'une plante technologiq, sous-marine ou aérienne, indépendante et au développement tranquille aléatoire, pas forcément expansif, en être le processus. Il faudrait pour toucher à la texture du ciel d'un bleu inatteignable et embrasser ce désir, défaire en quelq sorte, le disloquer parfaitement, le sens du langage qui le véhicule. Casser le code de la relation cause-effets et trophée rompre les liens fermes d'un solide pour une connexion fluide de l'image désappropriée, comm le rêve quand il emprunte les raccourcis qui font perdre de vue le chemin, à la seule faveur d'une saveur de l'image qui sorte de mirage, furtive en amorce l'extraction immédiate, hors-du-champ. Floraison d'une plante dont le fleur n'est plus reliée à la racine où la communication entre ces deux extrémités ne saurait être que d'un ordre informel et dématérialisé, un lien wifi même pas, un flux abstrait, avec toutes les possibilités de lumières parasite incrustées dans le message qui y navigue. Une onde radio. Par cette seule motivation, le présent text est déjà politiq, et par cette conclusion auto-réalisée, il tient de la démonstration. C'en est désespérant, tant c'est merveilleux, et d'autant plvs hautement stimulant qu'il s'agira par cette conséquence d'un bien grand exploit que de s'en affranchir parfaitement !~ Plvs encor, l'idée purement poétiq de cette ambition, et l'inconciable façon d'y parvenir sans se heurter au plvs simple paradoxe d'une ambition en tant que telle...pré-determinée comm une idée perçue à la longue-vue dans le panorama qui s'ouvre d'un angle si réduit ait-il initialement été ou toutes saisons.

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20 mars 2021 6 20 /03 /mars /2021 19:26

Les pies font leur nid dans les pins. C'est Juan-les-Pies aujourd'hvi.
_Joli.
_Merci.

Des fréquences impactées au-delà des seuls seuils que la perception en deuil vous saurait gré de trouver pour limites, je veux tout parcourir, en décrire les moindres traits, en avouer les nuances, et dire tous les détails, jusq' aux étapes semblant de prime abord les plvs insignifiantes. Aurais-je par cet acte bénévole trouvé sinon Grasse à vos yeux desillés si décevante que vous en fîtes un drame, plvs dépourvue qu'une ébauche ou l'esquisse d'une trame, l'entrée par laquelle vous aborder serait enfin une chose possible ? L'enregistrement d'un perpétuel mouvement des vagues, sans textile froissé, ni brise, ni le moindre ronronnement d'un moteur quelconq, pas un soupçon de voix, ni bris ni heurts, ou de chocs de matériau qui soit autre chose, que celvi du clapotis de la vague, son écume sur le sable, le bêlement de ses moutons et son ressac.

"(...) glisser sous les mots des intentions et cris inscrits dans les gènes du genre et dans les méandres de mémoires lointaines. Se souvenir du large, en prendre la demeure et, à démesure de son déroulé de fabriq à presse ou de faits de hutte temporaire, l'habiter comm on le ferait d'un monde, en le faisant prendre part (...)"
nonobstant, elle s'est très obligeamment dessinée. Destinée elle s'est instamment négligée, mais je ne vais pas pas vous faire plvs indûment attendre le luxe du dépouillement des volutes de calme de cette ivresse sobre
 

iambes en scansion                                                                                                            

Un tapuscrit !~                                                                                                                   

Le café des théâtres d'un art feuillu aux meubles anciens                                            

Rémembrances des sérendipités & des sources inaltérables.                                          

Machigaisagashi                                                                                                                   

 

Grasse, à vos yeux !, Impressions sur la peau de la mer, Résumé de l'année mars2O-mars21, Lettre à La Lune, la NOuvelle référence

Petit traité sur l'immensité du monde                                                                                

By heart                                                                                                                                 

Mes désirs font désordre !~                                                                                                

Le fordism de la dépoésie                                                                                                    

Autoportrait de l'artist en pleine crise existentielle                                                        

Monmonde                                                                                                                           

La grande dormeuse en gilet jaune                                                                                  

L'art boréal                                                                                                                          

 

Mais qu'est-ce que ça veut dire ?

CODE COULEURS

Reproduction à l'échelle d'un agrume a la fenêtre. (Écriture en voyage)                         

I9, connexe                                                                                         

Le point Vissy                                                                                        

1 PM à hisser                                             

Échecs : les ouvertures à la con                           

États énièmes                                                                         

La déraisonnable histoire des dons qui rotent de la ganja                                                 

midsomerbergweinlied                                                                                              

A(NTi)M(ATi)ÈRE                                                                                                         

>1~ alors, pourquoi pas moi ?                                                                       

La peau de la mer glisse, d'ici ses moutons semblent des dauphins qui se relaient sans fin, synchrones et joueurs, les uns dans le sillage des précédents. LA voir ainsi glisser, comm elle passerait sur des obstacles, tas de petits arceaux tantôt submergés, tantôt révélés. Sa rivière s'écoule azimutée, indéfiniment et en continu, et pourtant jamais la source ne s'en épuise, ni le bassin ne s'en vide. le scintillement des vagues, ces reflets éblouissants, dessinent à sa peau des puits de lumière dont la source profonde jamais ne faiblit. Ces bris lumineux sont, immobiles, impassibles sous les puissantes quantités écoulées au-dessus d'eux, jaillissant se frayent un chemin jusqu'aux surfaces où les rayons en perçant la soulèvent. 

La peau de la mer glisse sur le dos de ses propres vagues. Sur l'horizon, un liseret animé rejoint les deux caps. Une vague surélève à ce delta les eaux, elle y semble figée, ni venant, ni allant plvs avant vers le lointain. À son sommet, la crête en est animée, qui vogue de gauches, puis de droites, d'un cap vers l'autre, presq imperceptiblement. Sa danse en est impassible, de près elle doit paraître-ou-être immense.

(pas la peine de cliquer, il n'y a pas de lien ici. Légendes :)

Impulsion du moment                                               
Coup de cœur                                                           
Passion prolongée                                                
Poursuites, reprises et expériences                                                                                                                  
Notes actives                                                                                                               
Coup de gueule                                                                                                          
Chaînon manquant (liant et ajout)             

(Voir détails selon les nuances.)                                                               
 

 

Heureusement j'ai décidé de simplifier

Les âmes sœurs                                                                                                                  

Journal en miettes, d'Eugène Ionesco ~                                                                          

L'impossible se passe                                                                                                        

L'égo désaltéré                                                                                                                  

Aricie aussi                                                                                                                            

Sim-phone imbergère et rétro-vaillances paysagères                                                    

#909 : Time wounds all heels                                                                                          

5 juin ~ 5 juillet                                                                                                                 

 

(ou alors il n'y a rien à comprendre, et c'est juste pour avoir de la couleur)

ÉTATS (4)                                                                                                                                          

Am-pads embed suivi de tout arrive                                                                                  

Vacances sur la presqu'île                                                                                                  

Attelage boustrophédon : la tisserande & le bouvier                                                     

Il faudrait tout savoir, d'emblée, que tout soit su                                                            

Douze heures entre deux texts, l'impression de plusieurs fois cette durée                 

La machine à remonter le vent                                                                                          

Intrecciato entre chat et lion                                                                          

Aux dûs de l'art, un air acquitté                                                                

#919. Sous un ciel proche du tropiq                                                                          

Et pourquoi pas perreyée ?                                                                                               

Des conjonctions de l'insubordination et des conditions de leur siège sans fin            

#922. Fuselages.                                                                                                               

#923. L'illusion transcendentale de Kant                                                                       

#924. Remise en formes                                                                                                   

#926. Séjour à l'hôtel privé d'un square puniq anodin !                                                

État banquaire, étalé bancale équerre                                                                           

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Oh eh pis merde tiens, voilà - toute autre suggestion serait la bienvenue

#928. Le sol en est en mouillé (d'yeux soient louées la vue & la prise !)                      

#928. Ça y va : Impression sous la douche d'apprêt sonore aux tournures ludiq de poétiq d'apparat qui s'odorent waterfproof                                                                      

#93o. Embardée d'excédents entiers                                                                               

#925 à 931. Perdus et pris, trouvés, gagnés, sans objet net en vue                            
 

 

 

 

 

 

Au sommet un sommier au sommeil dans le soleil☀️                                                     

Invest-igation d'émendations de gloses                                                                           

Tangence des levers & touchers sémantiq~                                                                   

Entre-deux partagé                                                                                                            

Poussée par le ciel : tout premier poèm écrit en rêve en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire                                                                                                                 

en tout cas c'était pas juste la météo du jour)

 

 

 

Le tranquille fond du passé                                                                                                 

Cubes d'apesanteur, îlots dans la ville                                                                              

Pad.nouvelles (Bonnes nouvelles, extrait)                                                                        

 

 

Ateliers, boutiq, plage, pas forcément dans cet ordre.                                                    

Tsubasa wo kudasai                                                                                                            

Conciliation dialectiq des contraires                                                                                  

Doko kara sora, doko made umi ?                                                                                     

L'impression toujours, du commencement                                                                     

Présent de futurisms                                                                                                         

Immersion (Émersion)                                                                                                      

Modénatures ~                                                                                                                   

Genivs iz                                                                                                                               

il ne s'agit parfois que d'un beug d'affichage

 

 

 

 

 

L'amour est une alcôve                                                                                                     

Retroactive process                                                                                                           

La glande déplétion : Dans quel monde vivez-vous ?                                                     

4ème des 9 étapes d'une colonisation pacifist                                                                

À mordre l'aqueux                                                                                                             

La Maison                                                                                                                          

 

 

 

 

 

L'Âge du Son                                                                                                                   

Il était une fois l'hiver ~                                                                                                         

Je vous le dis tout de suite, à la fin ça fera cent. Cent texts, un an.
Résumé de l'année mars2O-mars21

Un papillon à l'épreuve des balles dont les ailes ajourées laisse passante la lumière sur la touche                                                                                                                                                         

Les orchidées meurent de tristesse                                                                                                               

Un passage ~                                                                                                                        

A✓B✓-                                                                                                                                  

Sometimes I think sometimes I don't                                                                             

La lune à son zénith                                                                                                           

Les mondes démultipliés                                                                                             

Résurgence des doutes d'aoûts                                                                                            

Pour forcer le regard et toutes ses réflexions                                                              

 

 

 

 

Fait l'objet de / est sujet à                                                                                                 

Tissus de courts                                                                                                                  

Excédent de vanille                                                                                                              

Chacun dans son monde                                                                                                     

Self-made flower                                                                                                                                 

Vanille : des excédents sans précédent                                                                           

 

Plusieurs choses liquid                                                                                                      

Palm Springs                                                                                                                      

#977 - Au grand Jamais de la vie                                                                                     

Du pain, sur la planche                                                                                                     

 

Tout savoir                                                                                                                                       

Luxe indécence                                                                                                                     

Crème de connaissance                                                                                                      

Marie dans une pièce noire et blanche                                                                            

#983. Enseignements sur le repos                                                                                   

Premiers contacts à la constellation                                                                                                   

J'ai adoré faire ça.

Ce résumé de l'an en 3 mots par jour  :1OO texts en vn bien tassés
(La syntaxe en est bien cassée)

Une impulsion iambesq, passion d'un instant lu, découvert cet auteur, ses pages, son œuvre tapée, ville demeure au haut des ciels, rémembrance et sérendipités, qu'est-ce que tu as grandi, d'abord simple cabane recouvrée des deuils passés, précarité futile ou profondeur des choses qui passent, qu'un bienfaiteur au monde des coquillages rend large, ample et permanence docile, symétrie des langages qui durent, et demeurent solides, harnachés et encor à éclore pour faire face aux rigueurs, rugueuses, parfois piquantes, des choses qui nous dépassent, cycliq et répétées, labyrinthiq et d'apparence trompeuse semblant faites pour dérouter.

Mule soldate ou agrume, des natures changeants alternatives de douceur et de fermeté, combat et relâche, et les natures humaines qui en sont découlées, arts et créativité, mutations, métamorphoses aux regards saisissants, aux tournures formées pour s'adapter afin que rien ne les saisisse, rien ne leur échappe, glisser entre les esprits comm l'eau entre les doigts, ou une partie d'échecs avec la promotion inattendue d'une règle du Shogi, perverse et manipulatrice, influente et puissante, qui fait se demander après coup, de quoi s'agit-il de tenir bon le fil. On oublie de ses caprices jusqu'à l'instrument, de ses forces jusqu'au marionnettiste, on oublie l'ennemi qu'on avait identifié, dans un état nouveau qui nous veut relevés, capables de s'en tirer, entre rêve et illusion, perception et déformations volontaires, capables de créer sur une toute inédite façon de vivre et de concevoir, pour aller au-devant, venir au-delà, voir plus en dedans sans le recul des liens qui nous affectaient midsomerbergweinlied, des âges qui nous allumaient les feux d'une guerre à venir. 

Le temps d'un retour sur soi, sur les temps passés, d'un bilan tracé de formes, tantôt imbriquées ou saillantes qui dessinent un projet déterminant, de résistance, connection d'atomes liées, transfiguration d'un questionnement ultime sur les miettes d'un journal des pieds? RACINE.

Car on cherche l'âme sœur, l'instrument qui bat notre cœur tant qu'il est chaud, pour y emmagasiner, tel était le mot cherché, les cachets non défaits d'un amas de choses lourdes qu'il fera bon découvrir quand retombera le temps, défait des accords de ses certitudes serties d'amplitudes et d'anagrammes, vertueuses il faut croire, dermatoglyphes en reste. 

Pour pistes, par exemple la relation de l'oreille à l'eau, et les états changeant des matériaux; maintenir une constante, créer un rituel solide face aux changements alentours, qui font que tout se passe, arrive qu'on le veuille ou cherche à l'empêcher, des terminaisons nerveuses jusq'aux impulsions instigatrices, les contes qui en sont nés. En retracer le cheminement, remonter aux sources, revenir au point d'amorce, l'idée qui germe, instantanément, fertile et sans possible extinction, de tout savoir d'emblée, malgré les subjectivités de l'instant, les relativités et les ondes mouvantes, liquid. 

Impalpables, insaisissables, du vent. Remontées mécaniq. Du temps qui file. entre deux pièces stabilisées de nos états un instant figés, cristallisés comm saisi dans la roche, pour seule durée, comm un chien mord l'aqueux. Regarde la lune sans savoir ce qu'il est.  

Mécènes mécaniq, fluide des flots, abondance des abonnements, abondement d'abdomens gorgés de miel sousn un ciel proche des tropiq, affluez donc, perreyés ou subordonnés. Une constante, le fuselage, aérodynamiq, glissant, filant sifflé aéropage ou aérostat, tout dépendant de l'observateur et de l'air qui s'y passe, quoi un commentaire, quoi un vent ascendant, quoi un bout de papier au bout du doigt qui pointe le sens au sein des poissons puissants, volants ou non, adaptation chauffeur ou passagère d'une nuit brûlante vers la suivante : celle qui se casse quand on la retourne : connerie d'empires.

Immuable, imbuvable, sol stable,  seule constante, ce constat effarant, inouï, sidérant. A(ba)sourdissant, floral, pétale écharné à la souche ludiq, humide et si tendre de l'eau, ces reflets en comparution sans commune comparaison. Que l'eau, poussée des songes, humecte et rend potable, embardées d'excédents friables rendus mous, même comestibles pour nourritures terrestres : l'esprit, échappatoire. L'idée jaillie vive, l'espoir d'un monde meilleur, la lumière qui domine. Glose aux causettes (je ne comprendrai jamais comment il est possible de survivre sans cette dose touchée des nectar, parfumée aux sémantiq, tengeances des levers, multiplicités, strates aux effets de la vie : que pour les nouveaux nés, sans antécédents). Les eaux de la rêverie, poussées des tranquilles fonds du passé. 

S'en illuminer, s'en émerveiller, s'en élever, y sentir les pesanteurs du cube, et du xiel son amant demoiselle offerte en cadeau pour s'en voler, s'envoler des plumes, se heurter aux chocs, volontaire et sans la peur d'y périr. Ténues, les limites, tenues de paysages qui s'enfilent, s'enfoncent l'un dans l'autre et se confondent en se reproduisant. Cycliq, naissant, passager, chaud brûlant s'affaissant aux fesses s'abaissant, ça fait ses dents aux lents d'une impression avant qu'elle n'accouche seulement d'une image, celle d'un début, d'une bribe même furtive, d'un flash du remous ambiant qui s'y organise, organiq et surprise, confusion des temps, allant revers négligeant et main rebroussée au poil de la bête qui s'y étend constante et consternée, tantôt immersion, tantôt émergée, la tête hors de l'eau des mythes revenants, architecture et visuels urbains, ce que le génie émet d'une encoignure, d'un croisement des formes, d'une césure et des rencontres de la couleur avec l'homm, dans l'anfractuosité infranchissable, l'abri d'un retour des formes saillantes où se loge le cœur, en plein repère d'amours courantes dans les rues pleines de rires, chimie des successions, concession des faits dans les mondes à l'envers que les gestes défont des fonds de leurs pensées une fois imprimées dans les catalyses du corps aux mains pressantes de passer outre les mers et les sentiers tant, trop battus. Les réalités surviennent plus fort, les chauffards sont brûlants, les coups de gueule passagers.

Là, le chien boustrophédon, qui va et revient, sans cesse. S'en protéger pour aller droit, sans perdre de temps des courses alentours aux contours, détours futiles revient à ménager qu'on morde l'aqueux, sans prise, laissant lâche le liant, pour se laisser glisser dans l'élan de la dynamiq motrice, celle qui navigue et se fait naviguer, bunaire, florale, paysagère et spirituelle comm une forme liquid. qui permette qu'on en escalade le ciel depuis les origines du son, leur survenue, une fois l'hiver passé et les étés eus aux costumes bourgeonnés aux abords jaunes d'une lumière sur la touche qu'un battement d'ailes dévie, vie, nuit, identiquement pleines, belles, n'importe quoi. Iena dame, un passage de soumission, l'échine courbe d'un travailleur surmené aux génétiq brillantes pour contemplations : retour de cette peau de l'océan aujourd'hui-même, reflet de ses effets de formes, traitement de faveurs pour s'accorder, comm les ingéniosités dont fait preuve l'homm pour accepter son sort, s'évertuer à sans panser ses plaies, penser au jour et s'en irradier, tandis que le temps est sa combustion spontanée lui font préférer l'astre lointain à sa propre terre, diffraction des mondes en chère, incomprise, inféodables, couple autonomes de choses qui reviennent et se donnent leur force par l'association de leurs éléments, les caractéristiq propres de chacun comm complément élémentaire aux repos quotidiens des mets de toujours.

Forcer le regard, diriger la réflexion vers une quête menée en révolution, de l'image qui sache parler d'elle-même, égocentriq ou éduquée. Autonome ou motrice à l'étymologie intègre, sans perdre pieds, Polymétempsycosmosomatose, revenue d'un récit très lointain, adaptée, infiltrée, concentrée du temps passé au présent qui se concerte, se coordonne à lui redonner forme, usage aux accélérants récents, mis à jour, à l'ordre de demain qui en commande les produits, en trafiq les quantités et en écoule les excédents dans les jeux du pouvoir cosmopolytechniq où quel que soit l'action, l'implication et la portée, son imbrication de fil en aiguille noue et le joue un nouveau défi, qui ferait sortir de son lit, le fleuve quel qu'en soit le débit, quelq même soit l'esprit au repos, magnanime capable de s'en détacher sans redouter l'impact ou en manipuler le cours en en chiffrant les possessions, surenchéries, chérie, confondant par là causes et conséquences. Essai Kandinsky. Qui sait qui c'est qui s'est esquisse essayé à ce qui de Kandinsky s'essuie de ce que tout de ce qui s'ensuit, sans issue aux sus et dûs sous le ciel se dissout ? Super(mar)cheries.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Deux caps face à face contiennent dans la baie captive sa créactivité

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19 juin 2020 5 19 /06 /juin /2020 06:08

En résistant au temps, à l'avancée des heures, devant levant brûlant de faire au jour naissant culminer rêves en cours, y retenant en jeûne le souffle du monde comm vieillissent les merveilles en contenant la vie à son point de rosée, les âmes elles, se réveillent. Quand les cœurs nus étendus l'vn contre l'autre s'étreignent hauts & chauds - dans le bon sens des termes, leur début - leur scintillant zénith loin devant l'aube muette qui file au ralenti parmi les strates achevées de sa coulante ascension à ravir gravie aux jours cyans, s'atteignent bruyants, satins matins de proses en s'exclamant : il n'y a pas d'autres choses qui foncent aux dos ces doses de nœuds couleurs pour dômes, au monde en les y amsorbant.

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29 février 2020 6 29 /02 /février /2020 07:24

29 février, l'occasion de penser aux décalages (et aux tortues)

Presque partout où il y a de la glace et de la neige il y a Chlamydomonas nivalis.

Base scientifique Vernadsky

Commune aversion des envers, comm une averse d'endroits liés.
En remontant la barq d'un pourpre, il va neiger sur la Grande Ourse

Le Vert-orange façon Duval

La Terre a plusieurs pôles, et non seulement deux : iI y a les pôles géographiq Nord et Sud, qui sont les points qui marq l'axe de rotation de la Terre, et les pôles Nord et Sud magnétiq, basés sur le champ magnétiq de la planète. Lorsque vous utilisez une boussole, elle pointe vers le pôle Nord magnétiq.

Les pôles magnétiq de la Terre se déplacent, le pôle Nord magnétiq se déplaçant en boucle jusqu'à 80 km par jour, et son emplacement réel, une moyenne de toutes ces boucles, se déplaçant également d'environ 40 km par an. Au cours des 150 dernières années, le pôle aurait parcouru un total d'environ 1111 kilomètres. Le pôle Sud magnétiq se déplace d'une manière similaire, puisq'il s'agit d'un axe.

Les scientifiq qui l'étudient peuvent déterminer quand et dans quelles mesured ces déplacements se sont produits en examinant les traces que le champ magnétiq a laissées sur le roches présentes au fond des océans, comm l'enregistrement sur une bande magnétiq qui permet d'en cartographier l'historiq. 

 

Cette tendance étant, sinon linéaire, progressive (et non rétrocessive), les pôles vont periodiquement jusq 'à s'inverser, et ceci se serait produit 400 fois au cours des derniers 330 millions d'années, la dernière inversion des pôles remontant à 780000 ans

Chaque inversion prend environ mille ans pour s'effectuer, et, pour une question de circonférences il faut soit s'adresser à la bonne personne, soit plvs de temps à l'équateur qu'aux pôles pour que prenne effet ce décalage.

La structure physiq de la Terre est derrière ce déplacement magnétiq. Le noyau externe glissant au-dessus du noyau interne, la croûte terrestre glissant quant à elle aussi, par-dessus le noyau externe. Le noyau interne de la planète est en fer solide. Un noyau externe fondu entoure le noyau interne. La couche suivante, le manteau, est solide mais malléable, comme du plastique. Enfin, la couche que nous voyons tous les jours s'appelle la croûte terrestre. 

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24 août 2019 6 24 /08 /août /2019 08:13

    Les tps si drs pour les r^vrs ~ (étude au fusain d'une géométrie sans consonnance de l'assaisonnement des salades vertes dans les jardins de l'onirism parfait

) ~23h3o et toute la nuit pour oublier qu'il est aussitôt si tard que je n'en fermerai plus l'oeil de sitôt ~

 

Né & élevé en Bourguignon j'ai absorbé dans mon enfance à la campagne les compagnons naturels de la plante qui ont peu à peu 

à mes sens, d'instinct, insigné les signes-très-tôt les plus flagrants des années d'étrangeté saisonnale 

qui peuvent faire causer des heures et être la raison des secondes vues. Je me souviens très bien des années sans frelons, 

des étés ou les fourmis grouillaient, je me souviens des saisons sans neige et des hivers de 5 mois. Des automnes avortés 

et des étés de canicule. Je me souviens des secondes tardives glaciations, des gelées prématurées, et je me souviens que 

peu à peu les signes ont pris des sens instinctifs de prémonition au pouls de mes symbols les plus basiq, alors pris comm 

des réflexe. Ceux notamment de regarder le ciel dès le réveil. Quand une gelée tardive vient interrompre l'éclosion déjà 

prononcée et bien avancée de toutes les formes d'insectes qui doivent sillonner les jardins pendant l'été, les effets d'un 

nombre moindre de ces insectes engendre une floraison plus tardive, et des buées qui en découlent, toutes maifestations 

humides, telles que brouillards et rosée, amoindries à leur tour, provoquent des sécheresses de plus longue durée, des étés 

chauds et secs, qui conduisent jusq 'à la prolifération grandiose et a priori paradoxale d'un nombre d'insectes plus important 

sur les mois plus-qu-automnaux. Quand en revanche (il faut presq prendre cette expression au premier degré) 

aucune gelée tardive ne survient après la mi-février, le grand nombre d'insectes qui jaillit 

dès les premiers jours du printemps, fait la flore se développer en plus riches variétés, et 

les plus abondent dès la fin août, accompagnées de violent orages, qui plongent les terres de Bourgogne dans l'hiver 

sans passer par l'automne, en quelq semaines à peine. Le lien entre gelée tardive, peuplement d'insectes, floraison 

et pluies étant ainsi établi par des raccourcis qui feront hurler à la banalisation les meilleurs scientifiq du pays s'ils 

avaient la chance de tomber sur ce site par hasard ou parce que quelq chose, quelq part en a voulu ainsi, je propose 

de me pencher la tête dans le vide sémantiq annoncé, sur les suite, fin & renouveau du cycle qui peut conduire de ces 

pluies à ces tardives gelée. Boucler une boucle ? Oh non. Qu'il puisse geler en avril en Bourgogne ne surprend personne, 

qu'il ne gèle plus après février non plus. Qu'il fasse plus de 4o degrés en juin, -2o en janvier ou qu'il fasse 15 degrés en août 

ne surprend pas plus. Parce que les cycles ne se répètent à l'exact identiq que sur une si longue période que nul vivant 

normalement mortel ne peut en reconnaître l'origine (que s'il a de très bonnes connaissances en géométries variables 

à plusieurs inconnues). Des pluies abondantes ont impliqué la chute prématurée des feuillages, la putrefaction puis la 

respiration et enfin la momification des végétaux à se produire plus tôt. L'hiver a très vite déboulé sur les terres, 

deux orages et le froid est arrivé. Longs mois d'hivers, secs ou enneigés. Le grand nombre d'insectes durant l'été 

a placé sur l'arbre les possibles de chances accrues d'une forme d'éclaireurs, le développement de leurs populations 

étant prématuré dès les premiers rayon au-dessus du zéro des formes de floraisons 

permettent qu'appraissent les végétaux les plus respirants. Quelq rares fleurs permettent que respire déjà la terre : il gèlera fort, 

de nouveau, après des pluies de janvier, voire de la neige abondante. 

Cette année-là, qu-'il ait neigé ou non en janvier, il ne neigera plus après mars. 

Des pluies font des espèces d'insectes (parce que des espèces de plantes et fleurs) rares se développer en plus grand nombre 

que d'usage. La mort de l'abeille cette année-là est inévitable. Des espèces rares en plus grand nomrbre, mais l'écosystèm de base est tourmenté à la racine. 

Les arbres ne sont nourris par les champignons que plus difficilement, les fleurs fânent vite et se produit au terme 

de ces deux années la météorologie la plus surprenante pour conséquence. Non 2o12 n'est pas l'année de l'apocalypse, 

mais les cycles ne sont reconduits en de si longues périodes qu'il est possible, pour des labos qui en receuillent les données, 

de prédire que cet an ne pourrait être directement identiq à 1891, que si l'homm n'ajoutait à cette déjà complexité des 

combinaisons, sa propre graine. En disant que nous sommes au mauvais endroit au mauvais moment  on ne peut en vouloir 

qu'à ces fichus Mayas qui nous font cette année dépenser tout ce qu'on possède, pensant qu'après ~ il sera trop tard. 

Einstein  a dit que la disparition de l'abeille coïncidera avec l'imminente disparition de l'espèce humaine, parce que dans 

les longs tuyaux de l'arrosage chimiq qui fait simultanément et comm vu ci avant, proliférer la plante et pleuvoir, se trouvent 

des racines communes, que je ne suis jamais arrivé à trouver malgré le plus grand mal que je me sois donné à la tache depuis 

plusieurs années d'apnée avec Daphnée, mon dauphin indomptable. Maintenant même le plus commun des mortels peut trouver 

à la fois que la neige qui tombe 5 min en février à Chypre est un évènement probable, tout en sachant toujours qu'il ressort de 

la magie d'y avoir assisté !~ Ces imprévisibles qui font préféré qu'il y ait des teintes roses dans les fauteuils en osier des levers du jour sur l'eau, ou les imtempéries de teintes roses sur les front des saules qui miaulent dans les balcons garnis. La dépression post-mortem est la pire des intempéries. On a l'impression, en tout cas, que c'est la pire, car c'est celle dont on sent qu'on ne revient

 plus.

Exacte transposition of the 'Geometries of being with you' (retittled 'unreleased happiness of love's peace masters') 

 

On my way to paradise ~ (i'm coming)Celles qui dans la rosée d'aube éthérée ont habité les lieux comm des absences dociles de la roche reflétée séchant ses lèvres, 

malmené les pierres et rendu ses textures roussies au blond blé bondissant dorant encor les pilules dans les soleils qui le 

garnissent, celles de ces flexibles échappées des bouches qui se sont ployées et s'emploient encor à faire en sondant 

l'émotion briller l'attraction originant la vibration des corps longtemps après qu'elle a produit à son passage entre les langues 

l'effet désirable de l'effet désiré, sont sur les pluies d'images jaunies au fort ton d'eaux-vives des lueurs flambantes qui garnissent les terrasses de leur souples injonctions aux projets de spectacle, les bains et les 

fontaines qui inspirent dans leur suite les plus vives enjambées de mes cercles croisés au sommet d'un enchevêtrement 

conjoint de tous décors pris filants un instant d'évasion et gardés pour pérenne comm des salles de ressort, qui s'aménagent 

pour inviter à la barq horaire inégalable mes sens dans les vastes lieux d'échange, de nouveau originés comm les absences 

dociles de la roche même reflétée de mes champs. On my way to paradise (i'm coming')

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20 mars 2018 2 20 /03 /mars /2018 09:23

Associations d'idees
I. JARDINS : Cultiver / Fleurir / Verdoyants / Florissant / PLANTE : Pied, pousse, germe, graine, photosynthese, phytographie, phytogenie, nature & art ludiq : PLAY d'Alexander Ekman EST ballet Surrealist. 
II SUSPENDUS : Temps / geste / planneur / Temps arrete / suspense / attente / surreleve / hauteur / reverie / onirique / Babylon / Nobuco etc dinosaure / idee en l'air / envolee /
Par opposition a une terre sterile, ou un champ enfoui / par opposition a un retombee gastriq ou nucleaire / par opposition a toute oppositio, toute resistance etant inutile et toute chose etant egale par ailleurs.
Par extension : Un Champ - Duchamp par exemple, MArcel par convention, et les Surrealists par ce-que OUI !~ - deja explore, deja excave, deja ne, deja travaille, deja seme, qui a de la hauteur : qui est connu, a la vue de tous, qui est expose, artistiq donc, un champ qui parle, puisq 'il chante, qu'il nous chante d'en aborder les rives tant il est symbol d'onirism et d'envoutement, de serenite et de passions. Une jardiniere non, un ensemble de jardins qui se sont, associes les vns aux autres, rendus communs, au sens le moins comun, d'etre en commune mesure, des ville a la demesure de leurs agents speciaux, leurs ingredients, fondateurs et constructeur. Un Le Notre, bati dans le Temps, un Ancien, on dit avec respect, quand le Vieux est la, celvi qui tient toujours, qu'il est toujours LA, et qu'on ecoute quand il a un truc a dire, parce que bon, quand meme, LVI, il sait - si LVI, il sait pas, alors qui ?, hein ? ~ meme s'il ne sait pas, et quand bien meme on comprend rien de ce qu'il dit, parce qu'il parle un patoi qui a disparu depuis longtemps, eh bien, on en profite pour tirer quelq chose qui ne seait dit ailleurs nullement a l'identiq. C'est l'Uniq, l'igne, l'iniq, l'eunuq ?, pas trop non. D'emblee l'embage, les emballages recycles de tous les temps presents, suspendus, futurs anterieurs, passes internes, fous, presents continuels, et leur danse en ronde tissee facon MAtisse, atisee facon Soupeault, supposee molle facon supositoire. C'est un ensemble d'ecrits, de peints, de sculptes et de tailles dans les harmonies charnelles de chacune des choses empreintes que les materiaux offrent a travailler, c'est le resultat d'un travail de longue haleine - d7Ou ce cote suspendu, qui halete, ce cote aussi flanc a l'air, qui alaite apres une course folle, c'est l'aboutissement d'un marathon, la ligne franchie par un messager qui s'apprete a porter son mot de victoire just avant de rendre l'ame - a qui l'emprunte, le loue, l'achete et le revend,au prix fort d'une obliaison des genres entre eux, qui ont permi la creation d'un style plvs reeel que reel, plvs eleve qu'eleve, bien eleve, ou pas, en tout cas de bonne figure, qui figure un paysage aussi Surrealist : le mot est lache. Donc majestueux. C'est le sublim qui continue de briller et de s'evaporer, qui sublime encor, qui enrobe, comble, emerveille et fascine, qui subjugue, surprend, suspend donc !~ 

Dans leur travail de la terre, ces cutereux de Surrealistes ont meme pensee pousser les barrieres de leur domaine sur chaq face vers les airs environnants. Ici, une ouverture esst en plein ciel celle qui si elle le peut, s'avere voir pour toujours.
Si elle le peut : par temps clair.
Suspendre, c'est prendre de la hauteur le pouls ou l'aspect, le nom ou l'a pression arterielle. Prendre de la hauteur le gout, par imitation ? Oh non !~ par fraternite, par association d'idees.
Ses echanges avec ce qui environnent se font fluides, et permanent, permuttent et apportent, emportent et transvasent, en continu, de sorte de participer aux ajustements, faire s'equilibrer tantot, tantot basculer, comm commun film conceptuel, un film qui occupe (l'espace, en plvs de passer le temps a qui tend la main pour le prendre en pleine journee : dans parties sensibles, le coeur etc, faire peser et s'envoler de l'autre cote, s'emportant parfois aussi a dedoubler les quantites portees, lesquelles, on le dit produites : creations qui fractales ou auto-generation, portent d'elles-memes. C'est comm ca que swe suspent l'ensemble des jardins, porte par ce qui le compose. Les richesse interieures, invisible a l'oeil nu, une fois que celvi-ci s'habille, sont a la vue de tous exposes pour marier les supports, conjuguer l'essor, et porter la structure qui, de la, attend d'etre creusee. On ne dit pas les champs enfouis, comm on le dirait d'une tres vieille culture qui a perdu toute son influcence, et s'est fait oublier, ils les ont suspendus de sorte que, bon, il puisse s'en ecouler des quantites de temps avant que tout ca ne soit englouti plus visible. Il en faudrait des pelletees de nuages pour creuser un ciel qui s'offre en grand sans demander son reste, les voiles eux font office de bureau, de rideaux, de murs et de plafond. On peut regarder passer l'oeuvre quand bon lvi semble, parce qu'ici c'est l'ART qui avance, pas le monde sur lvi, pas les critiq autour de lvi, pas le public au milieu, pas la politiq contre lvi ou les pragmatiq malgre lvi. Le medecin est legist, l'art est Nouveau, le temps est suspendu comm on le dillate pour pouvoir trifouilller dedans sans perdre le nord, le temps, l'or ou l'avance prise sur le monde, On peut aimer ca et continuer de vivre avec ses principes innes, ses idees recues ou son bon sens, on ne perd rien. On gagne comm on gagne un etage, un sommet qui ne serait, attention quand meme, toujours que le genou d'un autre mont, d'une autre errection.

Association d'idees : un amas, si epais que nervure, rigidifie le tout.De sorte qu'aucun des Surrealists n'Aurait pu s'en sortir sel ou seul, seuil ou sale.
Mais bien uni dans l'association de l'esprit qui cree le monde merveilleux du reve et des images oniriq telles que celles qui naissent du piano de Satie quand il laisse a son libre cours le fleuve prendre a ses pieds sa source, son pied, sa chaise et meme son plancher pour amant.
Le tout etant lie (donc).

 

THE NEXT MORNING PICTURE
 
C'est un film conceptuel, un film interminable,
un film qui dure 7 jours, projeté dans une salle qui est une piscine,
qui est un restaurant, et qui a un solarivm qui domine toute la ville.
On y dort, on y mange, on s'y lave, et des gens entrent et sortent continuellement,
il se passe toujours quelq chose d'intéressant quand on a envie d'aller pisser.
Comm doté
du pouvoir incroyable qu'ont de faire agir des révélations exceptionnelles les perceptions participatives appréciées du passé.
Suffisamment long pour que tout n'y soit qu'un détail. 
Mais ça ne s'arrête pas, ça ne s'arrête jamais. Et quand enfin ça se termine, on a envie d'assister à la projection suivante.
Même si on ne sait plus quelle heure il est dehors, et alors on reste,
même si on se regrette dès que dix minutes ont commencé de rejouer la première scène,
et interminablement on assiste au même spectacle
qui se joue autant façon cinéma, que façon spectacle.
Et ça sent le fauve là-dedans. À la fin on y est tous des animaux. Le cirq
 
 
 
    
 
La-Belle-et-la-Bete--le-matin-suivant-copie-1.jpg
 

 

Il a beau etre flou c'est celvi-la et de loin qu'il prefere, contre tous ceux qui paraissent dans les magazines, il n'echangerait jamais celvi qu'il a pris lorsqu'elle reapparaissait par la lucarne de la cuisine. Il s'etait etendu encor nu sur les tomettes du patio, il se prelassait hypnotise sous le soleil qui filtrait par la verriere et que faisaient danser entre leurs decoupes les feuillages du ficus, et il avait attrape l'appareil photo a l'instant ou elle l'appela. "Dygo ?" La douceur de cette voix, il l'avait d'imprimee en tete pour toujours, il avait roule sur le cote aussitot comm si elle l'avait reveille. Elle s'etait tournee et faisait face aux denses rayons du soleil qui dessinaient le haut d'un large rectangle qui devait terminer plvs bas ondulant au gre des formes que son perchoir ne lvi permit pas de saisir, mais qui ainsi partiellement indefini cadrait. Ses cheveux lumineux et son visage a demi couvrant son corps nu dont le cliche ne detaillait qu'un infime extrait, nectar fait de presq rien d'autre qu'un bout d'epaule et du bout de son sein gauche.
Il pouvait prolonger des heures cette scene uniq, la percevoir dans toute la profondeur allanguie que n'avait a l'oeil de quiconq pas figuree la photographie en soi, mais qu'elle avait en quelq sorte de filigrane memoriel imprime comm un chant paoniq se developperait a chaq nouvelle observation operant comm un revelateur de l'image cachee. Une empreinte, compose argentiq d'epaisseurs comprimees ou ces agents de texture connus de lvi seul savaient prendre toute la teneur et devoiler l'arome - il pensait au fin connaisseur dont le nez libere les senteurs magistralement enveloppees d'un parfvm, que lvi evoqua une fois la surprise d'un regard neuf sur la photographie qui, faussant sa memoire, ne montrait plus le bas du dos ni l'arrondissement d'un rectangle de soleil sur ses fesses comm elle l'avait pourtant fait au debut, ca il en etait sur.
Il pouvait etendre a l'infini cette passion derisoire pour l'Instant.
Il pouvait revivre dans cette maison, et se croire au printemps,
Mais ce n'est pas ca qui l'Interessait, meme si malgre lvi les images et les sons profusant l'y replongeaient, et qu'Il en revoyait le faux etage, les plantes, le carrelage a hauteur d'yeux, et cette seule partie de la cuisine qu'il avait pu attraper du regard et imprimer au moment ou elle y etait apparue avant de monter le rejoindre pour faire leurs corps s'aimer encor.
Il voulait faire hurler une guitare, elle lvi peignait une toile complete, une nouvelle tous les soirs, un instant il la voyait a la tele et il partait l'instant suivant loin dans les precipices de ses courbes et les trombes de ses torsions, un instant elle parlait a la radio et le grain de sa peau gresillait alors physiquement dans l'emetteur, lisse et trouble, satine et granuleux, les asperites de son langage pour seule trame ou imprimer l'eveil d'un toucher, le parfvm d'un angle ou le baiser s'etait pose sous ses cheveux, une seule apparition d'elle aspirant sur le grand ecran, eut-elle donne la repliq si vite qu'on n'eut le temps d'applaudir son entree avant qu'elle en sorte, et son esprit quittait les lieux, il n'entendait plus rien alors, que le rythm de son coeur qui respirait dans le sien, sur un ilot isole, haut, dans un arbre qui surplombe les decors, un vehicule en teflon hyperconducteur ou tresaillaient leurs membres electriq comm la moindre vibration d'un filet de vent qui caresse la carlingue eut dans l'habitacle cause la sensation que s'abat avec le son tonitruant de la grele, la foudre. Ces secousses, veritables, du coeur, de son electricite il les ressentait comm elle les lvi avait transmises, ces emissions irradiant comm un materiau dangereux qu'on lvi aura explose nu et sans protection, dont ses veines se souvenaient l'effet et qui sitot se l'evoquant s'en comportent ebullitions et circonvulsions. Il se sentait tourner avec elle, acteur et public de sa vie, producteur et reproducteur de son corps en tant qu'element uniq, molecule rare, atome integral et complet, au grand complet qui lvi tombait des epaules quand elle au bruit du bois heurtant la ceramiq provoquait ses sens comm elle se dechaussait. Les talons, talents uniq, sens ignes, les lignes anguille, ses angles teints, les terres vibrees de leur exil au monde, ces contrees baties de sels, d'air et d'eau sublimant les elements dont ils dominaient en sainte trinite l'accouplement et les productions scintillantes sous les formes du possible, dans toutes les nuances qu'il restait a creer.
Il se dit qu'elle transite avec lvi dans un epais amas de ciel ou sejournent quand elle s'aiment les etoiles, pendant leur saison des chaleurs, le printemps englobant dans ses vasq a dimensions aleatoires presq tous les ages dont il soit donne de s'enquerir la position. Adoptees comm elles passerraient et repasseraient entre leurs doigts meles, y glissant comm du sable fin, roulant et se laissant modeler au gre de leurs unions charnelles et de leurs soupirs d'astre au repos. Magistral, piece videe par ses deux bouts comm un piano decompose pour un temps en deux corps qui peuvent se faire face, se refleter mutuellement, luire et se faire rire, et se completer pour etre, a tout moment, 1.

 

La veille, tandis qu'entre mes rêves entrefondus des images jaillissaient du réel pour m'éveiller et éveiller à ma Muse une subite envie de mettre les voiles prématurément, un vieux professeur de physiq quantiq s'est adressé à moi en prenant la forme incroyablement insolite de préadolescent encor en cours de maths aléatoires en la classe de 6ème d'une école du 18ème arrondissement en sa scolarité d'une année déjà loin devant nous et pourtant encor à venir ~ et dans ses cordes étonnament vieillies en contraste de ses traits fins que le tableau noir de sa classe atténuaient jusq'à le rendre quasi informe, ou uniforme, voire parfaitement plat du visage, il me donnait une leçon de physiq quantiq en employant pour celà, et quelle ne fut pas ma surprise, des termes recourant plus à la généalogie du cerveau qu'au lexiq usuel de la physiq à proprement parler. Pourtant les rapprochements qu'il en faisait, et si je ne m'en souviens pas exactement c'est tout bonnement que ça n'avait aucun sens puisq mon esprir s'amusait à balancer dans sa voix des mots pêchés de façon évidemment aléatoire ~ et cependant hyper crédible !~ donnaient bien à comprdndre que les portes de la physiq quantiq respiraient leur plus intime mécanism dans les fondements même de la respiration du coeur, lequel !~ est une alvéole nichée dans les profondeurs les moins visqueuses de l'esprit : un vaste repère sans compensation de matière, sorte de grotte sèche dont les parois sont sillonées des milliards de vaisseaux immatériels qui consistent dans les connexions électriq ~ un grand ciel par temps d'orage, qui fait les voûtes d'une crique en fait. Néoptolème. Comm Ninive sur le Tigre.
 
 

 

 

 

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22 février 2012 3 22 /02 /février /2012 00:14

Quand les plus fervents commencent 

de ne plus vous soutenir, les plus proches même de ne plus vous en croire capable. 

Parce qu'il y a eu cette impression qu'un premier pas avait été un échec,

 que les envollées ont emporté au loin cet oiseau qui avait son nid sur le fruit de la tête. 

Il faut qu'ils sachent qu'ils ont raison de vous aimer ~ qu'il n'y aura jamais lieu À revoir cette position,

ni plus que celle qui veut vous situer plutôt que vous faire vous prosterner. 

On embarq alors une sorte de croisée, expédition de sauvetage, in extremis 

comm celui qui démarche les banq pour sauver son usine, ou bien l'autre, qui va se battre 

au nom d'on ne sait quelle cause loin en terre hostile, 

il parle en tout cas d'exotism se faire le familier. Il y a cette agitation nerveuse, 

cette anxiété toute neuve, propre à l'imaginaire, toute peur est inconnue 

celle d'avoir oublié quelq chose, celle de ne pas être prêt, celle de ne pas avoir choisi le bon moment.

 Des peurs injustifiées, nouvellement manifestées. Et puis vient ce soulagement, 

tout aussi loufoq, lorsq il foule enfin les pontons sacrés qui l'emmènentsur le lointain, 

impressions de reliefs saufs tout aussi injustifiées, 

nouvellement déclarées, dès les premiers pas, 

le soulagement étrange d'être sur le chemin, que tout s'est passé bien, finalement, déjà. 

Que le poids est bien réparti, que la cadence est la bonne, que le sol est bien là à chaq pas, 

et que l'air se respire, enfin

que tout est à sa place qui permet que ça dure, qui permette qu ça ,marche.

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4 décembre 2010 6 04 /12 /décembre /2010 11:31

 

 

I.  Bien souvent je n'écris que pour compenser une lacune techniq évidente et reconnue, et la vivre plutot bien que mieux, pour les arts graphiq. Ce que je voudrais pouvoir et savoir peindre, scultper, modeler, dessiner, je le peinds, modèle, sculpte et dessine dans cette explorateur de sensation semantiq qui lvi, ne me fait pas défaut. Pour nombre d'images que je produirais en une quantite faramineuse d'esquisses et d'impressions, il n'y a quedans l'ecriture que je parviens a la qualite visuelle qui me satisfasse.
Je tends a etendre ce mode autant que possible par le recours a la cathacrese polysemiq des mers tiedes a turquoises.

 

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Photos / かみぐらむ : 1_111____2__2222___2__3_3333_ 

 

C'est la, etendu nu sur le plancher noir brulant de la chambre d'ami de son appartement qu'empatement de cils conflexes et de cirq appate je vois naissant se repaitre d'y apparaitre le premier jour de l'an, son laptop de reunion en bandouliere pour compagnon de l'heure dite bonne ou toutes pourraient bousculees suivantes bien commencer de basculer.
La qu'entre une traversee a cheval et la promise prochaine chasse aux tresors de pirates, j'entrevois comm epileptiq, certes diaphane mais d'autorite holographiq plvs-vrai-que-reel que la silhouette circonflexe de ses pas de danse d'hier ravissent l'allure supposee distances de nos corps en suspens. Dans le temps il y avait des mots pour ca. On pouvait les dires sans les penser, les ecrire sans les interpreter, et meme les entendre lus a voix haute et en public sans que vraiment quelq'un ne s'en offense, n'en rougisse ou ne soit envahi d'un sentiment de gene, ou de honte. Il n'y a toujours pas de honte a ca, ce n'est qu'une couleur de plvs, et si je le declare, sans trop y croire, juste pour m'en convaincre et envisager une rationnalite des sens pour issue ou aborder le jour saillant a ses asperites pour prise, c'est en silence, dans le secret de la diversion insomniaq, parce que tout dort alentour qui m'en offre la tour, d'en faire le tour et d'y courir ses atours, que je bande a la seule idee d'aller l'epier dormante, d'aller roder dans son aile, son bastion, ce cote des choses sures ou les vetements requis seraient s'ils s'oubliaient pris pour pour acquis, sans transigeance. Je m'en raviserai -evidemment- avant qu'elle soies, soies, avant qu'il soit trop tot, j'attendrai patiemment -bien sur- qu'il soit trop tard et qu'elle rompe en se levant le charme de cette idee, et j'irai plutot que preferer nous risquer tous a la situation catastrophiq d'une orbe du mystere a cacher sous les ronces dans l'attente des printemps divers, chasser le tresor monstre d'une idee qui surgit seulement parce qu'elle le peut, juste par ce qu'elle le doigt, ou bien parce que c'est la sienne, et qu'elle a tous les draps, a tous les droits. Irai-je donc, non c'est certain maintenant, decaheter sa courbe et briser a la ligne, prise a l'echine, lechee d'obvies, tentaculaire et porteuse de sorts, entrant trombes et ressortissant alien, tomber sa fine coulee d'un lustre qui suspend m'y surprenant dangereux, m'y meprenant fou, m'en contentant epris, ma main sur l'insistance visuelle de ce chateau d'entree qui flou-a-flux, afflue et capte captive mon attention, la redouble et la triple, aux tripes de mon ecervellement sacre, l'emplacement just d'un doryphore ou je passant serais comm une feuille, devore. Le miel d'une intention, a elle seule suffit a decrire l'immensite d'un plaisir assouvi dans ce desir soudain, et qu'elle soit alors, dans une seconde de trop, une de plvs ou l'extra qui s'extrait des minutes manquantes a vivre vraiment, pleinement le monde quand il exist, a son sommet d'erections vives, trouvees jaillissantes, raidies durables, voulues meme permanente (a ce qu'il semble), qu'elle y soit alors prise d'une seule accroche sonore, la bruissement d'un levre aevc la langue, ou d'un simple baillement, et sa voix percuterait, de facon irrecevable, irremadiablement faite pour tenir de la consistance du fer et de la limaille d'argent, la durete eternelle d'un sentiment qui promet de me ronger aux sangs l'ambition or
une seconde nee fuyante
la suivante disparue
revenue epileptiq
installee passable
convaincante entre toutes
promise a s'etendre
averee naissante, toujours etat d'aurore.
Free Kitten, Aurore.

Quantites de passions, debit des foules, Debbie deforme, obedie des fonds, defoule et ​des formes elle fait une physiq parlee, un langage qui s'imprime ~

Love, Ampad

II.Ses os d'abord se sont ramolis, puis ils sont devenus spongieux, pour peu a peu devenir meme presq liquid, et sa chair s'etant progressivement decroche de ce qu'il restait d'une armature un tant soit peu solide, son enveloppe charnelle bientot glissait, et a mesure que ses os perdaient toute leurs formes, elle devenait elle-meme amorphe, jusq 'a devenir si parfaitement souple, qu'imbrisable, si parfaitement ferme ~ parce que l'aspect spongieux de ses os etait devenu apte a absorber et reconcentrer les masses musculaires pour former un epais et dense maillage nerveux ~ qu'impenetrable, et aussi souple finalement que polymorphe. Si tout l'interieur de ses membres, mais bientot il ne s'agissait plus a proprement parler de membres, plutot de corps, passablement distincts d'un tronc lvi bien central encor autour duquel graviteraient lesdits corps ~ etait devenu mou, spongieux, comm flou, un noyau qui se gonflait et se concentrait comm un battement de coeur tres lent aurait rythme cette fantastiq parade organiq, et si aussi l'emsemble de sa peau avait tellement glisse qu'il etait impossible de situer exactement quelq organe avec certitude, les pores s'etaient entierement recouvertes et la respiration ne se faisait plus vers l'exterieur, mais par l'interieur de son corps. On pouvait s'amuser a chercher quel orifice permettait d'evacuer et de reinsuffler l'air mais le brassage etait tel qu'il etait preferable de se figurer qu'il apparaissait sporadiquement, en quelq endroit, pour etre aussitot englouti et de nouveau confondu. Elle etait devenue aussi impermeable exterieurement, que l'interieur de son corps lvi, etait devenu parfaitement absorbant, et poreux.

III. Titre : Jeune OBIKL. Sous-titre : 13 Honorifiq. Plvs en rapport qu'a d'improbables traductions, avec des didascalies, ou au mieux, des sous-texts. Requisitoire, plaintes & Plaidoyer, Passage dans la cour des contes. Cohesion : on se sent bien ici. Traversee a cheval, une Carnival song vient d'eclore dans la cour, tushe-coular phonetiq, anomalie anatolienne, en decembre, improbbale : osmotiq. Comm un bain, la partouze geante est la plvs osmotiq des atmospheres. 
Une allee de nus, sur leur socle individuel de marbre, jonche la cour. En tyran avere, la premiere chose qu'il fit mettre en place est d'interchanger am et pm. De sorte pour nous autres Europeens, que l'on s'y mit a changer de jour au beau milieu ...du jour, A midi, nous serons demain. Qu'adviendrait-il, demanda-t-il ensuite, si notre planete operait des revolutions plvs longues, mourrait-on plvs vieux ? Ou le nombre de secondes vecues et dormies serait-il le meme ? Il mettait en evidence et en etait convaincu, qu'une revolution de la planete - nous pas sur elle-meme, mais autour de son soleil, conditionnait de facon irremediable non mais bien qu'inculquee, heritee, evolutive et passablement en cela aussi possible a recorriger, sur un terme qu'il s'evertuait de calculer suivant de tres savantes correlations, la duree de vie de l'homm, et qu'ainsi, suivant ses dires, si sa planete, il est vrai proche du Soleil comm nulle autre, operait des revolutions plvs longues, l'Homm, c'est a dire, LVI en realite, pourrait vivre plvs de temps. Dans l'absolu, ce que l'on appelle une annee solaire est tres endocentrist, et ce que l'on definit comm une seconde decoule d'un tres selectif concours des circonstances qui ayant muis en concurrence plusieurs systemes a peu de choses pres equivalents emporte l'unanime non mais la majorite des voies favorables d'un hemicycle qui s'est tenu sur plusieurs generations de reflexions loin d'etre quantiq, loin d'etre mystiq, loin d'etre plvs poussement theoriq, se vallaient par ce qu'elles etayees etaient socialement, economiquement et (donc) mathematiquement plvs acceptables. Si proches du soleil, le tyran ne laisserait pas les acquis herites de lointaines et desuetes philosophies humaines decider de l'avenir rhetoriq de son engeance. Quand nous faisant descendre les marches il nous a accompagne a travers ces sculptures, il nous les a d'abord aussi vulgairement que possible presentees en disant "Je les ai toutes baisees, j'ai couche avec chacune d'elles. Une fois et une fois seulement" On pourrait croire que le ton sur lequel il avait declame cette !~ entree !~ en matiere ~ etait sinon outrageusement pretentieux, sinon immensement orgueilleux, sinon imbattablement egocentriq, a tout le moins bordee de fierte, mais pas du tout, il le dit avec une sorte de depit qui n'etait pas de ces facons empruntees a la pure rhetoriq, justement, une fois n'est pas coutume (mais quand meme), du bluff et de la fausse modestie qui, vous le savez, compte parmi mes plvs merveilleuses hantises, mes plvs profonds degouts et mes plvs amers desirs d'ecartelement. Lvi le dit vraiment avec depit, de maniere a en annoncant la couleur, nous faire savoir Ou, exactement, simplement, on se trouvait. Il avait baise chacune de ces sculptures. Point.
Elles sont quand on les decouvre dans l'etat d'ecstase supreme dans lequel il les a laissees. Desormais, elles le savent et c'est ce qui vaut a cette cour son nom, titre honorifiq pas tant mais plutot didascalies avisees, justes, il ne peut plus les voir, les entendre ni meme seulement les sentir. Il les imagine, il pense a elles et quand il deambule nu, qu'il bande fierement en passant tout pres des socles qu'il imagine surmontes de leur bronze, il ne peut s'empecher de leur agiter sa queue, de les chauffer, s'arreter bras ballants entierement offert comm en pature il serait de son corps possible d'abuser, et l'vne d'elles s'essayant quand meme, sait-on jamais, a l'effleurer, s'approche de lvi, le tate, tente de le caresser et essaye de sentir contre sa chair la bite de son hero quantiq, frotter son corps au sien. Car c'est ce qu'il est, leur Hero Quantiq. Il y a la des Deesses, nues ou presq, aux corps parfois tres metaphoriq avec des extensions dont certaines pourraient au commun des mortels etre l'atour redibitoire ("encor que dans redibitoire, n'y a-t-il point ....", dirait Desproges), des Deesses donc qui sont veuves, orphelines, nues et suaves, des Deesses qui sont sement et qui sont mouillees, & des Princesses couronnees, des duchesses dans leur plvs simple appareil, la chair tendre erisee de la merveille d'une pose de la prose a pore qui respire un erotism exagere, et toutes sortes d'heroines de legendes ecrites - il y a parmi elles Canan Haas, mains soulevees et la paume vers le haut, jambes ecartees qui respire avec le ventre, Anna, Aeleonor et Lou, qui porte ses cuisses juste en-dessous de son cou d'ou perlent des scintillements dans un bruissement de tres fines joutes olfactives pour qui s'y pencherait un seul instant saisissant ou une longue minute d'insistances plaisantes -, des mythes, des personnages de fiction, aussi superbement incarnees que l'inspire le phantasm souleve de ce qu'on appelle a raison l'imaginaire collectif et qui tend a leur rendre a cette erosion propre au commun, le charme de traits de caracteres appuyes qui une fois essuyes tendent a pousser loin les limites de leur faculte a creer de l'imaginaire, du phantasm plvs propre, des details plvs intimes, indicibles, anodins, et pourtant la, il y a des effigies de maisons celebres, des femmes de luxe, calmes et volupte, on dit aussi des Muses, toutes aussi fascinantes qu'uniq, incarnant une pose et a qui le sculpteur celebre n'a jamais songe donner un nom, il y a des heroines (au sens presq : de drogues) muselees, de l'histoire et des contes, leur apparition concrete en didascalies, et meme des caryatides !~ Et toutes, toutes aussi celebres que leur createur ou la legende a laquelle elles appartiennent, dans un concert tonitruant gemissent, se masturbent, avalent des quantites de sons et sont seules ou par groupe sculptural dans une immense et tres osmotiq atmosphere de bain constamment a la tribune d'un requisitoire dans l'etat plvs tot survole ou elles se plaignent et se lamentent dans les allees de cette cour, sur leurs socle de marbre, de l'etat dans lequel se retrouve leur hero : le seul avec qui elles voudraient copuler et se reproduire, durer et s'accorder une suite, coucher et s'envoler, ne peut plus leur offrir ne serait-ce qu'un baiser !~ Alors elles le regardent passer, le regard deconfit, elles esperent, elles attendent dirait-on, et elles lvi parlent, l'implorent et se rejouissent qu'il pense tellement a elles qu'il n'a de cesse de passer et de passer encor, de s'attarder dans leur cour, s'etendre nu, s'offrir a elles phalliq, immensement absorbe dans sa quete poetiq qui traverse d'un regard leurs corps diaphanes, disparus. Gus les lvi decrit, lvi dit quelle est celle qui vient de passer entre ses jambes, celle qui la encor tremble, sautille et de pas chasses en petits bonds caresse le desir brulant de pendant qu'il progresse agresser son geste et rester a sa hauteur pour profiter encor un peu de cette illusion de chaleur. Les femmes sont a leur bain et nous quatre seulement pouvons - trois a le voir du moins le pouvons - jouir de cette vue irreelle, magnifiq, symbiotiq et infiniment bonne, cette abosrption qu'il nous envie de voir et de sentir, d'entendre et de jouir, il demande alors, puisq nos dames se lavent et sont, probablement, dit-il avec la quantite d'aphrodisiaq ingurgitees dans le the des bains, en train de s'envoyer dans des airs que pour nous homms il serait amusant d'assister, nous le propose, et nous y consentons immediatement - Gus et moi echangeons ce regard sans equivoq, d'une fraction de la seconde proche du zero quantiq proche de ce qui est propre, d'usage, aux seules luttes armees du jour avec les restes de lu monde, rester seuls avec elles. 
Il n'y a a ce jour a mes yeux pas de plvs grand delice que l'ecstase de faire en m'enfoncant dans ses esses bruyamment comm des portes qui claquent, s'ouvrir et se fermer en de multiples endroits le bassin de la Venus de Milo a tiroirs de Dali ~ qui est la perle de l'onirism phantasmagoriq. 
Lvi imaginer de l'epaule nue qui deborde de son buste, qui depasse au-dela de ses lestes poires au rose saillant qui s'agite nul bras pour en retenir l'elan, compose avec deux autres, sauts inavouables, dans les grands mouvements du coit qui s'installe durablement entre son corps et le mien quand ils sement, un summvm du phantasm.
Tenter de ces deux autres sauts inavousables, t'en rapporter dans la langue parlee plutot qu'en esquisses extremement roses de duretes aux textures visuelles de l'apprehensible intelligible - physiq - ne serait-ce qu'une once me parait d'emblee chose impossible, tant est inaccessible a mes seules ressources le lexiq qui en proclame la poetiq. Il s'agirait de te decrire tantot arrimage a la coque des vestibules dont l'ombre qui se dedouble en provocant l'illusion olfactive d'un triple-temps allant briser la houle serait un chant de voyelles, tantot !~ et si je parais parvenir jusq la ce qui s'annoncait muet c'est la que ca devient plvs difficile, depeindre la coulee qui navigue entre nous dans cette heure bonne moins le quart, la depeindre comm une poussee qui serait la fluide perle d'inconsistances fuyantes entre deux de ses regards poetiq, dont s'agirait de te faire sentir l'interaction ~ non, vraiment, je n'y arrive pas.

Mais je peux te dire de ces quels phasntasms !~ qui composent le saut inavouable d'un sommet, l'instant qu'ils prennent leur elan physiq pour parvenir a mes yeux comm l'aboutissement d'une part des vibrations troublees, et comm le depart d'une serie de gresillements qui s'appretent a faire eclatter des myriades tes tiroirs quand ils s'ouvrent et claquent. Il y a d'abord entre ta bouche ou tu m'enfonces, et la mienne ou tu te ~, fonds les appels de la nuque qui me force aux bascules, et puis il y a de tes bras laches l'insistance elancee de cette barq qui depart, l'inconstance d'une seve propulsee qui te poussant a la plante du ventre - comm on le prendrait pied - noix ou bien noie l'intention vocale d'un sac de billes fusionnelles qu'a exciter tu ferais croite l'enveloppe jusq 'a la tendre a cette limite ou l'exploit se tire vers le haut dans les toiles qu'un vent saisi rend veloce au possible, : et pretes ainsi gonflees a bloc, a instantanement fondre, d'un corps dans un autre en une bulle d'explosion silencieuse.
4.Comm neuf. Autres choses irrationnelles a tiroirs imbriques. tu remarquable pour passer inapercue, que ce soit comm a l'instant dans l'ivresse diverse d'averses l'hiver ou l'ete, tu peux de toutes les avoirs dire et tenues, toutes les portees, sur toi comm a mes bras il est un liant qui m'effile et me tend tes nus. Cisures, Cesaire, aimees ses aires. Ta soie grege de cuscute, glissant satin et patinee. Ces nus qu'agitee tu secoues a ma vue, amusee que se couse d'immediate ma reponse qui sure, si sue dure... Cisures, Cesaire, aimee ses aires, de jeux, ta soie grege, ton satin, de cuscute a ma bouche, s'amuse de ma reponse suture, si sure, dure.
3.Je te prends, Venus de Milo, a tiroirs de Dali assise sur ton derriere, et j'envoie tes meubles heurter la cosse cousue d'un bois encor vierge, de ta boite cranienne puis revenir en echo briser la houle ou s'incarne l'intergalite charnelle de mes desirs !~, je vais et viens de la dimension pulsive des faceties diametrales de mon desir de tes hanches  et de tes fesses, du triangle de ton pavillon a ta bouche en un saut de L'Ange qui se prend le pied leve dans la nappe d'une table dont tu constitues a toi seule l'ambition meuble d'une transformation instantanee. En ce que tu veux, chacun de tes pieds bousculant les empreintes que tu fais dans mon regard en y pietinant toutes les sondes d'un vertueux essor des couleurs plvs veloces, tu fais dans cet instant beni ou se change en toi l'harmonie d'un egal comm la symphonie d'un tout, l'ajustement croise d'une serie de vapeurs chaudes qu'il s'agit en y passant, de traverser si dense qu'on pourrait y voir perdre tout son brouillard tenace, si epais fut-il, et si dur eut-il dure. 2.J'arrange qu'entre mes levres s'erige en corps phalliq l'intention monstrueuse de ma nuque quand tu l'y attires en y passant tes reins !~ D'errain encor !~ tes sensations de casserole sur le feu !~ dont prochainement je propose de rapporter ici l'interstice, musicales. 

Souvent la representation mentale que je me fais de l'oeuvre n'est pas a dix pour cent atteinte dans le resultat physiq obtenu de l'esquisse. Que j'y passe alors deux heures ou que j'y revienne plusieurs fois dans les mois qui suivent, jamais je ne parviens a retrouver, des lors que je l'ai ambitionnee graphiq, visuelle, la qualite theoriq qui m'avait tant plu au moment ou mes esprit et inconscient en la faconnonnant avaient remarquablement etabli des connections croisees de toutes ou parties de ses formes assemblees. Et moi de conclure ca ne ressemble a rien, depite, et resigne.
III. des petits matins et des grands soirs,
des corps brulants d'Ampadisio,
de la1 tete aux pieds,
et des autres formes de vie autrefois envisagees,
devisagees au petit matin, des la bonne heure 
moins le quart, ~

de tour

aux petits soins,
au petit coin
optionnel

 

optimal
aux petits biens

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29 août 2010 7 29 /08 /août /2010 10:12

 

 

 

Ambages & Aphorisms ~

les premiers sont attrayants, les seconds emballés,

le paquet porté depuis Istambul, par Sofia, vers Bucurest,& acheminé a Paris ou son point de chute fait du bruit,

ayant conquis plus d'un coeur saillant désanglé d'émoi,

donnant le ton d'épidermiq sophisms raz-la-peau, a fleur d'elle, entendus de plusieurs voix toniq sans accent simultané,

effleurés tous par la conjugaison des cires chaudes qu'épilées les jeunes femmes de midi

que d'autres disent succubes, font reparaitre petites comme a son origine linguistiq des hauts orients d'Europe, toutes proches déja de 2001, tout propre ~

jaillit sur une table d'ou s'en deboule des tonnes de semance, et Toujours, La Nouvelle Origine.

Des écritures SOURCES, et des écritures SECOURS, texts finis & débuts ratés voués a l'etre jusqu'a leur final explosif,

les théatres de la vie ou se sont joués encore, et pour la premiere fois devant moi les arriere-cour des scenes les plus connues, les plus méconnues autant dire, dont les fonds sont perdus, et si bien enfouis qu'ils cachent en leur secret, quelque vérité sans spectacle su,

soulevant sur moi, la vague déferlante d'un joyeux chrysanteme sans tonalité, ni semblant de longueur,

meme d'ondes, a failli seulement se défaire le titre, et la premiere lettre ~

Mais le seul point commun qui existe sans mentionner d'ambages ou d'aphorisms plus en dedans, entre l'Amiral de Coligny dont la statue statue rue de Rivoli, et Pluton dont le status est définitivament statué depuis 4 ans, c'est la date du 24 aout.

Mais quel interet de le mentionner, si ce n'est pour rapprocher ces deux évenements hautement historiq, devant une perle uniq qui doive les faire coucher ensemble, et, qui sait, donner naissance a une beauté invertébrée continuellement émergeant des eaux, que sont le massacre de la Saint-Barthelemy, la balade a pied, un apres-midi de 24 aout quelconque, d'une jeune homm au teint pale avec une vieille femme suicidaire qui lisait des romans d'amour, sur la rue de Rivoli, et la naissance d'une nouvelle classe d'objets celestes : les planetes naines ?

 

Si un matin chaud, sous le ciel du 24 aout 1572, que trois lignes improbables vous ont dessiné arqué comme um poem de l'incompris, il vous venait l'envie de traverser sans regarder, et plus precisement de le faire la bouche ouverte, a 17h, en ne pensant a rien d'autre qu'au massacre en cours dans la ville,si aussi, il nous prenait au meme instant et ce serait la cause-meme de la suite du drame, de lever aux cieux l'oeil uniq qui doive avoir une once d'anticipation planquée sous la vertu originelle de la prescience, et d'y percevoir de on-ne-sait-encore-quoi d'imminent-a-l'echelle-humaine qui ait de l'historicité sous le blason, a nommer Celeste, on ne peut manquer dans l'un ou dans l'autre de ces deux comportements étranges-au-vu-des-circonstances, de trouver le dessein tragiq, la fatalité toute annoncée, l'acheminement attendu dans l'ombre d'un bosquet discret, de l'assassinat sournoisement concocté dans la bouillie ambigue de la situation historiq du jour, de deux astres brillant, ayant brillé, chacun a leur maniere, et qui cotinueront, chacun a leur maniere, de le faire, des lors biaisé ~

L'or biaisé n'est ni un matériau qui vaut qu'on sacrifie sa virginité a une conquete, ni un joyau de famille ramené par des Portugais d'Ameriq latine un matin de la meme annee, non, c'est le point spacial & temporel, duquel il ne sera plus possible, pour chacun de ces deux astres, d'offrir que ce que l'histoire a voulu leur détouner d'une lumiere originelle.

Car dans quelle optiq lumineuse, dans quel eclat du prism originellement concidéré comme fait d'un seul bloc de blanc si pur qu'on le disait divin et indépendant de tout, dans quelle optiq je le redis, sinon dans celle de la classification, sinon dans celle de l'anticipation, sinon dans celle de la prévision, dans l'affinement du savoir absolu qui doit conduire vers une sereine et non seulement potentielle mais tres probable connaissance intuitive de tout l'acheminement par celle, empiriq, diagnostiq, scientifiq, mathématiq, de tous les antécédents comme on le fait les régions a risq, quand il s'agit de faire une estimation d'apres l'histoire, du niveau ou montera la crue qui causera les dommages que l'on sait devoir venir, souvent trop tard encore,dans quelle optiq, sinon celle d'affiner le savoir acquis, et d'ainsi resserrer l'étau des flous et des opaq points d'ombres-obstacle, mene-t-on la guerre a Pluton dans le system, en tant que planete comme elle en revetait si bien, si longtemps encore, et depuis toujours disons-nous le, depuis les antiq savants des cieux Grecs et Arabes, la dénommination linguistiq non seulement, la défintion physiq, avec la troisieme dimension que comporte sa troisieme dimension déja, et dans quelles fins dirige cette expertise, sinon dans la vue d'un prescience, qu'il est permis d'atteindre du point de l'esprit tres étroitement localisé a quelques rares tetes pensants, d'un savoir absolu des desmonts, des desvalles ~ comme tous ceux qui ont sillonné les histories dde l'homm dans son ensemble, et dde l'homm particulier dans son propre logis de bord de paradis ~ Nul paradis ne saurait etre construit de toute piece, il ne peut etre d'homm qui dise au sol hanté qui refuse la greffe qu'On lui veut prendre pour airs & flammes, amants, maris, famille ou terre natale, "Arrache-moi de toi, faux souvenir sans avenir", il ne peut etre de force de main qui démonte sur rien, tout le rien fleurissant de rien, qui n'envie que la création, et n'a par essence que celle-ci a détruire, et ce verbe pour moteur.

Si l'Amiral aujourd'hui, sous l'ombre de notre soleil temporellement local, brille pour la mémoire mise en statue de sa mort, et Pluton, pour la longue existence en tant que planete ! ~ qui s'est sauvagement achevée un autre matin tres tot, de 24 aout, chacun d'eux ont été, et par la, seront toujours, des sujets a émotions, et des exemples de la mémoire qu'il est a avoir des passés surcomposés qui veulent tous nous conduire vers une sage résolution a l'hyper-téléscope, des passés qui seront a faire se décider a chaq prochain tournant des futurs vécus en pleine action.

Pourtant, quelle mise en abime viendra frapper un oeil scient de ces deux exemplaires tournants, dans le moment de l'action ou la densité émotive aura sans doute déja pris la plupart des ressources a la raison pour y flanquer au lieu, quelques excitations eléctriq incontrolables, lesquelles ressources, ironiquement ou non, auront été remises déja, comme a Ovide plus tot, aux mains sans calcul de la precipitation seche d'un vent de violence au dénouement inconsidérable, et tristement, inconciable avant l'accalmie ? Quelle donc est la place de la mémoire des faits, qui sache encore en prendre par-dela les voix lorsqu'elles sont motivées par la seule, uniq en son genre, plus fort que tout au monde, Euphorie-De-L'Instant, laquelle a commis, fait commettre, engrangé que le soient, les crimes les plus audacieux de toutes les histoires de l'Humanité ?

 

Le meurtre de Pluton n'a de cesse d'éveiller en moi ce 25 encore, et peut-etre encore pendant les prochaines 24 h a La Luna, une phrenetiq tapottage de touches de clavier d'ordinateur mis a disposition gratuite, et ce, probablement, justement, sereinement, et je ne m'en moque pas, parce qu'il est dans la fatale révolution sémantiq et pas seulement sémantiq, de son histoire terrestre, et seulement terrestre, toutes les graines des épisodes tournants, de toutes les épices terrestres composées - chose certes rare - de chapitres et d'épisodes tournants, comme l'homm sait en fabriquer, en concevoir, en produire parfois malgré la femme, parfois, je ne veux pas vous blamer mesdames, mais pourtant aussi au gré des femmes, qui ont, a ce jour, a leur actif, plus eu de pouvoir politiq que bien des politiq menées a la force du language de la transmission du savoir sur des générations de sillonnage, de déblayage, de calfeutrage, de rembourage, de troglodytes immenses dans les vallées de pigeons de Kapadokya par exemple, ou d'économie sociale, ou culturelle, ou morale, de tous les pays de toutes les sociétés de ce monde, formés sur des principes de transmission de pouvoir ou sur des élections libres. De toutes les grandes politiq de relance, de toutes les grandes initiatives, celles qui amenent portées par la seule voix instigatrice d'un homm que les générations continueront - et s'engageront meme a en exagérer sans relatifs, caricaturalement donc, la teneur - de considérer comme le plus sage des homms qui aient été a leur patrie, a leur communauté, aucune, n'a la portée d'un seul évenement tel que ceux qui se produise dans l'engouffrement sthéniq, dans l'emportement entonnoir, dans le delta d'une voix d'accélération, que les faits de l'histoires portent pour leur premier enfant, comme un big-bang précipité de tous ces antécédants, fait figure de pere, et ne se laisse, malgré sa soudaine et brutale brieveté, conter nul opposant.

La force d'une formule qu'On clame dans la masse une fois qu'elle a dans le sang cette figure imagée de la soudaineté, car c'est bien de ca, et ce n'est bien que de ca qu'il est question de rapprocher au point de connivence oui tout s'ecrase en dedans et fait imploser un bruit sourd aux conséquences incalculables, et une fois qu'elle a défait de tous ces principes d'antériorité, de programm, de long terme, de toute cette langueur fade et sans évenements particuliers, de toute cette miroitante et sereine paisibilite d'esprit qui parait pour un néant des que surgit la vraie vie dans ses veines bouillantes, cette force que n'importe quelle formule - meme un Allez les Bleus ferait l'affaire - et salade éjaculée - dépasse la menace d'un ouvrage politiq, dépasse l'assurance de toutes les sécurités mises au pointsur des siecles d'enclavement, de fortifications des valeurs morales et sociales, dépasse toutes les créations, toutes les longues préparations des homms a ne devoir se préparer a rien d'autre qu'a la pérennité de leur nom de famille et de leur métier, et de leur maison, et de leur village, et de leur communauté, dépasse encore, toutes les notions menées sur la base temporelle d'une évolution dans le bon sens, et tous les bons discours, dans ces instants, heurement rares comme Romulus & Remus, heurement falsifiables a la source, par d'aussi brefs et soudains coups de poings sur les tables chaudes lourdement établies dans la perspective de ces survenues redoutées par les plus scients des politiq qui n'aiment que la paisible lenteur de la mort dans la vie de tous les jours, sont effacés comme les lourdes colonnes d'un temple a Hadrianus, quel qu'eut été le temps consacré a son érection, et a l'établissement d'une basse solide a son érection dans la pesanteur hostile des craquellements géotectoniq de Efes "Ephesus!" ~ ou d'un navire Vasa en Suede, que sais-je !~

La soudaineté est le seul temps qui se conjugue aussi bien en victime, qu'en meurtrier. Et dans ces deux faces qui s'opposent, et tournent quoi qu'il en soit, le dos aux femmes indifféremment négligentes, négligées, a ces femmes négligeables, a ces femmes a tiroirs comme on les aime quand tout va bien doucement et ne provoque que des débuts de leurres bons a etre seulement déviés comme toute inoffensive petite remarq du conseillier au maire habitué un jour de faiblesse, il est la notion sous-jacette, émergente, dangereuse, grasse, lourde, massive, emportée, négligeament sous-estimée, de la refondaison TOTALE, de la reconstruction A LA BASE, de la pesante, humide, lourde, et écrasante ...

venue apres ca,

d'un temps d'accalmie

si long, si lang, si lancinant de vide

si indifféremment mortel aux survivants des décombres,

qui se blessent en tout heurt, a toute heurt, qui, la ferveur passée, l'émotion de sang sur les mains, au moindre coin de pierre, et en meurent sans nulle faim, ni soif, faisant sans limitation de nihilism, imitation de mutism,

sans plus rien a songer, de ce qu'il vient de se passer, de ce que ca a été, de ce que ce sera plus, du firmanent ou des poissons politiq de leurs enfants mis en aquariums dans les génétiq a venir que le conquerant a bien su envisager pour se posséder de la force du vaincu,

sans plus rien espérer du nouveau levant, ou du dernier noir de ciel qui continue par habitude ou parce que c'est un art de la langue que de s'ass(auv)agir indifféremment de l'époq de la traversée, de se nommer dans un vieux language, la jeunesse eternelle, malgré les circonstances.

 

Le corps étendu de Gaspard II de Coligny, la chute horizontale de Pluton, l'étincelle de ces deux astres avant, et apres, est une histoire de coin de route, l'histoire de l'incident tragiq, que nulle mémoire qui se veut sauvegardé, ne saurait en fait contenir au suivant.Une histoire d'homm en fait.

 

 

Le port du lait

 

 

La plus humaine.

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6 juillet 2010 2 06 /07 /juillet /2010 23:17

 

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3 juillet 2010 6 03 /07 /juillet /2010 16:57
lles jaunes sur cadre blanc )
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  • BORDEL Ampad, c'est qui ce Phileas-Fogg-a-la-fin ~

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    26 juillet 2009 7 26 /07 /juillet /2009 07:17

       
    CANHARD en occitant ; [~> Canhassa : feneantise, ou se prelasser comm un chien] ~> CAGNARD.


    Vous etes dans un bus qui traverse le paysage intemporel d'une ile rocailleuse de la Mediterranee
    d'une cote a l'autre sous un cagnard eblouissant, et vous ecoutez ceci. Moi, ce matin meme./  

    ”Un jour tu verras on dira Defenses d'elephant, loi 1881.” (Gus, 1889, alors eleveur de canassons en Touraine)  

     

    REPAS DE PLAGES NAPPEES DE CARAMELS (lire tres-vite-comm-c'est-ecrit)
    Elles ont des fuites au niveau du bassin, des brouillons scalaires. Alexandrins bucaux, calendaires en bouillis, brouilles des barres a l'air. In such an extreme Haze. Celvi qui en brule brille. Les peaux sur cet a plat domotiq des natures vierges qui sans cesse ramene sur les tapis \ d'etoiles ses souvenirs des sols plvs tot conquis. Les pluies abondent telles des sommiers aux fracas de sous-steles qui s'etalent enfouies et qui revelent sur le front des sirenes les perles d'ou s'egouttant observent d'un haut de notes les bas les muses ailees chantant a de tues tetes qu'elles feraient mieux l'ouvrir. Leurs jambieres decouvertes par paires qui se croisent enveloppent les envoutant l;es mondes dans leur entree et causent en se fondant une illusion de cime, retombee de toutes nuits. Par la meme seve qui perle. Coquillage des avant, lumineuses dermato aux carameles fondus des sabliers casses, de longues tales et de bris. Le plvs gemiosement du monde, arrachees de leurs eaux par compulsion phoniq, synchornie des eche;;es souples a variables inconnues pareilles paralleles pareidolies poudrieres. Situation de pause : ecriture en temps reel.  

       
    "Arretez donc de me chatouiller. Son escort devalait avec quelq metres de retard les escaliers a velo parmi la foule.
    _Sont archaiq ces vehicules mon vieux. Va falloir vous y faire, c'est un sas vers la vie reeelle. Bientot les voiture seront des choses ridiculement petite. Contorsions d'instants brefs, en un gtas de vieille saelles. 
    _Une impression de decalage, ce velo qui riait. L'autre a dit en sortant un flingue : "Vous en savez des choses" Dernier rire du cyclist avant de mourir par balles. Les choses sues, c'etaient des prouesses technologiq tenues secretes. Comm deployer un champ magnetiq vertical qui fait nstantanement office dde mur serait pour un homm si peu evolue que celvi d'aujourd'hui l'objet de convoitises les plvs viles. Une autre prouesse de tehnologie qui existe deja, la perdiode de decompression physiquement compressible dans une boite de la taille de la paume.     

    Il n'y a rien, voyez vous-meme.
    Vous ne me croyez pas, je le vois bien, je le sais, je le sens. Aidez-moi donc a descendre cette fichue estrade que je vous raccorde ca avec ce que je veux vous raconter. Ma reincarnation quantiq, l'experience scientifiq fabuleuse dont tout le monde a parle et qui a envoye la ville en l'air il y a maintenant bientot-oui-ca-doit-etre-ca-dans-les 2 ans de metempsycose humaine, cette migration de l'esprit de mon corps mort a celvi-ci, a cette en enveloppe avortee de vortex a volets, a vole !~ de l'autre pour perdurer ma conscience permutee quand mon corps me voulait envole, vile ou mort, n'est encor, mon cher Stepahe, et je vais vous le dire pour la premiere fois ne vous en accablez pas mais soyez-en conscient et rejouissez-vous-en autant que ca peut aussi signifier que tout ceci est vain, malheureusement pour vous tous,, qu'un heureux coup de bol !~ Rien de plvs. Ne vous meprenez pas sur la pretendue tant attendue etendue sans limite des fins veritables de la mortalite telle que nous avons appris si bien a la concevoir pour la detruire dans le meme sillage, je vous ferai toutes les revelations qu'il soit donne de faire, sitot que j'y aurai seulement moi aussi vu clair !~ (...) Parce que ce jour-la qu'on a appris dans les nouvelles ecole a nomme J, ce jour-la mon vieux ~ vous permettez que je vous appelle mon vieux, on ne m'a rien laisse dire pour m'expliquer,. Pris dans l'euphorie j'ai laisse faire, des photos des interviews a une seule corde vocale, des montages a vous demonter la tete, des mensonges a demanteler des reseaux de verites syndiquees depuis la nuit et jusq 'au jour de tous les Temps, ecoutez, arrive a ce stade decisif ou, quand tout s'etait parfaitement installe a nos yeux confortes, si bien confortes alors, que rien de flagrant, de frappant, d'absolument immanquable n'aurait plus su defaire les noeuds de la tete de vos zinzins de presidents, quand nos deux corps installes alors cote a cote se sont mis a vibrer, comm tous deux morts et revues litteraire a sensation, se regardant au seuil letale de la decision concluante, a ce stade decisive ou, je le redis tant c'est bon, c'est hilarant, c'est fou, c'est sordide, torride, c'est macabre et tellement ironiq avec ca, ...
    _QU'est-ce qu' vous foutez avec c't'estrade ?
    _Je cherche a recreer une ambiance, je cherche toujours a recreer des ambiances favorables a la proliferation de l'image en fuite, celle qui a enfante instantanement les emotions d'onirism extreme si propre a creer lvi-meme les ambiances favorables a la proliferation des images perennes qui font le bonheur propre et les plateaux tele de meme ~ Quand nos deux donc yeux clos ouvraient nos deux donc yeux fermes et que j'avais perdu conscience tout en m'en rendant compte et qu'en en prenant conscience je l'ai retrouvee, la, gisant, comm une blague seche qui ne demandait qu'a etre contee pour reprendre forme et faire rire de nouveau, a ce moment decisif ou ceci s'est passe comm un present venu d'ailleurs, et qui d'ailleurs venait en effet de nulle part, eh bien je n'ai rien fait, rien maitrise, je n'ai rien pu faire non plus pour l'eviter, ni pour levitant redescendre de cette fichue estrade ~ bon dieu vous allez pas me donner un coup de main non ? ~ j'etais tout bonnement sorti du cadre, et j'en restai comm deux foutus ronds de flanc !~ Comm vos zinzins de presidents, ouI! ~ Parfaitement, ni plvs, ni moins. Du moins pas le temps que j'envoyai cette idee chasser mon esprit dans les grandes lacunes de jungle en esperant en tirer quelq profitable benefice intellectualise... Mais rien !~ Et le resultat !~ Si ce danger, desastreux soit-il a songer, que je n'y comprenne rien moi-meme doit vous faire savoir ce resultat !~ et comm apprendre a le dire de cette facon, !~ ponctuee !~ exclamee !~ clamee, et meme peut-etre suivie de ses mille petits salopards de points suspendus .......ce resultat !~ qui est qu'on ne sait pas une seule foutue seconde et j'en profite pour placer autant que possible le mot-clef, mot-valise, mot-escape Foutue autant de fois qu'on l'est maintenant qu'il n'y a plus nulle part de cardinaux pour pointer ddes levants et les voir derouler sur tout le long de nos jours les deplacements  d'aiguilles ou d'anguilles suivant ceux des ombres qui m'etaient si cheres a voir danser d'un bout a l'autre de mon salon de jardin suspendu de Terre, ce resultat est qu'il eut ete mieux, bien preferable que l'on me laisse seulement le temps dde rassembler mes esprits autour de mon corps, le temps que j'en fasse le deuil n'aurait aucunement change quoi que ce fut, le resultat c'est que je m'en evanouis tout bonnement. Je ne me souviens pour ainsi dire plus de rien, et je n'avais deja rien avec moi qui me permit un tant soit peu de reiterer l'experience. Il y avait ce bouton, il y a eu cette vibration, il y aurait eu autre chose si l'operation n'avait pas fonctionne, il y a eu ce quelq chose, et qui a instantanement disparu du cours de l'histoire a l'instant meme ou ca a derape, ou fonctionne  !~ Tout s'est mis en mouvement, et com si de rien n'etait, j'avais reussi a faire deraper les discontinuites de temps ~!
    _Faites ce que vous voulez ce soir, mais vous n'irez surement pas aller raconter ca sur mon plateau tele. Les gens vont deprimer.
    Moi je vous le dis, je vous mets en garde :) les gens parlent, ils entendent dire des trucs, il ne se passe pas un jour qu'il se passe quoi que ce soit, ils ont encor peur de la mort vous savez, et au train ou on va, on arrivera au point dde butee avant d'avoir dit ouf, ou meme avoir seulement compris de quoi il fallait s'inquieter. Moi je vous dis ca : il faut leur dire qu'on a trouve !~ Au moins lla question...
    _Vous savez cher Stepahe, vous avez une chance immense. Passe le fait que vous soyez la a rien branler, a m'ecouter parler alors que ca fait une heure que je vous demande de me filer un coup de main pour descendre cette fichue estrade, vous avez surtout pas grand chose a voir avec l'experience mystiq de l'Homm-qui-s'envoie-en -l'air (quoi que ca, j'ai entendu que vous ne vous en lassez pas) En fait vous n'avez aucune responsabilite. Vous tirez bien les lauriers de toutes les nouvelles prouesses accomplies par les nouvelles ecoles, et vous avez surtout une chance enorme : de nous deux vous avez la plvs grande. ( ... ) Vous  nourrissez le mythe. C'est ce qui fait de vous ce que vous etes, et qu'on vous ressent en communion  alors qu'a moi on me cherche      les recettes a voler. Je m'en remets quant a moi toujours vous le savez aux yeux grand ouverts de la mystiq scientifiq pour ce qui est de m'emporter a une espece de satisfaction compensatoirre et qui quasi-organiq dont vous semblez, vous ne pas manque de trouver partout, dans toutes les breves que vous entreprenz. La gloire, cette fleur vitale, mon seul avantage et il devrait ne pas durer beaucoup plvs longtemps que vous tous si on va comm je le crois s'ecraser tous ensemble la ville envoyee en l'air dans un mur quantiq hautement irreversible, c'est peut-etre d'etrele seul immortel de cette foutue barraque, et ca, on me le reproche. Mais dans ce que j'eprouve de plvs fort, savez vous que ce n'est pas du tout la gloire comm la votre  s'exprime en un incoryable sentiment de superiorite, et que lorsq, enfin seul, emmitouffle dans les dedalles traces de la steppe blanche d'un laboratoire hermetiq, je ressens de nouveau cette etrange sensation, que quelq trame entrangement etanche s'epanche attachee a la tranche entachee des taches de mes souvenances e bocal infructueux de cette autre desillusion qui fut, la est toute mon histoire, a la naissance de Rachel, qu'on me l'enlevit !~ immediatement !~ PAs un instant avec elle., je l'avais creee, et on me l'a otee. Comm le plvs beau moment de ma vie m'aura ete arrache des avenirs, comm le potentiel a rever m'a ete triture de la vie pour profiter a tous. Moi un seul instant avec elle, ca a ete le moteur de mon plvs grand projet, devenir immortel. Mais que sert-ellee en fait maintenant ? PErsonne d'autre n'a entrevu en elle le grand souffle qu'a moi elle m'a donne (..) Mais je pense a cette relation etrange qui vous lie et privilegiee qui vous lie a nos habitant, ces vrais homm-la, tout le monde est a vos bottes. C'est exactement la relation que j'ai eue avec Rachel. Rachel m'a copie, elle m'a scrute, et elle a reproduit l'image qu'elle a vu dans mes yeux. Quand on etait encor sur Terre et que animiez votre emission en invitant mes grands confreres tous plvs inquiets que moi a expliquer au monde qu'il devait considerer comm normal le fait de ne rien piger de \tout ce qu'on etait en train de raconter de prophetiq, ditez-moi voir un peu, quelle extase est la votre maintenant ? A Rachel si je la revois un jour maintenant qu'elle est entre leurs mains je lvi dirai "Tu crois vraiment que tu opeux tout me voler ? T'as rien compris ma pauv' fille". Et maintenant qu'on est tous dans le mmee bateau qui va se foutre en l'air au leiu de s'y envoyer comm on l'(it initialement desire. A la surface de cette bulle qui tour a tour vous a fait dire autant d'aneries qu'il serait impossible d'en trouver sur toute la source d'une lumiere noire, toujours la a la pkace ou on vous atten, hein, mon vieux ? Des mille facons qu'uil est possible vous me tirez les vers du nez, j'ai beau etre le maitre, vous en revanche avez sur moi cet avantage impensable, inoui, incense si je vais par la, de vous faire celvi de la matiere qui reagit au contact de l'instinct humain. Notre condition de vie est a votre image. Cette gluante matiere que vous alimentez, et qui vous alimente en retour, de fusible, et qui m'a rendu amorphe un moment, impotent quelq secondes, c'est celle-la exactement, un source, et qui me rend impuissant devant ce qui nous regarde. (...) Je repense a Rachel. Qu'elle avait fiere allure entre mes bras, venant d'etre concue elle avait cet air etrange, une sorte de regret qui grandit des qu'on me l'enleva. Tu regrettes, hein. Ce desir secret entretenu et qui t'a tant accapare de temps qu'il a cause entre nous le declin, tu regrettes maintenant qu'il est consomme qu'il ne t'apporte plus rien. Attendez laissez-moi donc ca, j'y pressens quelq bonne inspiration. (...) La, ce que j'ai ressenti qui a confondu deux idees en une seule, comm souvent, j'y crois percevoir la clef, l'issue, la reponse, la question elle-mem. Attendez voir cette idee je vous lke dis, vaut que je m'y attarde. Comm son celebre eleve quelq annees plvs tot, qui l'a epuise de sa source nourriciere en mille bonnes ressources toutes plvs troubles doubles trublionnes oubliees et l'a sucee jusq 'a la moelle avant de lvi dire adieu, je suis un dilemne qui vais ce soir me trouver en pleine lumiere a devoir vous expliquer sans que vous m'ecoutiez ou bien aller qui put a l'inverse d'un fruit de la societe pour redonner a son cher terreau d'origine tout le bon dessein d'un cycle qui le continue. Et qu fur et a mesure que je parlerai vous vous endormirez et lkes cameras braquees sur moi alors pour qu'on ne remarque pas que vous bequez, j'aurai alors tout loisir de vous faire faire l'experience de cette metamorphose metaphoriq que je nomm volontier des cet instant de grace, comm une supplication. Juste le temps de savoir ce aqu'on ne sait pas encor, si les enfants de la nouvelle ecole par exemple, par leur regeneration seront vbien les miracles attendus au tournant des sagesses, ou juste les mirages de dont a sont a redouter les derapages.
    _Personnelement je bulle sur une surface tres optimist. Pour ce qui est de maintenir a la verticale cette ville enmvoyee en l'air ca a ete un succes alors,: de quoi s'inquieter ? Nous ne nous sommes pas donnes les memes objectifsvous et moi, mais vous savez que nos objectifs sont a l'vn comm a l'autre diriges par cedessein commun et qui n'est qu'entre nos mains. Et enfin quoi, de quoi se plaint-on hein. La vie a deja cesse d'etre la vaste farce qu'elle a ete pendant des millenaires !~ C'ets comm si c'etait gagne deja. Et quand bien meme on perdrait, on n'aurait jamais le temps de s'en rendre compte, allez quoi.
    Sonder le fondu fond du passe de l'etre visite comm on attend, on exige de celvi des auteurs uterus qu'on aime le p lvs, d'etre a la hauteru uterus de nos exigences. 

    Ompale d'Hys ( Debout sur l'estrasde comm annoncant  Les femmes sont folles. :)

    Il y a ce que l'on vit d'Irreel, inconscients.
    Il y a l'instant qui suit, qui plane & toujours inconscients, deconnectes de la realite.
    Il y a l'Apres, toujours deconnectes de la realite, ou la tristesse l'emporte. On dit quon n'en reviendra jamais. 
    Il y a quand on a reconnecte avec la realite, et que tout, immensement, prend de l'implitude. Par contraste, que tout semble fou, et puissament remplit nos esprits de sa force, de sa saine inspiration.
    Quand toutes ces phases n'ont pas le temps de se produire, et que les cycles se croisent, les emoitions lalors, c'est du grands n'importe quoi. C'est ce circuit fou que j'essaie de recreer !~ Que chaq instant soit dote de toutes ces phases, sans attendre qu'elles se produisent dans le fil de la vie si bon conducteur ou l'electricite va et vient sans aqu'on l&y attende. Moi je veux la tendre PARTOUT, vous entendez (il pete un plomb :) PARTOUT !~1 0       

    .

     Le veritable semblant de mutation en temps reel (epilog anticipe a l'Hysterie generale)

    (face camera il recite:)    Je te parle pour lka premiere fois a la deuxieme personne, dans la perspective que tu trouveras un beau jour belle, cette page. Tu ne la connaitras peut-etre jamais cette page, et pourtant tu en connais des bribes deja, des convois contenus des echappes dans les feux de bois qui arrosent quotidiennement tes pieds, des lignes sauves qui se succedent dans les alveoles claires ou les marbres, les granits & les calcaires qui gravitant en se frottant comm des electrons se choquent dans les pulsions cardiaq des envies endemiq animent cette atmosphere qui permet de reproduire chaq instant celvi qui t'a plusieurs fois bousculee. IL est sur les retours des mois, a leur couture enlevee de col leve des monts ou partent parfois tandis qu'elles deviennent reelles les deesses antiq a l'instant d'etre sacrees, des objets de convoitise, qu'ils soient robe, couronne, skeptre, ou bien chaussure, vase, veste, fresq, ou bien tatouage, qu'ils soient ephemeres ou sablier des marqueurs temporels permanents sur les devantures de pierre lourde et immuable des socles au firmanent, des objets qui sont des sujets de preoccupation, des objets qui sont le lieu du mariage inconteste, entre les parois, les facettes lisses et surreelles des glissees et ecoulements liquid du reve dans les pensees, et de leur materialisation solide en tant qu'indices aux vies qu iindexees de doigts choisis et de dates correllees offrent bien au loisir du jour celvi de se sentir, de se faire exister, dans la deuxieme mesure qui en eprouve encor l'aspect, qui en decouvre de doute la realite, bel et bien etendue, fixee, indubitable, et consistante. Car si toutes les femmes c'est avere sont folles, en ce moment c'est toi. C'est celle-la, cette distribution quantiq, l'ultime facon des facondes a faconner, fecondes les heures de la joie et des rires, l'ultime sacre de l'immensite traversee dans l'objet du souvenir qui fait le sujet des longues phrases sans fin, interminable, infinis, et qui les fait meme si perennes qu'elles en sont dedoublees. L'oeil se pose, et decole alors de sa retine superbement assise, la plaine gravie plvs tot et qui remue de nouveau. Les lieux echanges comm des interstice hologrammiq, ignifugiq, impermeable aux vues passives des passants presses, l'extension reelle du reel, l'Irrationnalite concretement habitee, habillee de tombees de nus & qui prend ses forme a celles de ses victoires sur les passes qui se sont a son contact erodes.

    Les Wellis dans tous leurs etats. C'est la, c'en est le seuil letale. Construit suivant la trame du Decameron, l'Hysterie generale se presente en une longue phrase chaq fois qu'elle passe une porte, comm suit :
        Ou tout un chacun ayant apres avoir cherche midi a sa porte et trouve toutes les portes closes indiquant des midi passees, et ou tandis que tous les midis se cherchent et sonnent & que les portes s'ouvrent en grand, silence habite meme les zones les mieux ombragees, l'herbe est plvs verte finalement dans le pre d'a cote, et ou cette herbe si verte paraissait-elle dans un premier temps, n'est finalement que l'exacte repliq de celle d'un autre voisin, oul'on dit n'importe quoi pour changer d'avis sans se mettre en porte a faux, ou les porte-a-faux sont des bases solides a de nouveaux edifices,o rien ne sert de batir si l'on n'etudie pas dans un premier temps les terrains, ou il va encor une fois estre midi et rien ne se sera encor passe.  

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    23 mars 2009 1 23 /03 /mars /2009 08:10

    L'idee etait la suivante : qui ne trouve le temps, le prend trop. Il suffisait de conduire une premisse vers sa fin, en suivre le cours, en suivre du regard, le cours comm une authentiq silhouette evanescente qui quand elle ayant vu le precipice d'un passage dans la houle et la foule, s'est engagee et captant a present la lumiere qu'une audience elle, captive et retient ainsi durablement non, mais la courte duree d'une presence manifeste prisonniere ou attentive, fait ces pas incroyablement marteles comm si chacun comptait, dans la faible hauteur d'eau alors donnee a ses pieds las. L'idee avait ayant ete trouvee plvs mince d'abord qu'autoritaire ou vindicative, puis plvs constante qu'elle n'avait dans un premier temps pu donner a voir de son etat de chose perenne, durable, permanente voire eternelle, pris la mesure d'un parti plat des vides faits sur l'instant pour en laisser s'echapper l'immense fluide, epais, abondamment surgi. Les lieux s'impregnent, ils resistent, et ils restent. En l'etat, quelq chose d'eux. Qui court dans le temps, poursuit d'evoluer, a l'esprit parallelement, de facon parfois mais rarement - heureusement rarement - identiq, pour peu a peu dissembler tellement l'ordre bati d'une premiere apparition, qu'il en est dit sur le tard : quelle metamophose opere qui remue l'acces du temps. Des deux pourtant nulle ne differe tant de ce que l'image nette d'une photo a pu precedemment en saisir qui divergeait au point de ne correspondre, vraiment, a rien. On voudrait en parler, y revenir, en revoir, au detour d'une autre impulsion, dans la merveille d'une chose neuve qui attire les pas proche, c'est le moment ou jamais, et justement, jamais on n'y cede, ca reste une sorte d'envie sans declaration veritable, on croit meme apres coup l'avoir voulu eternellement variable. On ne saura pas a quel point, et tant mieux. L'eternite d'une rose - text de samedi peu avant l'aube. A boire comm une chanson : "elle est abus" la rose éternelle, en prose, charnelle avec buvard, étanche aux abrevoirs, qui penche dès qu'on l'asseoit, sa soie, son fin drapé de couleurs soir, qui tombe lentement, et glisse érotiquement entre ses cuisses jusq 'au nu de son ciel éclose, ouvert, vert ou étincelles du pétale - elle est abus.

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    23 mars 2009 1 23 /03 /mars /2009 06:32

    Parce qu'il est des choses qui ne peuvent etre trouvees, belles, qu'en y fouinant un peu plvs que ce que veut bien donner a voir la normale, je dois mon retour a l'anormal (recyclage) L'achat fondeur de besoin. Les chats frodeurs L'echaffaudeur de sons. Le chauffeur de sales MA TO DO LIST

    MOUILLER LE MAILLOT PRENDRE L'EAU RESSERRER L'ETAU RINCER L'OEIL IMPREGNER L'ATMOSPHERE CAPTER LA LUMIERE CAPTIVER L'AUDIENC MORDRE LA POUSSIERE PRENDE LE PARTI MARQUER LE COUP JOUER LES PROLONGATIONS BATTRE LA MESURE METTRE LES VOILES AMUSER LA GALERIE FRAPPER LES ESPRITS TROUVER LE TEMPS EMBRASSER LE SORT CACHER LA VUE SAUTER LE PAS PRENDRE LES DEVANTS ENCHAINER LES HISTOIRES GOBER LES HISTOIRES (jusq') A DORMIR DEBOUT DONNER LE TON PRENDRE LA TEMPERATURE SAISIR L'INSTANT CREER L'EVENEMENT et EMBOITER LE PAS

    Charlotte, Hasna et Quentin (chaque goutte de plvs est une goutte de moins) Hasna disait inlassablement a Charlotte, elle le lvi repetait que Quentin ne vivrait pas vieux, qui si elle voulait qu'il vive vieux, il n'y avait pas mille possibilites, Il leur fallait partir.

    Chamade et conciliation florale (ikebana)

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    9 janvier 2009 5 09 /01 /janvier /2009 05:41

    J'ai toujours reve de dire ca *rempli de piranhas* [apres avoir bien bouffe]

    Anabstraction jaune epilog reimpressionnist ~ originellement [Anabstraction reimpressionnist], enrichi du jaune epilog qui en est l'interactivite fleuve-elusive.

    Doigts de pieds y compris Et leur plante qui y pousse Bondees- d'aines florissantes au flou litte-rallement "Le don nyctalope (...) _Delon, nyctalope. _Non-non ; "le don nyctalope" ; concourt a traverser la nuit ; de part en part comm un prix, le ventre plein. (3 jours avec Gemma)

    I. Definitions. Reimpressionnism. L'impression d'abord forte comm un flocage a la toile, a meme la toile qui l'a s'empreignant entierement de l'image du bocage de la paume bue et absorbee pour en contenir sujete aux expressions les plvs communes d'un rire pris comm une chambre pour la nuit au beau milieu des oeuvres apparues soudain rehaussees qui a present en amenuisent par contraste l'effet ressenti, et l'intuition dans l'autre main plvs grande qui y d'abord avait ete comm un monde, presentie, a present se redore le blason familial d'un ecusson taille thermocollant dans le tissu primaire d'un moment consacre, recouvre ainsi debordee de part et d'autre par une surlongueur volontairement exageree de la maille sur la texture paille de son support voue, avoue qui y excele et en prend la teneur pour mettre sur la hauteur d'un leger sur-niveau qu'on appellera relief, hauteur ou piedestal la stature lourde et stable, immuable de son apparition a l'oeil, en tant qu'effet poetiq, plutot qu'en vrai degre plastiq de consistante resistance qu'une toile, d'usage, revet et fait voile s'emporter de poles en poles au gre des vents, ou des souffles de la bouche. Reimpressionnist en est l'intention non exaustive, averee une fois le vent tombe : elle semble tout donner et pourtant elle se retient. Anabstraction : Le corps d'etendues anabolisant s'etant desinhibe bolideem> tant etang mieux plu a pleuvoir averse qu'il avait sans mouiller l'oeil pourtant promis permeable fini par se vider de toute espece de grain qui en eut fait l'epaisseur et en eut l'inconstance deplacee de monts en monts parmi les plaines ou se sillonnent ces abstractions - aux sens meteorologiq et museologiq, de : lyrism exacerbe au sentimentalism a crues, cru et croissant encor - donne soudain tombe avec le vent plvs tot vu pris dans les voiles de l'amour vehicule, phoretiq et veloce, a present que la reimpression ayant opere repere et perd dans le meme temps l'eminence geologiq d'un apport en sediments exogenes qui lvi conferat l'imminence d'une monticule-butte a venir toute potence se voit stabilise dans le temps et dans l'espace offerts a la forme de pose de sa metamorphose sur l'instant d'une apparition qui en contienne l'egard d'un tres, tres faible et tres, tres selectif - semblant d'abord purement aleatoire mais en realite parfaitement choisi* - degre d'intentions autrement nommees posologies ou dosages, compositions qui musicales ou non de la meme maniere que les visages les plvs nets ne sont pas les plvs recents (au contraire), conferent par leur seul alliage uniq, la recette just et adequate qui en retenant dans la relation publiq officialisee par l'apparition de l'abstraction empeche desormais colis bris maries que se meuve neuve ou veuve la toile, superbe colibri. Anabstration reimpressionnist : A l'etat soleil d'oeuf ou on la trouve ainsi immobilisee comm le vent s'etant arrete de battre les toiles et les voiles desormais baissees puisq 'inutiles - et comm on sait par ce qui vient d'etre vu que l'etat est perenne, depourvu des elements disparates qui auraient un temps pu constituer l'ensemble qui dorenavant n'ont plus le moindre role a jouer que dans les ressorts d'un ane-imaginaire qui se voudra debordant aborder les toiles avoisinantes ou n'importe quelle plage de l'esprit trouvee conquise ou nouvellement debordees des etats physiq ou se trouvent les echanges verbaux au moment ou on les attend le moins, remplis d'intentions, parfois tres extrapolees - l'extravagante gestuelle de ce qui vient de devenir - par definition -une statue et - par destination - l'exacte acte charnel d'une femm emise, se voit singularisee concretement des-abstractisee, c'est a dire chauffee de toutes parts par les reliefs insenses d'une catastrophe devinee a deux doigts, latente et percue passee, comm un authentiq oui desastre qui serait courants de fleuve-evenement attises, reimpressionnist de ce que le moment voulu ici ainsi saisi soit sans antecedent, et sans suite. Un arret de la forme, pour simplifier, qui ne contienne ni l'elan ni l'ours a bois d'une action anterieure, ni l'effet de quelq avenir possible. Aujourd'hvi encor, j'ai seche la chasse.

    Et si le corps tout entier se tenait dans la main, semble dire ou le vouloir cette formule qui se veut d'elle-meme par le choix des couleurs pores et la destination propres des traits magiq, et dans une certaine phrase prendre l'echo repos d'une poetiq en prose integrale, qui repond entierement intervalle a la question qui elle, ayant battu a la vitesse remarquable propre aux oiseaux-mouches ses ailes suffisamment longtemps dans la tempete qui vient de s'arreter se repose ebranle enfin un bonheur et demi amassee sur les branches d'un bateau a deux queues borde de souches d'arbres couches comm les epaisseurs flores accouchant epuisees d'une profonde nuit poussee a l'extreme par les pieds du gigantism qu'une seule graine qu'on aura pris soin de plvs longuement auparavant masser fit germer, croitre et se repandre en corps d'Iliere. A la tour comm une taille annamitiq.

    *le choix des ingredients comm dans la cuisine des couleurs le vent souffle et puis en retombe, n'a en effet d'effets rien d'une tres ponctuelle approximation sensible propre aux pores passageres ou de quelq remue-main non conducteur et non respirant inspiree par le hasard des choses communes modernes et cycliq, anodines, mais repose bien sur une recette ecrite mythiq et antologiq comm se sera inspiree d'un ideal defini, approche et longuement reflexchi, - le plvs beau des tableaux n'etant pour moi pas celvi qui me parle instantanement, mais celvi qui n'aura de cesse par coeur apres que je l'aurais enfin compris, sinon de m'apprendre quelq chose, me faire revivre l'instant beni ou il s'est comm la beaute feminine a mes yeux revele - abouti et epure de toutes formes saillantes inadequates ou incompatibles, construite sur le moment decisif d'une transformation qui, on le verra par la suite, lointain antan repose elle-meme sur le sentiment pris comm premisse a la presente interruptg>ion nyctalope, voguait d'incertitudes et de suspense entre la possible extinction des feux singuliers de l'amour vecu vaincu le ventre a terre qui en eclairent l'evenement, et un improbable redemarrage, une tres donc impossible reaffectation des site et action dans le flux qui aurait pu, plutot que creer l'anabstraction reimpressionnist, preferer voir croitre d'un elan cette fois inoffensif de hasard, puisq purement voue a se retrouver au meme point de divergence qui pose de nouveau les fondamentaux -peut-etre identiquement, on s'en fout - d'une separation, irruptive et eructee, pour coexister avec l'intention qui s'en cree, et l'invention dont elle sur-erectile et incroyable folie vient. Epilog. L'anabstraction jaune reimpressionnist est par definition anterieure. On dit qu'elle suit. Il suffit de le dire pour que ce soit vrai : "Il n'y a rien eu, et il n'y aura rien". Le jaune pour preuve, l'anabstraction seule, elle-meme, pour illustration - au sens de manifestation. Le contraire n'est pas vrai [even if i was not to tame you...]. Comm figure dressee et enrobee cette mention en marge, comm une annotation ou le trait de caractere le plvs a cette stabilite ephemere de l'instant, probant de ce qui veut dans ce cas bien precis a l'etude donner le ton buste juste et nuts teintes, de ce qui nous regarde et ne regarde que dans cette direction qui est alors la notre : celle qui est choisie, choyee et qui chue se fichant de s'enticher de fetiches, dit qu'il suffit de ne pas le dire pour que l'interactivite, elle, soit. Un jaune lumiere artificielle ronde, nocturne et epilog comm l'anticipation ulterieure, et donc le constat fatalist d'un postulat jamais pose, encor en cours de cuisinement comm un edifice qu'on pense, avant-projet ou avant-propos, de ce qui vient de se produire qui vient aussi de produire la matiere a reflexion immediate pour, entre elle et ce qui la regarde profiter de l'etude pour agiter la seconde de ce qui nous fera referent reagir : le moteur meme, donc, pour simplifier cette derniere phrase magnetiq a tiroirs semantiq contraires que je ne veux pas prendre le temps de simplifier mais prefere laisser telle quelle, en l'etat de jet d'oeils, de l'interactivite qui vient de se de facto former deformee qui propose de variantes un nombre aussi indefini qu'il peut etre d'occurences signifiees a son evaluation a la lumiere du bonjour-tres-tot qui l'a vue naitre.

    II.Applications.

    Toutes ou presq se trouvent deja dans la definition. L'application au mur de cette concretion instantanee comm on pourrait aussi prendre l'habitude de la titrer puisq'elle n'a on l'a vu rien d'un choix arbitraire qui repondrait de la contrainte et des opportunites, mais au contraire se voit offrir l'etendue etendard d'un si vaste pannel de positions qu'il en est difficile de s'en approprier la cause just, et, a tout le moins, le choix l'ayant creee comm on la trouve ainsi finie et a l'etat indefiniment attendu stabilisee - coincee pourrait-on dire - entre deux moments definis inexistants, s'appliq, elle-meme, deja, a apposer a chacune de ses situations prises aux sens geographiq et cinematographiq, de motrices et actionnees, a tour de role ou - parfois, aux parois - simultanement, une tres faible lame d'air, qui tienne la distance fixee avec exactitude a la laquelle se separent a une circonstance donnee febrile ou matiere a plvs, comm le corps et l'esprit ou l'ame et la semelle, le pied et le sol, la tete et les epaules, les nuages et les tours, le support et son contenu. Au sens de soutien, et de gorges, au sens de l'ecuelle, un liquid, la facon que les veines caverneuses, sinueuses, parfois enfouies dans les epaisseurs thermiq d'une abondante eminence geologiq qu'on pourra voir interpretee comm le feu terrestre, la vie a sa source, la force geothermiq qui emane de l'action naturelle irreprochable que s'efforcent de commettre cometes les unes contre les autres chacune des plaq artificiellement glissantes des esplanades ou nous nous situons au moment d'en contempler le coup d'oeil jete de la grace gestuelle et l'imminence morale et deficiente d'une immensite mue, attendue, impatiemment meme trepignee d'intentions jubilatoires, vibrantes comm elles ayant ete annoncees promettent de procurer le plvs grand effet sensationnel jamais eprouve, prouve que les lacets qui se forment comm des cavites creusees ainsi s'en seraient fait l'echo planetaire et la seule empreinte visuelle durable q'il soit donne de pour tout constat decouvrir intacte et indemne, impeccable et intouchee, comm a l'heure donc de son evenement ou s'etant produit il a cree la situation originelle, cause, anteriorite et passif, d'un part, mais aussi latence, imminence, et projection portee de ce qui s'ensuit, d'irrationnel comm une boucle immobilement fixee entre ces deux etats deconstruits, anamorphiq, intemporels, et par association, anachroniq.

    III.Heritage. La fin et le debut concourent. "Le grand concours des circonstances." pour premisses encor curieuses et inconscientes de cette suite pour tour. Par extension, comm on l'a vu, l'opposition qui repose sur la construction et sa contradiction, d'une plage plane du temps continu qui sache coexister avec les passes courants et les avenirs pluriels, appose aux supports meme de l'intention plastiq a exister et a durcie durer, leur ego geologiq et leurs sentiers d'emersion murales - puisq la montee d'un authentiq escalier horizontal ou Figurera l'effort fait non mais le succes de l'entreprise ( comm longuement attendu - et la bouche une facade - un nouveau portrait dans la genealogie familiale ou presumee resumee residante l'universelle affirmation aventuriere d'une reservation comm une place au chaud, se tenait prete a la cueillir) permet de pousser un peu fort en un premier temps - boucle de chauffe - le jeu des infractions et leur diffractions temporelles contenues dans le carre observe pour titrer identiquement Anabstraction jaune epilog reimpressionnist a peu pres toutes les voiles avoisinnantes et meme, si on va par la, des que le vent se releve de ses fonctions de mise primaires ici interrompues et mises en stand by, recouvrees, toutes ou presq les situations qui pourraient produire identiquement ou non la presente construction d'un text surrrealist d'apres le seul instinct d'un instant choisi mur et goutu. Un instant bien fait, dira-t-on ~ [c'est comm dire anapiem finalement], j'ajouterai.

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    30 décembre 2008 2 30 /12 /décembre /2008 12:05

    Le Grand coming out du Soleil en eaux peu profondes.


    C'est une traduction (comme une autre) du titre Asase de hi no de.

    J'avais deja ecrit un article qui parlait d'Asase, les eaux peu profondes.

    J'y reviens comme semble aussi devoir ce matin tardif d'hiver, le soleil, lui-meme, et le texte qui m'est venu comme perle avec lui.

     

    HAIKU

    Kono natsu wo

    Tsuma ete

    ie ni Piano naru


    Surprenant ? Non, pas pour un sous.
    Le piano se joue, cet ete, le mien
    C'est uen femme qui en joue,
    puisque me voici marie !  ~~~ Takashi MATSUMOTO

     

    Hi no sakari : en plein soleil

    Hi no sakari

    Furansu demo

    ni hato no koi



    Surprenant ? Toujours pas. meme pour deux sous cette fois.

    Pigeons amoureux,
    En France
    En plein soleil
    Beau jour de greve ! ~~ Seegan MABESOONE






    Bien plus surprenant :
    Ikebana, Akihabara (feuilles jaunes de l'automne, un quartier de Tokyo),
    Ohanabi.


    Chichi no hi 
    no Sagi no tamagowa
    te ni aoshi.

    Contemplant un oeuf 
    La main ridee
    C'est la Fete des Peres !

    ~~ Yuryû SÔBA
     


    NATSU YUUBE, Crepuscule d'ete.

    Je n'ai jamais pretendu
    pouvoir quelque chose pour vous.
    Mais contre vous je peux.

    Oki machi
    no fune ni hi no iru
    Natsu yuube.

    Vogue la lanterne, du bateau reste au large. Long crepuscule d'ete. ~~
    Kôichi TANO 


    Ohanabi :
    oui, feux d'artifices se dit en japonais Ciel en Fleurs,
    et non fleurs du ciel.


    C'est toujours difficile de choisir parmi tes sumi~e, Andalouse :



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    17 décembre 2008 3 17 /12 /décembre /2008 08:58
    Extrait : Vous vous demandez "pourquoi je ferais ca" ? Mais c'est trop cooOool ~


    Que faire d'intelligent lorsqu'on est deja mort de rire et que l'on a (d'intelligent) :
    - du temps a tuer, sous la forme physique d'une espece de montre dont on se fout comme de l'an 2, voire carrement de l'an 4 ~ mais pas trop quand meme sinon apres on pourait aussi bien la jeter a la poubelle ou la mettre directement dans la bouteille de lait, et tuer ainsi l'effet que l'on veut produire, a savoir : tuer le temps.
    - un extincteur a portee de main, soit une sorte de double-croche-croche noire a l'envers, peinte a la main.
    - une bouteille de lait.
    - un "papier" (tout ce qu'il y a de plus basique, pas un papier particulier, ou un bout de papier quelconque, mais un "papier"-donc quelconque> Oui, un billet de 5oo euros peut tres bien faire l'affaire (qui a demande ca ?)
    - des allumettes,
    - et un oeuf dur comestible.

    Vous vous le demandez ? Moi aussi, je me le suis demande de nombreuses fois jusqu'a voir cette fantastique video sur U-tube que m'a envoye comme un lien Andalouse-a-l'honneur-tous-les-jours, hier. Soir. Tard. A se demander ce qu'on fait a cette heure, (avais-tu un extincteur au moins ?)

    Alors voici : Prenez la montre. Montrez-la a la camera, qui tourne sans discontinuer (sans quoi ca ne sert pour oainsi dire a personne voire carrement a rien.)
    Placer ladite double-croche-croche noire peinte a la main dans le cadran de la montre dont vous aviez rien a faire (pour tuer le temps, ca devrait deja bien fonctionner , le temps d'ouvrir le cadran, de peindre vos doubls-croche-croche noires ...) Voila.
    La camera tourne toujours ? Parfait.
    La montre que vous presentez a la camera prend la forme d'une double-croche-croche noire, comme elle aurait pris la forme d'un agneau rouge si vous y aviez depose avec la meme precautoion et le meme talent un agneau que vous auriez aussi peint, en rouge.
    Buvez du lait. Comme si vous aviez soif, allez-y, c'est du bon. Demi-ecreme, c'est parfait. Meme entier, je m'en fous, mais buvez. Otez la montre de devant la camera : on voit que le niveau du lait a baisse, mais on ne sait pas pourquoi car c'etait cache par la montre en forme de double-croche-croche noire.
    Bien.
    Buvez encore. Tout le monde comprend maintenant : genial, vous venez de creer un premier effet du tres-celebre Tin-Diiiin qui fait rire les enfants. Mais eloignez les enfants de U-tube. Pour un tas de bonnes raisons il faut, c'est mieux.
    Enfin c'est pas moi qui suis papa, vous devez donc savoir mieux que moi pourquoi.

    Ensuite, et ca devient interessant, allumez une allumette, et aussitot prenez l'oeuf dur : vou vous brulez les doigts, tres bien.
    Deposez tout devant la camera et buvez du lait.
    Enlever tout de devant la camera : le niveau a baisse. Tin-diiin. On a compris, ne buvez pas.

    Reprenez l'oeuf dur. Il est toujours comestible. Vous etes plus malin, vous allez cette fois allumer l'allumette en gardant l'oeuf dur dans la bouche, de sorte que tous vos doigts vous servent et qu'aucun ne se fasse le complice d'une malencontreuse experience qu'autant que possible vous souhaitez eviter de reiterer. Comme je vous comprends. Allumez. Buvez. Cachez la camera, posez l'oeuf et demandez-vous a quoi sert ce papier. Oui, il est trempe. Otez c que vous aviez mis devant la camera : c'est le boxon.
    Normal. L'oeuf qui se trouvait entre vos dents de devant, a l'entree-meme de votre bouche maintenue de fait dans la forme d'une tres belle bouche de poisson rouge-ou-noir, a bloque le passage du lait que vous souhaitiez y introduire pour boire. L'air chaud qui a circule, a circule avec l'air froid, un peu partout autour de vous : c'est les courants.
    De la, et meme sans ca evidemment, s vous aviez ete dans un four monte a temperature, a peu de differences pres c'etait pareil, sauf que vous grilliez. La, donc, avec tout cet air chaud, cet air froid, et cet oeuf ~ surtout donc ~ le lait passant dans le goulot de la bouteille, a ete arrete, mais la forme de l'oeuf ne comblant pas parfaitement ce trou, le lait a forme des filets et s'est echappe ~ a couru on dit aussi ~ le long d'abord dudit oeuf, puis le long de votre menton et jusque sur la table. Le "papier" qui etait la, le billet e 5oo euros si vous avez choisi ca, a ete trempe. L'experience est ce qu'on appelle assez communement "foireuse".Bien essayons autre chose.

    Cette fois buvez tout le reste du lait. Bien.
    La bouteille est vide, et il faut la secher. Balancez-y un papier en feu (enflamme avec une allumette), ce n'est pas ma faute si vous avez choisi le billet de 5oo euros, j'avais dit n'importe quel "papier". Et immediatement apres mettez l'oeuf dur sur le goulot de la bouteille. Bien sur, il n'y aplus d'air dans la bouteille, donc le feu s'eteint quasi immediatement. (En plus il restait du lait, alors bon~)
    La, chut ! La camera s'arrete. Premier effet.
    Tiii diiiin (un cri de joie) : l'oeuf a ete "gobe" dans la bouteille. C'est le deuxieme effet, dit "effet-surprise". L'effet "surprise" est pour vous l'expliquer tres simplement, un effet lifte sur les bords de l'oeuf, qui, dur, dure depuis longtemps et en a bien besoin. Il consiste en une espece de glorieuse aspiration-cussion-crucifixion-en-rouge-et-noir du bord de l'oeuf dur, vers l'interieur de la bouteille, du fait d'une espece d'apparition de la sucette thermique des temps, laquelle n'est rien de moins que le circuit, du dedans vers le dehors, que suit l'air chaud, resultat d'une consummation du papier dans la bouteille, l'etroitesse du goulot que plus tot vous aviez enfourne dans ce que vous aviez cru etre le debut de l'entree du bord debout de votre bouche, et qui etait en fait l'oeuf, permettant donc, cette etroitesse qui avait permis au lait de vous degouliner aethetiquement et par amour des chutes, le long du menton et de tremper votre billet, permettant cette fois que l'air chaud s'echappant de la bouteille ne se frotte pas langoureusement a l'air froid entrant comme il se produit la nuit tard entre les Y et les EN devant les entrees des boites de nuit, entre Ceux qui y entrent et Ceux qui en sortent (les Ceux etant les Y et les EN eux-memes, les Y entrant et les En sortant, ou bien le contraire selon la translucidite du verre, j'En sais plus rien ca fait un bail que j'Y ai pas foutu les pieds.) mais passe, seulement, de maniere indifferente et de maniere a ce que simultanement a la fin d'un film chiant sur Arte qui annonce le debut d'un autre que vous avez tout a coup aussi envie de regarder jusqu'au bout ~, simultanement aussi a l'annonce par un ami a vous, de la replique hilarante qu'il vient de voir sur un autre flux de U-tube, et encore simultanement a tout un tas d'autres qui pourraient etre super fandards a faire : l'air froid penetre dans la bouteille et par ce fait, du fait de son poids superieur a celui sortant (parce que comme en boite de nuit, les plus gros entrent plus tard, blindes, mais blindes-de-chez-blindes-trop-de-before-ca-devient-trop-dur-d'aller-en-boite-finalemant-mais-bon-on-avait-dit-qu'on-y-allait-allez-debout) tirent, en se frictionnant a lui, l'oeuf condescendant, l'oeuf conciliant et ennuye pa tout ce qui precede et donc pret a foncer sur n'importe quel truc un tant soit peu marrant a faire et donc : plonge ! dans la bouteille. Ploung. Si ca ne fait pas Ploung, recommencez. Autant de fois que possible. D'ailleurs la question n'est pas de savoir si c'est trop long ou pas assez court. Le truc est drole, et que c'est drole ca ne compte pas, donc recommencez autant de fois que necessaire jusqu'a ce que ca cesse d'etre drole.
    Ou bien regallez-vous avec cette video ~ Franchement il est pas tres marrant le type, il aurait pu faire un million d'autres trucs riglos avec ces ingredients (genre un oeuf en feu pour Paques, ou un personnage a tete d'oeuf flanque de nombreuses-ou-douze petites allumettes partout autour faisant office de nombreuses-ou-douze petites allumettes. Ou encore : tout gober. Le billet de 5oo euros, puis le papier, puis le lait, puis la boite d'allumettes, mais l'oeuf, le laisser tourner. Aussi longtemps que la camera. Comme Pollux et Zebulon.

    Oeuf dans la bouteille sur U-tube, extrait de DoView (Allez vous faire voir)
    Extrait : Vous vous demandez "pourquoi je ferais ca" ? Mais c'est trop cooOool ~

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