La liste en question s’etendrait meme pour lutter contre mes forces unies a prendre possession d'eux, a une impressionnante armada de 288 puis de 444, qui n’etaient rien d’autre que les fameux, tres-fameux, audacieux, ambitieux, tragiques et tyraniques Inattachables, que je m’attacherais encore a decortiquer jusqu'a recemmment, et qui me colleraient encore aux levres comme un mauvais dessert, et aux idees de passage en transit ~ intestinal !, bucal !, gastrique ! ~ sans jamais s’en defaire ensuite, ni jamais pour autant se laisser faire aux moules que je leur preparais tout specialement a chaque fois. A chaque fois parce qu'en effet nombreuses furent mes attaques et mes tentatives a trouver nouvelle strategie d'approche. Mais quelle qu'ait ete la place aux choses, a chaque fois, elle ne leur convenait pas, leur sens devenait dense, leurs multiples sens, rotatifs, linguistiques, phoniques, se rencontaient, allaient et venaient d'un monde des sens a l'autres, senstionnels, sensitifs, Many-Nonsenses, Sens Interdits, Wrong Ways et autres crapules a ailes qui me devoraient le dedans de l'ame a grand coup de reve teintes du gris bleute de nuees de libellules. Eux gesticulaient, remuaient sans cesse, prenaient leur forme, inadaptables a rien, et en changeaient, se changeaient en autre chose deja, depuis plus d’une semaine que je compterais plus tard parmi les plus horribles de mon existence, tellement j’en dormais peu, et tellement j’en souffrais !, qu’ils me hantent, encore-parfois, avec autant de haine et de cette hargne propres a eux, que je finis par croire qu'il n'est pas sain pour moi de vouloir continuer encore croire pouvoir jamais avoir vraiment le devoir de les enclaver dans un cercle d'intimite. Je me donnais pleinement et sans treve, ou presque, a leur elaboration, leur fixation, cesdites tentatives vaines, tout en continuant d’en etendre peu a peu la liste. Tous ces mots inanimes en apparence, avec les ambivalentes idees qu’ils suggeraient dns leur seul ennonce, tout en se deployant sur plusieurs champs grammaticaux et sentimentaux, jusqu’a la tromperie la plus grottesque et cependant, imperceptiblement, minutieux, fins, subtils, chtits, tous ces mots je le dis, avaient atteint a mon esprit un degre de mouvance si ostensible, et si sensible – c’etait de tout le moins le cas de plus de deux-cents d’entre eux – et si-tellement-trop vague pour que je m'attache a un travail en profondeur sur chacun en particulier, que je m’attachais pourtant a leur accord, immanquablement et sans rien pouvoir y faire qui m'en defasse, m'attachant aussi alors a leurs raccords trop nombreux, marchant par bande, noyes dans les cercles, confondus les uns dans les autres par leur seules racines communes, de ces combinaisons !, infinies, diaboliques, conspiratrices !, qu'ils laissaient supposer, de plus en plus et a mesure que je les voyais prendre leur ampleur de bande des qu'ils s'associaient, et de presque assez insinueux pour que je croie propres a conspirations, etre dotes de science et de conscience ! Constipes meme, le matin, la nuit, brides atant il me hantaient maintenant meme a ce dejeuner, a un tel point que je crus devenir fou !, croyez-moi. Perdant leur sens, fluctuant, divaguant, mutant, muant, rageant, pestiferant contre ses congeneres, s’alliant des mains les uns aux autres en elevant une sorte de vague reguliere, revolutive, revolving, evolutive, revolutionnaire, rotative tout de qu’il y a de plus hallucinatoire et d'etourdissant, vaquaient d’une phrase a l’autre et selon leur lecture, a des sens mouvants comme des sables incertains ou je ne mettrais pas plus les pieds maintenant que je n’en ai quitte les terres hostiles, tellement ils m’ont fait voir ce qu’ils avaient de force et de volonte a prendre leurs sens, en oter des idees, y en creer de nouvelles, et y en aller jusqu’a puiser des souvenirs qui m’etaient propres !, et enfouis comme des sarcophages maudits en voie de demysthification, pour m’en imprimer de nouveaux avec le meme realism que celui avec lequel je m'etais d'abord moi-meme decide a l'oubli distordu ~ avec cette meme, ferme, envie de jouer l’Autruche dans le prochain spectacle du Moulin Rouge de Tokyo Disney Sea. Je pensais, avant d’etre desaccorde de ce monde obsessionnel pour en rejoindre un autre, ayant plus recours a l’enchantement visuel, a une phrase d’Andre Breton : "Tout porte à croire qu'il existe un certain point de l'esprit d'où la vie et la mort, le réel et l'imaginaire, le passé et le futur, le communicable et l'incommunicable, le haut et le bas cessent d'être perçus contradictoirement". Pourtant vu d'en bas, me dis-je, les choses tournent dans le sens inverse. Sens diabolique. Avant je n'etais que moyennement mystique, depuis ce jour je suis revenu de mes premieres mauvaises pensees atheistes, pour confondre l'une dans l'autre les idees les plus sauvagement protegees qu'il faut se garder penetrer quelques terres de confrontations. Peut-etre devrais-je y reflechir un peu plus a l'avenir. Will think it twice then next after (dark).
Surrealism et experience cosmogonique ~ Et j’etais alors en train de me rendre compte, de facon plus ou moins consciente, et plus ou moins mefiante – arrive a douter de tout, avec toujours a l’esprit mes redoutables craintes des fluctuations conspiratrices des idees comme de ma propre perte de conscience – que c’etait justement ce que j’avais peut-etre touché du doigt, un instant bref, si vite qu'il fut immediatement apres deborde, mon doigt etant trop gros et la coupe deja trop pleine, en allant a la rencontre de l'intouchable abstrait de la poesie phonique, laquelle je le redis, ressort beaucoup plus de fois qu'elle n'entre, confond bien plus efficacement qu'elle enchante ou fonde sur bases ou bien sur plafond, car de dimensions point ! N'existent pour delimiter les passages et definir les contours, nul repere, nul point de chute !, et nulle meme amere notion du sentiment qui existat deja en vrai. Rien de vrai ne pouvait y penetrer quime donnat suffisamment de moi en eux, qui me donnat suffisamment de faces communes pour en faire des paralleles. Et la residait le veritable ruisque de ne plus m'y retrouver, et de plus meme, en revenir intact ~ ce qui ne fut pour commencer, pas le cas. Car j'en suis revenu change, a n'en pas douter, j'y ai non seulement laisse des plumes, mais encore des nenuphares et des libellules, necessaires separations avec ces souvenirs deja empreints de leur mal contagieux, deja verole, deja nourri par la grandissante et foisonnante, propagatrice, frolifique, proliferante, abondante, abandonnee et prolixe, debordante, pullulante et grouillante !, volonte d'une pandemie intellectuelle integrale et entiere, de repandre le virus et me retourner entier vers cette sous-face d'ou tout tourne envers. Et contre tout.
Cette phrase de Breton, je l'avais integree pafaitement, assiilee completement, comprise dans le moibndre detail et je dois a cette seule phrase reductrice, ce condense de l'idee sous-jacente, ce resume reducteur, de n'avoir garde du souvenir de ce voyage initiatique que le doute qui y est evoque sans entrer dans le detail. Breton avait fait, j'en suis a present convaincu, le meme travail troublant de l'esprit, que je viens de vous dire sans en mentionner les verbes et les fondants confondants. Quittant de nouveau le champs visuel de mes obsessions, et parce que le reste s’imposait encore a moi, par nature, je l’ai retrouvee alors : cette section de l’esprit qui derangeait assez le monde trop suave des idees figees ou des idees fixes, pour confondre les contraires intra-uteriens et post-intelligibilites. Cette section ! etait situe au meme niveau derange de mes obsessions pour ces jeunes filles, hors champs d’imagination, hors reputation, ce fosse hors divination, cette focale hors destinaion, cette faille en dehors de toute concentration, le champs de ces mots hors intelligibilisation et ce restaurant hors calcul, puisqu'ouvert de nuit. Juste au niveau des obsessions, ce qui restait encore trop vague, bien trop vague, et m’obsedait pour cette seule raison.Un restaurant ouver de nuit est le meilleur des passages pour trouver le temps ~ de manger en plein sommeil, de nager en pleindelir, de dormir ecarlate, de regagner la cote et la devorer servie chaude en admirant l'accueil que vous fait une serveuse prise en amie ~ c'est a dire dans quel sens, deja ? ...
Je voyais ce fosse qu'il y avait entre ces jolies filles et moi. La suite des evenements me l'a fait constater plus en precision. Un fosse comme je disais plus tot, abyssal. Un gouffre mental, la chute des impressions et de leurs ombres claire-obscures, dont parle plus tard David Tibet inspire par Marlowe ou Stenboch, lui-meme premiere source de Breton sur cette question, se faisait donc la, juste devant moi, a mes pieds, j'etais et je l'ai decouvert non pas grace a l'homme cravate ni meme grace a mes ~ non pas Mes !, mais Les ~ 444 Inattachables, loin s'en faut, mais grace a ce brun persant, pesant et mal pensant, du regard de l'une de ces filles. Un mal pensant qui sans vergogne se devertuait de tout masque, s'en venait au gouffre chercher a quitter son bien etre prenatal pour penetrer l'univers ombilical de lombic ~ dont parle Takashi Murakami.
Bientot, par la suite, je me suis a confondre le Clair-Obscur ci-avant evoque, les peintures nees de l'Ecole Hollandaise qui en ont decoule a travers les ages et les adages en vogue dans la sience des peintures des siecles flammands, la Dentelliere de Vermeer son exemple le plus flagrant, un autre homme de Delft qu'a mentionne Dali !, mon inspirateur, initiale premiere a chaque mot ici pose et avant ca inspire a mon esprit, un rhinoceros comme celui que Dali ! encore a fait peser lourd dans la balance moderne des sous-poids pris a l'envers sur le pan macule du verso de la precedente toile, une mutante au corps gras comme un comedon qui n'est rien de moins que l'illustration dalinienne du lombic aussi ci-avant mentionne, rien de moins non plus que la poupe du vaisseau des Wasa dont Stenboch decrit les traits subtils comme il les eut dessines d'apres peinture, comme il se fut inspire de l'ecriture de Salvador Dali, et encore rien de mois non plus que le point de l'esprit ou tut cesse de n'etre que sense pour devenir contraire, a savoir : Le "~~" et qui appelle, mais je ne le dirai pas car je me le suis jure, a conciliation. Dans cette meme confusion que je fis plus tard de ces themes pour me rendre au compte flagrant de leur unique appartenance au meme, a l'unique et au seul etat d'esprit dont il est question partout, j'ai associe aussi les themes que debordent une nouvelle qu'a ces moments au restaurant La Luna, j'avais ecrite, Le Vert-orange facon Duval, de telle sorte qu'il n'etait alors plus, plus du tout, possible de dissocier le vrai du faux, le consenti de la violation, ni le touchable de l'inabordable, pas plus encore d'associer parfois a juste titre, deux choses qui a l'etre pur de cette experience, se voient d'usage parfaitement identiques. Experience non-pas Mystique finalement, mais experience dialectique, seulement. L'esprit seul devait etre convie, c'est ce qui la rendait si perilleuse et risquee. Et la, oui, la, dans cette confusion des themes qui n'en rassemblent en definitive qu'un, vous pourrez voir prochainement apparaitre que je vais retravailler, elimer et faire revenir a la main a temperature ambiante, un reflet imprime par magie sur le fond noir d'une couverture confondante la silhouette antique d'une amateur en la matiere. Mais treve de suspense, je n'ai aps repris les techniques, je m'en defends absolument, de cet auteur Anglais aujourd'hui tombe ~ fort heureusement ~ dans l'oubli (et dont je trouvai la seule replique d'un ouvrage a la bibliotheque de Namamugi ~ Le Ble Cru ! ~ a six kilometres au sud de Kawasaki, dans le Kanagawa, Japon. Lequel site cite l'Anglais mort Pour la Patrie pour avoir faire l'ecart culturel de poursuivre leur route devant un passage de samurais en 1862 !)
Aux 4 officiers Anglais morts du Ble Cru : Namamugi !