L'ampadiem

  • : Le blog de Ampad Embiem
  • : Culture intra-utérienne d'une fleur technologiq : cheminement d'une réflexion de l'esprit sur les bords brillants de lyrism du théatre alternatif ~
  • Contact

Moi, Ampad

  • Ampad Embiem
  • Ampad Embiem, je ne suis la qu'un jour sur deux, mais je le vis plutot bien
  • Ampad Embiem, je ne suis la qu'un jour sur deux, mais je le vis plutot bien

Archangelism scientifiq

" (...) proche le moment ou, par un processus de caractere paranoiaque et actif de la pensee, il sera possible (simultanement a l'automatisme et autres etats passifs) de systematiser la confusion et de contribuer au discredit total du monde de la realite. " Salvador Dali, Minotaure No1, 1933.

Un tres beau site sur DALI

 

Bienvenue

Bienvenue a tout nouveau visiteur

Ce blog créé il y a un peu plus de 2 ans maintenant de l'association uniq de la surprise et du tant attendu, restitue intactes les bribes

de restes d'authentiques retrouvés ici ou la, de ce que les littérateurs et créateurs de ce monde, ont contribué,

avant nous déja, est-ce a dire et, encore aujourd'hui, a élaborer le Beau pour qu'il vienne jusqu'a nous

dans l'état merveilleux ou nous avons le bonheur de le trouver pour tenter d'y toucher.

J'ai pour but ici et ailleurs, Ici Et Maintenant, dans cet IEM permanent et constant d'instabilité, de le propager, de l'expérimenter, de le faire travailler, de le dédoubler, de le transposer et de le faire permuter avec ses doubles et avec ses moitiés, de le mettre tour a tour en exergue, en abime, en difficulté, en chaloupe meme et en page pour enfin et a terme, pouvoir le remettre a la retraite d'ou il se trouvera la force apaisée et sereine méritée d'une vie multiséculaire sur toutes les plages des temps, de mener devant nous, et pour nous, de lui-meme des actions pour s'autorégénérer sans plus s'en laisser conter ~

8 juillet 2023 6 08 /07 /juillet /2023 14:18

Je me rends compte si l'impatience est bien association libre d'idées du monde en cours de formation omniprésente, décrivant tour à tour ces états qui s'agissent d'urgences et qui mettent les miettes à l'œuvre dans le fracas, que la patience est quant à elle absente de ces pages, cette patience tue, qui est un demeuré dans l'ombre, un passé sous silence, ou une tenue en respect, jaunâtre, jamais portée, qui telle une demeure immobile, ennuyeuse et éteinte, eau menthale, emmental chien du ciel en lien de lune croissant, s'agit de prendre le temps où il y en a, cette patience est sobre tandis que l'impatience, double crosse aortique, crosse, est comm l'ennui, de bien des manières châthaut effort mortelle. Patiences immortelles ? Elles ne peuvent plus mourir, ces patientes, puisq elles sont déjà mortes, idées usées, fusées figées, rouilles en poussières et qui miroitent, muettes, les miettes ailleurs à l'œuvre sans oser se prononcer en faveur ou contre. La patience est oui, tue et fait mourir l'état d'ivresse créatif qui fait jaillir les erreurs et les envolées qui leur succèdent, les écarts et les rapprochements croisés, désordonnés et bruyants qui font eu égard au son, naître dans un monde où seules les choses que l'on désire vraiment peuvent se produire, tout ce qui peut l'être, ce qui biologiquement pourrait être un danger absolu. Je ne suis.pas chimist, heureusement.

Alors quand de dix fois LVI, LV1, première langue, soit 560 m² sortent de terre, sorte d'organe céleste sur terre, c'est immanquablement bien, de cette impatiente urgence motrice et incompressible de la force qui la voit produire en chaîne, instantanément ses effets, dont il s'agit d'évoquer, même rapidement, dans un éclair, un sursaut, les assauts. 20x28, 2028 autant dire, une porte lueur de cœur avec un porte-lueurs qui leur décrit docker, prononcé fort, les dimensions extérieures qui enceintes donnent naissance, circonscrivent à tue-tête un espace infiniment plvs grand encor, dedans qu'il n'est de limites dehors à les rendre accessibles, voire à seulement les voir. Seven's heaven, un 7 juillet, et l'immédiateté d'un indice, puis de deux qui font à eux seuls preuve d'être.

La patience tue
Partager cet article
Repost0

commentaires