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  • Ampad Embiem, je ne suis la qu'un jour sur deux, mais je le vis plutot bien
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Archangelism scientifiq

" (...) proche le moment ou, par un processus de caractere paranoiaque et actif de la pensee, il sera possible (simultanement a l'automatisme et autres etats passifs) de systematiser la confusion et de contribuer au discredit total du monde de la realite. " Salvador Dali, Minotaure No1, 1933.

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Ce blog créé il y a un peu plus de 2 ans maintenant de l'association uniq de la surprise et du tant attendu, restitue intactes les bribes

de restes d'authentiques retrouvés ici ou la, de ce que les littérateurs et créateurs de ce monde, ont contribué,

avant nous déja, est-ce a dire et, encore aujourd'hui, a élaborer le Beau pour qu'il vienne jusqu'a nous

dans l'état merveilleux ou nous avons le bonheur de le trouver pour tenter d'y toucher.

J'ai pour but ici et ailleurs, Ici Et Maintenant, dans cet IEM permanent et constant d'instabilité, de le propager, de l'expérimenter, de le faire travailler, de le dédoubler, de le transposer et de le faire permuter avec ses doubles et avec ses moitiés, de le mettre tour a tour en exergue, en abime, en difficulté, en chaloupe meme et en page pour enfin et a terme, pouvoir le remettre a la retraite d'ou il se trouvera la force apaisée et sereine méritée d'une vie multiséculaire sur toutes les plages des temps, de mener devant nous, et pour nous, de lui-meme des actions pour s'autorégénérer sans plus s'en laisser conter ~

13 mai 2023 6 13 /05 /mai /2023 11:15
Panneau d'hissage

✅Si un robot vous accompagne, veuillez cocher cette case.

Ce même jour à 13h, une fois de plvs toute la Méditerranée concentrée à cet instant pour moi dans la mer Ionienne me surprenait, je me rendais compte que je ne me souvenais plus ce que ça faisait d'avoir le cerveau si chaud que le corps entier brûlait, et d'avoir dans les yeux ce phosphène quasi chroniq qui rendait les blancs les plvs vifs d'un gris si terne qu'il n'était presq plus visible.

Remercions d'abord mes Réflexions pour Himarë de s'être montrées vne fois n'est pas coutume mais une foi en fête vn si grand potentiel à l'extrapolation croisée d'une harde d'images et des sons et aux grandes envolées, que m'y voilà.

D'abord un mot - et ce sera le seul à ce sujet - pour que toute personne éligible aux aides de l'Anah pense bien à faire de demandes d'aides publiques pour des travaux d'amélioration énergétique AVANT de faire ses travaux. Car après, on n'y a plus droit -> france-renov.gouv.fr
Un gros trou fushia sans transition dans le ciel, devenu bleu permanent pour potasser l'histoire. [Text à forme musicale bercée par les coqs qui sonnent toute la nuit devant la mer]

Ce matin-là au réveil j'avais des réponses en tête, qui me venaient d'instinct à des questions que je ne m'étais pas posées depuis longtemps, d'autres questions qui se posaient d'elles-mêmes, et à d'autres encor qui étayées ou en suspension, évitées ou en lévitation étaient depuis toujours demeurées sans réponses, pourtant évidentes au point qu'elles ne se posaient plus (ces fameuses questions planantes qui se soulèvent d'elles-mêmes et nous font de nous-mêmes nous soulever).
Ce sont ces plusieurs questions de légitimité de choix et d'un viatiq de l'atavism aviatiq des avatars d'évidentes déviances dévidées d'avarice devant de truisms décantés devancer l'avance, qui, semblant au demeurant aux demeurés non subjectives, peuvent toutes, pour prolonger le plaisir, tels des pans hissés d'eaux, selon les circonstances et l'échelle correspondant à laquelle on se les pose, avoir, et ce sans équivoq, de manière catégoriq, tantôt pour réponse oui, et tantôt non. 

Questions de densité de champs, d'abord (encor) - thématiq à l'action décidément récurrente voire hautement corrosive. Un art vert, une flore fractale et une technologie végétale.
Pour exemple, le sable rose, la mer turquoise sous la pluie, des morceaux bénis des dieux, repris de justesse à l'humain qui n'a rien à cet instant du commun banal ambigu et indécis.

Parfois sans lendemains, entre les vagues, retentit un chat. Puis tout s'enchaîne, c'est un paon, et enfin, le coq qui sonne, et ainsi de suite jusqu'à la vague suivante. Une densité telle du site que l'équilibre qui en découle d'une force qui la nuit est un dessein, forme un dessin. Le mot du jour d'après : parades.

Je le disais pour introduire ceci, au réveil, des réponses. Un canot, deck annales. Souvenir des embarcations séculaires qui se croisent aux mi-chemins entre les terres séparées d'eau salée par un arbitre impartial. J'y ai donc fait, je l'ai si bien constaté que je m'en suis de suite fait des lices et des mines, de tous les tests de survie en chute libre possibles, des morceaux de paradis repris de justesse avant acquisition privée. À débattre d'ébats, le journal d'investigations à parfaire. À part faire dans la dentelle, le destinataire sauve les meubles et ce corps tien qu'elle habille pour m'éprendre à ton acmé, le meilleur de soie-même, la pergola ravie par un intrus soucieux. 

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Panneau d'hissage
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8 mai 2023 1 08 /05 /mai /2023 05:11

Allons directement à la conclusion, pour ce titre, de la relative densité des temps respectivement impartis à la sphère du rêve et à celle du réel
Énoncé : Je me réveille en plein nuit. Il se passe une heure et, ma main aseptisée de la piqûre de moustiq qui m'a fait sauter du lit, tandis que flânant parmi mes pensées diverses du moment en attendant le matin, je trouve quelq solutions prometteuses que je mets illico en pratiq pour vérifier être bien à l'acmé de mon état mental, me vient le souvenir soudain de ce que je pense immédiatement avoir été un rêve. J'ai rêvé, je ne m'en souviens qu'à cet instant, il y a plusieurs nuits semble-t-il et non cette dernière, avoir perdu l'vn de mes téléphones (J'ai - ou j'avais ? - un téléphone alternatif à mon téléphone principal). 
Je me souviens du moment où je m'en suis inquiété, la nuit se terminait, je revenais de la plage, j'étais alors en short au parc qui remonte vers l'avenue, à peu près à égales distances entre le café, la salle de billard et l'appartement d'O. J'avais les idées floues comme si j'avais pris quelq chose. Il serait, à ce stade je m'en rends compte, possible que ce ne soit pas un rêve, et que j'aie entre-temps dormi sur place, sans rejoindre ni l'appartement d'O. vers lequel je me dirigeais alors, ni regagner mon appartement. Ça m'est arrivé tout récemment, quand était-ce, il y a 3, 4 nuits peut-être ? Perdre la notion du temps est assez aisé quand on redécouvre tout just le luxe de l'oisiveté qu'offre une période de congés - deux, justement, comm pour mes mobiles - qui en suit une première. La première était intense, l'envie de croquer chaq instant, et des plannings chargés car tout faire, tout voir, ne rien manquer des évènements, force à une rigueur digne d'une vraie semaine de travail à part entière, mais cette seconde, plvs longue même que la première, imprévue et sans engagement aucun, offre de se perdre dans les méandres de l'alchimie fructueuse où l'esprit sait faire jaillir comm d'un bouillon les bulles amiotoq dont dépenser les contenus ludiq revient à se saouler de rires et de fantaisies. 
Dire s'il s'agissait d'un rêve, d'avant-hier ou d'hier matin, ou d'un fait réel, mais qui daterait plutôt de 3 ou 4 nuits quand j'ai dormi au parc, est aussi difficile alors, qu'impossible à vérifier dans l'immédiat, ce qui me trouble alors, et je me mets donc, à mon plvs grand désarroi, en tâche de chercher mon téléphone chez O., où je me trouve alors. Il n'est nulle part, mais ça n'aurait rien d'étonnant qu'il soit plutôt chez moi, etnje ne peux pas hélas appeler le téléphone manquant car les deux téléphones sont totalement dissociés, et que je ne connais pas le numéro. Je n'ai de toute façon pas l'intention de courir chez moi vérifier de si bon matin s'il s'y trouve, et je me décide donc de rassembler mes esprits pour recommencer de tenter de situer mentalement, plutôt que physiquement, les faits.
Tout d'abord quand était-ce ? Je me suis réveillé embué au parc ce matin-là, et j'ai immédiatement pris un petit-déjeuner au café. Je me souviens bien de toute cette matinée-là, et que je n'ai littéralement pas eu une seconde à repenser à un téléphone éventuellement égaré qui m'aurait la veille fait pourtant quelq peu paniquer. Que je ne m'en sois pas souvenu, ni Immédiatement, ni ensuite, ne m'intrigue guère, ce téléphone ne me sert qu'à être joint, et je n'ai entre-temps pas eu d'impératifs à l'être. S'il est vraiment perdu, ça ne peut être que cette nuit-là. La dernière fois que j'ai franchi ce parc en remontant en pleine nuit quelq peu éméché ou carrément défoncé, avant ça remonte à au moins une semaine et j'ai depuis, eu l'usage du téléphone bis.
Bon, mais quand était-ce ? Est-ce si essentiel à se remémorer, je l'ignore mais à cet instant mes pensées veulent se donner la force d'identifier toute chose et la nommer, comm si toute la clarté devenait revenir, c'était tout à coup impératif, plvs qu'un défi, une nécessité, que cette inquiétante incapacité de dire si quelq chose tient du rêve ou de la réalité a mise en lumière et rendue primordiale. Mon esprit se met alors à tout repasser, dans l'ordre chronologiq, et ensuite en faisant quelq allers/retours pleins de surprises type flash-back, bien-nommés. Là des petits détails passés inaperçus, reviennent qui se relaient et se seraient à tout jamais perdus sans cet événement, et donc sans cette piqûre de moustiq particulièrement agressif - il m'avait presq fait un trou entre le pouce et l'indexe, sans doute à force de piqûres répétées à ce même endroit - et je parviens à dire avec exactitude que trois journées et deux nuits entières se sont belles et bien pesées passées depuis la nuit d'ivresse, ce qui n'était en rien de prime abord évident.
Pourtant, et c'est alors que mon esprit s'emballe, quittant le pacte rationnel qui venait de tenir si bon les paquets de bon aloi de son Incroyable potentiel à faire surgir des images dans les dédales des temps, pourtant dis-je ce souvenir, si c'était plutôt un rêve, me semble, remuant les temps sans même les avoir d'abord seulement mués, remonter à deux nuit plutôt qu'à trois. J'ai beau faire tous les efforts du monde, et à cet instant mon esprit s'y consacre pleinement, et ce, bien malgré moi qui le laisse naviguer à divaguer sans y faire obstacle, impossible de trouver cohérent que ledit rêve remontât à trois nuits. Ça pourrait être plutôt hier, ou avant-hier mais pas à la nuit précédente. Il était maintenant 6h, le soleil allait poindre. Et dire que trois heures plvs tôt, avant cette longue incartade, j'étais parvenu à mettre à exécution quelq solutions techniq à des problèmes de taille qui n'avaient un mois avant, pas même été seulement soulevés. C'était le matin des pas évidents. Pas évidents ces problèmes techniques, ni faciles, ni flagrants. Pas évidents les présents problèmes de temps qui situent les faits, ni en rêve ni dans la réalité, pas évident enfin, de dire s'il s'agissait d'un rêve ou de la réalité. Suis-je en train de devenir évidemment complétement marteau ? D'évidement bien possible que deux congés d'affilé soient un peu de trop, bien possible aussi que deux appartements soient un peu trop, et que deux mobiles le soient aussi.
Pourtant aussi, partant par là, par tout temps, fût-il beau, sec, froid ou futile, et en écrivant à présent ceci, ça me paraît évident, l'expérience vaut d'être vécue et ne peut l'être que dans ce concours de circonstances précis, précieux, de totale imprécision. Si avoir deux vies avait le même effet, tout serait si compliqué. Si ce que le rêve en plvs de phantasm, d'extases et d'ambitions cause, c'est justement cette deuxième vie qui rendrait les choses si compliquées à saisir parfaitement et sans doute possible, qu'on n'en revient jamais tout à fait, c'est bien alors, que le rêve agit contre la réalité, et s'en fait même l'impératif perturbateur. Rêve, qu'es-tu ? À cet instant, j'aurais pu avoir retrouvé mon téléphone, il ne me semblait plus aussi important que ça de conclure et rejoindre O. fissa, non, au contraire je voulais désormais desillé déterminer le rêve et son temps propre, les identifier dans la sphère du réel et les y tant fier qu'il serait fier d'en encadrer les deux bouts, les portants, tenants et aboutissants compris, car cette question de Rêve qu'es-tu, ne m'était jamais, au grand jamais paru si essentielle, qu'elle est en effet pourtant bien rien de moins que, la base de tout. Comment est-il possible que je n'aie d'ailleurs jamais en lvi vu comm tous que l'incroyable potentiel à formuler des imaginaires inédits et autonomes, que l'intarrissable source d'inspiration et le plaisir suffoqué de cheminer en fumant la cigarette du matin, sans jamais avoir douté de sa nature première, m'en méfier et deviner comm maintenant, le pouvoir corrupteur de ses actes en sourdine. Perturber la notion de temps, commencer par là me semble un bon début, est quelq chose d'assez redoutable en soi, c'est tordu et même quasi maléfique si l'on y réfléchit un peu. Fausser la perception, comm compromettre l'évidence d'un résultat de ce qui définit l'existence humaine en tant qu'être vivant, et l'esprit et le corps en tant que choses limitées, est-ce une invitation à voir au-delà du caractère conscrit de notre existence, ou est-ce détourner en cirq et criq l'attention, comm je sais aussi le faire. Ce rapprochement m'interpelle et je saisis dans l'instant qui confronte les deux sphères et procédant en un instant riche en images à quelq parallèles qui peuvent alors avoir quelq chose de très métaphoriq, l'importance de la perception dans l'avancement des états, qu'ils soient acquis ou qu'ils soient révolus, qu'ils soient même virtuels, potentiels ou illusoires et phantasmagoriq. Etat projetés de nos perceptions, premier épisode. Car en écrivant ceci, je sais que j'avais en terminant ici ma pensée un dictaphone désormais à ma main, entrevu les deux, ou peut-être trois pistes qu'il m'était apparu opportun de suivre avec la recherche approfondie de beaucoup de détails révélateurs.
Premier épisode, le temps qu'il s'est passé dans le rêve, ça tout le monde le sait, est infiniment moindre que celvi qu'il nous y a présenté défilant fils & noeuds dénués d'asperités concrètes propres. C'est dû sans doute, ça saoule tant c'est su sans sillon à suivre, à tous les raccourcis non seulement, que connaît l'esprit quand il n'est pas tenu par l'impérieux sacerdoce de sa coexistence avec le corps physiq qui l'emprisonne, mais aussi à la vitesse de propagation à laquelle les pensées peuvent s'enchaîner quand, paradoxalement, on les libère des nécessités immédiates de la logiq où évoluent nos vies, entourées de règles, de lois et de connaissances d'enceinte des limites que ces dernières érigent comm des montagnes qu'il faut pouvoir contourner ou gravir pour l'établissement d'un comptoir où s'en dégager la vue. Mais, c'est là que ça se corse, se gâte et dévisse, le temps qu'il s'est passé depuis que j'ai prétendument perdu mon téléphone et celui qu'il s'est passé depuis j'ai peut-être rêvé le perdre, n'est pas non plus le même. Si c'est réel, c'est il y a 3 nuits, si c'est un rêve c'est une de moins. Le rêve a-t-il déformé le temps qu'il s'est passé depuis que j'ai effectivement perdu mon téléphone, ou est-ce le temps crénelé qui s'est chevauché par la succession de plusieurs rêves permis d'en rapprocher le souvenir. 
Dans un cas comm dans l'autre, ce qui grapille ainsi la perception, ne peut agir que contre l'esprit, et non en sa faveur. Le rêve peut rendre fou, et il le fait d'ailleurs. Comm des êtres venus d'ailleurs jongleraient avec nos sens en jouant de téléportations ou comm une peinture saurait rendre à mesure qu'il la peint rendre fou son concepteur. Couramment, pendant la durée d'une nuit, il fait à l'esprit di chaud perdre ses repères et se mettant en tâche de se confronter à lvi, détruit jusqu'à ce qui lvi tient d'usage au monde des réflexes où l'esprit est si bon, qu'il tient d'ailleurs avec l'expérience, à force d'épreuve, à s'en parer de mieux en mieux pour être capable de gérer plvs de choses simultanément, sans recourir à trop d'efforts actifs pour dénouer ce qui pourrait être rendu systématiq, sans puiser donc, dans les ressources qui sont nécessaires à d'autres tâches qui en requièrent plvs urgentes, plvs complexes ou imminentes. Les réflexes, donc, les automatismes, que concentre dans ses mains le subconscient s'il faut le nommer, ne sont donc pas du tout les sujets du même centre de détermination que les rêves, qui font, reconnaissons-le bien, on le reconnaît bien là !~, tout le contraire !~ Si l'on laissait au commissaire aux rêves le pouvoir d'arbitrer les parties qui communiquant communient en cet instant et de gérer les gestes instinctifs, eh bien on mourrait au premier incident, d'ingestion indigeste ou de faute de goût.. Faute de perception ou de jugement, faute de logiq, d'interprétation et d'appréhension. Cette cause ne donne en rêve pas cette conséquence, quoi de plvs évident, tout à coup je le redis, que de remarquer que le rêve se joue de moi quand il veut mettre à tout bout de champs, la charrue avant les bœufs - et ça, tout le monde en connait la conséquence. Sauf le rêve ? Ou est-ce au contraire, ce que sait le rêve, et qui - c'est là la question de la malice qui veut se poser après volé trop de temps - en fait ce qu'il fait qu'il est ce qu'il est par ce qu'il veut en faire : une arme pour attaquer l'esprit. Je vais peut-être un peu vite en raccourcis du complot, mais je me dis qu'il faut aussi pour s'armer efficacement et se battre d'égal à égal, ne pas se mettre de bâtons dans les roues qui charrie des bœufs en s'imposant plvs de rigueurs qu'il ne le fait lvi en ne s'en faisant d'ailleurs pour rien, tandis qu'on s'en fait, nous, pour tout.
Allons sans détours, et voyons à ça nous mène, comm dirait Kant, et nous ferons plvs tard le décompte des fausses pistes et en reverrons l'ordre pour en rectifier les termes, sans remords. Pourquoi l'esprit a-t-il besoin de se reposer ? Est-ce d'ailleurs bien le cas, ou n'est-ce là que le besoin du corps ? Les yeux après les bras, tombent, mais le subconscient lvi, prend cette biaise baisse d'activité physiq comm un l'évier d'où soulever les montagnes plvs tôt aperçues. Et je ne parle pas là du rêve, où il termine sa course épuisé. J'ai déterminé une fois, je l'ai même écrit après en avoir comm aujourd'hvi de ceci fait le tour, étayé des différents différends et des cheminements qui m'en avaient mené la conclusion, que le temps de sommeil communément admis comm norme, devait être selon moi largement sur-évalué et que même, dormir plutôt qu'une fois profondément, 10 fois 3o minutes, réduisait certes les capacités physiq à se maintenir en autre chose que l'état alerte où l'on peut s'acquitter de ses devoirs du jour, mais permettrait aussi à l'esprit de collaborer à tous les chantiers susceptibles de devoir vraiment retenir toute son intention avec efficacité. Car cibler les priorités, c'est ce que le subconscient sait faire le mieux, c'est ce que j'évoquais just avant en survolant l'épisode des automatisms et des réflexes, et si c'est à ça qu'il excelle, ce qui n'est pas, de toute évidence le cas du rêve - qui fait, admettons-le une bonne fois pour toutes, n'importe quoi pour se rendre intéressant - c'est aussi à ça que nous devrions l'employer pleinement. Ne serait-ce que pour permettre de remettre entre de bonnes mains un peu de vérité dans le sens de nos vies, et y retrouver un sens des priorités qui ne soit pas fait que de feux verts, des sirènes et de sens interdits. Mais comm dit en début de phrase, c'est aussi impossible à conjuguer avec un quotidien fait de devoirs et d'impératifs matériels, qui requièrent quant à eux bien tous les efforts du corps, lequel a besoin de tout ce sommeil pour être au top (froid, nervosité, paupières, ouïe, vue trouble), tout dans le manque de sommeil n'est d'un point de vue, justement, physiq pas compatible avec l'existence physiq. Ne pas laisser au rêve le temps de se produire. Sursauter au moment où il commence de prendre l'esprit pour un débile, peut-on seulement demander à l'esprit de pousser sa vigilance à cet aboutissante extrême, de déterminer non seulement l'abrutissant les limites de son champ de compétence, et le mobiliser à être, devant ces limites en mesure de rebrousser chemin pour ne pas y perdre sa primeur et terminer à la dérive. Pourquoi ne le fait-il pas lui-même, d'abord ? L'esprit est-il curieux de voir au-delà, et bête au point de s'y laisser prendre chaq nuit, identiquement, ou impuissant à résister quand surgit le rêve ? Ce qui amène l'autre question, initiée dans le récit qui précède cette échappée, de la perception du temps. Passés deux rapides parallèles qui terminent superposés horizontaux, un rapide parallèle entre ce qui fait qu'on existe et ce qui fait que le rêve a matière où lever des fonds, et c'est bien dans le temps, pour conclure sans développer, qui fait le liant. Le temps pour limite à l'activité du corps, le temps pour perception de l'existence, et le temps enfin en tant que faussement de la perception pour voir ce que l'esprit peut exiger du rêve, ne peut décemment pas venir de lvi, qui ne s'y retrouve pas : au contraire. L'esprit & le temps, contre le rêve & le corps, qui semblent tous deux bosser pour la même maison. L'esprit et le temps qui sont tous deux limités, contraints, voire malléables et parfois impuissants devant les forces qui s'opposent à leur donner la plasticité parfaite d'un matériau inaltérable. C'est pourtant bien seulement en solutionnant cet imparfait équilibre, de percevoir et faire percevoir, que l'esprit saurait d'affranchir de tous les tours de passe-passe qui en font un objet variable à la dimension toute relative, variable et peu viable, et que le temps lvi-même saurait se parfaire d'une dimension palpable, tout à fait saisissable, et non le sable mouvant où l'on s'enfonce sitôt que l'on exerce une masse, fût-elle celle du corps, ou celle du rêve qui veut nous y plonger avec délice. 

À venir pour suite : La molécule qu'il avait tant manqué à l'univers pour qu'il achève de se construire vraiment. (Enfin, nous ne serons plus qu'vn).
Quand tout aura en un instant transformé transcendé les espaces & temps en eux impactés, à ce dit instant dis-je où la molécule qu'il avait tant jusqu'alors manqué à l'univers pour qu'il achève de se construire vraiment, que des voies de circulation métaphysiques à l'apparition spontanée sera jailli l'espoir et la capacité de générer pour tout être vivant son univers à part entière, là seulement, nous ne serons plus qu'vn.
Renaissance philosophiq : toutes les questions philosophiq peuvent commencer de se poser et ce text relativement trop théoriq s'arrêter là. Annonce déjà du don de téléportation plvs tôt évoquée.

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