L'ampadiem

  • : Le blog de Ampad Embiem
  • : Culture intra-utérienne d'une fleur technologiq : cheminement d'une réflexion de l'esprit sur les bords brillants de lyrism du théatre alternatif ~
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Archangelism scientifiq

" (...) proche le moment ou, par un processus de caractere paranoiaque et actif de la pensee, il sera possible (simultanement a l'automatisme et autres etats passifs) de systematiser la confusion et de contribuer au discredit total du monde de la realite. " Salvador Dali, Minotaure No1, 1933.

Un tres beau site sur DALI

 

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Bienvenue a tout nouveau visiteur

Ce blog créé il y a un peu plus de 2 ans maintenant de l'association uniq de la surprise et du tant attendu, restitue intactes les bribes

de restes d'authentiques retrouvés ici ou la, de ce que les littérateurs et créateurs de ce monde, ont contribué,

avant nous déja, est-ce a dire et, encore aujourd'hui, a élaborer le Beau pour qu'il vienne jusqu'a nous

dans l'état merveilleux ou nous avons le bonheur de le trouver pour tenter d'y toucher.

J'ai pour but ici et ailleurs, Ici Et Maintenant, dans cet IEM permanent et constant d'instabilité, de le propager, de l'expérimenter, de le faire travailler, de le dédoubler, de le transposer et de le faire permuter avec ses doubles et avec ses moitiés, de le mettre tour a tour en exergue, en abime, en difficulté, en chaloupe meme et en page pour enfin et a terme, pouvoir le remettre a la retraite d'ou il se trouvera la force apaisée et sereine méritée d'une vie multiséculaire sur toutes les plages des temps, de mener devant nous, et pour nous, de lui-meme des actions pour s'autorégénérer sans plus s'en laisser conter ~

7 septembre 2022 3 07 /09 /septembre /2022 08:19

Réflexions dansées sur les scintillements de la peau pailletée de la mer juste avant que la lune en robe longue tournoyante s'y couche.
Ils ont saisi leur chance dès que l'occasion s'est présentée. Et comm s'ils avaient attendu ce moment depuis ces multitudes de vies antérieures dont ils n'avaient pas eu conscience qu'elles habitaient leur existence, l'enveloppaient toute entière, ils purent en ressentir toute la puissante conséquence.

Ils ont lutté, contre vents & marées ; formes de rocs. Puis elle a pu repue se reposer, une première fois posée sur le dos, une seconde furtive à ce que lvi maintint du soir à maints tenants amant à maintenant en ce matin détendu, les teintes à des discours parfaits d'inconnues, note haute en surbrillance de la durée d'une plongée. On ne voyait plus que ça partout alentour. La barre à cent lieues, cher payée ; lointains, amers. Une heure du matin à son point d'arrivée. Lettre d'ailleurs à Polnareff ; pour réponse une brise.

Grammaticalement détachés, l'vn de l'autre ; une liaison pourtant entre eux logiq s'appelait trait d'union des formes, amour ; quelq degrés de plvs d'eux nés sur l'eau.

 

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20 août 2021 5 20 /08 /août /2021 11:37

L'heure zénithale front de mer, balcon. Sarandë par 36°

 

In the stage, it is flying high, like a mild and dusty, salted-milk cry

From the hills, it grows and it's gross,

See this steaming smoking Hearth

It's moving there. There is a heavy cloud.

It is dancing, as a lonely crowd,

And the air is dark, strange and cold

The bird is falling to the ground

From the mountains, it's creeping down

Like an invisible guest - an unspeakable guess

A storm of fires rolling around

The bird is falling to the ground.

In this moment

Gently touching my face

While every other breathing soul

Remains as stones

Through the brushwalk of a curly blue inked space

She steps in aside

And I'm feeling the salty flavoured solar power

Flewing under her skin

As a boiling bone boy born burning and vanishing into the air

Her wings are shining lines.

 

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15 juillet 2021 4 15 /07 /juillet /2021 21:44

Suite de l'égérie romantiq, inédit pour le moment, où il est d'entrée question avant de partir ailleurs, de ce que les rêves entrants viennent bien à nous en premier lieu, puis nous extirpe du trop-étroits-du-dedans, raccourcissant pour celà comm les seules pensées non verbales le font, toutes les connexions intermédiaires, empruntant ainsi des raccourcis qui ne laissent d'une voie où il comptent nous mener nulle possible bifurcation apparaître qui interrompe le trajet, l'avenue des rêves est donc seulement une entrée qui est à la fois une sortie de la matière vers les schémas d'automatism les plvs aboutis, mais aussi donc une sortie de soi qui permet que ceci se produise. S'engager sur l'avenue des rêves, y faire quelq pas d'abord puis la fouler toute entière comm difficilement il est possible alors de revenir immédiatement à moins qu'une chute de casseroles volontaires n'ait été à ces fins prévue, de sorte de, pourquoi pas, revenir en décrire les moindres numéros, les plvs petits, tout en bas, ceux qu'on oublie systématiquement et dont ne reste jamais quel qu'ait été le rêve en son terme, et quelq effort ait permis d'en remonter aussi loin que possible les corneaux de chronologies et les conduits menant jusqu'à une image initiatrice, le moindre souvenir, et parvenir tout en haut d'où, seul alors rêve fraîchement entré sait l'issue, accéder ainsi à cette porte et se laisser là mener pour être comm éjecté de soi vers le domaine du rêve. Habité du rêve, cheminant, puis seulement, habitant du rêve. Je loge un rêve dans le crâne de ma déesse désarmée, et je le lvi laisse le guider ensuite. Qu'il loge plvs longtemps, et alors nous serons ensemble les hôtes de son royaume. Cette avenue a quelq chose d'une piste à la fois cyclable et navigable qui serait, selon mon point de vue propre comm l''allée Centrale du musée d'Orsay.

#2. L'avenue des rêves
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28 janvier 2020 2 28 /01 /janvier /2020 16:41

Cette pétasse de Gaïa, elle veut nous le faire payer. Non, pas à la façon de Phénomènes, ce film de 2oo8, mais elle devrait. Le corps humain est un foutu putain de parasite, un champignon vorace, gourmand, expansif, et sans cesse nécessiteux.

Je ne sais pas trop ce que j'en attendais, et qu'importe après tout, ça n'aurait pu être moins. Quelle sorte de réflexe -le mien, d'abord- est celvi de croire sporadiquement, avoir besoin d'un élan quand, par bien des aspects, les rennes ailés se suffisent* (il faut presq le dire avec orgueil pour en sentir le poids) à mener seuls leur convoi. Et quelle autre sorte de réflexe (le vôtre, cette fois et cent autre après ça, j'accuse), identiquement mené peut-être, est celvi de ne pas croire un seul instant pouvoir -ou ne pas seulement le vouloir !- y faire un sourire. Cette engeance vulgaire, malveillante, nerf de la guerre. Pied du nez. Ce sont les mêmes moutons débiles, avilisés devant les séries et les médias en boucle, les fils d'actualités denses, les reposts déformés et la mode de l'informatif contestataire en continu qui protestent à longueur d'an sporadiquement contre les interventions armées dans les pays lointains dont ils se prétendent proches, et qui dès qu'ils le peuvent enveniment les situations au bas de chez eux, qui se déplacent en masse pour détruire, condamner d'emblée toute initiative d'une forme de programme visant pourtant à établir une certaine pérennité. De tous prendre au sérieux les évènements dont il font l'actualité qui ne les regarde pas, et se tourner en dérision dès qu'ils en ont l'occasion. Fausse modestie, satyre mazochiste, vulgaires hypocrisies, banalités humaines. Pour être humaine, ça, l'erreur l'est. Par définition. L'humanité, à tous prix, le choix cherché : l'erreur. Bordel mais que veulent-ils enfin ?~ Quel est, à la fin, le but de ces errances qui se mordent la queue, insistantes, incessantes répétitions du jour identiq, et des générations ? Pour quoi faire, ces revendications locales, ces aspirations non passionnées, ces propagations de mots de haines visant toujours une spécificité plutôt que l'ensemble ?~ À quelles fins ? ~ que se divise le monde, toujours plvs, que le chaos se répande jusqu'ici, que l'état de non droit, les pulsions animales et l'amas de l'appât religieux, la dévotion stupide aux dieux meurtiers et aux dictateurs insatiables, que les injustices sociales totalisées viennent jusq dans leurs champs égarer leurs villes et leurs montagnes ? Aux armes, j'ai toujours préféré l'amour des mots, mais je n'ai jamais non plus plvs qu'un instant hésité quand coller un poing dans la gueule d'un foutu connard de détracteur -la course humaine- quand il donnait tout de son espèce humaine à faire reculer le monde dans les abysses où la race veut faire basculer le monde.

Je ne sais vraiment pas ce que j'en attendais, mais forcément ça ne pouvait pas être moins. Salope de Gai, pourquoi tu me fais ça, pourquoi cet acharnement à me faire payer à moi, pour tous ces cons, qui sont les plvs insultants ? Je ne suis pas le pire des élèves, pas le meilleur non plus en la matière, j'aspire seulement à en quitter le modèle, m'en éloigner autant que possible, ce moule de bêtes, de choses animées, par quoi on se le demande ? Par quoi êtes-vous animées ?, C'est peut-être la seule bonne question à leur poser ? Je hais votre espèce, l'humanité entière me semble aussi futile par son excellence à se répandre et à nourrir ses rejetons de ses propres incertitudes non réfléchies, immenses et non-pensees, insensées, qu'à continuer de donner si peu de sourire à ce qui varie un peu de leur schéma de bête (au sens le plvs crétin possible) avide. +Au sens le moins le moins poétiq possible.

J'espérais un tout petit peu que Roberta - je peux le dire maintenant, puisq'elle ne viendra plus - serait un peu curieuse de se coltiner mes traductions plutôt que devoir continuer de les lci produire à la mesure de mon manque de temps pour ça, mais l'effet inverse, ça je ne m'y attendais pas. Je ne songeais pas un instant que l'utilité parasite de cette enveloppe silencieuse, esseulée, cette apparence sombre de solitude absolue pourrait l'en dissuader si parfaitement que ne donner nouvelles soit le dénouement de cette idée qui me semblait au premier abord assez bonne. Bref, un mois d'efforts gâchés, à tenter quelq chose de nouveau, qui se voyait retour aux prémisses. L'alternative trouvée restait la meilleure façon de mener ma danse, sans façons ni autre plats-de-couture.

Avide de moyen de pression, de pouvoir. Comm si le pouvoir de choisir qui mérite quoi doit être notre destination, notre aboutissement. Quelle étrange légende, que celle de lire que se répand (tout) ce qui tire vers le bas.

Je peux dire que j'attends trop, que j'espère trop de ceux qui ne me doivent rien, ni m'ont d'estime, et ça tombe bien. J'en ai autant pour eux.

 

 

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7 mars 2018 3 07 /03 /mars /2018 09:18

LVI : C'est vous qui dites l'avenir ?
ELLE (lisant, devant sa boule de cristal :) L'Avenir
LVI (impatient :) Ah oui.
(il s'assoit :) Que voyez-vous ?
ELLE : Je ne vois rien. Je ne vois rien ici, je ne me sens pas a ma place.
LVI : C'est normal, vous etes a ma place. Vous pouvez vous pousser d'un cul ?
ELLE : Volontiers oui, merci.
LVI : Je ne savais pas que les places etaient nominatives ?
ELLE : Si.
Il regarde derriere lvi, il est ecrit : "LVI"
LVI : C'est bien fait La Vie, quand meme.
ELLE : Ah mais non, vous y etes pas du tout !~ 
C'est pas la Vie, ici, c'est une forme primitive.
On y fait que les repetitions... Genre En boucle, en boucle, tchu-wa. C'esty d'un chiant... 
La Vie c'est en face (elle montre du doigt le restaurant avec piscine, sauna, solarivm et nightclub, il est marque en gros "Ce soir on joue sa Vie : une piece de boeuf a gagner") 
LVI : Pourtant ?
ELLE : Le siege ? C'est peut-etre un  autre LVI.
(monolog confus :) C'est sur, vous aurez le votre aussi a la Vie. Si vous allez par la, si c'est vraiment ca que vous deviez venir voir, si vous avez la vie devant vous, prenez tout droit, et vous y serez. Vous pouvez pas la rater. Vous devriez voir votre tete sur le fauteuil (...)
(de plvs en plvs confuse :) Une fois j'y suis allee, pour me faire une idee, pour me faire a l'idee : que pendant que je joue la, on donne la vie juste en face. C'est un text complique a la base, mais ils l'ont simplifie. Ils rendent la vie plvs facile, c'est sur. A comprendre. C'est une representation de la vie simplist, certes, mai qui vaut qu'on la voie (...)
(puis revenant a elle :) Ici, je suis toujours arrivee en retard. Et LVI etait deja parti. Il n'aime pas les cafes froids qu'on lvi sert, et il dit qu'il en peut plus t'attendre. Alors il se dit Cette fois, c'en est trop, et il balance sa seule replique : Je me barre, si j'ai bien tout compris : Acte LVI, Scene LVI. Je sais pas si j'arriverai jamais a la voir cette scene. Faudra que j'essaie au debut, au moins une fois.
Mais bon, douze heures de cafes froids ...
LVI : Des cafes froids ?
ELLE : Oui, c'est comm ca qu'on les sert ici.
Le realisteur est furieux mais l'aubergist n'en fait ce qu'il veut.
Faut dire, Mathilde, elle sait plus ou donner de la tete.
Elle est tout seule, la pauvre, faut la comprendre aussi.
Elle sert tous les cafes avec 2 scenes de retard.
(en aparte : ) C'est pour ca qu'ils sont toujours froids, D'ailleurs oui ?
LVI (se disant C'en est trop :) Moi j'aime pas les cafes froids. Et J'aime les boire quand je les commande. Je me barre.
(il sort.)

ACTE LVI, Scene LVII (entierement joue en deuxieme langue)
Le realisateur (entrant :) Un cafe s'il vous plait !~
Public du balcon (plateaux a la main:) Deux secondes !~
Le realisateur : Je vous ai pas cause, a vous !~ Reposez ces plateaux, je veux plus vous entendre. Vous parlez meme pas la deuxieme langue
Le balcon hue.
Premier rang (s'approchant sur scene : ) BRAVO !~ UN CAFE !~
Tout le public du premier rang est monte sur scene et s'asseoit a cote de lvi
Le realisateur : Mais ca va bien oui ? Vous etes venus demander reparation ?
Premier rang (en choeur, a sa table :) Pardon ?
Le realisateur : Excuses acceptees.
Premier rang : Rembourses !~
Le realisateur : Les cafes ?
Tour de table ~
Premier :
Oui, on les attend toujours
Second : Et en plvs ils sont froids,
Troisieme : Parait que vous etes un type important ?
Quatrieme : On aura peut-etre plvs de chance d'etre servis assis ici
Cinquieme (a Mathilde :) Assez tasse, stoplai
Sizieme (se levant pour chiper le cafe du realisateur :) Passe.
Septieme (trou de memoire :) ... 
Huitieme
 (improvisant: ) T'es trop nul, t'avais pourtant pas grand chose a apprendre.
Neuvieme (lisant le text du septieme :) Rien a ajouter.
Dixieme (mort de rire :) Alors, voila quoi, pas d'inspiration, rien pour moi ?
Le realisateur : Je suis le realisateur, donc oui, je crois qu'on peut dire que je suis un "type important". Ici, Dieu, c'est MOI. Et les cafes, vous les payez pas. Septieme, vous irez au 32 e rang, faites des aaah, des ooooh, des eeeeeh, faites comm les autres. Huitième vous savez bien improviser sans trop vois étendre, vous ferez le mort.
Les autres, retournez vous asseoir.
Huitieme : Yeaaaah
Le mort : eeeeeh
Le réalisateur (au mort :) vois, allez rang 32 aussi, mettre de l'ambiance. Vous êtes promu chauffeur de rang 
Mathilde (huant, au loin :) Ils payent pas les cafes, et ils filent meme pas de pourboires !~
Le premier rang se rassied. Certains huent. D'autres veulent sortir mais les portes sont condamnees. On hurle : Rembourses !~
Le realisateur : Vous payez pas les entrees non plus !~ Alors vos gueules hein ~!
MAthilde (entrant enfin :) Tiens, je vous attendais pas si tot ?
Le realisateur : ACTE LVI, SCENE LVII.
Quand LVI sort, j'entre. De sorte que je n'arriverai jamais a le voir.
Il m'a pique une repliq la derniere fois.
Je voudrais lvi dire deux mots, mais pas moyen de l'attraper. A chaq fois c'est pareil.
Le gerant (au balcon, applaudissant : ) Bien joue !!~.
Le realisateur : Merci, patron.
Le gerant : Non, je veux dire : LVI, bien joue de se barrer.
Le realisateur : C'est moi qui l'ai fait.
Le gerant (ecstatiq :) BRAVO !~ Quel acteur, hein ?
Mathilde (s'approchant du realisateur, lvi servant un cafe froid :) Vous avez pas l'air dans votre assiette ?
Le realisateur (recrachant son cafe :) Je sais plus quoi faire de vous
Mathilde : VOUS n'arrive qu'a la fin, vous improviserez un truc, n'y pensez plus.
Le realisateur : Vous me saoulez avec vos repliques toutes pourries, Vous servez des cafes froids, Vous me faites chier.
(puis, tout content :) Je vais vous virer.
Mathilde : Vous n'est meme pas paye.
Le realisateur : Meme. Vous servez a rien. Pis vous jouez tellement mal, c'est hilarant.
Mathilde (jetant son tablier : ) Si c'est ca, moi aussi je pars !~
Le realisateur : Vous pourrez pas sortir, les portes sont condamnees. Je vous replace dans le public. Aux baignoires, la-haut.
Mathilde : Vous allez le regretter !~
Le serveur remplacant #1 (somnolant : ) Enfin. ma scene. J'attends des plombes et je fais une scene. Et just apres je meure.  
Le garagist du coin (entrant :) Un cafe froid stoplait.
Le serveur remplacant #1 (surjouant, euphoriq :) Et un cafe froid de la maison, VN !~
Le public du premier rang (standing ovation :) ON ATTEND TOUJOURS NOTRE CAFE !!~
Mathilde (s'installant aux baignoires :) Ah mais la Paix !~
Le gerant (sur le toit : ) BRAVO !~ Quel jeu !~ Quelle actrice hein ?
Le realisateur (surjouant :) C'est sans fin, je ne trouve pas de fin. C'est interminable, ca ne mene nulle part.
Mathilde (dans le public, nue, se lavant a la baignoire-la-haut :) Pas besoin de fin. Vous avez qu'a faire comm la derniere fois, faites pas de fin, on reprend direct : ACTE CLIX, SCENE MIX ~ hop ACTE I, Scene I.
Le public aux baignoires (comm des dingues :) Champagne !~
Mathilde : Allons bon.
Le realisateur : Vous en avez pas marre ? Rejouer encor, et encor, la meme chose, sans jamais vous reposer ? Vous etes meme pas payee !~
Mathilde : Vous n'est pas paye ?? ELLE est au courant ?
ELLE : Quoi : MOI ?
MOI (se reveillant, comm sortant d'un reve :)  Quoi ? Je sors ou ?? Ah mais si vous changez le text, alors la /// ~
Le realisateur : Personne n'est paye
(on hue aux cuisines :) HOURRAH !~ UN CAFE FROID POUR LA 7
ELLE : C'est pour ca que j'arrive en retard, a chaq fois, cherchez pas plvs loin, hein.  
Mathilde (chantant :) Mais les cafes sont gratuits.
Le premier rang (mutinerie generale, on jete les fauteuils sur la scene :) Mais FROIDS !~
Le gerant (aux anges :) Ils sont bons, hein ? Ca joue bien hein ?
Les Anges : C'est long quand meme, non ?
Le gerant : C'est sans fin. J'ai un contrat a vie : "jusq'a ce que mort s'ensuive," ca dit. Je suis transquille, c'est toutes les 48h. Tiens d'ailleurs c'est la. Je joue une pauvre chtite scene, le mort arrive puis on signe le nouveau bail, et apres ca je peux glander les 47h suivantes. Le realisateur, il fait tourner ma boutiq et ma petite niece garde sa nounou gratis, tous les samedis en echange. Elle a des sacres problems de drogues, c'est beau a voir en plvs.
Les Anges : Vous, vous savez y faire.
(puis se felicitant comm des billes aimantees, les vns les autres : ) Bien joue, bien jour, bon jouir, bien joue, merci, bien joue, idem, merci, merci, bien joue, merci, idem, bien joue, bien joue, merci, merci, merci, idem, ~...

 
 

 

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23 août 2013 5 23 /08 /août /2013 02:11

Image surrealist. Amours folles meublees,
S'il est a une certaine echelle de temps possible d'a l'oeil nu voir se mouvoir les formes, il faut bel & bien a la notre sans recul sentir le sol sous le pied. Une coccinelle sur les cheveux, l'Imponderable dont on use comm d'un dernier vestige du plvs lointain ancestre connu.
Meubles damiers d'Esperluettes Geantes aux gestuelles singees ~

Bienvenue a tout nouveau visiteur : Que le beau soit et nous n'en serons que plvs ~
Le but etant de faire dde la pareidolie une science exacte.
Se partager un point de vue comm d'une corne d'abundaunce les ressources intarissables. 


    "Je peux vous toucher le bout du nez ?
_C'est pas mon nez, c'est mes nenes."

 


Legende : il y a des silhouettes qui comm celles-ci separent durablement les terres, ciels & les oceans.
De sorte que tout se touche, sans heureusement se superposer.    

elis-arc-ange-shell-mouth-statue.png

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17 mars 2011 4 17 /03 /mars /2011 03:14
[Bribes éparses en forme de texts qui veulent faire, tantôt allégoriquement tantôt à la manière d'une mélodie qui donne le ton de son sens ~ grave en l'occurence ~ l'apanage des drames qui enrouent la 'voie' parlée de notre civisisation ~ Prenant tantôt la voix d'un dieu récréateur, ou celle de la planète (elle m'aime...un peu beaucoup passionnément à la folie pas du tout)
Ou les ruptures du monde avec ses hôtes ressemble à l'AMOUR FOU lui-même ~
Ces sons...-là, ce sont ces cons-là, eh oui, nous ! ~]

 

I - Des Homms-soleil

Des créateurs

_Récréateurs héroïq

_réunis, en formation d'un cercle. Rêveurs.

_Êtres circonscrits, lucides

_artiq, d'une lucidité parfois glaçante

_ce quo se joue, comment ce qui se joue ?

_D'entrée, dès leur entrée en scène, il y a qui s'immisce entre l'oeuvre & son public, & qui s'y lève, se dresse seul, qui y lève un doute, une voix c'est celle de tout héro incandescent

_poèt, empereurs, peintre ou Homm d'harmonie qu'a fait jouer un air de puissance ~

_Oui, un air de puissance, sans rire.

_pinçant, de semblant grave.

_Tous sont sinon couronnés au moins investis, dans l'Oeil pour Oeil cet espace triptyq

_Quantiq _Surréalist

_laisse-moi rire, Surréalists !~

_espace de danse qui gravite, déplace, replace à volonté

_& même sans _oui, en tout instant, dans la position de l'Equilibre, la Révolution, par rapport à ses repères.

_ceux qui sont dépassés & ceux qui en reprennent

_insatiables

_ceux vers lesquels tend tout ordre lorsq'il est renversé des donnes

_y coule

_L'eau a coulé sous les ponts en un week-end ferié oui

_heureusement _Joyeusement

_en quelq 24h prises au courant, stagnées sur la seule 38e page chacun des individus qui a pris position s'en est depuis repris

_depuis toujours

_ravisé oui.

_un tant soit peu ou suffisant mis en scène remis dans le cadre, remet à présent

_& par extension, à tout temps à venir

_remet dans son cadre à tour de rôle à sa place celui qui l'observe.

_le spectateur devient l'ennemi commun

_il est là le cou du génie

_long coup de génie, en trois tours

_autant de fous.

_celui qui se combat à la force jointe, d'une main de fer, manu militati, que l'on prend avec la poigne ferme d'une rage pour un non initié

_ & qui en bave quand on le trempe dans le sel.

_Il est dit aussitôt que si tard tout ce qui ne se prend pas au sérieux, se mange, ou se boit.

_Que ce qui ne se mange ne se boit, nécessairement peut être intégré au corps y être incorporé d'une autre manière.

_Plus rejet n'est, le rejet n'est plus, il n'a plus lieu d'être, il n'existe plus, il n'existe plus pour lui d'organe qui n'ait sa place toute définie.

_Le spectateur est acteur, dirigé.

_la conquête de cet espace entre eux,

_L'espace qui consiste dans l'occupation rendue la moins occasionnelle possible

_qui ne manq pas d'airs

_symptomatiq surtout~

_la plus systématiq possible

_~des mouvances de ses plans qui se tirent des comètes

_dans les pattes.

_De l'esclavagism moderne & des multiples voix raisonnées de ses conséquences. Héros surréalists

_& l'art de vivre à fond mutuellement son fouet à la main

_Sous la neige, le sable brûlant qui dort une pillule à la vague~

_prend ll'ordre de tirer

_& l'art pendant ce temps, de vivre à fond ses vies, à pleines gorgées dans l'impulsion électrisée dans les mouvements de masses creusées d'emblèmes, de toute chose vers les suivantes.

_l'ordre donné des passants de s'arrêter sur l'onde du temps, qui refait la portée de sa mélodie se coucher à plat ventre sur le sol comme une clef devant la porte qui croule.

_en attendnaat la suite, eh bien, mais c'est la mer !~ il faut que nous lisions.

_lisions ?

_pour la fertilité ne voyez-vous pas ?

_Ce que cette envie d'ellle doit nous faire réagir

_réagit vite _avant que le claquage ne soir prononcé, qui rompe & couoe court.

_il faut dresser ici vite in rempart, pisser autour de son lit, marquer le coup ou construire un territoire.

_elle ne survivra jamais, elle est déjà à la frontière du rêve épanoui.

_pas dans ce domaine hostile

_pas dans ces conditions

_qui font la vie dure, sans durer

_elle aussi, fait la chose dure, pas aussi bien que quiconq mais elle a plus encor ~

_ça c'est uniq~

_oui, d'un costume loué comm un culte, un cow-boy dans mes décors à scène uniq, chez les astres qui pleuvent des merles désenchantés

_des petites perles que ceux-là en vérité. Des perles d'authenticité.

_Ils ont regagné ma confiance.

_terre sacrée, longtemps cherchée longue marche en effet

_et beaucoup de dêroute ~

_indispensable de se perdre pour trouver le bonheur.

_tout ça est plus qu'une occupation, une préoccupation. Pas trop indiscret, la vie privée de l'Ange.

_sur fond de valises immarcescibles. Ils ont sacrément cheminé.

_artothèq conjugale librement de mise

_librement scène / pièce à vivre

_ou couloiirs à coulisses

_qui pivotent dans le sens laissé lâche, vague, & sans information

_secousses d'un espace convergeant

_inverse au sens de l'aiguille que la'main mollement déterminée, déterre & mine préventivement.

_Gardes de leur sang froid qui les dégivre

_la vie rougit d'odeurs, & de réflexes.

_comme cet enfant privé de la privé de la forêt.

_c'est elle qui l'élevé.

_elle l'avait bien à elle dès le début

_le plus difficile dans l'immédiat.

_L'immédiat lui-même l'est

_c'était de le conserver

_dans l'état

_en son état naturel

_de non immarcescible quant à lui

_oh non, hautement putrescible

_il s'érode il se corrode, dès le début il s'annonçait fragile, à mourir.

_il avait un destin

_il l'appelait à l'essor

_ce n'est pas qu'un bain, une lessive, une vague ressource gigantesq

_une lumière qui en émet

_& met de la couleur sur l'odeur de l'humus dans les pas du monde vers la fosse.

_quand tombe la fatale décision

_nous prenons tous un temps pour épouse la forme qui nous incorpore le mieux aux masses natives.

_espérant être en vie cette fois vraiment.

_loin des fonds

_loin s'en faut ~ fond l'oing, les fins qui filent à la seule réaction du context, à la direction de casting d'un metteur en scène déjà em pièces.

_il fallait qu'il le soit, pour réunir & monter! _il aurait péri il l'a dit il n'aurait pas survécu s'il n'y était arrivé.

_RETARD nécessaire de ces récréateurs, de densément décanter, laisser prendre le bitume, macérer comme on dit dans les bétons quand s'y prend lepouls des survivants.

_8h à défiler il fait beau auhourd'hui. Dépassé les niveaux autorisés d'ensoleillement obtenu, concédés des huit heures d'affilées.

_sur fonds sonores l'espace de danse ou une position du poirier produit le plus grand nombre

_vers l'équilibre parfait

_de deux forces aux formes inconciliables. Mer et oeuvre sombre.

_entre elles tiraillées

_de la forêt & l'enfant qui en a jailli ~

 

II - La force dormante des horizontales ~

Grains de soleil dépots sur les sacs d'eau allongés prêts à être démis de leur première fonction de veloutés souples ou promus sacs de rivières prématurément décadents, déjà fermement impliqués dans la mise en boîte polémiq de quelq espèces en voie de disparition ~ dont ce matelot t'en souviens-tu ~ & sujet dangereux aux réactions ''excessives c'est rien de le dire'' aux vagues conjugaisons innocentes de la mer & des cieux s'accouplant pour la forme, décuplant leurs forces jointes pour le fond, désolidarisant ledit matelot & tant d'autres, lesquels fondus par le sombre temps sombrent par la fond ~ Lignes rigides qui substituent aux formes les efforts des colorations, leur substance mise en contraste, teinte du continent qu'il n'est plus à chercher, dérivés direct des meilleures métonymies mises en laisse autour, tout autour de leur axe paradigmatiq ~ outrancier, & saturé ~ lorsq se mêlent entre elles les lueurs de désespoirs noyées dans la profondeur des infinis ou commence seulement de prendre forme un semblant d'éternité & une notion de liberté ~ contenue encor, mais plus pour très longtemps dans les frustrations qui pointent du doigt les grands nombres ~ naît comme un socle assis quand est tirée des langues ou de la queue d'un poisson en pas d'oei une vérité sur les lignées de son avènement, la puissance de frappe de la bulle, sa véhémence caractéristiq, son immense dimension allégoriq qui soulève le ventre des eaux, cesse de dissimuler son poids sous les couverts mis à la table des ogres gris jaune de passage ~ un trou dans le panneau vertical que l'oeil remet au goût du jour presq d'un instant sur le suivant, se perce qui laisse à l'horizontalité du monde un droit de passage, laisse d'elle un souvenir constant qui peut porter haut la voix des revendications d'applanir la voûte lumineuse qui veut combler de soleils les bains les plus haut, & glacer ceux qui stagnent à leurs pieds. Forces dormantes étendues allongées gorgées des profondes accérations de énième ordre donnés sous l'impulsion d'un premier coup du point sur la table ~

 

III - POLYSEMIE ~

Un de ces archipels, né à la croisée de plusieurs sens pris simultanément dans le battement du coeur, dans son pouls sans repère, défait des faits , & des orgues plastiq les effets ces découlantes coulées des efforts en trombe, l'astre sumérien, dès son origine nombreuse & décollé des colliers de vipères sèches & de seiches vapeurs ~ remises à cuir, étallage qui coûte à l'être cher le droit du regard fuyant ~ ce qui faisait déjà le plus au sortir des lignes droites prises en pointe graviter des anges autour de leur sensation d'avoir tourné en rond trop longtemps ~ à leur tour alors, de voir de se produire en spectacle le génie des files d'attente, celui qui franchit des caps comme des barrières en plastiq tendre au sommet d'un art ~ ce sens premier qui déshabille les suivants trop humbles pour lui en vouloir. Le plus bel archipel du monde, que rien ne fixe, & n'esy fixé sur rien par voie de conséquence ~

 

I (2) Un salon continu ~

Remise à la boucle ~L'eau chaude qu'il a plu, qu'il n'a jamais cessé de pleuvoir sur nos nez tandis que ce ciel se tapissait de voix & de corps enlassés encor en train de s'éprendre s'êpancher penchés sur le ressort qui les a bien fait soleil, leur a bien fait soleil à grand bond faire ou prendre en bain ~ au sortir d'une fonte des glaces ou tous étaient encor assis se sacrifiant à réfléchir ~ dedans tout à fait dedans ou s'engrangent des volumes & s'emboîtent des pièces évincées de leur chambre d'exploitations ~ temporairement évincées ~ rougit un profond morceau de tendron levé sur l'espace lévité d'une table, proche de la bouche ~ en digérant mal, en régurgitant le trop plein d'une quantité à la crue exponentiellement explosive de gravité, le cycle qui doit à toute chose trouver le tronc tronquer l'élément commun à métamorphoser qui doive reprendre de sa place le centre d'un attrait un temps court pris pour jardin à de nouvelles exploitations, déçoit cette fois celui qu'il a nourri de ses espérances, celui qui l'a nourri aussi de ses volontés découlées des meilleures ~ en sortant de ce cercle annoncé sans fin guidé dit-on par une main invisible la même qui régit un système qui doit ~ qui le doit qui en a l'obligation, ne serait-ce que morale ~ se porter bien, ne serait-ce que morale ?, l'élément, l'aimant aimant qui se décolle qui décolle trouve une orbite en marge, et part pointer sur d'autres systèmes les lois de sa gravité nouvellement empruntée comme une voix parlée à grande vitesse, hors des conduits communs de la bouche qui seule, sait recycler la matière comme les idées ~ le surplus qui sans tasse ou boire à la bouche les mots qui s'amassent se déversent, s'entasse jusqu'à plus soif, et plus soif bientôt ne signifiera plus que bouteille vide ~ la volonté baissée sur ses forces épuisées lasse, la bouteille de grand éclat se brise, m'enlasse dans un dernier moment de grand amour, ou il est dit 'tout ça était très beau, un temps, un temps pis tant pis je vous remercie''

 

I (3) Ces sons-là ~

Sons franchis le pied levé dans l'effort qui se perpétue, dans la lancée l'élan difficile à retenir, sons qui donnent à leurs échos l'amplitude d'un degté nouveau, sons qui en s'épanouissant dans le large découvrent et se découvrent des prorpriétés inexplorées, se découvrant de leur tenue de chienne en laisse ~ degrés démultipliés dans les croissants ascendants de leur gravité ~ en lévité des songes, ange dense et superfin qui s'établit un point de repère comme une chute derrière le voûte horizontale, sons qui se traversent de part en part par des dessins affiliés, réminiescents somptueux encor éclattants de leur sous couche de palimpseste en tropes ~ les sons qui transfusent dans les veines la vague d'onirism détachant qui veut les laver de leurs combustions premières, sons des levants, sons de reflets : sons purs, qu'on peut aisément remarquer au stylo rouge en souvenir, ou pour la forme, sons guignols.

 

II (2) Sans fuites, sans filets par quoi laisse passer la fuite ou la rattraper plus en bas sur la plaine, comme l'écorcheur écorché lui-même qui sait que proche le précipice ne peut pas vouloir dire une seule chose mais bien entretenir avec les sens des rapports croisés, à la croisée des sens, des rapports étendus à l'étendue des sens & des rapports réguliers avec tous ces sens épanouis qui se brillent la pillule au soleil d'un été qui s'avance ~ comme aussi cet autre suicidé qui fait des erreurs jusqu'à son dernier pas, qui s'avance lui aussi mais dans la fosse cette fois, et sait enfin lui comment les multiples usages qui sont faits de ces songes recyclés tournoient se confondent se mêlent se mélangent et forment des formes de choix en aimant follement se trouver seulement lp ~ Comme tous ces ambages que personne ne comprend jamais faute de chercher mieux à inclure de leurs syllabes jambes et bagages les première, dernière voyelle au cercle ou d'usage se forme leur pensée. Comme tout ça je bande, du soir au matin & du matin suivant au soir encor après, car sauter 2o clopes fait cet effet ~ que tu me fais aussi, jolie nuée de jouets qui passe à mes reflets d'arbres en arbres pour un mirage du passage ~ le passage intéragit souvent avec la plupart de mes grandes lignes suivies de près ou tracées avec le volontés d'avancer jusqu'à en devancer la rivée ~ et ce passage fait plus grande à ma vie toute notion de sédentarité. Un passage un couloir plusieurs qui se frôlent et s'aiment un court temps pour rapprocher des fonds aux formes avec emphase & beaucoup d'envie ~ oui !, beaucoup d'envie, celle notamment de gratter une voix électriq dans les mots d'une guitare sourde & aveuglante ! ~ autres tunnels ou ponts de virages en rivages, autres encor sillon suivie à main levée le long d'un silence qui s'enfuit suivant lez horizontales rétablies mais encor allongées, alitées, haletant ou alaitant quelq sain dessein nourri par les lendemains ~ je ne me couche pas en attendant demain, oh qu'non, bien sûr je me lève droit pour passer le jour à le faire progresser ~ les forces qui se dressent sue les horizons celles là détiennent les colorations de plusieurs champs celles là déteignent leurs nombreuses aspirations dans leurs souffles et sont toujours gorgées des éspoirs dégporgés des textures aprçs qu'elles ont tout donné.

 

II (3) Les homms font bien des clowms

_Oh ui, ils en font, ils s'en font, même de peu!

_Il s'en faut toujours de peu qu'ils s'en fassent encor plus.

_Toujours assez peu, mais bien assez encor !~

_D'un cas marginal, mis dans la marge, émergeant des larges rayons de trois soleils distincts simultanés, ~la remise en boucle, c'est exactement ça. Un moment qui se passe mal, trop ample, ou les conduits sont-ils trop étroits ? ~

_Bien trop étroits. Elle n'en mène pas large, elle est courte comme une idée qui a coupé. Des perspectives aux champs réduits, raccourcis pris la honte en bandoulière, par-dessus l'épaule comme on dit. Confinés à leur sort depuis toujours, ces homms ~ je suis que-un-homm je l'ai toujours dit ~ restent eux-mêmes, & moi, moi, je ne les aime toujours pas. Je préfère les requiems, le sang qui fuse dans les idées tranchées.

Ces impulsions qui font la vie prendre dans la sève la bouillie pour comestible, panaché des variations les plus largement étalées dans les degrés de l'extra-visible évidence à l'improbable invisible ~ Je préfère mille fois à une seule, faire l'amour d'une nouvelle dense intention, partager l'air grandiose, dense, tourbillonnant, une nuit seulement ou sept fois d'affilées dans les nuits qui se prennent une par une sporadiquement dans le mois qui nous étend, à la profonde noyade des sens dans des impératifs clefs qui ne donnent du partage consacré que des débuts, jamais développés de nos photographies occulaires.

Un mirage ? Mon oeil ! ~ C'est bien du sel et derrière, eh bien derri*re, mais c'est la mer. D'ici je l'aime pour deux, d'ici je suis un dieu qui ne peut vouloir que de que-un-homm donner la mesure qui nous quantifie.

Après toi ? Après toi, eh bien, mais je serai dévasté.

Car il y a un après oui il y a déjà un après ~ comment, ça fait sourire ?

Les homms font bien des clowns, n'ai-je quant à moi le droit de me planter, me le planter dans le front ce foutu long bâton rouge qui m'envoie depuis toujours & qui m'enverra encor pour toujours dieu me le permette, aux paroles les ambages distincts qui détachent à toute nature première les texturedls de leur formation ~

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10 mars 2011 4 10 /03 /mars /2011 04:38

Un procès-verbal : la culture du lombic dans les sphères musicales devenue soudainement prohibée.

Est-ce de Johannes Heesters dont il faut le plus se plaindre, ou doit-on passer une cravate au cou des benoîtières bénédictines missionnaires de Tutzing pour leur pacte avec les diables de l'Ombrie ?

Tout un champ s'ouvre dans le regard des tertres où s'évacuent les eaux de ces temps de vieille tête de bûcheron forcenés : un cheval au galop heurte un camion.

Elancé

Un cheval au galop le heurte ce camion qui franchissait le carrefour au mauvais moment. Il chute en silence sur le bitume brûlant de la fin du printemps. Tout le laps de ce temps se marie avec les années-lumières, ils prennent ensemble des orbites pour nuits de noces, et font des petits, tous aussi gravités des louanges qu'un cheval mort galopant sur un carrefour peut être capable de produire en reproduisant une année-lumière au seul moyen, rappelons-le ou mentionnons-le une seule et première fois, d'un papier moucharabieh translucide, presq opaq. Une onde soporifique jaillit de nulle part lui aura traversé d'abord l’anus puis le cheval d’un coup, un sursaut pris en remontant une pente proche du Styx - la dernière ligne droite, dit-on - se redresse vivant, et retombe immédiatement endormi. Ces siècles parrurent une seconde. Le choc inévitable : un carrefour du temps qui traverse un animal qui traverse un camion qui traverse un patelin de sortie d'autoroute. Un minable otage de commissariat de banlieue arrive au trot à Paris à ce moment et entre dans le spectacle comme s’il connaissait le quartier comme sa poche. Une vieille dame adultère finit de raconter ses fresq de la nuit dernière. L'inspecteur Sognoloppé en a marre. il l'envoie au pot, où elle plonge ses fesses roses pour y couler un bronze. Massif. La première victime parle d’entourloupe, la seconde dénonce une sorte de conspiration, le commissaire en émois demande que le calme soit rétabli, mais !, oui, mais : les policiers déjà sur place ne veulent plus rien savoir (de plus).

 

Emballé

Mal aimable, la première victime - un cheval de la banlieue nord, frappé d'ataraxie quasi simultanément, rapporte un commis du juge de la circonscription, en nage, en stage - qui revient d’une pesée où elle a vu sa nièce gagner haut la main le prix des blanches nattes aux figues devant un ridicule bonhomme de foire des temps anciens, revenu avec un paquet de guimauve pour nourrir les anciens de son village - de Provins -, repart à la pesée pour y oublier son parapluie sec depuis le matin. Ce détail va changer le cours de l'histoire, puisq c'est sans son parapluie qu'elle sera frappée d'ataraxie, pour ne se réveiller que quelq heures plus tard, mouillée par l'averse. Averse qui, précise le rapport du stagiaire, n'ayant été que très localisé, n'a pas pu se trouver à la fois dans l'anus du cheval au carrefour des années-lumières que des orbites fraichement nées - mais ça, il n'en sait rien - finissent d'élever pour perpétuer l'espèce - fraichement on lui découvre de très belles propriétés, dont une du côté de Nice, et une autre, d'être une des orbites les plus rapidement définies pour ne plus devoir subir la longue progression des orbes concourrantes, comme de toute autre orbite d'habitude c'est le lot. C’est que songeant au x parties admissibles et intelligibles de ces choses, il paraît tout à coup au commis stagiaire et, ayant remis son rapport, au chef d'instruction nommé sur la partie banlieue de l'affaire - les deux pièces sont ainsi un temps suffisant partagées en deux affaires distinctes - plus logique de s’égarer dans des détails accessibles par l'esprit humain, que de se traîner encore pour des suites, des poursuites que d'autres - collègues, concubines, principalement - prennent pour des évènements mineurs, voire carrément juvéniles. Et elle a bien raison, la concubine. De même la gagnante du prix, oublier son parapluie - même si ce n'est évident pas délibéré - car elle aura, on le verra au réveil, besoin de ses deux mains. Mais pour l'instant dormons.

 

Dérobé

Le passant qui se veut déjà nommé victime numéro deux hurle un truc salopiaud en yougo et crache en même temps quelques postillons sur le bitume encore chaud de l’accident sans savoir ce qui y a lieu, ce qui doit s'y produire, et qui doit enquêter sur tous ces sujets graves - et même un tantinet barjots.

La dépêche est tombé : l’animal est sauf, vous pouvez circuler. Un coup de sifllet, cette dépêche, il faut faire vite. Rien ne bouge pour autant et c’est normal car c’est assez peu comme brève, un court-métrage se met en place sur la pièce centrale d'un vaisseau qui se pose là, c'est un véhicule de l'armée à un seul réacteur, une prouesse de poétiq mythologiq : ils l'appellent déjà la demeure des demeure : "MINERVE". Le court métrage n'a pas le temps d'une trève, on annonce déjà - un type qui descend tout droit de l'anaptéron unistato, et le prouve un arbre à la main qui se dit aussi généalogiq que ces singes aux commandes, qui ricanent en faisant retentir les douze klaxons minute - que les renforts viendront tantôt reprendre leurs droits, tantôt passer l'arme à gauche pour équilibrer le champ. Ce qui se produit dans le seul intervale qui concerne, cerne, s'empare, convoite et finit par contenir l'émotion du temps qui se balade entre les deux coups de sifflets - le premier pour un oui, le second presq aussitôt pour un non - donne au véhicule dit Minerve la première place : l'objet est très imposant non seulement, mais surtout son irruption coïncide. Et ça, les gens qui ont l'oeil artistiq, aiment. L’antisocial de bas étage qui a le sifflet dans le bec après une permission de sortir remise à la cave promeut sa voisine du dessus ‘Déesse’ sans se soucier un instant de ce qu’il vient de se passer dehors, & sans pourtant y être étranger : "ce cheval, c'est moi", dira-t-il plus tard, vbien plus tard, au terme d'une très longue tirade inspirée qui lui vaudra les plus belles métaphores & personnifications de tous les temps et du quartier (et ce, en même temps !)

Un buraliste plus pressé d'avoir son rôle plutôt que s'annoncer & ne rien voir se produire, lui aussi emballé par les longues tirades et les caissières aux grandes casseroles qui terminent les aiguilles du talon par des bas qui se filent comme de la métaphore de bas étage, dit que la grande nouvelle s’exclame ele-même qu'elle est un cheval heurté de plein fouet, et que ce cheval va bien. Il dit qu'il a été un temps artisan du bois, et que dans ces circonstances on peut dire à peu près n'importe quoi, ce que lui concède l'assistance, un chouilla dépassé et en se propageant, se déversant, se multipliant et se déployant tels des arbres en pleine saison des amours, ainsi le violent immobilism sur les lieux, terrasse les éléments, et arasent les sols en surchauffe. Table est nette, et rase les murs - accusés de trahison et jugés sommairement - déjà suscités à se lever devant les pièces intimes, et, par la première dépêche, invités presq aussitôt à tomber, ou à s'écraser. Ce n’est là que parce que la première victime n’est pas encore arrivée sur les lieux. Un cheval fracassé en valant bien un autre, et deux accidents similaires étant par ailleurs pour un simultané la preuve vivante de quelq défaut de post-prod ou, plus à la racine, de scénario : uine ménagère dit que c'est fortement improbable, un clown dit qu'il n'a jamais vu ça, c'est seulement un boucher en congé qui permet que ceci se fasse. "C'est parfaitement sain. Tant que la bête a pas la patte marquée du signe A ou du chiffre 7". On observe, et on laisse entrer la première victime, remise de son long voyage enfin. Elle est encore à des lieues d’ailleurs de se douter qu’une Déesse vient de trouver un prince charmant aux bas étages de son immeubles où se filent les métaphores proches de son dessein et physiquement même très ressemblant, quand bien même elle est abasourdie en reconnaissant en plus des faits, qu'elle les connaît tous deux : Déesse comme antisocial ras la chaussée étaient à son mariage avec les années-lumière prises pour formes épousées dans la seconde parue des lustres. Ils disent fièrement "chut" en s'approchant, mais craignent en vrai, qu'elle parle. "Victime, tu as un teint aussi resplendissant que peut espérer l'avoir celui à qui a souri la journée. Tu as souffert, ou causé qu'on souffre ?"

Le cheval c'est moi, dit l'artisan du bois - boucher - en misant sur lui-même, et, délesté, il se limoge. Tranquille. Self-made horse. La mode est lancée, on la perd de vue très vite.

 

Affriolante

Et bernée par la rumeur, la deuxième victime vient de prendre connaissance des suites de sa vie dans la main d’une lectrice qui lui a achevé le roman noir qui traînait depuis dix-neuf mercredis déjà – mais pas d’affilées, heureusement pour les enfants, vous pensez, et pour leur nourrice. La lectrice lui demande : ‘Alors, qu’en avez-vous pensé ?’ Une vague direction est donnée, celle de ce carrefour d'où tout semble avoir été commandé. Le livreur dit qu'il n'a jamais eu affaire directement avec le commanditaire, qu'une ombre plate sur les bords, et légèrement bosselée sur le devant venait toujours traiter, et qui se faisait appeler au téléphone. Au téléhone, juste comme ça. Juste comme ça. Monsieur ?, demande-t-il à l'ombre. "Au téléphone" _Très bien, je vais patienter.

Le deuxième invité surprise a été témoin de plusieurs choses étranges à la fois. Sans avoir vu l'histoire du chevla prendre sa source ou accoucher sur le bord de la route, il a cependant quelq bonnes histoires à raconter, qu'il raconte & que personne n'écoute d'abord, croyant voir làqu' aucun lien ne la rapproche de la scène. Enfin, venez plus prêt, on n'vous voit plus depuis votre torchée au poker avec le grand frère Maurice. Il ne fait pas le fier, mais finit son histoire en concluant comme il fait toujours - en roulant une pelle ou juste par un audacieux "Authentiq". On cherche où il a voulu en venir, et on remqrq que ce doigt qui pointe encor, a fortement l'odeur de ce qui perd du regard dans une silhouette où pointe un téton cvolontaire. Ce que pointe ce doigt est donc, se dit un enquêteur auss révélateur et négatif que ces clichés qu'on nous ramène de l'étranger quand il titube depuis la porte du troquet du village voisin : un peu de militantism local n'a jamais répudié qui que ce soit, et les coups de coudes se passent comme de commentaires, des occasions qu'on tire des profits de la ville sur l'avenue des caméras de la presse nationale. On sent aussitôt que les élections approchent. Tandis qu'un homm descend d'un ballon en rappel les gazs qui montaient trop sur les leurs, les chevaux frappés par on en sait toujours pas quoi - sauf le premier, bien sûr qu'un camion a reconnu très tôt d'effets - deviennent des sortes d'outil de campagne, ce qu'ils ont été dans un premier lieu, que nous tairons pour respecter leur changement d'identité, qui avait été long et coûteux. Des années de psychanalyse pour se remettre de leurs origines de chevaux de traie de Marais-Pointevin - entre nous on peut, sisi. L'un des chevaux qui n'est jamais tombé - passant par là - aperçoit qui arrive une espèce d’expert à la noix, un nœud de professeur en congé lui aussi, un air d’uthentique sur le nez, et de la couleur hurluberlue dans le sourcil lorsq'il s’exclame en trop grandes poompes pour lui, devant ceux qui s'examinent mutuellement suivant l’animal dormant en conseil : ‘C’est la plus magnifique découverte depuis bien longtemps ! Nous voici à l’aube d’une nouvelle ère !’ Mais personne n’a réellement envie de se laisser enquiquiner par tous les badauds qui viennent faire leurs intéressants devant les caméras de la presse nationale. Sauf, évidemment le futur maire. Et chacun d'attendre qu'il ait fini de sourir pour écouter son discours sur l'ouverture qu'il faut faire des esprits sur les bancs où couchent les idées neuves comme la fraicheur des manteaux de la génération plus prometteuse que toutes les précédentes. Vous n'avez pas d'antécédents médicxaux au moins ?", juste pour être sûr. Il laisse enfin que se penche ensuite comme le veut la tradition, celui qui prend la parole sur le sujet qu'il aborde. Un bateau ne contredirait pas cette règle. Qui n'a pas d'ennemis d'ailleurs. Il pleut sur le cheval, le chauffeur du camion y compris, après avoir pris la fuite avant que quiconque note sa plaque et être allé se garer plus loin. La deuxième victime n’en croit pas ses yeux : sa lectrice de voyante est littéralement en train d’écouter battre le cœur de cet élégant animal blessé qui semble tout droit sorti d’un conte pour enfant, et tout le cercle qui se forme autour d'une troisième victime confirme des dires qu'on achève de balancer comme des oraisons funèbres ou le véhicule d'un très efficace discours historiq : ce qui frappe les bête, c'est la rage !

La Rage ou la soif, qui sait.

La Déesse en reprenant une couche va s’allonger cette fois le plus loin possible de la tentation que représente la menace du bas étage en disant Tout ça m'a fait peur, et beaucoup de bien en même temps, attrape-moi, là. Elle lui montre où. Et c’est là seulement, en sirotant un cocktail maison pour achever la journée ou attaquer la suivante en justice de fruits séchés et de  vodka trempé aux fraises dans le lait fermenté d'un village voisin, que l'enquêteur s'aperçoit et comprend !, que ce lait n'a pas été cuit, et qu'il faut qu'il dorme s'il veut que ce début de réflexion donne des petits demain. En se réveillant une heure et demie plus tard la tête sur le comptoir et le comptoir dans un placard il voit pour la première fois qu'une foule qui s’est établie a rassemblé des petits pains pour célébrer la rage, ou la soif, il entend mal d'ici . J'entends mal d'ici. _Sortez donc du placard, il y a des petits pains pour célébrer la rage. Ou la soif, on ne sait pas trop. Il se ressemble en sortant, et il rassemble de plus en plus de ce qu'étrangement il voudrait appeler du lait dans la foule affairée de ses idées qui s'affolent comme s'il allait faire chaud. Celle qui porte les pains est effarée, mais sans savoir pourquoi, retourne s’envoyer en l'air avec son prince charmant à la chambre connexe.

Délicat

Le lendemain d’une mauvaise soirée trop arrosée sur le pont des Arts, elle et lui étaient restées assis longtemps sans trop savoir ce qu’il y avait de pire : avoir trop bu pour m’amuser encore ou en être à se dire des choses comme celle-là quand on considère ce que de pauvretés d’une importance toute autre le monde recèle. La deuxième victime déjà était là et elle leur avait dit dans ces mots emphatiques que seuls les cocktails faits maison savent trouver la force de dénicher des confins de l’esprit, que rien ne valait une escapade seul et sans rien, se confronter aux dures réalités de la vie terrestre soi-même dans les conditions semblables à tous ces gens d’Afrique, pour prendre vraiment conscience de ce qu’est la condition humaine. Mais elle ne l’avait jamais fait elle-même, et avouait à qui voulait l’entendre, ce soir-là par exemple à ce futur couple de tourtereaux copulants, qu’elle allait assez régulièrement à ce sujet voir une voyante dans l’attente d’une promesse que le grand voyage pouvait être réalisé enfin. Et elle disait ça en se mouillant les yeux, de sorte que les deux jeunes gens affalés sur le bitume frais de la nuit en étaient restés tout retournés.

Guignol

Ce n’est qu’une heure plus tard et les pompiers arrivant sur les lieux pour débarrasser le plancher de ce cheval l’esprit encore embué de son fracassant accident de la route, que s'achève une partie de lancer de guitare. Un guignol a gagné à ce jeu là, on le met devant le défi de reproduire l'eploit dans un lendemain, il dit qu'il veut que ça se passe vite, et l'ambulancier lui assure que ça va bien se pqsser. Comme d'imprévisibles, souvent, parfois en fait, c'est le cas.


Afrique

L’assemblée qui accueillit tantôt avec un sourire, tantôt dans le doute qu’il s’agisse vraiment d’un caractère merveilleux qui vaille la peine que la scène fusse autant ponctuée de graves incidents, les guest et les acteurs majeurs de toute cette scène, s'applaudissent mutuellement sûrs du continent, et de la fin. Tandis que la longue tirade s'achève sur la désormais très réputée amputation de tout le paragraphe métaphoriq auquel personne ne pige rien depuis des heures, on se congratule, on s'aime, on baise encor les pieds d'un cheval qui tend son dos. On dit qu'il l'a bon, on sent qu'il la ferme : MUTE.

 

Epilogue dans le poisson

Tantôt encor avec un certain cynism né du pessimism et du scepticism que de bons soins auraient évité, le levain au pied de seigle du pied de l'animal - une pattes d'ours, "il faut se la manger déjà !" - et en tout cas pleins d'envie, les personnages machiavéliq et les meilleurs sadiq du quartier tout à coup semblent aimer les petits pains - ce dont personne ne se plaignant, on peut dévorer tranquille en scrutant les résultats du scrutin qui veut faire élire un elixir pour que s'épousent les formes les plus variées de ce qui se trouve des parties - en l'occurrence, de celles du cheval rétabli, et non de celui qui risq de se faire amputer un peu plus qu'une tirade. En eau dans le ciel, une métaphore filante traverse l'orbite qui déménage sur le champ. Se réunir expressément, ponctuellement comme ça, dit quelqu'un pour conclure, ça fait chaud au coeur. On n’en pouvait plus, on n'pouvait plus rien voir, on en voyait partout, mais partout y en avait trop.

 

LA QUEUE DU POISSON (Fête foraine) ~

Le procureur Eric de Montgolfier a fermement demandé vendredi aux CRS de laisser libre l'entrée de son palais de justice devant lequel des manifestants protestaient. On y jugeait un tout petit procès, épilogue en queue de poisson des affrontements de jeudi dans les rues de la ville.
De la cinquantaine d'arrestations effectuées par les forces de l'ordre, seuls deux jeunes Basques, plutôt anarchisants que nationalistes, sont passés en comparution immédiate devant le tribunal correctionnel, pour «violence en réunion avec arme sur agents de la force publique». L'arme s'est révélée être un canif, la violence (jet de pierre) n'a blessé personne. Les deux Basques espagnols ont été condamnés à un mois d'emprisonnement et à deux ans d'interdiction du territoire français.
Interpellés au milieu d'un groupe de dix-sept personnes, les deux jeunes ne comprenaient pas trop ce qui leur arrivait. Quant aux autres interpellés, ils ont tous été libérés, et seule une quinzaine d'entre eux ont rendez-vous avec la justice... en février ou mars.

 

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8 mars 2011 2 08 /03 /mars /2011 10:09

 

"Le colosse de Rhodes, ouvrage immense jeté en fonte par un Indien"

VOLTAIRE

 

Les nerfs ensemble en sac pris, dépendants ailleurs,

d'un naufrage dans l'oreille de l'animal qui se réveille en grimace,ou en transe,

son poil hérissé d'un juste-gris jaune qui se lisse en tournant aux voiles hissés du chaume fumant,

ces nerfs durs jetés frétillants dans le bruit, se prennent dans la pâte de briques pâles

encor chaude au corps qui lui cachent de l'arche odorante du haut de l'heure, la vue et l'envie.

Qui les emprise, les emprunte, leur empreinte prête au beurre gestuelle d'un vacarme à sourder,

les sonde, les sert & les joint jusqu'à ce don, dont l'onde du doute d'où il commence de se souvenir, danse.

 

L'animal au dos de l'instrument, tordu les pattes aux ciels ilare, tend les cordes, les fait se refermer

les unes à l'orée d'autres, entre d'ores et alors déjà,

à l'oreille du spectacle qui se donne en hurlant, fend l'air et feind d'une fin air l'ère enfin

reparti vers un repos.

Il dépose ces notes-ci comme autant de couleurs, le feraient de leur bronze

des teintes qui se dispercent, dans les murs où les trous dispensent de penser plus.

La boule de briq dans sa lancée danse à l'excès, d'hanses d'aises jusqu'à luxer

ses propres membres, qui ne se prennent plus, plus qu'au jeu de leur souffrance, atteinte.

L'or dans l'oreille, leurre de sa mort, en jouant ses ultimes portées, poussées raffermies à chaq nouvelle volée,

dans l'escalier qui colle au masses des sons qui les renvoient, en autant d'échos que d'étangs égaux, qui se lamentent et s'enrobent mutuellement. Le long des rambardes.

Prêt à la chute, près de se taire pour de bon, les membres inférieurs pris dans la pâte, se fixent au fond,

se prennent à ce jeu-ci, d'où disparaître sans apparats appert à la joue perdre le pendant, les tenants - bon. L'animal à terre. Des formes de fermes intentions déforment des fermes l'attention, et les font se refermer en de nouvelles huiles. Un colosse en tuniq entière, qui s'était levé un court temps pour un concert, fièrement tombe dans ses prières, aux sépultures où il finit de recommencer. Cette fois, dernières étendues qu'ouvre en glace au miroir de son col, l'oeil qui le fond de l'intérieur, et le ficèle solidement.

Rhinocéros au piano, défoulé des tensions nerveuses contenues dans son épaisse masse de portes & de fenêtres, à tirants, à nombreux cordages & en effet faîts aux mâts des maillons qu'en chaîne son corps d'un tout s'était à la naissance levé pour se propager. La force de la nature sombre, l'inébranlable brute nettoyée polie, arasée jusqu'entre les dents, les cornes & le front victorieux, chute que l'on garde pour tailler dans de nouveaux bois les chants que l'oraison fera naître.

Lourde tache déposée au seuil dans l'orbe où il dégage en plongeant sa vérité physiq pleine, et sans retenue, à sangs d'encres raisons donnée, cette lourde tache qui sera celle de ses descendances à venir voir passer, trépasser. Trop passé, et jamais plus à venir.

 

 

 

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2 novembre 2010 2 02 /11 /novembre /2010 17:30

    6 portes abandonnées dans un étroit couloir de gravas, et une lampe qui ne fonctionne pas. Un matelas après un bon repas aux chandelles chez elle, et un temps pour tout. J'ai écrit Lulu dans une brèfe accalmie. Un 6è étage pour moi seul entre les gouttes & la fatigue extreme. Quelq heures de répit dans une vie de fou. J'ai payé une semaine entière mon instant de relâche. Pas une seconde je n'aurais du baisser ma garde.
3 jours plvs tôt j'écrivai déjà état suivant*, au terme de 3 jours qui déjà s'étaient enchaînés pour me faire tenir debout au-delà des limites. Un jour d'accalmie, seulement un, grâce à Tifaine. Une autre ville, très loin de Paris, après le vrai premier sommeil profond dans le train, depuis que tout avait commencé. Et ce n'était qu'un début. L'état suivant, suivit. Le énième; Le gars habite rue de l'Argenterie, qui n'est franchement pas dans le meilleur quartier ou l'attendre 3 jours sous la pluie. J'ai pointé 2 matins de suite de 5h à 16h devant chez lvi, assis sous un échauffage pour me protéger de la pluie, et sans presq manger ni boire, je partais chercher un lieu ou dormir sous un porhce de la vieille ville, sans un rond, et avec mon sac de sport rempli à raz bord de trucs passibles d'une peine de 2o ans. Tifaine m'a dit Qu'est-ce que tu fous là ?,; et elle m'a offert le gîte et le couvert.
Juste de le temps de casser un lit en deux et de repenser à l'article qui m'avait fait repenser à une lointaine rêverie causée par The View, de l'album Lulu. Des époq traversées à grandes vitesses dans l'état de l'esprit qui les concilie toutes et les accepte, permet de les sentir entières, et dans toutes leurs formes. À ce moment un groupe sur les marches de l'opéra ou nous déambulions trempés et quasi nus jouait notre morceau préféré au saxophone, à la guitare électriq & au violon. C'est là qu'une vieille dame ayant dit C'est réservé Mademoiselle, au nom de Jean-Romain, elle a dit I'm his wife, plutôt que He's my husband et qu'un mendiant de mon âge m'a proposé de me former au métier, je suis donc resté la journée avec lvi sur l'esplanade. Je n'aurais pas un instant du baisser ma garde. J'avais déjà tout donné, et c'était sans savoir encor tout ce qui m'attendait.

 

J'ai pris ces 8 photos aux moments, toujours pire ou je n'y croyais plus. Les têtes que j'ai là-dessus. J'ai écrit Les Oiseaux se
cachent pour mourir en Ampadiem, l'Écrivain Itin-érrant, juste au cas ou. Pour me faire partir en toute discrétion il exigé une somme colossale qui m'a ruiné, je me suis retrouvé dépouillé, et par un mauvais concours de circonstances j'ai été déslesté de mes seules ressources vives dans l'heure qui a suivi ma planque, alors vraiment, sans boire presq ni presq manger. J'ai du m'économiser au maximvm. Pour des raisons évidentes de sécurité je n'avais aucun papier sur moi et j'ai commencé de croire qu'on me trouverait mort, étendu là avec ces notes que je me suis empressé d'écrire avec la phrénésie qui caractérise le début de l'écriture chez touthomm, et je me suis alors souvenu du Pourquoi j'écris de Wells, et de cette autre fois, 6 ans plvs tôt ou j'avais commencé de ressentir ceci. Et j'ai écrit le deuxième Pourquoi. C'est l'instant exact ou le lit a cassé.    
Tu découvres ces mots maintenant. Tu m'as c'est une chance rencontré au moment le plvs étrange de ma vie, celvi ou je suis le plvs vrai, le plvs authentiquement moi. À droite il y a quatre portes, la première est celle d'un appartement qui a été occupée par une femme élevant seule son enfant, peut-être ses deux enfants; elle devait avoir 35 ans, ou oui 4o. Dans le deuxième appartement de gauche il n'y a qu'un détail qui me permette de savoir qu'un vieil homm vivait seul. Le troisième appartement était occupé par deux vieilles filles, des soeurs je pense jumelles. Au fond, le dernier appartement était celvi d'un célibataire de 4o ans. À droite les 3 premiers appartements sont trop détruits pour qu'il reste quoi que ce soit de visible, mais je crois que celvi du milieu est l'appartement d'une femme de ménage et d'un maçon, un couple Portugais vraissemblablement. Celvi du fond, le dernier est celvi qui était le plvs impeccable, et tout dedans me laisse savoir qu'on s'y est installe après.
Dans l'épaisseur torride, organiq et charnelle des Grands Classiq.
Lulu au Pays des Merveilles, ou Elsa Traversée de Vide Vite.  

Impression vécue en une heure de 69, rejouée en boucle pendant des jours ~


Bientôt l'état suivant (premier)

 

 

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6 juillet 2010 2 06 /07 /juillet /2010 22:35

 

La Littérature Potentielle a connu le moment qu'elle méritait, et puis la fin méritée par celui-ci.

On a eu de Romain GARRY gagnant la mort :

« Bon allez, je me suis bien amusé, mais je me casse. Salut, et merci pour tout. »

suivi de :

« Aucun rapport avec Jean Seberg » (Actrice qui s'est suicidée epu avant, en septembre 1979.)

et de Elliott Smith une faute de frappe : « I'm so sorry - love, Elliot. God forgive me. »

et on a la Wikipedia's suicide notes Page (!)

Mais a-t-on seulement mentionné l'OuLiPo, dérivée antigénese du Dada dévié déja par les Surréalists.

Lu ou fait lire de la poésie OuLiPoéenne a nos enfants ? ~ qui le méritent bien les dimanches soirs fatiguants ou ils piaillent et continuent de s'épuiser jusqu'a ce que ca continue, encore, et de mal en pis.

Il y a maniere et maniere d'aborder la Litterature Potentielle de ce mouvement (1958~)

moi c'est de la premiere que je décide de suivre le fil jusqu'a y faire tenir bon quelques poids morts dont tout le monde jusque la a décidé, fort a raison, de se pencher.

 

 

L'OuLiPo (lisez : Littérature Raidcale au Service de tout sauf de la Poésie, et entendez la meme chose si c'est quelqu'un d'autre que vous qui le lit, encore faut-il qu'il l'ait été a voix haute, sinon recommencez-sait-on-jamais)

Je ne peux pas me laisser balancer l'coeur a faire des frasques critiques sur un mouvement qui, apres tout et deja des le début, avait organisé, sur des bases qui sont celles que je reprends presque aussi directment que ses créateures, du texte fondateur, de BRETON, selon lequel il n'est encore de formule suffisamment étendue de la littérature, et duprojet de roman, qui parcoure a la nage ou dans le sens inverse des aiguilles d'une montre, le potentiel créatif et imaginaire que ce dernier lui devinait, d'aussi étendu, naturellement, que les autres disciplines scientifiques... qui ont toutes, un jour particulier de leur gloire ascentionnelle, touché un point radicalement sensible de leur propre domaine.

Le roman en effet, mais c'est un autre billet.

La poésie quant a elle, est revisitée aussi radicalement qu'il est possible.

Raymond QUENEAU, Jean TARDIEU, PEREC, Francois Le Lionnais, Jean LESCURE ~ y sont les membres et la tete, en sont les membres et la tete, et ont contribué a faire un corps sans unité (a tel point que l'on peu croire sans trop se forcer, qu'il était la visiblement la plus profonde des volontés).

Courage au lecteur des oeuvres de l'Ouvroir, c'est pénible, laid, et assassin (mais encore la, je ne peux pas me permettre quelque raccourci sans offrir ou proposer une alternative qui vaille quelque chose)

 

Si on ne sait pas encore bien ce qu'etait voue a devenir l'OuLiPo, on sait que  :

"- Ce n'est pas un mouvement litteraire

 - Ce n'est pas un seminaire scientifique

 - Ce n'est pas de la litterature aleatoire"

 

(Francois Le Lionnais)

 

 

- Tiercé Nouveau de l'Oulhippisme -


Lorsque la hulotte ulule : Ou !

Je m'horripile dans mon lit

Puis j'evoque sur mon pipeau


Un chinois vetu de pilou

Qui trempe a plus de millle li

Trois poils de martre dans un pot


Et peint sur soie un docte loup

Dont le regard senestre lit

La formule a changer de peau


Pour mieux voler je ne sais ou

Vers un archange mal poli

Meditant les trous d'un drapeau


Tandis que Tintin et Milou

Las de voir le temps faire un pli

Prennent refuge a l'Oulipo.


Albert-Marie SCHMIDT

 

(Du coup, on ne sait meme plus, non plus, comment s'ecrivait, l'OuLiPo.)

 

 

 

Barque celeste

 

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3 juillet 2010 6 03 /07 /juillet /2010 16:56

Le TOP ! ~ des blogs !

1er Le blog de Gameblog.Fr

passer le temps n'est pas qu'une histoire philosophique

2ème Topito : tops listes et classements !

enumerateur de consciences

3ème Gigistudio: un moment de detente sur le web

enfin du LOURD ! ~ diront les mauvaises langues

4ème Leblogtvnews.Com

Blog critique +++

5ème Telle est la télé !

Blog encore plus critique ... "tres critique" (?)

6ème Résumés des épisodes Plus belle la vie chaîne belge

Heureusement francophone n'est pas francais

7ème Wydadnews , le wac à volonté

le WAC quoi ! ~

8ème Videostream : le streaming en series

ou j'ai l'aigre douce ~

9ème HackStore

enfin le I-Phone j'ai bien eu peur qu'il soit en 10e seulement... VOIR ABSOLUMENT 10 jours sans I-Phone ? Sisi c'est possible !~ Ou l'escare se mouche devant son impuissante decadence en se voyant tremper la queue dans un liquide qui lui contienne les envies de fumer du I-phone par les oreilles

10ème PARISIANBOYS blog gay par Seb et Fred

Premier blog Gay sur Over-blog ~

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3 juillet 2010 6 03 /07 /juillet /2010 16:54

Le tranquille fond du passe,

Passe des fonds aux surfaces,

en fait des fonds,

marins, sensiblement ostentatoires,

plus-qu'imparfait, presque surcompose,

pour le fond, il n'y a qu'a lire les formes,

voyez donc

par vous-memes entendez plutot SOI

soit vous ecoutez sans parler,

Soit c'est lui qui fait parler de vous,

partout,

il y a ce fond, du passe qui se fond,

du tranquille qui se fond,

ils font l'ensemble, uni,

que tout le monde veut s'arracher de la main

de soi, enfin de l'autre, s'entend

On s'entend mal, sauf avec soi.

Trop de bruit sans doute, meme a deux, c'est bruyant

Le tranquille seulement, lui, fond du passe.

Il en fait des ensembles unis, des nations d'ensembles unies, meme

des patries, des comtes, des contrees sans frontiere, seulement le fond

rien que ca, la forme elle se voit bien assez comme ca,

et comme ca repart a chaque fois,

y a qu'a attendre, le trqanquille est pas presse.

Les horizons attendent bien, eux. Qu'est-ce qu'on a de plus glorieux ?

Il faudrait savoir que chacun veut,

et sait, essaie de vouloir par soi-meme sans l'avis de complices,

des retours,

des retours et encore des retours, rien que des retours,

a meme plus garder un peu de place pour les allers,

precipiter les retours, sans attendre

La Patience, a-t-on cru a un moment charniere de la porte qui ferme

ca n'a rien de bon, mais rien de bon c'est toujours mieux que rien de mal

normal, le mieux est l'ennemi du bien

Mon empire c'est le mal, le mal et le pire vont a l'encontre de ce bien-la,

que tout le monde veut mettre dans sa poche sans fond

le tranquille c'est de s'y mettre a trois contre un,

un bien contre 3 allies, les ennemis de mes ennemis on dit quoi deja ?

Le tranquille font des poches,

il en fait des sacs, et des sacs, des domiciles,

bien a remplir, de biens, bon a remplir,

des poches, des sacs, des biens, a domicile.

La tranquille fond a domicile, meme sur place il fond

tellement ils font chaud.

Fonds du passe, on verra bien ce qu'on en fait apres ~

 

Recommencez-sait-on-jamais

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19 mars 2010 5 19 /03 /mars /2010 12:23

     Un jour que je me suis passionne au-dela du raisonnable pour une histoire d'une nuit, une veille qui avait bien pourtant ete annoncee sans lendemain, j'ai eu des mots, et avec plusieurs beaux passants des maux, de ceux qui qui agremenent le cote mouvant d'un interieur rieur de conversation tres interessant ~    
    We won & now OUI !~ own it, let me do, they wouldn't care for you as good as me, en toi j'effets de tres belles choses ~  

 Orage d'oranges, bleus de lac à partouts envoûtants, des volutes de nos germes dans la plante qui sévit et nous sème entre ses chants plans. La vie en dedans de toi remue et elle est meuble qui colorful rappelle ses teintes par échos. L'appel de ton corps, du mien qui hurle et se déploie. En m'ouvchrant ton visage à cet instant là, larme à l'oeil dans tes pensées je lis que tu me scrutes avec amour, inouï, jamais vu, et tu dis pour toujours, que tu veux mourir/vivre comm ça, moi qui te plonge dedans comm il s'agirait que nos corps-aimants s'étirent, se tirent, se hissent et se plongent mutuellement vers la-notre Monde. Le bonheur, l-ivresse,; la chaleur. De frissons, de croustillements, de Héros Conquis. Tu chantes, nous dansons en apnée et chantons à l'orange l'orage qui nous passe alentour. Ce week-end avec Canan on venait de décider chacun de notre côté d'une baie vitrée mobile et pour la 111ème fois de nous rater de quelq secondes, cette fois c'était au tournant d'une rue, d'une terrasse chauffée, je crois chauffée. Un café à Ljubljana. Je ne sais plus pourquoi j'y étais estampe ou lavis animé mais je venais de recevoir les traites délavées d'argent sale qui métaient dûes, ça représentait un gros pactole en dizaine de milliers d'eus et, tandis que je voyageai par l'esprit dans les futurs plus ou imminent m'y projeatn à la vitesse régulière que d'usage excèdent les vues de l'esprit, je m'arrêtai net entre un kiosq et un cheval qui venait d'être coulé dans le bronze et y recontrai alors une fille qui me fit immédiatement penser à celle que je ne saurais jamais s'appeler Canan. Elle s'appelait pas du tout Canan mais, allez savoir pourquoi, je l'ai interpelée 'Canan !~' et encor : Canan?' Elle me regarda ahurie, son air stupéfait me fit me demander pourquoi j'avais voulu l'appeler, quelle heure il piuvait bien être et surtout s'il ztait possible que cette fois mes dons de préscience excellent à ce ppoint que j'en serais arrivé à des détails si précis. Sans que tout ceci trouve authentification, j'avais en tête que ce fevait être un moment crucial. Vous vous appelez Canan ?~ 'Pas du tout', ( je l'avais dit), me répondit-elle en lithuanien, puis : Je suis En Voyage. Enchanté. Elle étudiait en Biélorussie, une étrange histoire celle-ci d'abord, que ne rendait que banale celle qui bien plus ahurissante suivit, puisq 'elle me raconta que son amoureux avait été embarqué à Varna par la police et qu'il risquait d'être enfermé pour un délit mineur que je vous tairai ~ à vie. Elle termina ceci en disant que dans son pays on a l'haitude de croire que les choses n'arrivent pas au hasard, et que cette arrestation lvi avait fait passer 2 jours en manque de drogues, 3 en manque de sexe, et 6 en manque d'argent, puisq 'elle en était à passer des coups de fil partout en Europe pour tenter en vain de joindre sa tante qui lvi prêterait sûrement le seul droit de rester bloquée en Solvénie comm c'était le cas, qu'elle venait de se sevrer de nombre d'addictions notoires. Je lvi dis que j'avais été amoureux fou une fois, il y a longtemps, et elle me raconta comment elle aussi sans chercher à savoir ce que j'avais vécu de si fou, et nous sommes donc partis faire plusieurs fois le tour du monde, en nous arrêtant partout ou l'envie nous en soufflait le désir, aspirait à nous en lever. Ce week-end là aura duré beaycoup plus de jours que l'imprévu lvi-même, et il se termine tandis qu'aux abords de notre véhicule de location de Vilnivs, elle était en train de me dire 'sitôt que je t'ai vu, j'ai eu envie de te sucer', sur un accident tragiq dont elle décède 2 heures après notre arrivée à l'hôpital. Je suis sorti du coma le lendemain et je n'avais plus un rond. Je l'ai croisée dans les couloirs de la maternité, elle venait de rencontrer l'homm de sa vie ~ Elle chantait une chanson en turc, ou en grec.
Je sue, je bous,je cumule et je consigne, je sens, tu sais, nous nous entendons partout, que ce que tu fais grandir de quelq chose qui durcit, qui est lestee tse rigidifie de seconde en d'autrds et que tu veux prendre en main,résonne grave en clapottant sur la chait ferme. Cette tour qui s'érige, je suis clappotis sur tes fesses, et, ferme pilotis à tes maisons sur l'océan. Quand nous créons le monde, quand après qu'il a été joué déjoué entre nos plans/champs et que nous nous resserrons l'vn à l'autre, que nous récréations dans ses cours ludiq les rivières d'improbables improbablement repliées comm des accordéons de vues et qui en font un jardin et en fonds le secret, nous sommes le mystère le mieux gardé, un entre-espace.
Gus et moi, côte à côte nous enfilant ces deux perles, et leurs jambes repliées en lac se frottent dans un collier qui scintille; un sac vestimentaire.
Étude d'un lac à l'orage gourmet, à l'état d'ogre gourmand, d'un canard laquais à l'orange, venu cuit à l'étouffée à la bouche, brumeuse l'épaisseur de sels dans les airs qui tombent averse, laquées ou lasurées les lamelles de bois qui donnent sur lvi, donnent sur moi l'effet d'un plongeoir, une nageoir, le dernier rappel d'un canard lasuré. Lack, none. Ne manque de rien, mange de tout, manche de vie, tour uniq de notre ambitieux ventre dans l'eau qui le baigne sous les grésillant grésilles. Mars qui fait irruption, éruptif, lac cutané, à la fleur des peaux lisses comm des pétales qui chavirent, nous ne pouvons pas naviguer, qu'à l'aveigle dans cette tourbe d'eau qui lévite, cette trombe de ciel dans les yeux du lac à l'orange. Les goûts, les odeurs en émanent, s'en éjectent, propulsées par vibrations à fleur d'eau, de lait, àla limite crémeuse de l'orange quand elle se tranche en lamelles, lasurée. Laque solidifiante qui perle et ajoute en plusieurs heures de décantation à la surface dévérouillée de l'oeil un nacre canard chaud qui s'ouvre, une corne d'émail, peinturluré, touché glossy glissant qui tache, qui fermente et scintille en se solidarisant aux airs neufs, aux émotions supendues. Juste à la surface des peaux qui brillent ou jaillissent des barq-en-miel. Lasurées les lamelles qui étouffent dans la lourde moiteur d-ouate, d'avant et d'après l'orage. D'après l'oeuvre Orage, l'oeuvre de Lac. Artist compétant, complété de fruits par tranches, brillant et ambitieux dès la surface des études.
Des salles sur l'eau, il flotte, il vogue cet air de menace qui pèse et fait peser son poids d'incertitudes concertées, des mélodies qui promettent, d'autreq qui ne s'annoncent pas, des chants floraux, à la surface des brumes dès qu'elles tombent. Qui reposent sur elles quand elle s'évanouissent dans de grands soupirs, et qu'une barq heurte les pilotis, une orange pilote un orage et le fait s'abattre en plein air, comm un canard autonome auto-suscité suicide sa laque en plongeant bec à l-eau, àa surface du jour. Quand il vient de tomber, mais à l-eau non, non pas à l'eau mais à la bouche. Des palais replis des cheveaux, remplis de chevaux, ployant voeux chauds sous les bontés divines, comm l'arche haute arrachée aux poches de vaisseaux valets répliquent en presq parfaitement fresq pourfendant l'air, aux provocations louches des chalets visant plus ample la vie à plaire se voir valise dévalée des chambres d'anges échus.  

2.Roseaux, rez vent navigation. L'anneau sert fort l'étayant étau liminaire l'écorce inscrite de membre quand je fais se contracter par contraste d'assise à ce tronc tant l'éclat transi d'étroit en lutte aérienne se chevauche et la fait disparaître. Devant mes yeux humides, ce dessiné rose et de contours écartés comm les fils d'une soie peinte et que tamponne à son interzsextion ta main qii perd contrôle en me gagnant à la bouche s'y baissant baisée goulûment. L'amour jouit. Offert, entier, cavités inexplorées dévoilamt leurs secrets, s'ouvrant d'étendues d'inattendus, de supertendus. Le corps s'effondre, il s'enfonce, s'enlise, et fonce, se fonde, fonte se désolidarise, se décompose, se désarège, s'engrenge, s'irradie et bronze brille bercé poeté porté soulevé transmis se déporte, s'emporte confronté aux heurts s'anorce en autant de portes, de portées, de fractions de fractales de frictions de portail qu.en se fronde frottant aux forts frillables façon de son epprtemetn. Le corps vibre, il s'onde écho mouille, brille, lueur fait les vapeurs de la tête s'enfuir, s'extraire. À l'extrusion de détails. L'issue secrète que sécrétant comm une société de gardes les songes & pensées qui rennes prennent pores & essor dans des mondes nos hostoires mélagées me fondant font te dire fondue :  There are places that you only can get into this way. Tu peux déjà te considérer consacrée déesse, sacrée goddess. Car à part tenir à toi plus fort qu'à tout, à parts tenantes de toi en tout sur les pans empannés je te vois à la fois côte et voisinage, je te sens de moi partout un membre inscrit qui comm d'un regard nu le vois inné ~ J'ai eu la sensation que tu m'avais fait disparaître : un plus haut cabestan !~
Rue Ganneron ce matin ou je revenais pas d'un ffoting mais d'un autre quartier de Paris. Une blonde, un chignon, veste de cette couleur neutre qui rend sûre de ne pas se tromper, et pantalon d'un ocre aussi sûr que la finesse des jambes en rendaient le teint presq crayonné comm un rayon j'ai cru que c'était toi. Elle semblait se cacher le visage. Arrivé à sa hauteur j'ai même du carrément me penchant vers elle avec une insistance bien mal élevée pour m'assurer que ~ non, il ne s'agissait pas du mirage que je voulais imméditament survoler le prenant au pas de course vue et enfanter ludicité, lubricités & délices.
Le sac d'un long bougeoir qui se porte le mieux quand il te sert de moi en sus. Immense ~ et que personne ne peut t'oter. Qu'après sonne peu avant l'hôte, impression de nos sexes bus nus mutuellement vus se marquant, se figurant dévisager leur propre chaleur. J'ai désigné parfois par hasard le Sauvage.
Sauvage des art, aires car si rares sont les choses dont on ne peut pas douter, l'amour em est comm la beauté des arts, leur pureté, et mon désir fou de passer le restant de mes jours avec toi. Qu'est-ce que c-est que cette passion pour la disparition ?~ Apparaître. De rester en toi cette nuit encor, après le jour que tu me donnes comm vie, en m'accouchant. Après ma mère, tu es la seule sur cette terre qui pourrais accoucher de moi, la seule en qui il est possible que ma vie grandisse. Abonde et bande comm quand tu la prends entre tes mains.
Sensation de paysages peints à cette évocation natale, sensation sur des parois immenses et immensément illuminées et ombrées, de fenêtres qui les unes derrières les autres tracent un lacet continu, contigu et vertigineux vers des tiges, des versets de vestes à vestiges liminaires aux cieux qui s'y érodent accouchés en plusieurs trous puits de lumières dressés dressant leurs chevaux comm ils en sortent au galop. Un ciel Turner ou une mer à l'envers, des blancs d'oeufs comm des noeuds coulants coulissant dans les jaunes leur visqueuse montée des notes comm des pianos qui se remplissent des mêmes notes, et dans les coquilles desquels naissent ces embryons de moi, à chaq pincement du cordon qu'ondes obliq oblitérant l'oubli tiédissant bucales Bacchanales balisent et basculent du cas bolide à l'état de cale ou sucre succulent de canne à pêche. Panne sèche des coques sur le rivage intégré dans l'oeuf entre ces fenêtres par fractales immensément dressés par cieux devant les pausages d'yeux déiq quand tu me regardes : quand tout ce qui me regarde, m'impliq, c'est toi. Ces hymnes à la joie brûlées comm des dossards, des dos nus, des beaux dos adossés ou des baleines à bosses, des hymnes et des torchons aqualins, des aqvatintes aqvarivmbrellées, pluvieuses de cris de lutte, une romaine d'Arles, la Marseillaise, son air inoffensif de Révolutionnaires lointains.
Obsolètes cultivés quo par constraste comm ces puits dans les grands échos ombragés, révèlent l'évlution spactiale comm une linéarité temporelle sans équivoq. Une tendance, une ligne comm un penchant, ce vers quoi ontend : mon cordon ombilical cet ocre émergeant de tes teins par les flancs que je tiens entre mon pouce et la paume de demain en te léchant les lèvres pendant que tu gesticules aux tests en 69. Ma langue entre ici et là parcourt un délice sonore de plusieurs secondes, sa lente à ta fente dégustation provoq les hauteurs qui renvoient ses ardentes représaielles aux roses. À la rose, une fuite, une échappée des échos allant vers le lointain, marquée, ponctuée, comm la dernière note fuyante de chaq sugnal de corbeau, la derière note toujours allant vers le loin. S'y tendant comm moi cet arbre de mille ans à tes yeux nourris de sèves, rempli de magnétism. Cultivant l'obsolète pour en contraste faire voir comm s'avancent les dortoirs mobils de nos villes à roulettes dans ces ciels à oeufs imbriqués comm des matriochkas.
De plus en plus que nil n'identifie à part moi, les corps artistiq, plastiq juvénils aux études d'étendues, tndres et malléables comm des nuits entre leurs jours de vie, sirupeux et contorsionnists des filles abondantes à dos bandants et bons dits, leur peau sent le printemps, elles apparaissent avec la douceur jaune-rose-ocre-rouge d"un lait qui fait l'été, d'un nuage de lait sur le thé : un nuage qui abrite un spot qui se dissipe dans in thé de fruits rouges, ~~se dilluent à mon ambiance de la façon la plus chaude, avec le sens des sons croissants, ceux qui se prenent entre les doigts, avec pour soupirs des sortes de soufflets identiq aux silences qui abritent entre leur langue et palais leurs jardins à bascule, des soufflets de larmes, des bascules de circuits. Un circuit mouillé termine d'humecter ma voix à mesure que tu pren ds finis d~en étendre sur la toile le ton fin de voie aérienne, en ne retirant de mes flocons aucun croustillement, les cartilages semblent se contracter sans se craqueler, fondre scure dans le thé, seulement des températures de tepérament oeuf accouchant, des brisures, des écorces de pains cuits à la mie fondue dans l'eil-écoutill ede ce marais penché, de ce versant continu des terres ux ciels remplis de fenêtres. Des coques des troncs de sucs d'aimants joints, qui se figurent sucrés clairement quel Nord passe par ici et ne pointe nulle autre direction que celle des grottes. Un aimant dérouté, aimant diamant Almaz, quiperd la boule, n'indiq rien d'autr que ce qui es voulu vu, su nu et cul touché du bout du nez, nu bu à pleines bouchées, croquants, pui : croquant voilà. Il n'y a plus d'Ailleurs, alors.
À sa façon alors de tirer sur le bang elle semblait s'éclatter, se frapper à l'intérieur. Si sexy quand en fléxhissant, elle semble faire suivre sur ses pas la ligne qu'une poutre invisibible du réflexe-hissé survole été et qui en récite l'extrême viscosité entre plusieurs saisons jointes de troncs couchés sur elle allégés, évidés, creux, volants hissés qui la bousculent dedans et la font chavirer. De gammes en vasq jusq 'aux colonies désindexées ou je suis une annexe à tes anneaux anaux superposé quand croisant tes yeux devant ce cercle qui se devine une désserte de telle sorte qu'elle nous insère à une confiture scéniq de bal de décibels déball en super-pause te décachetant de tes peaux de papier-cadeau.
Sous tes dessous, mes mains s'y agissant des miens faire sortir l'action sans prémiss, les grands temps ont l'apparence de lievx, et ils laissent comprendre qu'il n'est pas opportun d'entrer dans l'histoire n'importe quand. Le chemin des miroirs, leurs grandes veines de ville lavées au savon chaud des pieds noires qu'une pomm de pain avait en amont prise pour un tronc d'aimants joints, sucre sources susurrées de tes grottes que frotter fort ferait frire, ils glissent et se glissent dans la peau d'un autre type de proto-pies âpres à prêter au près des prés partant pris hippocampes.

 

Ou l''eau a la bouche oui, pour elle toute seule. Sans demie-mesure possible, tout dans l'absolu, l'excès, est démesurément. Irrévocablement, dessiné destiné designant l'haute heur. Je me lisse dans ses hauteurs, ses altitudes m'élèvent comm un enfant préconnu, présu, précontraint, prédestiné à se lever et la toucher au soleil, se coucher la vivre et de nouveau, l'accoucher pour l'Éternel voir nous couple accouplé décupler démultipliées les vies par réflexion vers l'infini. 11778187711 no ending in our story. Son ventre gargouille en grand 8, le mien lvi crie FIN ! ~ et dans mes yeux cet air coupable et dans les siens le ~ délice d'y trouver un confort infiniment immense. Alors ce rêve en avion.
ROHTO, comm je m'y étais étendu tant tenté à intenter attendu, taillant l'essai détaillé ou j'avais étayé une haie qui nous épars épris empris surpris séparait. Un goufre autant dire. ROHZO avec le recul d'un saut-de-loup. L'avanatage irréfutablement, divinement don, incommensurablement bon de la situation c'est que j'avais 2 chances sur 2 données, de tomber sur le ton juste tant cherché, sur le goût régalé que j'avais tant tenté d'égaler. Écuelle, lac d'oranges. Ça n'annuelle écuelle révèle que la maille malle m'aille soupière pleine des eaux de pluies hiverbales sauter son miel-en-barq le goût tant cherché. "Celvi qui se prépare au goût reconnu visuellement approchant ses papilles rend le plus précise sa passion des détails " ~ et de là le détail de ses passions. Pendant plusieurs minites qui m'ont paru des heures j'ai eu le sentiment que je disparaissais. Me surpassant une fois de plvs j'ai passé ma joyrnée à dépasser les déplaçant les espaces autorisés et les places cédées des placides dûs, émincés de l'évincée faire place raze et table à plis encensée, de places de passants en accès de cent palaces, des palais aux plats assidulés en places à si doux laits plaisants. Plaies, sang. Pris pour l'avis mince de la vie mensuelle l'envie maintes fois émincée de s'évincer elle-même de cette scène. Ils m-ont devancé, l'ont virée, son sort coincé, mince alors, j'ai assez loin devant l'encadrement d'une porte le choix de m'enfuir, ou de l'en tirer sans faire trop de vague. Rincé, faire la pince. Éreintée foire à l'hanse allusive de ses coraux corrosifs qui m'au corps rôdent, au sien m'adaptent, m'adoptent. Je me hisse et glisse a son delta pavillon rose comm un membre dressé dans l'arène, et le sport commence à cet anneau qui sert fort les étayant les corps célestes dont je sens que glissent par la soie des contours écartés nos secrets d'amplis, ceux qui la font effondrée disparaître, apparaître de l'autre côté d'un songe, fondante ~

3.Nos coeurs sont des danseurs qui s'abreuvent, est-ce possible, plvs haut alors, plus sexy qu'ils ne le sont déjà, au lait d'un pis trait des monts ~ Nos âmes atmosphère, aux hauteurs d'étreintes atteintes le corps s'enflamme, et ses mots résonnent les miens, exactement. Âmes osmose, trans-migrés, des corps ailés, des migrateurs récprpq. Des danseurs en spectacle culminant permanent sur mesures, danseurs sur mesure. À l'apogée d'une refonte radicale de la définition de l'abondance de l'âme-mobile infiltrée durcissant de s'être si bien fixer, le Pantomime-tempe-animée de l'âme à couloirs amovible et qui est une scène de bougies debout, un circuit d'eaux, à cette esxalade les forces oniriq ionisent, irisent, ornent-ironisent-zorro-s'hissent et les formes sont des corps vivants qui deviennent célestes chaq seconde un peu plus en dedans. Nous nous entendons, zrendons nos échos, intérieurs. Suivant la mesure de ces danseurs, dont l'échelle d'incomplets effilés donne auex dos nus le rythm de se battre en duel avec un choeur qui a coeur de mauvir, mâle de l'air & tyran du loquet. Synchronie sans couronne, simultaéité déiq des sons qui nous échappent, des envolées qui nous prennent l'envie de les embarquer. Partons, sir le champ. Sûrs et ai si satisfaits. Sois, ma soie, anachroniq & achromatiq. Complets de dos en têtes nous fracassant l'instant dans un grand rire de spontanéité advolo, de ponctualités attendues, on time. JUST. Timing intimidant tant mimétiq, intimé intimement me tintant matin de thèm liminaire à tes mines de lunes de lignile ignée linules à ma langue folle, ma foi magnifiées en une heure, un ours, un us, un tour de chauffe. Ours. Yours, mine. En altitude creusée d'essieux. En y retenant l'envolant son touffle, je lvi'expire une garantie. Elle expire, tôt corps, tout court. La réponse est bien sûr oui. Romance is a ticket to paradise. Les deux ailes de la romance. Un liminaire Adam Pime comm Gordan Pim. Ta voix Elsa, sur les paroles de Kim Gordon et Garde-fou moi, garde-moi folle, fou encor plvs qui m'étourdis de tes yeux mouillés m'y nouille souillant les nuits ardoises au ciel ténu ému couche et touché, souche et coulant de fantaisies fraise étendre vendu en vertus de verdures fleuries. En se voyant visiblement dénudé par celvi/celle qui l'a peinte on peut se transporter sans d' y toucher avoir l'air : je t'ai oui, laissée lisse et instantanée sans coeur me propager sur tes yeux la toile que tu avais de moi, à l'esprit peinte comm un piano sur la route gravée de sons débiles ~ une cabine pleine regrettée, des voies qui ralentissant mises les mélodies quand se rebute l'autre à fixer leurs accords, les superposer aux siens sur une idée trop vite admise comm bonne ou file de ménagements entrepris sérieusement quand tu pleures que ceci remue trop tes intérieurs, trop vite et trop longtemps ~ Lieux vêtus, de toi chambre fourmi, meublé qui grouille dans les clavicules qu'on se cogne aux plus petits détails abstrus, cette grotte a ses repères inversement concentré entre l'été nu et ce qu'on en fait qui l'ait ténu manié quand se presse des jus vibrant nos cordes aux tiennes sensibles le sentiment de temps, perdu dans la foule d'autres arrivés.
Ces sentimets dépassé, rabattis sir le côté, aperçus, omis, oubliés. Des flaq de portées, de empreintes flottant digitales sas main dessous. Ni pied. Je n'ai plvs pied. En toi plus de cette haute mer qui articule ses vagues dans le songe d'une cabine pleine de moi? Sur le toit d'un piano recommandé décommandé avec suivi de la dernière minute, les étoiles brillent pas vibrations. 
Une lacune de lagunes, une atrofie de la curiostié, ou Liquid drum & bass. Morphie d'une allégorose de Baro sur cet angle, le coin d'une ville, plat d'un banquet gigantesq un jour de meeting. Les distilleries de mâts aux départs tous en quinconce phonétiq se font mates aux marres s'agitant parcimonieux ou plus encor levés de ton corps en contours ionisés. Éolée de ce qu'on épice jugulaire prend au pouls un sommet, la tour d'ivoire dressée comm ces chevaux Turner dans les ciels d'Anvers,, y voir beau, belle, l'environ qui vient dedans.
Ce que j'aime tant de cette ville, comm en toi ce serait cette soudaine vitalité des sentiments exprimés sans reprendre ton souffle au vent qui porte à mes toutes voiles à toi déployées, c'est donc celvi d'un grand partage, ce sont tous ces couloirs secrets ou on peut aller, sans que personne se soucie de nous; ou ose nous dire que c'est interdit. On y a fait toutes les conneries du monde, ons'engage dans les espaces dit personnal only et on nous regarde l'air ahuris, sans oser prononcer mot, on a eu le temps de faire l'amour sous une caera camera etc. de surveillance avant que quiconq surgisse pour nous demander de débarasser le plancher. Et encor je crois que c'était ce ardien le plus gêné. Lleft driving, je te traite comm le feu., l'Énéide du bon côté de la côte. Après s'être transformée en homm et avoir déclaré devant un parterre ému ~
Les bras m'en tombent, dit Bodhisatva Avalokitesvara qui a fait exacte, et le même voyage que depuis les Indes les épices et s'être vue attribuer non seulement une infinité de responsabilités comm autant de bras, lesquelles métaphoriquemet et pour remplacer les nombreux bras qu'Il n'avait alors plus, ont pris la forme d'oeufs, qu'il décida de porter autour de son tronc, comm moi ou un autre arbre à mille âmes qui toutes en voyage simultanément revenaient à tour de rôle orner son superbe corps de sculpture égériq à Efes, après ça donc, une tinte amarre au plus clair des peaux-tables élançait ses convoitises aux dames d'eaux formes de piques. Ma raie carroussell.
Comment nous nous sommes rencontrés, vraiment ? Les yeux mouillés. À l'instant qui a suivi mon éxécution, le long temps d'arrêt qui a fait des trains d'étreintes abonder au coeur, elle dans le public absent également, eut l'instinct d'une remise en question de suggetions très à propos quant aux causes de cette arrestation. À cette façon qu'elle a eu de ne jamais après ça lngtemps s'y attendre, je lvi ai trouvé toujours la manière émotive d'une matière mue. Morts mus, renconte dans l'au-delà. Meurs dans mes bras, moi un peu plvs bas : En Toi.
Cette solidificarion instantanée des nuages croustillants sous nos pieds, cristalisation des chants d'été profanant les pores fanées d'une vie multiplement vécue. Incantées, enchantées de l'être, ces lettres à lire chattes lickant lait comm des félines qui exfiltrées défilées défient les lois aux fois en l'aggravation de graver à tirants mutuels, des silhouettes de despotes dans un arbre. Tu trouves qu'on dirait q ue je vole sur cette photo ? Évidemment, puisq tu es l'Homm-volant ~ Tu voles dans mon vagin, tu y danses y as pieds, & nos corps danseurs s'envoient des fleurs volées au corps métaphoriq d'Aphordite en hautes eaux quand elle n'y ayant plvs pied se tranforme uen enième fois et demie en Boddhisattva Avalokitsvara. Je t'aime tant allumé, tu te déploies au-delà avec sur toi ce motif teint qui laisse derrière notre passage furtif une traînée sur les blocs de granits blancs lévitant pluvieux, orageux poreux et pour nous placés ainsi pays plaisamment mous ou poser les pieds d'une vache aux mille pis traits des monts !~ Je t'aime aux laits du pis trait des monts !~ Je suce tes seins, ils sont comm l'essor des sons que je dévore. M'y abreuvant loopings à ton enveloppe, moi loup la queue en feu qui m'aggrave et m'exclave à tes plus amples gestes de frots trots forts qui m'y plissant comm lips m'ennivrent de t'en virale vrier les portes. Pilloski & Polka, glace pilée de ce palais déglacé de Galatée en Gallice l'oeuf en gelée des glas pouls lents. Degas dégâts, pulsilanimes, plus animés Banksy, adages badges et passes adidas. Yo, à Dada sur tes magies au dos d'ange en grande forme, à mon bonheur, l'heure de bonne et dûres formes suit qui ne m'enrage plvs, te cuit aux fesses, te fasse aux cuisses me faire te lécher de compassion, de torts effacer les ardoises célestes gribouillées de trop de mots maux mal dits, bien que bien pensés. 

 4.Dans les eaux à maints sillons que déversent s'en servant les pianos à queue que tu joues comm nous du passé. Ciels, bras, îles; pieds, plages. Émincées amincies. L'accès à la folle expérience est comparable à ce sentiment de trop froid qu'on ressent au moment ou on s'adosse nus à la preière seconde d'un banc gelé, nu élégamment ligament également ~
Fais-oi disparaîtr e!~ encor une fois !~ M'animent aux thés les nids montés d'unis mots que ni m'ôter ni taire maux ne m'hâte. Animo. M'anime aux thés ceyte toile de toi, de toi faite, de toi en fête. Le troq coq de cette corde à linge contre une toilette de la bonne heur campagnarde hissée de relacs imperturbables et qui s'essaient essuient essaim aux suites des décibels débilement déciblées, celle-ci de l'homm-évier, l'homm à levier, l'homm anormalement animal à dix teints d'étain. Dix teints de toi parcourent mo visage criblé deballes. Atteints liés ces états luis que tu m'entends étalon te faire revenir paer échos au coeur, détalant devant leurs vastes empires d'éphémères saisonnales, de ces notions que d'une pensée tu me verses aux chantiers apprivoisée par Toi-Seule des idées et me reviennent en plein corps, les corps emballés qui se concèdent, ce cèdent, se décèdent pour que nous soyons comm si tu te décidais à poursuivre ta folle folie canibale jusq 'là ~ cette évocation d 'une bulle et des moutons dans l'eau qui la fait flotter à ta surface, aura-t-elle même poussé tes dents tes cris ton nez de flair inné jusq 'à d'autres temps que tu y devinais de plus amont comm tu les eus remontés
 ainsi que je te le fais tu temps quand je veux te monter crue et te démonter bien relevée, nous voguons en quantiq blanc sthéniq, électriq, magnétiq. Jusq 'aux joues de l'époq exceptionnelle qui t'évoq équivoq équinoxe quinoa des coins ronds comm des balons roses et bas longs comm des coings hors-saison !~ De gorgées d'eaux tu as teintes.
Atteints liés ces états luis unis, aux nombreuses mains de nos vies communes commises muses mues en une seule à la tienne que je te tiens-détiens-retiens à tes reins-seins-mains l'eau de versets sur ta peau des mots au goûter peau éthiq, uniq pour tuniq à tes
existences dans ma tête !~ folle !~ de toi depuis toujours vraiment ~ nous pouvons préfacer l'histoire de la VIE !~ que tu me dévores revigueur revigorante ravageur le coeur lil boy au corps d'homm offert et à tous autres matériaux d'assaisonnement !~ en chaq mot chaud, dessin, photo rouge envoyée, !~ en tout cas !~ or-étalon !~ pourquoi pas ! ~ animo. . . L'AMOUR vaincra !~ nous y sommes en vrac et vrais ~ Amore ninja 's purr, flight is our fight for rights, for the right, the goood God, right to love, pouring on me, you.
Je t'adonne à moi. J'ai eu envie de toi, que tes yeux vibrent
Laisse-moi te rêver un peu. Nue, blanche, abondamment bandante. Nos têtes s'aiment, nos visaes fondent.
comm une vue, une température de dessous de couette, gonflant gorgés d-élecrricité et de souffles chauds, humidesd-ouate, de moiteur torride, les images de moments désirés sautent en un flash à tes yeux; le voilà. L'éclat, l'éclat, le tonnerre qui grésille, moi dévorant tes seins. Tes bas-résille, le voilà. Pixies. Here comes your man. 
mes papilles identiq aux bonbons et tandiq que tu chuchottes à mes oreilles que tu es 'un bonbon dégraffé', le papier que je 'décachète est ton enveloppe'.
respiration qui s'axe-accélère, et révolutionne l'air. L'oeuf éclos. Tes cartilages tendres s'humectant comm un sucre au thé fondet et se dilluent et créent leur effet attendu de nuages éclatant. Comm tu te le fais cloque poche molestant moleskin penchant skin au côté leste et fluctuant du muscle démesure, affleurant fleur l'organe qui n'aspire qu'à te remplir, de joies, en t'enlaçant les veines avec celles d'un arbre gorgé d'eaux.
Ses cils se battent à ma joue, l'ordre de mes rougissement, 
Fièvre danseurs aériens. Deux qui tanguent cette fois.
Lurs linules glissent comm des feuilles au soleil au passage de mon doigt ma langue qui se couche entre elles, sur elles et en devance les ondulations d'une très légère exaltation, douche ressortie, souffle resenti qui frémit, avant-goût qui en crépite frasq croustillant les fresq.

5.Les yeux grand ouverts brillent, des perles de diamant, bruns qui cavernes illuminent les miens relac, Tume dis 'My Big love' et je ris ~ces doubles volumes  à ronds magnifiq, l'anneau sèrre de près la peau . Envol, vol d'un fil qui suit sn visage que je suis des lèvres, qui recule et que je vais embrasser. Son visage s'approchant mirage du mien, il se fixe à nos corps un onguent, l'huile d'un glissement de terrains. Les corps se dévorent en silcene. La barq glissant jalousement orageuse du lac de ton pays loitain gloussait tant tout ce temps de t'enliser; te baliser,mettre autour de toi et dans les airs qui feront suivre notre vie en nous y faisant sautiller ces touches, notes palpables de mollécules liantes, des couleurs exaltées, les cris dans la bouche bus qui frissonnent en suspendant l'envol. 

 'Il neige sur moi'.S'yabat un perchoir inattendu, frappant gondole à ressors l'or blond rebondissant d'essors. Passé ma vie entre tes lèvres véhiculent notre lit qui deviet un radeau, qui es un arbre qui vole et plane, et qui fait des ddeis-déiq tours sur lvi-même, nous mettant en grand-8 tendre chair rose surfaceL'étreinte écarlate éclatte écarte tes fesses en lentement entrant et sortant etqui bavent sève et sentiers enflammés jonglent dans des échos de vévolicé synchronisées.
L'onde vibre se poursuit au-delà, ton corps par réverberations ondule danse, vague pérennee et me revient gonflant. Trempée, à la langue comm un chat, Dévore adorée dorée rôdée rez d'eau ~ Les bouches se téléscopent, se mélangent et s'hallucinent, allunissent et semblent se voler aux yeux les éclats de nos fracas, les sueurs froides, les frissons et les oreilles brûlantes nos seules bouches parlent liquid. Les corps disparaissent. Nous tanguons sans plus y porter attention, nos corps s'enfourchent & sex-culsent de se faire mal, et nous grandissons de jour en jouir !~

6.Ma chatte, alittée. Lion envolé. Alors, la véritable façon que nous nous sommes rencontrés, bien après qu'elle et moi avions rêvé d'un NOUS, noumène et phénomène, elle venait d'arrêter de fumer des splifs, de prendre des cachets et de couler des douilles, et mois je gesticulais dans les fesses d'une autre. Elle refusait aboslulument alors toutes les invitations déviantes à des dérives quelconq, quelle qu'elles soient, et quand nous nous sommes vus sur la plage, d'une ampleur de celles auxquelles glisse qui me suit en pleine métepsycose une
batisse élégante montée sur pilotis ou elle venait de prendre matelas et feu de camp poir plus fidèles amants, là suavage, et comm elle était à domestiquer, à familiaraiser, mon esprit l'a percée, l'entraînant de force par la porte à une soirée de laquelle partiraient par paquets de bonnes intentions nourrissantes ses convulsions d'une semaine à rester perplexe, comm cherchant quelq cose, incomplète et complexe, et qu'elle savait qu'elle trouverait. Le cycle
prenait au filament du jour, semblant changer très sensiblement, oscilation comm une membrane conjecturellementen proise en prise à une sorte d'évolution conquise. Nous étions deux bougies qui tanguaient au sommet d urocher des buttes Chaumont, et nous nous sommes trouvés, enflammZs.

7.Plénitudes est un récit des planes nudités parcourues de nuit, le sombre côté sabre des corps qui se fendant en croustillements dans les éclats du noir durci par les glaçons sous le pas, et s'y frottant commence de se caresser comm une idée l'éclaircie de l'instinct passant. Les lumières nocturnes. L'éclair de l'instant ~ Tu sais bien que le corps ne peut être fidèle qu'à une personne à la fois. LV1 Arts, LVI, 56. L'amour vaincra, nous en vrac & vrais. L'émotion vraie et pure. Celle qui demande, exige et ordonne. Qui commande et soumet, contraint. Sans sacrifice l'amour n'est à l'épreuve de rien. Love waterproof aprèsun plongeon. L'homm à terre qui erre en quatante carats fait amour l'âme qui se tient à carreau. Mobile d'âme, Malles d'Obîme. Bal de mimes. Lion envolant chatte alittée. S'alaitant mutuellement noués au fin filet d'un mets levant qui se les accouche en parts entières. En voulant y faire le monde, créé neuf et entier, création, récréatiosn & habitat des vies, nous avons fait de notre maison le monde, et du monde par extension, notre maison. Ainsi nous nous faisons le modne. 1. Siege, 2. Maison-mere, 3. QG
Ecritures cueniformes, lexigrammiq, leur nomenclature de quelq carats bien peses, tous assortis comm le motif du vetement. 
Il s'oeuvre ouvre des boulevards de mer aux accordéons-musette voletants. L'émotion forte, libido-bolide, le GRAND des hasards. 
Voilà le plus grand miracle, un lever de cortèges de la femme aux nuages roses en fête en tête. Des ambages par bouchées, pleines, emballages débouchant au bal d'humbles souches naissant nées ~ en servant des voiliers aux lustres d'étendues musicales qui nichent leur portée sur plusieurs enfantements de vues enchassées comm des achats alléchants. Arts châles lait champs. Écumes au velour brun des mille reflets de l'océan; oou toreador mal-ailé d'un riz qui fuit, fruit friant.
Des plans de nudité. Lattitudes, le liant amour, les premiers rayons crayonnés des sommets de la paume et qui se fondant font à leur gré métaphore atlantiq neuve mouillée de vagues le moment surgissant ou plongent de leurs hautes attentes de latitudes l'heure qui ouvre le jour héritant des nuits précédées, excédant façon prés cédés des cessions d'envolées, à sa brèche rosée, à sa rosée embrochée de roche humectée comm un oeil sur la vie penché s'y épanchant échanger étangée sa soif contre un firmament diurne. Quand secrètes se sécrètent succulentes au ton d'air l'or-lait de ces lentes torches jugulaires, que les sexes chauds se frôlent et se font fondre en s'évaporant mutuellement, ce sucre près de crème osmosée se crier corps-craies en flammes, les crêtes atteintes d'étreintes hautes s'érisent et se mettent à chambouler les cieux chatoillants qu'elles chatouillent chat au lait d'un pis trait des monts tant sillonnés ~ escapade diurne à la seule force de l'oeil sur la photo grandie d'un écran de mobile.
Longuement, la marche le long des cimes, sa mêche rebelle enflammée sur un rien et qu'on de l'oeil au loin atteint éteinte quand on l'aperçoit après, bien en aval, l'avalant en partant de ses origines mystérieuses, gardées secrètes, closes et ~ vague pérenne. Émotionsforts mandibulaires.
J'ai voulu nous dit le designer-compositeur-interprète, un chemisier meuble comm un cerisier en fleur, qui ait des tiroirs et des parties amovibles, de rangements entre les seins et sur les flancs, ainsi que le sont les essaims de nos arbres les plus nourriciers. Un vêtement de vie, une chambre de vies interpénétrées, contreperpétrées comm des sévices, ceux du sol sur le corps, au col même de la vie telle qu-elle se prend, jaillit, émerge et se durcit; c-est un chemisier ultra sexuelle, une sexture vitale parée d'une cire virale pare-balle, un carillon ou l-échatillon même de ce que serait la commune base génétiq d-une synthèse de la vie si elle se déployait dans des tissus issus de sa propre lignée : en extrapolant l'extrême onctuosité plastiq de son évolution vers un dénouement en soie, une aboutissante en soi, l'enveloppe vers quoi l'homm tend. Chaq matin un bras au réveil cerchant au tâton une amante laissée la veille en fièvre ligotée. Dénouement d'une nuit d'ivresses donc, un chemisier pour pallier aux addictions notoires de l'homm aux escalades de désirs quand le moment de partir l'emporte en inopportun, sur le temps qu'il lvi faut à assouvir sa femm haletant, étancher sa propre soif en lvi passant le chemisier qui couvriront ses épaules nues comm une chambre accouchée dévêtirait un mobilier au seul moment de toucher le levant d'un matin suivant. Suivant ses rires, à elle qui se laisse couvrir comm recourir à ce délice de l'instant revêt en soi en soie autant de fils que ceux suivis hors d'haleine dans les moments d'exaltation intense plus tard dans le jour repensant à ce moment exquis elle trouve son répit, son apaisement, l'espace d'un temps qui accourt à elle et non plus inversement lvi porterait sur les épaules les nus d'un tombé qui surprend. C'es mon chemisier préféré déclare Sandie, son sourire large s'emplit de malice que recèle une envie sitît saisie jaillissante in situ portée sur elle pleine de désirs. Et cette nuit enfin chaude intérieure nos peaux s'édre-donnent ~ La beauté des sentiments seule dont l'oeuvre touche.
Sa sincérité qui fait dire que rien ne devrait être tenu pour admis. Prendre le monde tel qu'il est à l'instant t. Et voir à quelle vitesse notre critiq s'est passée de mode. En se lentement désarticulant d'un coin de calq l'objet devient spacial, jet d'un obvie convoyé qu'on voit de loin lacté allant voilé pores irisées s'évaporant. Isola Bella. Presq 'une île. Presse-coeur.  

 

 

8.Mais pour vraiment comprendre comment nous nous sommes rencontrés il faut que vous sachiez tout de mon passé blonde russe, et du sien, barbu. J'étais blonde, j'avais 18 ans, et j'étais hyper sexy, je portais des pantalou moulant qui saillaient parfaitement le delta rose de mon entre-jambes et rendaient la vue de mes jolies fesses bondées comm des fruits juteux si bon à croquer propre à rendre les homms fous passés à ma hauteur. Lorsq IL est arrivé en face de moi, je n'ai pas pu me retenir, en jetant un regard immédiatement sur la braguette de son pantalon gonflée par la taille de son sexe, de mette la main devant le mien, comm s'il m'avait joui instantanément dedans, comm si à cet instant, par ce seul regard si furtif qu'il en avait immédiatement été écourté par notre reflexe de viser nos sexes, il avait été possible que nous nous soyons baisés. On a cheminé sans se regarder de nouveau, tous deux les rivés sur le sol en se croisant. Je suis devenu un homm et elle, donc, une jolie blonde-russe aux fesses délicieuses à regarder. Arrivée chez elle, naturellement découvrant ce corps tant rêvé, elle s'est masturbée comm aucune fille ne l'aura jamais fait, des heures entières devant son miroir, à jouir et donner de la danse des hanches, se malaxer les seins entièrement nue & ouverte à se tremper pendant des jours entiers sans discontinuer. Elle en est morte de déshydratation. Et moi, moi évidemment premier réflexe, hormis que je me demandais si je serais vraiment enceinte, eh bien j'ai tout simplement plié mon corps autant que possible pour essayer de me sucer ! ~ 

ARTElefante blanco ou L'Oiseau à bec & oeil noir et fort long cou blanc

11778187711
, Que dis-tu de ce nombre ? Je trouve qu'il ressemble à une formule. Comm des kiwis d'Epia. On dirait qu'il est magiq n'est-ce pas ~ 
Il n'y en aura pas tant, mais 1,oo1 : vies avec elle. Dans chacune de ces histoires improbables nous tombons tour à tour face à face, l'vn sur l'autre, nous octroyons, nous retirons, nous absorbons, nous contemplons, nous dedaignons, nous unions face au vent ou en guerre l'un contre l'autre, ou nous ratons. Nous périssons par l'amour à tour de rôle. Nous nous côtoyons longuement sans sentir quoi que ce soit ou incapables physiquement de nous voir. Une fois nous sommes incapables materiellement de nous faire entendre. La véritable façon que nous nous sommes rencontrés, non non ce n'était pas du tout sur un champ de course à Palenque, c'était entre deux avions, tout en haut du plvs grand de tous les hêtres. Elle avait du y monter pour retrouver les clefs de son appartement perdues la veilles pendant une soirée trop arrosée avec son copain, et moi, moi je ne sais plus très bien mais je devais être là depuis un bout de temps puisq je me souviens très nettement de ses premiers mots une fois arrivée en haut : Quel foutoir, vous vivez à combien là-dedans ?~

La véritable façon que nous nous sommes rencontrés, non non ce n'est pas du tout  tout en haut du plvs grand de tous les hêtres, c'est dans un aqvarivm, à Kuala-Lumpur.
 Un de ces texts écrits par erreur, publiés par envie, supprimés par touches, sortis par la bouche en vie et puis appris par coeur, texts que je republie pae goût pour le drame antiq & pour les fins qui courent au secours des débuts laissés errants. Dont cet extrait Les champs que rien ne tiennent qu'à evx-mêmes et que rien n'attire à evx. That haunted me. Meaning : Life scares.  Plusieurs commanditaires, des ordres divergents, et dix matins de tonnerre pour changer d'avis d'autant.
Cet autre [e]vol, et Les Grands Voyageurs dont la Romance se fait de chaq pas l'écriture comm un groupe serait élu le plvs sexy de tous s'il s'appelait Pixies.
 2oo % de soi sur l'équimose qui laisse du voyageur la marq d'un instant de l'intensité rare. Hors champ visuel, ou les angles dit-on meurent, après qu'ils ont tourné en rond si longtemps qu'ils y ont perdu la boule, Orchamp comm ce serait une terre inégalable. Les voyageurs ont ça en commun qu'ils appartiennent au monde, et que celvi-ci les sent vivre, les regarde passer, les écoute le contempler, les fait vibrer de leur propre écho à interférences. Croiser son chemin comm une destinée, se rencontrer aux intersections, unir ses membres à une escapade pour la durée d-une journée, et se fondre dans la masse des vivants qui attirent les pas du curieux, ces pas sont ceux de l-intrigue, ceux de la passion qu'une pulsion véritable, humaine et animale pousse dedans comm la sève chaude hors des plantes les oraisons jaculatoires. Beaucoup n'appartiennent à aucun église, mais aucun ne se dit jamais athée. Tous en tout cas se demandent : Les Polonais sont-ils les gens les plus admirablement gentils du monde ?~ On cultive la spiritualité comm une croyance mystiq es inhérente à ces instants ou l'on est seuls sans témoin à nos exploits sur la vie, à nos excès, à nos défis jetés comm des morceaux de nous désinfiltrés. Un pays qui ne cultive pas un plus profond des respects pour pour ses éleveurs & cultivateurs ne s'élève pas de culturel pauvre. Car soyons-en sûr, la culture vient des terres, et mers. Lointaines dans le temps. Les proverbes, les expressions, les dictons et les bonnes recettes de guérison. Ce côté des choses auquel je suis passé sans les voir ou sans les avoir attendues nues me suis surpris à en découvrir tant les vues. Je cultive mon corps comm un champ de batailles permanentes. VAMOS AMORE/.

De la libido d'un ado bandit aux abdos de Dali, l'habit d'idéaux de bancs d'ébats lie et j'abonde à Bali, et j'y bande à bons lits !~


C'est un roman qui touche. La veritable histoire de Castor & Poilux. Un roman qui touche à sa fin. Pigalle, svp. La seule raison valable pour laquelle un text pourrait et devrait toucher à ses fins; à la vôtre. Ou comment nous nous sommes vraiment rencontrés.
Au bout du conte, l'idée majeure que ce matin-là, après mon deuxième footing dromadaire et mes altercations quotidiennes aux altères de cette heure propice à la transpiration saine du corps qui délivre d'usage la qualité utile de chimies faborables à la plus clairvoyante des lucidités de l'esprit par lesquelles respirant l'orgasm je prends voie de semer par le langage dans mes nombreuses recherches d'avis techniq et de solutions pratiq aux problèms courants de la charpente meuble inédite, des mots accourants, ce matin-là plutôt que faire immédiatement mes étirements dans la rue avant de remonter fissa, j'ai fait la courte-échelle à ma nouvelle voisine, qui s'était 'laissée enfermer' et avait du pour faire une course que j'imaginai aussitôt primordiale, laisser pendre par la fenêtre une corde de manière à, comm elle en était sortie, regagner son appartement. Aucun sac à la main, je lvi fis donc la courte-échelle. Point, douche, point d'étirements,
ni séchoir ou d'ou choir un seul point, juste la justesse d'un doux orgue pour musiq et dès les minutes suivantes tous mes muscules avaient de nouveau, déjà l'air de rien. Internet, quelq drogues bien utiles et ce n'est que deux heures plus tard, sans histoire d'aqvarivm, d'hêtre ou de champ de course mais bien tandis que j'en étais à un point crucial voire carrément euphorisant de mes devoirs mathématiq que se poursuivit ce qui devait devenir un peu exaltant dans cette journée somme toute banale, tout bien considéré. Elle sonna. Trois fois si je me persuade que des détails pareils pourraient rendre la suite plus intrigante. Quatre alors. Une petite robe bien choisie, et, pas froid aux yeux, une paire de talons hauts, elle entra. Dans ce que je pourrais commencer d'appeler la dérive commune des histoires vers le phantasm. Et elle y entra même de plain pied puisq, à peine la porte passée, le présent qu'elle me fit sentir gonflé sur moi soufflait entre nous quelq chose comm une commune, un air de jambes déjà vues et elle demanda donc pour introduire tout ceci, si justement, j'avais une baignoire ou si, comm elle, je devais me cantonner aux rustres rigueurs rébarbatives de la douche réduite à son plus stricte mètre carré de rondeur sans élan possible. Je lvi répondis que non-non, à quoi elle me demanda quoi non-non, sur quoi je lvi ouvris la porte de la salle de bain pour que ma réponse veuille dire
vraiment quelq chose. Une plage à pistes orchestrées, du nano-surréalism dans ses militantisms d'étreintes. Baignoire, donc. Naiade, meduse, une sirene militante.
C'est une tournure à plusieurs dimensions :  À cet instant précis un véhicule pile en face d'un profil bas-relief.
À l'anticipation des formes, à la lisière de celles qui prennent, l'aurée de celles qui respirent.
La valve des physiq dessinées, leur son produit, l'anticipation du bruit : une géométrie des champs intermédiaires. Entre visuel et sonore, un plan courbe. Esquissé à la manière dont on rapporte des coordonnées

1998, à peu de flocons près. Lentement t'ont bras la vue reprises à mes volets. Je te volerai ta plume, au goudron. Des marchandises spirituelles in Branu.

"Altémis, Altémis, quoi qu't'au fait d'mon lazol !?~

_Allé dans l'pané d'tleuffes"

Cette tirade si elle n'apparait dans aucune pièce de théâtre connue, est l'une des scènes les plus connues et citées de la vie conjugale de mes arrières grands-parents. Tous les deux au-dessus du seul évier, Artémis, la grand-mère de ma mère, a utilisé le rasoir du grand-père pour éplucher les pommes de terre ~ de quoi faire travailler durablement mon imaginaire d'enfants. Cette scène jouée avec les accents toniq de ma Bourgogne, accents temporels qui comm des paysages exotiq invitent au voyage à leur seule évocation. Du Van Gogh écrit avec la bouche.
Primeur de la matière essentielle et juteuse : orange du Roman, orgie du moment, roman de l'Imaginaire.

Cette idée m'a obsédé toute la nuit. Challe, Mogadiscio. Plusieurs choses qui se croisent et coïcident, comm toujours.
Comm toutes les sensation fortes, le dégoût prouve qu'il est plus grand à mesure qu'on le sillonne, il s'ouvre et il est ample dedans. Comm toutes les sensations fortes, un éventail : ce n'était donc pas Virgile; une mise en garde venue directement d'en haut, Vous faites erreur, jeune homm. J'au rêvé que je courais loup et sautais par dessus un muret pour plonger quelq mètres plus bas à la surfave d'une piscine vide. Je me suis mis à flotter, et suis descendu bien paisiblement au fond de la fosse carrelée. Pas de peur, ni sueur froide, la sensation invincible. J'ai tout essayé ppour me tuer, mais rien n'y fait. Tout sauf le suicide.
Plusieurs choses coïncidentes, qui comm tout le temps sont à l'origine heroine des émotions les plus fortes. Ce récit. Et je prends le ton d'un ahuri volontairement, un récit phrénétiq, un récit de fou, l'Histoire elle-même; peut-etre la plus grande histoire. La pluslongue dans le temps. Quel pays d'Afriq de l'Est sous la coupe italienne. Cité prospère au Xviè. Commenrçant avec la Chine.
Lorsq j'ai pris les commandes d'une nacelle sur l'avenue pour gagner sa porte-fenêtre et m-introduire chez elle, là tout aurait pu commencer. Elle n'a jamais rien su de mes sentiments, celle-là c'était une histoire toute bête, une grande histoire de poisse qui s'achève sur cette dernière tentative, une nacelle comm un signe, une fleur m'étais-je dit en passant devant, cette fois la bonne, et qui m'a vallu 3 ans d'hospitalisation en psy à La Borde. Maudite Mathilde. La police est arrivée avant elle, c'en avait été trop pour moi, trop pour un seul homm, trop ppur une seule histoire qui me rendait dingue.

C'était bien l'Énéide, mais non Virgile. Je me suis trompé parce qu'ils ontce point commun : 6oo ans de souffrance.
C'est la seule lignée souligne d'une famille qui ait tenu tout ce temps, même quand la ville était presq déserte, quand le temps à plusieurs reprises avait changé pratiquement toute la population, quand la ville était habitée de colons, plus tôt quand elle était habitée d'immigrés d'Ouganda. Ça devait plus ressembler alors à une population comm l'imagine la dernière escale de la machine à voyaeg dans le temps. Une souffrance qui a duré. Ils ont tenu si longtemsp, même quand il n'y avait pls rien.
Roman d'imaginaire, récit illlustré ou légende illustre, ou même roman imaginé ?~ la nuit durant disant alors quoi. S'ils avaient quitté la ville, si la souffrance avait enfin connu un terme, marqué une fin, rompu une sort, peut-etre ce message ne serait-il jamais arrivé. Ça me rappelle l'histoire de Challe. Les musulmans au XVème siècle;. À cette époq il était spirituel. Roman imaginaire. C'est un récit qui a traversé le temps. Envoyé il y a 6oo ans il arrive aujourd'hui.
La tranmsission orale d'un savoir, un récit conté de géération en génération, à travers toutes les batailles, même quand la vie était anéantie. Parfois il ne restait du fil qu'une si faible maille qu'elle a failli disparaître. "Viens, j'ai besoin de ton aide " en swahili.
"Wanahitaji msaada, kuja" 
Les chasses vrillées. World fact. Histoire d'un livre, oublié un récit, la chroniq d'un juste, un hermite et sa petite compagne, leur bébé dans un lieu dit de grande histoire. "Avec juste un boutre à Kilwa en 1418." Est-ce un roman d'imaginaire ?~ 
Francisco de Almeida, en 15o5. Chroniq de Quiloa, 152o.  
Si je m'intéresse tant aux roches ruches et richesses intérieures, c'est qu'elles sont les seules que l'on peut exploiter sans épuiser de ressources au détriment d'autrui. Qu'elles sont infinies, et que leur expansion n'impliq aucune conséquence grave qui ne soit d'ordre spirituel. Fondées sur ces postulats, elles me semblent donc saines à cultiver, comm pour le corps physiq l'est l'exercice régulier d'autre chose que nos droits revendiqués par l'ambition matérielle.
Sans savoir encor exactement ce que ça signifie, je suis un quépicat. C'était trop bon, j'en suis folle, et même malade.
Greed, grisante, grillée, graillon, grisonnante. Obsolète la conquête et la domination, le temps ou les Civilisateurs et Croisés agissaient comm des barbares s'octroyant les en dépossédant aux autoctones toutes les sources de revenus.
Very last ressort, ou tout dernier mot d'ordre : quand le dernier mot laissé sur un fil est le premier de ce qui suit.


    À l'instar chronologiq des Louis XIV, déclarant en 1665 : "L'État c'est moi !", Maupassant, en 1885 : "Bel Ami, c'est moi !" et Dali, en 1978 : "Le Surréalism, c'est moi !"
j'imagine assez bien Madame X, déclarant en 2o17 : "L'Ampadiem ? ~ C'est moi !"

[SEXY PIXIES]

Got me a movie
i want you to know
slicing up eyeballs
i want you to know
girlie so groovy
i want you to know
don't know about you
but i am un chien andalusia
wanna grow
up to be
be a debaser, debaser

Got me a movie
ha ha ha ho
slicing up eyeballs
ha ha ha ho
girlie so groovie
ha ha ha ho
don't know about you
but i am un chien andalusia

Debaser 


    Homogénéisation [About ? ~ Ultra-liberalism.]
La solution qui vient d'etre trouvee en reponse a la crise Europeenne a Chypre doit etre remarquee pour ce qu'elle a d'historiq, et de sans precendent etre le point d'orgue d'une demonstration d'economists eclaires qui depuis les annees 6o clament que l'ultra-liberalism tue le monde, et qu'ouvrant ses capitaux aux apports etrangers sans se soucier que le peu d'ethiq n'empechera pas que ce devienne peu a peu et en plusieurs generations de dilatation des capitaux d'emergeants qui les remplaceront, l'Europe que seul l'interventionnism d'etat, socialist et actif, permet de l'enterriner, en patirait le plus visiblement.
Les pays paradoxalement les plus protectionnists, dans ce system qui a pour defaut principal et mortel de viser a l'extension de son fonctionnement en pour cela ayant accepte de faire des concessions a sens uniq pour les plus refractaires dans les annees 6o, tournant duquel decoule la plus grande et malsaine insouciance economiq et, surtout, sociale, que ce sont donc ces pays hautement protectionnists (comm les Etats-Unis dans les annees 3o en definitivie) qui accedent a la detention du monde ultra-liberal.
La non recherche systematiq d'homogeneite de ce system, paradoxalement encor, conduit a l'homogeite au final, par les reactions qui seront toutes de cet ordre.
Comm le ridicule, l'ultra-liberalism s'il ne tue pas, laisse des marq. Nouus payons les pots casses des annees 6o, mais que dire des generations G+2, qui heriteront des immenses gouffres que creusent en ne s'efforcant qu'a trrouver des solutions aux crises les plus conjoncturelles, les efforts deployes au renflouement de ces seuls problemes veritablement structurels auxquels ils sont confrontes de facon continuelle et ininterrompue depuis 1o ans. L'issue peut en etre une fermeture des capitaux, un renforcerment interne des pouvoirs publics en vue de contenir son economie et la maitriser, a son echelle la plus possible a gerer. Une digestion comm dans le Cloaca de Wim Delvoye.
Ce que visait a devenir l'Europs, un continent de pays en paix, elle l'est. Son utilite a abouti et l'initiale impulsion de sa creation a ete perdue de vue, enlisee dans un rouage qui l'emporte malgre elle vers des dillatations toujours plus poussees de ses etaux bientot laches puisq mous. Aucune impulsion majeure, quelle que soit l'ampleur des compagnes ne porte ses fruits efficacement, sinon de facon tres disproportionnee de l'effort considerable mis en oeuvre a des fins toujours tres loin, au bilan, des ambitions du projet. Keynes, 1929. Une economie alors protectionnist aux US.

major Company fonctionne plus sur le communautaruism propre au socialism, qu'a l'image des apports de capitaux libres que dessine le schema liberal finalement. Ce n'est pas flagrant, mais c'est poetiquement, philosophiquement et conceptuellement ce qui ressort si l'on s'y interesse un peu en profondeur.
Puisq d'ailleurs, par exemple, ce fonctionnement ne tend pas vers une oligarchie economiq, pas vers la situation de monopole qu'atteignent dans presq tous les secteurs consideres, et contre toute pre-destination originant le bon fonctionnement du system, les empires financiers.
My Major Company EST la solution de reponse trouvee a Chypre pour rester en vie. 

Apres l'effet boule-de-neige, je suis tente de parler de ce qui devrait communement appeler par l'expression effet tempete-de-neige un maximum d'evocations de chaines dans les tourbes epaissies de l'air irrespirable, l'atmosphere trouble qui rendant les visuels imeccablement infrasnchissables au seuil de la perception externe, propres a figurer non plus ce qui est percu, doncm mais ce qui ne permet plus meme de seulement deviner ou mettre en marche l'ensemble des indices usuellement employes a se concentrer a cdes fins d'orientation. L'effet tempete-de-neige c'est l;'implication immediate qu'entend en se produisant l'instant ejecte de tout, l'extase, a l'envers, myscommunication, discommunion, separation franche et nette, de toute base de donnes, de toutes echelles de mesure, un instant de privilege qui sorti du cadre met en disgrace, deploie tous ses efforts a la seule, uniq, leste & incommensurablement colossale homogenite quantiq : un tableau blanc qui eblouit, et nu de reperes. Il est la le Lait d'un pis trait des monts, impie tres, tres demon. 
Les brumes laiteuses des hautes montagnes hivernales. Laiteuses parce qu'absolument opaq, des montagnes parce que ce sont des sommets, et hivernales parce qu'elles sont transies comm  en effet hibernant. Monsieur Messager., Mon ami voit des fantomes. Bien que je sache que ceci est tout a fait normal, j'aimerais cependant savoir votre avis pour ce qu'il est du danger encouru a vivre a ses cotes de facon durable. En effet de nombreux effets tres speciaux du type des laits des cimes frontalieres me laissent parfois longuement perplexe et pourraient bien me rendre un jour completement folle, que croyez-vous que je puisse adopter comm reponse, comm attitude dans les circonstances extremes de sa lucide clairvoyance angeliq patatipatata, si je redoute toujours le moment ou se produira un de ces flashs qui m'ont jusq 'alors plus cause de torts ~ voire e lourds dommages, jevous passe les details ~ que de veritable epanouissement spirituel ainsi qu'il devrait en etre selon vos dires des conjoints et amants des Clairvoyants ?~ 
_Chere Mathilde (je sais que c'est vous), vous devez garder votre sang froid, a l'interieur, surtout afin qu'il ne s'en abreuve pas. (Sait-on jamais.) Et surtout changer de nom. Celvi-ci, savez-vous revet un doute qui d'emblee vous trompe, vous plonge et vous condamne a la moins bonne des dispositions, vous empechant ainsi de jouir pleinement de ce qui devrait vous emmener hors d'atteinte dans lesdites cimes frontalieres desquelles, dit-on, il est possible de voir pour toujours. si vous ne croyez pas au present, vous ne croirez en rien d'autre que ce qui vous saute aux yeux, et, de fait, tout le fait : vous sauter aux yeux. Physiquement s'entend : les corps comm les animaux s'adaptent, adoptent l'attitude la plus opportune, et au vu de votre mal, le seul en effet moyen de vous apparaitre est donc, bien physiquement en vous foncant dessus. D'ou vos craintes : c'est un cercle vicieux ma pauvre dame, biquette ~vous permettezs que je vous appelle Biquette ?~ Je vous dis donc : changez juste de nom.

Baignoire-bougeoir, des boues gient sang, la samba noire, les bas encensent bavoirs d'ébats ; Et les poissons dansent autour d'elle, et je remue à l'inérieur. À celle du Bleu, à celle du beau Immergée en fée de notre eau qui 
m'heur géant fait de nos trots entre-quais me renvoyer l'assaut, je la regarde se mouvoir, la scrute se sculpter seule à mes yeux 
fous-cultes-ivres décrivant ces 
volutes formées d'amples entonnoires 
par lesquels jaillissent remuant ses nageoirs
 des couloirs aux couleurs 
vert-merveilles, ils dansent le long de ses cuisses et jouent sur tes tétons pointant; en 
passant sur tes lèvres 
ils rrachent au temps propice 
le plus dense des délices ~
Mes membres se fondent au 
~bain de fouiller ~tes reins nus. Aux bains d'eaux de roses nous nous suçons. Et des bougies encadrent les poutres qui éconduisent les voûtes des portes de nos vies porno déliées. Des vies des nuits que je l'aime la passionne la contorsionne et dans les voyages ou les chambres sont décolorées me plait a nous avoir tant vus baignés ~


Le village en voyage, premier tableau romantiq à la corde à linges. Ou seaguls & sagalée des salaisons de saisons huées sont les sorts scellés de mes papiers aux dieux; une coulée de peinture très égoïste désordonnée comm une attitude, dissipée comm l'air dans l'odeur rôdant l'espace d'une heure et ou s'avoue cette tornade sensationnelle éprouvée à chaq voyage entre tes mélodies de couleuses de temps. Au mirage bleu mirobolant. C'est celvi que de grâce ~ je prends à sa fraternelle solidarité de chaînages pour extraire l'émotion la plus vivement teintée de l'instant présenté, présent T time. Temps d'été détenteur. Cet hiver je ne t'échapperai plus, décembre prochain me sera redevable. C'est une expérience folle, se réveiller derrière l'arbre après s'être endormi à ses côté songeant que l'on pouvait aller dedans. Durant le rêve il a ouvert sa coque et a sifflé un air de palais, un courant d'air, c'était un fleuve de sons exotiq, fluides. Qui se prépare au goût reconnu visuellement approchant ses papilles rend de plus précisesa passio des détails ~ Avec la minutie d'une attente des tailles de tillueuls, à prouver leur consistance plus grande que le recul spacial, moi implorant que le recul des âges ajoute en voix off mon point de vue récité comm un poèm permanent de l'obvie. Évidemment ce n'est que mon point de vue, et bien sûr je parle au nom de tous, puisq comm tous je suis que-un-homm. Le sexe contre tout le reste. Je me sers, empruntant à son registre quand il n'y a pas lieu, y faisant des allusions et vice versa emploie à des lexiq opposés les ressources d'en rapporter le détails des goûts. Il peut contenir : vos morceaux compilés; des pièces rapportées des affectations; votre amitié; mon amour; l'accessoirist à deux de tension; une planche à histoire; une planche à pain; le four qui le cuit; le papier qui y brûlerait s'il venait à point nommé à tomber avec lvi; une assiette en tungstène recyclé; du cuir à disparaître de mammouth génétiquement reconstitué; une ficelle qui lie tout ça; une échelle de secours choppé chez votre pote pompier; un autre secourist avec qui vous avez désiré faire un barbecue; du carton d'emballage à étages; des surfaces bondées de gens; des animations précoces; des extinctions retardées; de la musiq de rémanescence; un accouphène à cordes, entier; plusieurs autres en morceaux, raffistolés & solidarisés; des agglomérations de mots remplis de sens, et d'autres sans la moindre importance. Des noms propres à plusieurs vécus; des noms communs à une vie filée coïncidentes et conséquentes;des actes, des séquences; des brisures d'oeufs à la coquille, des méfaits, des bien dits; des bienfaits, démodés. Des mots pensés, d'autre juste écrits, des mots jetés, d'autres tombés, des mots lâchés, d'autres empris, des mots relevés, d'autres désemplis, des sangs qui bavent, des rappels, des métaux tordus, ddes tours élevées, des mots appelés, d'autres appelants. Des paons & des éventails.

    Il y a des palais physiq, encor, à l'intérieur, des palais qui nous abritent. Dans les palais intérieurs qui nous habitent, là, le pillage reptile d'une silhouette habile, la soif dévorée propre au corps par écho par ondée.
Pour en finir avec Koban, disent les créatifs. je crois qu'entre la 1ère et la seconde l'évidence veut que buter aux pieds de nez que systématqieuemrnt les ensembles entre evx provoquent qui font les sens de renverser au dernier terme et ainsi en faire revoit l'intégrale structure pour y lire comm il a plutôt que laisser l'association d'idées guider la sémantiq à se perdre, cherchv percher au-delà un substitut qui rallie, ainsi que le veut seul en sa possession, l'existant, fasse ce jet de l'oeil se heurter aux barrières volontaires de la surprise et du tant attendu. Et qu'entre la seconde et la troisiène dans les beaux draps de l'entourloupe et de la dérive contextuelle parfois consextuelle parfois texturale parfois arcitexturale ou indexée de références externes subitement surgies, que ces aléas dichotomotiq, inscrit parfois a posterio dans l'édifice, invoquent qu'on ne voie, sente non plus le fil qui tient tout ceci mais, précisément ce qui s'en écarte pour percevoir au lojn, enfin, là, crue d'évidence et saisissante de gourmandise, comm la seconde fraction friction faction façon du sens qui veut compléter la prière de conférer à tout une sorte d'hétérogénéité pro-homogène : la confusiob passivement orientée vers sa cohésion générale. En vogue magie universelle échelle de disparates individualités cosmiq.  
Il était une heure quatre-vingt douze à sa montre, ses doigts devenaient de plus en plus de l'épaisseur à pondre, lourde, de l'après-midi, plein, par la viande, et, jusq 'à prendre l'aspect d'un prospectus dépliant, une vache techniq, la tâche mecaniq, sophistication d'un aimant.C'était pourtant un si joli nom. Sofia, ç'aurait pu être elle soncapitale de l'Est. À genoux, comm seulement elle saisissait qu'on peut y entrer leste, et elle naissait avec des rires qui grésillaient dans ses hanches, et elle soufflait les seins dansés juste assez pour être une grande dame, et elle s'extrayait pour faire l'enfant du palais intérieur rire, hors d'elle sans retenue propulsée. Avec ses cheveux retroussés dans ses épaules comm des palets déroulants; déscendus comm des marches en escaliers, des pistes de glisses à vestiges imbriquées de cages volantes respirant en sautillant de se ployer et se détendre par quelq contractions de blancs superbement déplacés le long du ventre et à l'intérieur des cuisses laissés nager, et en courant dans les airs remplis d'eau de mon aquarivm d'amant.
Elle fait empruntée à d'autres règles se juxtaposer les siennes, cette issue est celle d'un jeu de cartes. Plusieurs tours d'avance et une anticipation des formes dans les fondants bleus exfoliants, par les bras et par les jambes, extrudés fous, liants, de palais humides en palais plus intérieurs. Des devoirs mathematiq a ma traite d'obligations.
Doté tu devoir âjouté jouxtant pendant mes heures de joute les joues de m'amuser aux tiennes en soupirs, remplit les rempilant en une les multiples fonctions de l'homm que je te suis de si près que j'y ai même ancré un membre continu.

 

Juste avant LA ROMANCE (reprise d'un text ecrit il y a 2 ans) Pixies ~ ALBUMS ~ The Purple Tape & Doolittle.

ICI : La ROMANCE/Ecume/Quo-osmotiq girl/Ix-Chel & Aphrodite

I guess i guessed. Guest une vie thés invités. À dos de mulet, susceptiblement sa clef des sols et leur pied à l'étrier l'attèrre.
Ma terre, lae consterne sans me prosterner. Santé. Hvala, voilà, merci. We Won OUI !~ and now own each other.

Bonjour aux vieilles villageoiss qui n'ont pas vu un mulet aussi bien monté depuis que le leur est mort. Colore, aime, orne cette bête à mille et une tête de nos vies comm d'un pallier et d'une chute d'escaliers on parlerait de torrents, de distance comm une métaphore. 3 notes de corbeaux comm le son d'un cou qui s'en va au loin. Écume de ces lucarnes de décades froissées, juste un an mais tant et tant mieux dedans, encor là des trombonnes desk-kid décadences didactiq cadencées d'entre-les-notes qui te-me décantant chant se tiennent un bras tendu au-dessus du vide entre deux pistes. Quand nos fracas sont résonnances que les guitares rases absorbent par capilarité. Le remous revenu vêtu durci de l'entre-les-jambes une seconde secouée coudée de l'onde qui l'a noyée. Ses fenêtres sont des hublots qui prennent L'eau ~ elle fait des clapotis au sommet du sommeil, en un seul creux d'éveil. Le ventre vide. Là lacune des lagunes, je la croyais étanche, les cuirs du sang si denses qu'ils pénetraient mes pensées, dansant de l'une à l'autre en plongeant comm des mouettes chassant adage d'or, de l'oeil l'émotion qui la possède à ma surface, et m'obsèdait aux siennes. Doll dôme. L'homm le regarde fixemet et déclare Je suis au fait des clapotis, dedans, dehors. Mes pieds les frôlent à peines. Obcène mob-scene tournante obèse balise ode à girasol un baiser volant fièvre hypo-dues des termes aux mètres de navigation impromptues, et me fait céder la brisures de coquille d'oeuf faisant croustiller, ses cartilages de sucre solivages à palliers multiples ploiements pliés pleuvant lait.
Le lait à ton ventre recèlée quelle blonde-russe-toi, ruisselant me bonde, m'abonde à l'abandon, et je redouble à la rue de bander la bardant de bandeaux aux nuages englobés aux lobes et desseins lestés aux festins grêles. La remuant j'ai fait sa tête n'être naissante qu'étirements de sons, dans le temps ;comm des muscles dans l'espace en '69. Les linules s'électrisent à ses hanches au contact d'une viande qui parle sur le bord de ses lèvres de plonger dans l'huilebrûlante. Et je fris. J'ai froid, dit-elle le prenant. Libido-bolide.
Au débit-bolide d'hauts lobby de leds, lumières d'houles-heures de joule eau-watt/h, d'ou des douleurs en mille ères musculaires viennent vapeur ~ C'est le GRAND des HASARDS, bien le propre de l'eau à la bouche, Quo-osmo-goniq girl, aqvatoniq qui peut choir ou séchoir, sur sa courte-échelle de plusieurs mètres carrés élancés dans un bassin d'eau, dans l'elan s'en remettre aet qui comm un véhicule à cet instant précis pile en face d'un profil-bas relief usé, en pierre corrodée à sa tournure de pores que plusieurs dimensions de plages à pistes orchestrées, nanosurréalist survolent et ordonnent en en venant la voix mouillée à traverser le symbolism pour mode d'emploi départ, bien le propre du delta même, grotte a déesses émergée des eaux qu'on emprunte une seconde à la demie-tour d'ivoire humaine démarrée au quart de tour semi-déiq d'une foire et qui se développe comm un polaroïd subcutané au métabolism d'amphores de la métaphore en elle lexigrammiq : une parade aux latences du latex; c'en est le ton bon, l'image sureexposee, le flou des fontaines,
image d'hypnose,
synthèse de mes petits crus, accrus.
Leur grand pot d'apothéose qui déborde et borde les beaux rodeurs aux abords d'apoplexie oubliee etque l'on rappelle aux complexes polypotentes de prolixite lexicale typiq aux plastiq de Palenq.
Eau-a la-bouche, delta lexigrammiq, code semantiq. Les marchandises spirituelles prises aux commandes de cette nacelle qui m'amene a l'etage ou elle n'etait deja plus. Cette nacelle-escale, ultime echelle d'une cale en voyage. À nos âges implosés de paroxysm ou les états atteints sont des ilots si flottants. Nos adages d'anges exfoliants, s'ex-fou-liés implosant.



Ix Chel, Aphrodite d'Ephesvs & Bodhisattva Avalokitesvara ~ 
Quand les bras l'en tombent, et que ce sont des oeufs durs qui en leur
lievx etangs poussent l'ame-a-l'eau fort hors d'elle-meme qui vire au rouge du char feeriq d'une arche ferriq, quand suivant la mesure de ces danseurs dont l'echelle d'incomplets effiles donne aux dos nus l'air de choeurs qui se battant en duel ont eu a coeur de mauvir males de l'air ou tyrans du loquet, comm moi que point d'orgue ni de piano, aux altercations avec les halteres, Emilie tente militante, de rassembler a ses paires, ses esprits,
et a eux cevx qui courent comm des tentes ressemblant a des vestibules en toile, liquid ou aerienne., et, peintes pour durer dans l'espace plus longtemps qu'une piece ou un recoin qui se traversent a cheval ou a dos d'hippocampe ~ Je viens de rencontrer un problème, ~ Eet alors ?
_Ça avait l'air d'aeller; 
J'ai toute une série de texts : Qui est le Bienfaiteur; À la recherche du Bienfaiteur; Le Bienfaiteur a encor frappé; Le Bienfaiteur se manifeste; Rencontre avec le Bienfaiteur; Les Bienfaits de l'Amour; L'Amour sans mots; Au delà du Bienfaiteur; Le Bienfaiteur s'élève encor.
Comm tous ceux qui sortent de L'Échole, j'étais dans l'élan bondé de grandes émotions et convaincu que nous étions des héros dont l'histoire s'écrivait au quotidien. 

Comm ces dieux-déesses, métaphoriq tu emportes avec toi les mondes contenus dans une idée de NOUS, immense, un monde en foire, une foraine libre ~

 

 

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21 octobre 2009 3 21 /10 /octobre /2009 10:58

Mecaniq poetiq
Extension du reel
Amour
Explorateurs & carnassiers. [musiq~]

 

Comment j'ai commence de peindre ?~ avec quels instruments au depart ?~ ces seules lignes qui se sont mises une fois a bouger tellement, que les sens s'y fracassant, aux sens semantiq & au sens directionnels, orientes epars et azimuts m'y ayant fait tourner un film la tete, puis celvi-ci des scenes aux bobines imaginaires, aux cadres intermporels, aux realites improbables. Semblant au depart, impossibles. Puis l'amour des jeux du mot avec les images, de celles-ci avec les avenirs decoules comm la prescience pressentie prestamment pressait le pas, bientot j'ai conquis la page avec la virtualite torride d'un ogre d'amour qui d'emoi en moi aux cas d'onguents alors rares l'aspect saisi immortalise comm des notes actives, jusq 'a y voir un flux permanent, y vouloir une maille dense, y construire une suite, y batir des ponts liants entre les existants, et les vues de lointains ailleurs.
Un jour que ma vie a commence de basculer une premiere fois ceci est devenu concu pour durer, et tout instantanement s'est materialiser, durci concis concretise comm sous mes pas le vide s'etant resorbe de ce qui avait faille failli me faire sombrer dans la torpeur, cette fois pejorative et non heureuse, douce et tendre, formait d'un amas d'indicibles inattachables ~ la conspiration des objets de l'agitation des echelles au rapport quantiq des cantiq a lecher ~, l'autoroute organiq d'un organism organist d'ors-gues plvs symphonist, et rendait plvs que necessaire, submergente, constante et sans cesse reinsufflee cette envie devorante d'en poursuivre a quatre pattes mmee parfois, et rarement a plvs, l'envolee de voutes de mes plafonds a cercles desordonnes pour faire de cette tache minutieuse a l'origine orgie des detournements de faits epars reels en laits perles, en une toute nouvelle maniere d'apprehender le jour qui venait.
De telle sorte, et plusieursfois concluante, obvious et accurate, d'experiences japonaises cursives et jamais conclusive, les tours de force se sont fait tours de pistes, et ceux-ci tours d'ivoire aux vues des detours de l'esprit dans les souvenirs oniriq qui siamois y etaient saisis. Comm un cobaye sillonant l'ultrasensorialite virtuelle et le devenir potentiel des choses pensees.*
Avant d'y avoir percu quelq idee de reflux c'est la passion pour la folie qui fleurie en a fait comm jaillie des teintes prendre formes, et celles-ci fond de sauce aux recettes de mets gouteux. Proliferation des vegetations, nidification & POLENISATION. J'ai force le ton, j'ai pousse les styles, enrichi les lexiq de champs nouveaux, battus comm des contrees fertiles ou comm des deserts enfin benis, et j'ai bati de ceci, de ci de la au moyen du pinceau poetiq les trames aux toiles visuelles qui constituent encor aujourd'hui le plvs remarquable puits de sens aux sciences des poesies dont je tire puises d'elles les registres aux elancees ailees qui non seulement consistuent construites ou destructurees (souvent tres abstraites) mes pensees et mes paroles, mais jusq 'aux actes aussi inspirant leurs elans aux cas extremes de lyrism mailles qui font d'usage trouver dans les ecarts les manifestations de plvs belles fragrances ou on pourrait n'y voir que du feu et des sables ternes, allant jusq 'a souffler a mon oeil pareidoliq, a mon instinct aspirant aux folies presq naturellement, ainsi mon metier*, ainsi mes amis, les images et envies qui soulevent parfois les rires et l'euphorie moins rarement que les debordements dont decoulent liquid ces instants de magie qui maintenant, semblant comm visible, inspirent et n'inspirent plus, presq qu'a rendre par le revers quantiq et autonome, deroutante cette architecture d'illustres dont je veux depuis toujours remplir mes interieurs. Longtemps le florilege de se reveiller en rimes et en musiq enchantait non seulemt mes interieurs ais tissait aussi les mailles des exterieurs a tout faire se mouvoir quand meme l'arret de l'instant pouvait s'intrisigeance brusquement decelerer l'emotion.

Desormais fluide et motrice cette poetiq instrumentalise les epaisseurs de l'image et extrait du sens aux surfaces des perceptions, causant ainsi des emotions avec qui les croiseur heurte. Un court temps,~ grandi et parfois prolonge comm pousse de la plante au sol musical . 
L'alchimie allegoriq des cycles dans ce processus, les repetitions aux sens theatral, joue a la joue boursoufflee de rires d'un visage au role moteur, et les licenses poetiq illustrent des permis de construire.

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19 octobre 2009 1 19 /10 /octobre /2009 18:41

 

 


    Elle ne peut etre, la folie, cette fureur, rage interieure, cette emotion trop forte, trop immense, immensement submergente et qui devore, qui engrange et qui effrenee forcenee force les acces entre les differentes maisons des lieux sacres, etre exprimee que par l'illusion quantiq, que par l'architecture des physiq inexpliquees, que par les phenomenes de ce type deroutant, qui en contiennent toutes les notions dans leur lecture, dans leur eploration, dans la surprise et la manifestation du metaphysiq, de l'impossiblement mirage qui s'en degagent spontanement, dans la verite de leur improbable coexistence avec l'habitat de l'usage humain : avec la realite molle qui habite nos villes.
Cette folie furieuse, ogre et manie-tout, magicienne, sorciere, gourou, la transcendance, terrain inexplore, indefini, inquantifiable, qu'il est impossible de situer et de mesurer, de comprendre, de saisir, de maitriser, de loger, de faire se produire ou de faire s'arreter, terrain, tertre, terreau de l' l'ame, chancelant, bougeoire, manifeste des autosatisfactions,d es fractions de soi autocontentees, des continent interieurs enrages, enflammes, flambant et destructures.
Des paysages de ciel habites, des lieux du temps qui n epeuvent etre habites que le bref instant qui les produit, sans cesse reformes, sans cesse remopdeles, des secondes qui prennent consistance de mirages, de veritables tables, de veritables visages, de veritables chants, qui n'existant que le court espace du reve s'introduisent y forcant l'acces durablement dans le reve eveille, dans le conscient, dans l'inconscient, dans l'illusion et dans le sur-moi qui veut quand ceci est evoque, des la flameche d'une goutte, des la larme d'une pluie dans le verre, des l'etreinte qui serre fort l'etayant le corps, de l'etau par cercles brulants, et qui veut se manifester concretement, veut prendre sa durete, sa consistance materielle instantanement.
QU'un theastre quantiq pour figurer cet amalgamme de paradoxe physiq, ces renversements vertigineux et spontanes, rapides et merveilleux, que l'amour fou pour defigurer tout ceci et tenter de le supplanter, que les arts pour parvenir a en concilier les tenantste les aboutissants, que la vie comm art pour faire ces vies coexister sans provoquer de grands boulversements de l'ordre de ceux qui provoquent les metamorphoses ~
Le manque, au sens quasi toximane, epidermiq, epithelial, conjonction nerveuse, l'infranchissable. Ce jardin contient en lvi toutes les merveilles, il est constitue des materiaux, des elements, atomes uniq, des proprietes introuvables. Ce jardin contient tous les autres, il fait les barrieres de l'esoteriq se fondre avec celles des possuibles et eleve a des degres quantiq ~ par rapports d'echelles ~ les possibles reevalues, l'inifni potentiel de la seconde qui transcende les heures et les annees, lumieres.
Le souffle qui en jaillit est un feu inextinguible, il devore, il brule, consumme alentours, parfois physiquement, par fracas, par enervements, agitations inexpliquees et inebranlables elans de folie qui poussent les murs dans les tranchees d'autres volumes, que l'architecture d'un metabolism de la ville-temps quantiq pour rassembler en faits palables, visibles, intelligibles, les phenomenes provoques vn a vn produits dans le precipite d'osmoses fulgurantes qui se secoue et s'assemble quand se choq et se fondent deux liquid lances a pleines vitesse l'vn contre l'autre.
La pulverisation charnelle des sensations torrides dans les ebats instables de l'excitation extreme touche a ceci a son parxosym, brievement, et partiellement.
Le theatre aux aquantances atlantliq quantiq doit comporter la scene de sexe la plvs forte pour en seulement pronoincer quelq lettres, quelq notes des aigues, des graves entremelees, des syllabes, des voyelles, de la bouche d'Elsa lorsq 'elle gemit. La la peau s'eveille, comm le corps se soulevant se decouvre, decouvre quelq chose, s'instruit d'une image neuve, prend sa rigidite leste, evoquee dans l'artere pulsvie des revendications cardiaq qui compactent les echelles de plusieurs densits de sentiers chevauchees veloces.
Dans l'ivresse et dans un eat qui s'atteint au recours de stupefiants tres specifiq, la zone de franchissement des mondes s'etend, son parcours ralenti rend plvs prtaiquable son intergrale environnement textural, mais l'emotion habitee, l'effort vehicule dans les brulures de l'absence consciente qu'atteint l'esprit dans l'orgasm n'invite pas la les evenements de la demesure dse metempsychoses a l'appel axu recours a ses sens dans son flux, ni plus que les habits epidermiq des appuis transcendaux propres, qui eux-meme par la seule chaleur ressentie des corps fusionnant, des emotions qui attisent le concert et brulent les secondes en papiers dans les airs, ne sont le cri devorant qui decrit cette folie. L'extase n'est qu'une infime, infirme meme partie de cette folie, qu'un minorite non sensible, qu'un leurre en evidence aux gorgees pulmonaires qui sondent les souillant les ambitions cavitaires de la memoire dans le flux puissant de ce pouls moteur qui veut vehiculer plusieurs plans simultanement et les faire s'effondrer, les faire croises et encastres filer dans l'existent.
Car c'est le choc, precisement, des physiq realistes et de cette force contradictoire, ce fracas des extremes dans l'intense suractivite potentielle au moment d'en prendre connaissance, qui cause le plvs des effets createurs de cette emulsion-phenomene.
Une rencontre. Celle de la creation artistiq, le theatre, avec les lois physiq qui coordonnent le mouvement, le quantiq.
Cette rencontre dans L'Amour fou, est une balise, aussoi bien qu'un entonnoir, un arrosoir, une barq ou une nacelle. Oui, une montgolfiere. Liaisons invisibles, connections ultra, magnetism inherent, sommets endogenes, sommes erogenes, 7o septieme ciels imbriques et assourdissants. Un ciels electriq, jaune, une mer turquoise miroitantes et transparente, une oreille gauche coupee, un champ battu de couleurs, un reveil dans les couloeuvres, une oeuvre par coulees, une vie decoulee, une toile de Manlio Rondoni qui applaudit quand on passe devant et qui dit Je vous souhaite d'etre follement aimee.

 

 

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18 avril 2009 6 18 /04 /avril /2009 11:22

    Un mirage artistiq, voila ce qu'est Manlio Rondoni. [dans tous les sens] 
AVANT-PROPOS : j'ai conscience des 5 occurences du mot emotion dans ce text. De fait, il est essentiel qu'ils en soient le fil. 

1. ON ne saurait trop insister a dire avec l'extreme viscosite entendue & due a cette formule, de sa production qu'elle est pharaoniq (et c'est la premiere fois de ma vie que j'emploie ce terme) que si l'on pouvait sans pecher par ommission considerer dans son ensemble la quantite en effet pharaoniq de ses oeuvres et leur haute qualite tant techniq que picturale, mais dans le detail c'est de multiples fois le terme titanesq, en tant que terme et debuts qui devient pour la qualifier, le plus approprie a decrire quand on la considere en plus dans l'immense variete picturale et sensationnelle de ses chefs d'oeuvre, son oeuvre par la facon qui ne peut manquer d'etre preponderante, qu'il a de s'approprier avec une intensite remarquable, systematiquement, chacune des plages abordees, chacun des sillages, chacun des courants dans lequel, au fil de sa vie, par son vecu et dans l'ultra compensation sensitive des remous vehicules par l'extension de ses membres aux fonctions de genie, que les experiences de sa vie lvi  ont fait emprunter, trouvant dans les vertus picturales de l'une, de l'autre de ces transformations du courant des peintures, celle d'immortaliser au mieux, celle d'illustrer avec le plus de veracite, d'autonomie, de reverence ou de symbiose cosmetiq l'apparition du moment non seulement, au sens emphatiq du ressenti immediat, mais aussi l'expropriation, extorquee souvent on le devine, aux limites ultimes de ses propres capacites aux ambitions de se pousser pour s'extraire des reels et toucher au sensationnel irrationnel qu'on appelle couramment intuition sensitive, expropriation donc de ce que le recul dans une autre sphere metaphysiq des songes et des attitudes adoptees comm des contraintes toutes subjuguer, il aura parvenu a donner une direction commune, afin d'en concentrer la force dans le flux lineaire de leur progression sur l'accoutumance caustiq que d'usage seule revet la confrontation du corps aux evenement et phenomene que sont les rapports physiq entretenus avec le sol et ses affranchissements relatifs. Ce que fait Manlio, c'est contenir dans l'intense contraction de la mouvance coloree des fluides et des solides, l'allegorie la  plus humaine : l'expression plastiq devient un elastiq qui s'etendant et se retractant dessine telle la respire de la horte elle-meme, l'empatie, l'annoncement pulmonaire et verticalement assagi de ce que se font mutuellement correles moudre ou extruder de leur fonctions premieres, nos veritables aspirations a l'exploration. Un paon leoniq, un pan stereoscopiq. Une minutie qui est immediatement a contre-balancer de la passion non scrupuleuse, vogue et navigue plus selon la marche lente et hasardeuse des grains de sable sur les vues du corps que les  sols prennent a tour de role pour amibition a l'edifice de monticules geothermiq, que suivant le veritable travail d'orphevre dont Manlio ne s'inspire que dans une parcelle isolee, un detail voulu tendre et fin a  la fois, de chaq toile a laquelle par ce trajet construit de l'apparition de l'oeil qui observera sur elle, il donne une sorte de coeur, moteur ou, plus rarement dans les arts souvent trop occupes a centrer le         regard et le diriger a la maniere evidente de l'art pop qu'inspire la grandeur semantiq des publicites universelles, plus rarement donc que celles-ci, a authentiquement plutot delivrer comm un facteur en deplacement, une quantite d'emotions stheniq et d'ivressesstatiq, au contour meme de la forme decrite par les figurants qui s'y inscrivent.

Ces longues phrases c'est bien beau mais, ne sont pas au mieux tournees pour concretiser que se trouve illustree vraiement le talent phantastiq et phantasmagoriq de Manlio Rondoni, tant ce qu'il fait, ce qu'il sculpte, grave, dessine, ecrit et modelise, comm un voyageur de l'espace plus que comm un astronaute veritable, repond des pulsions cardiaq breves, sacadees, circonscrites, concises de l'apparition  intuitive et epileptiq des images aleatoires comm d'objet cosmiq, et non plus de l'attente calculee et precognitive desdits objets dans leurs decandences metaphoriq.   Il n'y aurait en fait que par le poem, dense, illustre, epais et sauvage, que pourrait etre transmise la connaissance licite et l'emotion creatrice de son oeuvre. Et si je sais ceci, une fois n'est pas coutume, je prends le desir d'une extraction linguistiq pour defaire la volonte conceptuelle prescrite et tourner dans les yeux de l'appache rude et apre des vanites la forme d'une approche proprement linguistiq. Mais que cela ne pretende pas digerer la veritable volupte charnelle doublee du doublon de la conscience, locomotive et surnaturelle qu'est la respiration des yeux mouilles de ses vrais mets inspires ~!

Car quand Manlio peint, devant nos yeux, lorsq bien que seche depuis 1o ans la toile se peint a nos yeux qui la decouvre de l'intention meme qu'il leur avait donnee de presenter comm figurant les acteurs de la pensee et de passer poetiq la peau d'un alliage graphiq et nebuleux chacun tires    des ressources calororifiq des materiaux dotes des vertus les plus remarquablement rares et inexploitees, pour les parer de nouvelles candeurs chandelieres, denouvelles flammes excitees par son souffle a notre regard pose sur l'oeuvre, quand il peint ceci donc, il respire. Et sentir respirer un artist du siecle comm il n'en est que si peu, c'est un privilege.

Alors, allez-vous me dire, si je ne parviens a exceller dans l'emotion phoretiq et kinesthesiq qui devrait pour vraiment ajouter quelq chose a la qualite gustative de son oeuvre., a quoi donc sert ce text ? ~ Eh bien, uniquement a faire plaisir a Manlio, comm il me fait tant plaisir d'en explorer la toile. Privilegie de suivre son talent arpenter les cimes sans cesses nouvelles et sans cesse renouvelees du pur plaisir pris a l'exploration visuelle d'un BEAU vivant.  Ce privilege auquel je voue que le monde prenne part.} Pour le bien de tous. D'ailleurs je suis d'avis que tout un chacun a sa maniere, ayant l'honneur d'assister a la diffusion live de ses champs nautiq devrait a sa maniere donner une part de lvi en guise de remerciement. Si infime soit-il. Ainsi, soit-il instant.
A toi, Manlio [ ~ de prendre sans compter maintenant.]  

 

2. ONIRI MONOLAND [poetiq peinte papier sur le dos de la colline] : Comm l'Ocean, l'Art pourrait me rendre FOU si je ne l'etais deja. Car comm l'Ocean et comm moi qui l'ecoute me surrealism susurrealiser aux oreilles les eaux fortes de ses hautes technicites, l'Art entoure de folies qui ne saurons plus meme en etre un jour. Mais en naitre, toujours. Par la il faut entendre : que de la meme maniere que de la rayonnance cycliq l'echo electroniq de Debussy dans la surrealite manifeste de son Clair de Lune alunit un ciel accouchant a terre des soleils noires oxymoraux propres a la poetiq elle-meme, il n'est par la peinture de Manlio plus possible de douter que l'art est la formation mystiq de la metaphysiq, sa branche poetiq, ou : son troisieme bras. Qui reliant les deux autres en un triangle parfaitement fini, acheve l'Etre. Sans cet art, rien ne saurait etre par antonomase, disent a l'Etre les etude & anatomie du monde. On en voudrait toujours plus. 

3. Cratère de Derveni ~ [Esperluette de & vers Manlio]
En ciste, incistant, critere caracteriel de consistante et a volutes pleines de forces, et qui se decrivant elle-meme comm une circonspection, un cratere dans le cratere, aussi follement qu'une mise en abime fait le theatre dans le theatre athe reagir aux eruptions cutanees de ses propres pores de respiration impulsives. Laisser l'emotion, l'entrain agir pour l'artist, ce serait laisser courir l'articulation des bras dans les bris sans controle ni abri qui s'agitent et s'excitent en criant. Maitriser cet art comm pour l'ecrivain garder en memoire solide les liquidites verbales d'echanges d'une heure et de l'emotion forte rapporter a sa porte l'appropriation des priorites sensitives sur le seul mat charnel qui a voulu en eprouver, en contenir, en secretement secreter l'illusion immaterielle, est le trabail le plus difficile, ou plutot : le don le plus exceptionnel. En poesie le surrealisteur de la facon la plus charnelle c'est-a-dire sexy, comm au cinema le realisateur se dote de la musiq, pare ses parcelles de peaux ultra-pixellises des degrossis macroi-realists de la toreur cardiaq dans un grand vacarme de velocite, par la cinematiq, la dynamiq, cinetiq des frottements, qui permet d'en cadencer la force, d'en mesurer adequatement et la donner en pature l'intensite vollubile, incosnciente, eludee et magiq des champs stheniq, au theatre c'est par le decor seul, et l'anticipation des triades de tirades a repliq  multiples et par l'imbrication des jeux gestuels du text ecrit pour etre joue surjoue, que parveinnent a etre contenues ces capacites a la restauration historiq des vestiges du vertige vertical des verts vraiment avertis de l'ouverture cardiaq, mais en peinture ? En peinture ?, alors ~ il s'agit de penetrer la matiere. Une sculpture vit dans sa dimension holographiq d'objet temporel, et la toile, elle, relief de la sculpture temporelle, donne et reprend la perception satiale emprise de sens que seule, la forme des couleurs peut figurer. Cest donc bien aux figures, quelq non figurative soit l'oinspiration et l'expression de ce champ, que l'on doit l'impression des sens mates et non thematiq des metaphysiq correlees quand s'approchant d'un regard le notre se sent par lvi aspire.  

FIGURE-TOI !~, s'exclame Manlio en francais dans le text, que tout ceci est bien joli, mais en rien ne parle de ce que j'aurais voulu que tu fis ~ (instant vu de l'esrit)
Choeur
: "We are several in just one man. Your are one in every one." (Jeu de tete, passement de jambes.)
_Je sais Manlio, et je te demande de m'excuser cette petite parenthese de diversion antiq, qui voulait seulement te plonger comm toi moi, dans le cours du temps auquel tu appartiens, aussi particulier sois-tu, tu es l'homm universel !~
Manlio rit. Rideau. [EAU !~ OH !~]      

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1 mars 2009 7 01 /03 /mars /2009 18:25

        Chute Victoria des paupieres sur une ile deserte.

Je me suis echoue sur une ile deserte. Mon avion s'est crashe ou plutot mon aerolim a ressorts s'est pose en douceur au sommet d'un arbre qui plusieurs fois par jour penche et se ploie si bien qu'il touche presq l'eau. Le reste du temps il se redresse et le tient plvs haut que les arbres voisins. Voila pour de pres. De loin avec le recul je suis dans l'une des multitudes d'Alcoves minuscules qui jonchent la gigantesq baie interieure d'une ile elle-meme immense, et je suis comm donc le signifie l'ile elle-meme, isole de tout.

 

 

 

[avec la force des saisons d'un climat continental. Ses orages, ses arbres nus, ses etes brulants, ses grandes precipitations, et ses explosions de couleurs autonomales]     

 

Inspiration du jour a se faire le premier Mars : 

 

       inspiration du jourL'exposition des grands ecrans. 


  Every single piece is the whole.   

  Do i believe in miracle ? I experience one every single morning.

  Mes romances, toutes plvs belles, oui, elles se constatent, se detestent, se delestent mutuellement, elles se chassent.

  Et ma chatt est une deesse, en miaulant c'est un monde !      

  Quel qu'ait ete l'hiver

  C'est un system ferme, infiniment complexe  / tout interagit. Les causes peuvent etre des consequences, et meme

  Les causes d'autres causes dont elles sont les consequences

  Le jour d'avant sous une tonnelle d'asterales,  

  Quelq heures a peine apres que le deleste de ses poires m'a acheve le week-end fusait, et

  Le temps allant s'accelerant j'ai meme vu filer comm des etoiles les metaphores des jours suivants. 

  Depassees dans la ligne droite.

  A Alina je consacre une page,

  Et on entend craquer l'orage.

  Driving all night. Oui, c'est leur deuxieme, peut-etre uniq point commun. Une K7.  

  Audio des sobres assauts des sus

  Aux sauts des sets d'ici dechus ~  

 

  La mangrove dans son entier, l'oeil ode Adele a dieux d'os au dos des / qu'etale ne nait l'affable / dolls

  Eau d'ailes, aude claire. C'est la que c'est fort. Tu crois que c'est fini mais y en a encor.

  Tous les sommets de tous les monts ne sont toujours que les genoux

  d'autres erections. 

 

 

  Il y a quelq instants, Venus a touche LA LUNE. So far in the distance, yet sonear to my mind. A L'instant PRECIS d'un grand bruit de fauves hurlants [ Rocking chair ]

    Elle a de la gueule ta Seat Ibiza Cupra Alors on danse.     


entract decontract for a film ,., divertissement / avertissement / advertising / envers d'aversions ~ ~  

 

 

 

   Assis devant mes ecrans geants avec mes images d'elle,

   Qui crepitent epileptiq comm des nuages orageux oranges

   Comm claque une porte, et vice versa ~

   Comm vice versa & porte une claq, l'echo dans sa main.  

 

Vibrez, tremblez, emerveillez-vous, et ennivrez-vous, il faudrait mourir chaq soir, chaq jour partir pour le paradis, et en revenir aussi, pour revenant de loin la tenir a cette hauteur, cette echelle, la force que cette vie contient continent en elle. De sports, de femm, de tomates-opera, de poesie & de peintures, de desirs & de merveilles, et voyez donc comm la merveilleuse pauvrete elle si intime, nous intime de nous entamer !~ et qui milite a nos limites de dilletantes ~ 

Le confort, il n'y a pas de pire mort que le confort !~ Qui se lent retient, nous detient et ne contient rien !~

 

 

   

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6 février 2009 5 06 /02 /février /2009 09:41

Il s'agit d'un ensemble de douze images, dessins & photos, rassemblees dans l'idee d'Oeil-Oeuf par les elements qui figurant en chacune l'identiq reciprocite des emotions intentees et des intentions motives.

Image expropriee : l'image ayant perdu ses proprietes, et dont le caractere cratere original et originellement improbable se si bien laisse caresser par les intemperies qu'on n'y voit plus presq qu'une continuite denuee de tout interet propre qui lvi conferat cet intense et extremement createur corps multi-fonction d'etre valide & de corne d'aboundance.

Customisation ultra : c'est pour en recouvrer l'usage, comm de ceux de leurs membres les invalides, le recours a la qualite la plvs erotiq de leur sens sinon visuel, inductif de membrane sensible. Rires, voix. Entre autres choses courbes.

 

Obus et balle au bond du Desir, brulantes feminines et clef de tout 

 

Entre autres choses courbes, la voix. C'est elle qui rend fou. Stele immuable, et cependant instable. Estelle.
Briller du corps, du Sud au Nord. Entrent au trot chauds echos, rebonds lavent oies steles. Qui rend fou.
La forme prise du corps, pour contrevenant a celvi ou ~  

    L'avant-veille

Nus ; Reve revelateur ; ***** ; Estelle.; La Belle Vie, Paris  

 

    Le lendemain

Aux exces, aux acces. Entre autres choses courbes, ta voix. C'est elle qui m'avait rendu fou. Stele immuable, et instable. Briller du corps, du Sud au Nord. La balle au bond priss comm la forme au corps, du bras pour contrevenant, et stele immuable. Avoir de la grace, jusq 'au son des formes et jusq 'aux formes des sons par leurs echos avoir de la grace la propriete recouvree. L'image change. Ce n'est pas grave de changer, de forme, d'avis. L'important c'est de le faire vite. Eh bien moi je te l'ai fait mieux encor. Oui, encor

Aux joues, aux jouees joutes et jouxtees. Parfois le Sud prend un Nord pour repere, comm sans etapes. Il y a du bois, des boissons, de l'alcool trop chaud, et beaucou, beaucoup, peut-etre meme trop mais enfin quoi a l'exces c'est tellement meilleur, de cette poire a liqueur qui rendant le caractere fou plvs fou encor, cratere de Venus de l'astronome Aglaonice, en fait une histoire. Ce caractere cratere fou, constant, est Instable. Les desirs. Brulantes feminines, en sont L'ART  

 

 

Animal terrestre, transpose d'echelles, suivant ses pas sur son propre dos a la recherche de son museau, encor conscient de l'infranchissable rapport de tailles qui l'en separe : THIS WORLD IS STILL TOO BIG FOR SOMEONE LIKE ME !!~

fevrier 2o12

 

327396_252577141484533_1510063046_o.jpg

 

 

Customisation ultra.

 

 Manlio Rondoni, Figli del cielo ( comunque smarriti come le nuvole ) 2o13 dittico su carta acrilico 15o x 2oo cm

Figli-del-cielo---comunque-smarriti-come-le-nuvole---2o13-d.jpg   

 Manlio Rondoni, Un'aria lontana a me cara (novembre 2013), acrilico su carta, 100 x 150 cm

un-aria-lontana-a-me-cara-acrilico-su-carta-cm.-100-x-150-n.jpg

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2 décembre 2008 2 02 /12 /décembre /2008 17:35

Il faisait encore nuit noir... Et ce, depuis 17 siecles.

Qui attendaient a 4o cm de la surface qu'on les decouvre, deux authentiques, vieilles, ancestrales, c'est peu dire, jarres en céramique !, le croit-on, remplies de 30.000 à 40.000 pièces en cuivre !, du IIIe siecle, qui vont rapporter un petit magot aux heureux proprietaires du terrain ou logeait ce tresor. 

Ces pièces de monnaie du IIIe siecle ap. JC représentent, pour les trois quarts, les derniers empereurs de l'empire gaulois, Victorien et Tétricus Ier, les autres figurant les empereurs romains Gallien et Claude II. 

On les y a enfouies autour de 280 après J.C., une période que l'archeologue-qui-n'a-pas-eu-la-chance-d'etre-mon-frere a decrite comme ayant ete "assez difficile", "de fin d'invasion romaine".

C'est ici l'occasion d'un peu d'histoire locale pour remettre dans son contexte l'enfouissement du tresor.
Mais pas pour aujourd'hui. Je laise cette tache a Honorine Ploquet, qui me fera bientot l'honneur de son passage, passionnee d'histoire, meme si ce n'est pas tant celle-la que celle de la civilisation minoenne - et qui n'a bien sur rien a voir, et qui aime ecrire des romans sur les epoques qu'elle a traversee vivante et en pleine sante ! A toi, donc !... sinon je m'y collerai ~

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