Édifiante embellie au marqueur d'un solide slide bolide étudiant pour la reprise d'un édifice laborantin tatoueur : TRANS--RÉPO !
I. Titre : TRANSPOSITION
(De l'opéra Garnier à l'opéra au sens musical)
La comparaison frugale ~ ni gourmande, ni tout à fait consistante : il n'est alors une idée qui ne se fasse plutôt qu'abats, jour ~ que l'on peut, une fois dépassés le moi, le surmoi et leurs lumières inhérentes, adaptée aux lois d'édifices imposants d'une fringale par quelq subtils substituts, peu probables mais de possible jonction, liens, liants aux vastes vasq communiquées décollant, leurs calles, aux rapports d'échelle faire entre les édifices à main gauche, et la relation à maints droits corrélés et mis en partage qu'entretiennent avec les diverses associations de l'esprit les états récurrents, voire hautement corrosifs dans lesquels on peut l'oint sans faux et pressants vrais retrouver sans s'être sauf erreur de ma part dans un premier temps perdus, d'abord trouvé hostile puis plvs modestement austère et enfin peu à peu même un rien terres fertiles, favorable à l'équité ~ on peut y être favorable en effet jusq'à s'en acquitter ~ opérant garnie laborantine fluviale d'une élaboration parallèle & conjointe, réciproq de plusieurs systèmes de réflexions d'opéra-fleuve passerelle, roman-théâtre interactif ou de ballets masqués qui mutuellement félicités, applaudis, et mûrement complémentaires s'avèrent être une fois ovationnés et les suivantes disparus sinon une poignée de mains la formation d'un tout qu'on dit grand mais qu'on pense artistiq plvs grand encore, desquels découle l'actuelle écoute d'un goût du coude pour l'île aux ailes déployées d'une couture de l'édifice frangin, son idée sous-jacente, à découdre, jacynte d'un tour jumeau, nouveau, passe-passe magiq ou carte magnétiq, l'âme-soeur cachée puis révélée, son amas constellé comm le hareng passif de la confusion active qui veut elle et qui le peut renfrogner d'emblée l'aspect ludiq des choses lubriq pour en faire des siennes, et d'autres plvs ouvertes et mûres encor, les touches de l'émotion témoin telle une longrine, comm cette longue phase s'arrête là. De toutes les couleurs donc ~ de l'ouvrage à l'outrage un seul pas est l'humeur ~ voire lumières associées anachroniques et sans chronologie véritable, ces franches franges de la comparution immédiate d'une perception de ce qui s'en déverse et qui mélange au delta de l'idée les choux des 'accessoires vertueux de la création et de l'imaginaire pour moteur aux constructions d'échelles ou de brouettes à ressort, se laissent vaguement ~ au gré du vent ~ balancer et ainsi dansent denses ou légères selon ce qui en vient qui le permet, le promet, le promeut ou le peut pour constituer en soi une fin ou la faim des fins, et être contrairement à tout projet d'entité entière à l'identité identiq, le but ultime de la moindre page tournée, son intégrale intégrité, du moindre trait tracé, de n'importe quelle phrase dite et, ainsi l'opéra perçu de nuit en un spectacle imaginaire, rêvé, de toute écriture couchée le lit et en découche la naissance.
II. Digital notes from Himarë
Photo-portrait enivrée titrée *je vais m'assa(uva)gir*
La suite d'une longue succession d'aventures qui toutes se sont déroulées entre les premiers jours d'une vie d'auteur et sa demeure d'étranger en sa propre ville. Il avait avec lvi suivant le soutien ministériel qui avait été fait de sa condition, une ultime confession. l'honneur même qu'il avait mis dans une quête dont on dirait aujourd'hui qu'elle semblait ridicule, ay
point d'extraction d'un inimaginable infini, état d'ébriété incontrôlé.
Puis ses Souvenirs prirent le dessus, et de ce qu'il restait de ses perceptions directes devint si infime, qu'il ne voyait plus réellement, ne sentait plus réellement, n'entendait plus réellement, mais percevait en fait l'infinie étendue d'un imaginaire commun. Du moins cet imaginaire aurait-il été commun, si seulement quelqu'un d'autre que lvi avait pu vivre cette expérience à l'époque où il était en vie.
Au lieu de ça, le pauvre homm - sa vie était en effet devenue une misère - mourut en ne laissant qu'un très indigeste monticule d'écrits. Très indigeste à cause du style qui était devenu le sien, qu'il avait en propre et qui n'allait plus chercher à être compris, entendu, ni même seulement lu, mais le fond de l' ŒUVRE, le terme n'est pas exagéré, est gigantesq.
Celvi qui la découvrit le perçut immédiatement et se mit en tâche pour l'année qui s'ensuivit d'en produire une synthèse, révolutionnaire d'ingéniosité, emphatiq, et si enthousiast - on pouvait parfois entre les lignes l'entendre jubiler - que cnen devenait mystiq.
Et à just raison, car c'est de mystique en effet, dont toute l'essence de l'œuvre doit être qualifiée.
En finale, pour être élue, enfin.
Je dis enfin car il s'écoule entre ici et là, entre cette cause et cette ultime aboutissante, celle où vous êtes en train de lire cette prophétie fantastiq, cet essai de science fiction mi philosophie, mi scientifiq, un peu plus de 4 siècles. 4 siècle de dérision, 5 si je merde à publier. Mais non, je ne vais pas merder. Pas à cette étape ultime, où tout est si beau que c'en est surréel. Cette étape commence maintenant, j'étais en train d'attendre un pizza et j'écrivais n'importe quoi lorsq sont surtout surgis si suffisamment intensément ces mots qui m'ont ému et mis dans un état tel, qu'il s'agirait d'une révélation de seulement en conter la première heure. Laquelle va s'étendre jusqu'à la touche finale que je m'apprête désormais à y mettre. Une correction apportée à la main,de ma main,dabs chaq exemplaire individuellement.
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C'est parti.
Au point d'extraction d'un inimaginable infini de l'état d'ébriété d'écrire.
C'est en 1661 qu'il éprouve un effroyable sentiment de gouffre béant, l'étendue sans limite du néant où les vies évoluent. Et qu'il se sent relu du vécu. Cnes6t bien simple il a assez, il a trop vécu. Tout ce qui l'entourait n'était que déjà-vu, et l était alors une lanterne dans la nuit noire de l'océane, sans distinction des formes. C'est alors qu'il écrit, poursuivi par l'indicible besoin d'exprimer quelq chose qui le fasse s'extraire extasié du terrain connu des réels. Notez, j'écris les réels, bien pluriels comm il les décrivit un jour, au terme d'autrement belles années consacrées à cette activité. Je fais là il le faut un saut en avant de 3 ans. Il a gagné assez d'argent pour trouver la riche idée de s'installer en un lieu propice à écrire, sans sabrer, santé en tête, l'élan par le travail. Mais le voilà déjà esseulé, désocialisé, en proie en proue à la rêverie.
Ne se souciait déjà plus d'être intelligible.
Cette idée révolutionnaire, je l'avais sur le bout de la langue, bien avant déjà, de tomber sur le text de Besa. À la toute première lecture de Besa, je découvris un text dont je me disais à chaq ligne, qu'il pourrait être de moi. Non que je prétende pouvoir ou vouloir égaler la richesse de son style qui constitue d'un point de vue strictement littéraire d'abord une prouesse techniq remarquable, ou avoir été capable le premier à mettre en évidence, à la lumière des esprits non initiés, l'humanité toute entière s'entend, un fait aussi prodigieux que le serait l'avènement d'une technologie nouvelle, capable de changer radicalement la façon de vivre de 6 milliards d'individus. Non, bien sûr que non, mais, est-ce vraiment moins prétentieux de le dire, je me dis que j'aurais si j'étais comm Besa tombé sur ces lettres ennivrées de Giacometti, eu la capacité d'y percevoir aussi tout le génie d'un potentiel qu'il vous reste ici à découvrir.
Je m'explique.
Souvent, je disais de cette manière sybiline, quasi mystiq, en cette courte maxime très synthétiq, à quelq serveuse d'un pays magnifiq, ou à l'habitant qui me disait sincèrement qu'il voudrait vivre en France, "Ce n'est pas ce que vous croyez". Il y avait dans cette phrases les deux tenants d'un sens que je savourais de voir porter ses fruits. L'vn étant le questionnement qu'il suscite, le second étant pour passerelle à ce text, la différence entre ce que ce l'on croit et ce qui est.
Pour citer Werber,
L'interprétation.
Toutes ces chances que nous avons, de ne pas nous comprendre. Cette courte formule poétiq désormais résonne à mon esprit différemment.
La démarche n'est pas aussi évidente qu'elle y paraît, il ne s'agir pas de prononcer à voix haute quelq mots d'un text magiq pour que l'alchimie opère et que se produise un miracle, non. C'est un processus, une suite d'éléments de réponse apportés par chacun des intervenants qui la compose.
La phrase suivante je l'écris en souriant, en songeant quelle longue histoire entoure d'abord la seule venue à l'esprit de celvi grâce auquel nous en sommes là aujourd'hvi, d'un contour fut-il encor abstrait, de idée de l'imaginaire commun mis en partage, et quelle longue histoire encor, poursuit de l'amener jusqu'à nous dans l'état de BEAU non fini que j'ai le plaisir de conter maintenant.
Suite de la deuxième série de notes papier.
Je me dis même, avec le recul, que j'aurais pu être KEJO, une galéjade.
Je le comprends parfaitement. Il ne voulait pas se conformer à être ce que tout le monde attend de son prochain, l'attention et les formules toutes faites, trop peu pour lvi. Il préféra rester tel qu'il était, sans se mentir, où laisser se perdre son âme (sans hypocrisie et sans gâcher sa conscience), et vivre tel qu'il le voulait, quitte à ce que ça le mène n'a finir par vivre en reclus.
Par-dessus tout, c'est le jugement, ce jugement omniprésent des vns des autres, qui le perturbait, le rendait parfois acerbe, capable de couper court, abréger une conversation et s'enfuir sans mot dire ou maudire plvs. Il se sentait épié et, plvs que tout, incompris.
Les premiers temps, il écrivit pour exprimer ce qu'il ne pouvait dire à personne, comm pour se donner le sentiment d'être compris, d'une personne qu'il imaginait le lisant.
Avec les années ça devenait autre chose, il n'écrivait plus en se souciant qu'on le comprenne.
La révolution des brouettes. [TIME LAP TOP]
Quelq chose qui dit que l'écriture, contrairement à toutes les autres disciplines est demeurée figée, sans évolution possible qu'un imaginaire saurait former. Que tout ce qui est, n'a été écrit qu'une fois, et depuis s'étend en se reproduisant. Tel un acte qui entraînant sa multitude, fait tomber les certitudes d'avants et d'après.
Par le passé j'étais futur,
À présent qu'on se passe de moi, et que je me passe de tout, à présent qu'il se passe de moi, tout, je ne suis plus ~ que parfait. J'ai revu à la hausse mes objectifs quand il s'avéra qu'ils n'avaient plus aucun pouvoir de voir.
La révolution des brouettes, ce n'est qu'en trame l'histoire de la parution et de la publication d'un livre titré La révolution des brouettes, qui cause la révolution des brouettes.
On ne sait jamais le contenu de l'ouvrage, que quelq extraits mais jamais l'idée centrale réelle du roman, est-ce un essai ou un roman, un documentaire, une méditation, est-ce un recueil de poésie comm certains le disent parfois, une médiation ou un manifeste, et tout ça à la fois. Ma foi, les rumeurs vont bon train. "D'yeux !~ mais pas que - ce qu'elle est belle !" Tous ces extraits cités de travers sont autant de villes croisées. "Et encor ne s'est-il, on le sait, passé à son échelle qu'une seconde."
Tous s'y retrouvent et frémissent parce qu'A. les y a clairement décrits. Une femme, un amour, une maîtresse, un homm publiq, un présentateur, un auteur pudiq, tandis qu'vn artist quant à lvi s'en vante, lvi qui pourtant s'y méprend, mais la femme du 3è, jamais ne semble l'avoir lu, ni en avoir entendu parler. To record only the water for ten days and find yourself back into a nature scene. Le fil conducteur en est un arrangement, une coalition, et la question qui en conclue le but. Are we, Rouge Titien men, the very last living souls ?
_You know my ennemy, and I know yours.
Our problem ends right where I do, and we begin.
Autrement dit : l'espoir n'a pas vécu ses dernières heures.
Persuasion
Cessez de cacher votre rayonnement derrière le boisseau.
Le potentiel de changer radicalement, fondamentalement la façon de vivre de l'homm, non plus dans son monde, ou hors du monde, comm pour ceux tentent d'y échapper, mais AVEC SON MONDE EN LVI.
Elle s'appellera Caetera.
Nous sommes tous, depuis notre naissance, à tous instant, presque (seulement presq) constamment, littéralement à une seconde du mouvement qui pourrait nous être fatal. Y compris en dormant. Ajouter, - ou multiplier, tout dépend comment vous procéder - à ça, les forces exogènes, qui peuvent aussi à tout instant conduire à la fin. Et quel que soit le risq pris, quelle que soit la façon dont on force la chance, on survit, et il y a même plus de naissances, que de morts. Comment, statistiquement, expliquer ceci de façon cohérente, quand on sait la complexité d'un processus de création de la vie ? L'explication apportée, mathématiquement ou non, à cette question, est la clef d'un mystère résolu, qui consiste à philosophiquement, et ésotériquement, expliquer l'essence de notre existence. Cette explication suffit en soi à résoudre le mystère tenace qui pèse sur la création, (à dissiper le brouillard tenace qui enveloppe le secret de la création).
Cette réponse, mes bras crient Nous l'avions, tandis que mon cerveau l'étreint.
IIi. Notes papier : Prochainement
Premier amas d'heures.
Besa est une femm