L'ampadiem

  • : Le blog de Ampad Embiem
  • : Culture intra-utérienne d'une fleur technologiq : cheminement d'une réflexion de l'esprit sur les bords brillants de lyrism du théatre alternatif ~
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Moi, Ampad

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  • Ampad Embiem, je ne suis la qu'un jour sur deux, mais je le vis plutot bien
  • Ampad Embiem, je ne suis la qu'un jour sur deux, mais je le vis plutot bien

Archangelism scientifiq

" (...) proche le moment ou, par un processus de caractere paranoiaque et actif de la pensee, il sera possible (simultanement a l'automatisme et autres etats passifs) de systematiser la confusion et de contribuer au discredit total du monde de la realite. " Salvador Dali, Minotaure No1, 1933.

Un tres beau site sur DALI

 

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Bienvenue a tout nouveau visiteur

Ce blog créé il y a un peu plus de 2 ans maintenant de l'association uniq de la surprise et du tant attendu, restitue intactes les bribes

de restes d'authentiques retrouvés ici ou la, de ce que les littérateurs et créateurs de ce monde, ont contribué,

avant nous déja, est-ce a dire et, encore aujourd'hui, a élaborer le Beau pour qu'il vienne jusqu'a nous

dans l'état merveilleux ou nous avons le bonheur de le trouver pour tenter d'y toucher.

J'ai pour but ici et ailleurs, Ici Et Maintenant, dans cet IEM permanent et constant d'instabilité, de le propager, de l'expérimenter, de le faire travailler, de le dédoubler, de le transposer et de le faire permuter avec ses doubles et avec ses moitiés, de le mettre tour a tour en exergue, en abime, en difficulté, en chaloupe meme et en page pour enfin et a terme, pouvoir le remettre a la retraite d'ou il se trouvera la force apaisée et sereine méritée d'une vie multiséculaire sur toutes les plages des temps, de mener devant nous, et pour nous, de lui-meme des actions pour s'autorégénérer sans plus s'en laisser conter ~

27 juin 2023 2 27 /06 /juin /2023 21:58

 

        Si je pense à Virginie Ledoyen, je pense à Mathieu Amalric, puis à Eric Elmosnino, et aussitot après Serge Gainsbourg, Jean-Louis, Sabine Azema, Denis Podalydes, Julie Gayet, Ines de la Fressange, Mlle Agnes, Keira Knightley, Johnny Depp, Keira Knightley, Zoe Kazan, Zooey Deschanel, La fille Tapioka, Zooey Deschanel, Julie Gayet, Gal Gadot, Julie Gayet, Denis Podalydes, Isabelle Carre, Jose Garcia, Antoine Decaune, Alain Chabat, Monica Bellucci, Vincent Cassel, Natalie Portman, Ewan Mc Gregor, Scarlett Johannson, Juliette Binoche, Vahé, Adrien Brody, Owen Wilson, etc... associations d'images parlantes.

(18-11-11)
Will Smith & Tommy Lee Jones
Jean Gabin & Simone Signoret
Tony Curtis & Marilyn Monroe
Brigitte Bardot & Jean-Louis Trintignant
Isabelle Carre & Jose Garcia
Michele Laroque & Jacques Gamblin
Denis Podalydes & Isabelle Carre
Sabine Azema & Pierre Arditi
Andre Dussolier & Catherine Frot
Denis Podalydes & Julie Gayet
Romain Duris & Audrey Tautou
Georges Clooney & Catherine Zeta Jones
Monica Bellucci & Alain Chabat
Isabelle Adjani & Sharone Stone
Mel Gibson & Danny Glover
Robert De Niro & Al Pacino
Benoit Magimel & Gilbert Melki
Mark Ruffalo & Melanie Laurent
Brad Pitt & Anthony Hopkins
Penelope Cruz & Javier Bardem
Jamie Foxx & Christoph Waltz
Jeremy Renner & Rachel Weisz
Robert Downey Jr & Jude Law
Vincent Cassel & Natalie Portman
Emmanuelle Beart & Daniel Auteuil
John Travolta & Samuel L. Jackson
John Travolta & Uma Thurman
Uma Thurman & David Carradine
Lucy Liu & Josh Hartnett
Marion Cotillard & Guillaume Canet
Tom Cruise & Cameron Diaz
Johnny Depp & Keira Knightley
Scarlett Johansonn & Bill Murray
Ben Kingsley & Leonardo di Caprio
Rachel Mc Adams & Noomi Rapace
Nicolas Cage & Laura Dern
Edouard Norton & Brad Pitt
Michael Keaton & Kim Basinger
Andy Garcia & Julia Roberts
Leonardo Di Caprio & Tom Hanks
Owen Wilson & Adrien Brody
Jeff Bridges & Julianne Moore
Tobey Maguire & Kirsten Dunst
Kate Winslet & Jim Carrey
Bruce Willis & Mila Jovovitch
Michal Douglas & Kathleen Turner
Antonio Banderas & Rebecca Romijn
Jean Dujardin & Cecile de France
Sandrine Bonnaire & Fabrice Luchini
Julia Roberts & Richard Gere
Andre Dussolier & Jacques Villeret
Carole Bouquet & Pierre Arditi
Jean Dujardin & Gilles Lellouche 

 

(12-10-18)

Ryan Gosling & Emma Stone
J. K. Simmons & Miles Teller
Johnny Depp & Rebecca Hall
Brad Pitt & Angelina Jolie
Bruce Willis & Madeleine Stowe
Monica Bellucci & Vincent Cassel
Mélanie Thierry & Christoph Waltz
Sophie Marceau & Pierre Richard
Sandra Bullock & George Clooney
Mathieu Amalric & Virginie Ledoyen
Matilda Lutz & Kevin Janssens
Tom Cruise & Emily Blunt
Jonny Lee Miller & Lucy Liu
Leonardo diCaprio & Marion Cotillard
Dane Dehaan & Cara Delevingne

 

Love, Ampad 

 

(22-02-2022 & 27-06-23)

José Garcia & André Dussollier
Tom Hanks & Wilson
Matthew McConaughey & Jessica Chastain
Jeremy  Renner & Amy Adams
Wall-E & Eveu 
Martin Freeman & Yasiin Bey
Fred & Goodyear
Philippe Lacheau & Élodie Fontan
Andy Samberg & Cristin Milioti
Jardani Jovonovitch & his dog
Romain Duris & Virginie Efira
Johnny Depp &  Eva Green
Tom Hardy & Charlize Theron
Leonardo di Caprio & Tom Hardy
Leonardo di Caprio & Jennifer Lawrence
Will Salas & Henry Hamilton
Mathieu Kassovitz & Jean-Pierre Darroussin
Patrick Bruel & Charles Berling
Owen Wilson & Rachel McAdams
François Cluzet & Benoît Magimel
Dakota Johnson & Cosmo Jarvis
Charlbi Dean & Harris Dickinson
Isabelle Adjani & Pierre Niney
Jérôme Commandeur & Pascale Arbillot
Lizzy Caplan & T.J. Miller

 

 

(TOUT) (nouveau) Morphing discotranse de duos marquants
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19 septembre 2022 1 19 /09 /septembre /2022 06:55
Édifiante embellie au marqueur d'un solide slide bolide étudiant pour la reprise d'un édifice laborantin tatoueur : TRANS--RÉPO !

I. Titre : TRANSPOSITION

(De l'opéra Garnier à l'opéra au sens musical)

La comparaison frugale ~ ni gourmande, ni tout à fait consistante : il n'est alors une idée qui ne se fasse plutôt qu'abats, jour ~ que l'on peut, une fois dépassés le moi, le surmoi et leurs lumières inhérentes, adaptée aux lois d'édifices imposants d'une fringale par quelq subtils substituts, peu probables mais de possible jonction, liens, liants aux vastes vasq communiquées décollant, leurs calles, aux rapports d'échelle faire entre les édifices à main gauche, et la relation à maints droits corrélés et mis en partage qu'entretiennent avec les diverses associations de l'esprit les états récurrents, voire hautement corrosifs dans lesquels on peut l'oint sans faux et pressants vrais retrouver sans s'être sauf erreur de ma part dans un premier temps perdus, d'abord trouvé hostile puis plvs modestement austère et enfin peu à peu même un rien terres fertiles, favorable à l'équité ~ on peut y être favorable en effet jusq'à s'en acquitter ~ opérant garnie laborantine fluviale d'une élaboration parallèle & conjointe, réciproq de plusieurs systèmes de réflexions d'opéra-fleuve passerelle, roman-théâtre interactif ou de ballets masqués qui mutuellement félicités, applaudis, et mûrement complémentaires s'avèrent être une fois ovationnés et les suivantes disparus sinon une poignée de mains la formation d'un tout qu'on dit grand mais qu'on pense artistiq plvs grand encore, desquels découle l'actuelle écoute d'un goût du coude pour l'île aux ailes déployées d'une couture de l'édifice frangin, son idée sous-jacente, à découdre, jacynte d'un tour jumeau, nouveau, passe-passe magiq ou carte magnétiq, l'âme-soeur cachée puis révélée, son amas constellé comm le hareng passif de la confusion active qui veut elle et qui le peut renfrogner d'emblée l'aspect ludiq des choses lubriq pour en faire des siennes, et d'autres plvs ouvertes et mûres encor, les touches de l'émotion témoin telle une longrine, comm cette longue phase s'arrête là. De toutes les couleurs donc ~ de l'ouvrage à l'outrage un seul pas est l'humeur ~ voire lumières associées anachroniques et sans chronologie véritable, ces franches franges de la comparution immédiate d'une perception de ce qui s'en déverse et qui mélange au delta de l'idée les choux des 'accessoires vertueux de la création et de l'imaginaire pour moteur aux constructions d'échelles ou de brouettes à ressort, se laissent vaguement ~ au gré du vent ~ balancer et ainsi dansent denses ou légères selon ce qui en vient qui le permet, le promet, le promeut ou le peut pour constituer en soi une fin ou la faim des fins, et être contrairement à tout projet d'entité entière à l'identité identiq, le but ultime de la moindre page tournée, son intégrale intégrité, du moindre trait tracé, de n'importe quelle phrase dite et, ainsi l'opéra perçu de nuit en un spectacle imaginaire, rêvé, de toute écriture couchée le lit et en découche la naissance.

II. Digital notes from Himarë

Photo-portrait enivrée titrée *je vais m'assa(uva)gir*

La suite d'une longue succession d'aventures qui toutes se sont déroulées entre les premiers jours d'une vie d'auteur et sa demeure d'étranger en sa propre ville. Il avait avec lvi suivant le soutien ministériel qui avait été fait de sa condition, une ultime confession. l'honneur même qu'il avait mis dans une quête dont on dirait aujourd'hui qu'elle semblait ridicule, ay
point d'extraction d'un inimaginable infini, état d'ébriété incontrôlé.

Puis ses Souvenirs prirent le dessus, et de ce qu'il restait de ses perceptions directes devint si infime, qu'il ne voyait plus réellement, ne sentait plus réellement, n'entendait plus réellement, mais percevait en fait l'infinie étendue d'un imaginaire commun. Du moins cet imaginaire aurait-il été commun, si seulement quelqu'un d'autre que lvi avait pu vivre cette expérience à l'époque où il était en vie.
Au lieu de ça, le pauvre homm - sa vie était en effet devenue une misère - mourut en ne laissant qu'un très indigeste monticule d'écrits. Très indigeste à cause du style qui était devenu le sien, qu'il avait en propre et qui n'allait plus chercher à être compris, entendu, ni même seulement lu, mais le fond de l' ŒUVRE, le terme n'est pas exagéré, est gigantesq.
Celvi qui la découvrit le perçut immédiatement et se mit en tâche pour l'année qui s'ensuivit d'en produire une synthèse, révolutionnaire d'ingéniosité, emphatiq, et si enthousiast - on pouvait parfois entre les lignes l'entendre jubiler - que cnen devenait mystiq.
Et à just raison, car c'est de mystique en effet, dont toute l'essence de l'œuvre doit être qualifiée.
En finale, pour être élue, enfin.
Je dis enfin car il s'écoule entre ici et là, entre cette cause et cette ultime aboutissante, celle où vous êtes en train de lire cette prophétie fantastiq, cet essai de science fiction mi philosophie, mi scientifiq, un peu plus de 4 siècles. 4 siècle de dérision, 5 si je merde à publier. Mais non, je ne vais pas merder. Pas à cette étape ultime, où tout est si beau que c'en est surréel. Cette étape commence maintenant, j'étais en train d'attendre un pizza et j'écrivais n'importe quoi lorsq sont surtout surgis si suffisamment intensément ces mots qui m'ont ému et mis dans un état tel, qu'il s'agirait d'une révélation de seulement en conter la première heure. Laquelle va s'étendre jusqu'à la touche finale que je m'apprête désormais à y mettre. Une correction apportée à la main,de ma main,dabs chaq exemplaire individuellement.
.
C'est parti.
Au point d'extraction d'un inimaginable infini de l'état d'ébriété d'écrire.

C'est en 1661 qu'il éprouve un effroyable sentiment de gouffre béant, l'étendue sans limite du néant où les vies évoluent. Et qu'il se sent relu du vécu. Cnes6t bien simple il a assez, il a trop vécu. Tout ce qui l'entourait n'était que déjà-vu, et l était alors une lanterne dans la nuit noire de l'océane, sans distinction des formes. C'est alors qu'il écrit, poursuivi par l'indicible besoin d'exprimer quelq chose qui le fasse s'extraire extasié du terrain connu des réels. Notez, j'écris les réels, bien pluriels comm il les décrivit un jour, au terme d'autrement belles années consacrées à cette activité. Je fais là il le faut un saut en avant de 3 ans. Il a gagné assez d'argent pour trouver la riche idée de s'installer en un lieu propice à écrire, sans sabrer, santé en tête, l'élan par le travail. Mais le voilà déjà esseulé, désocialisé, en proie en proue à la rêverie.

Ne se souciait déjà plus d'être intelligible.

Cette idée révolutionnaire, je l'avais sur le bout de la langue, bien avant déjà, de tomber sur le text de Besa. À la toute première lecture de Besa, je découvris un text dont je me disais à chaq ligne, qu'il pourrait être de moi. Non que je prétende pouvoir ou vouloir égaler la richesse de son style qui constitue d'un point de vue strictement littéraire d'abord une prouesse techniq remarquable, ou avoir été capable le premier à mettre en évidence, à la lumière des esprits non initiés, l'humanité toute entière s'entend, un fait aussi prodigieux que le serait l'avènement d'une technologie nouvelle, capable de changer radicalement la façon de vivre de 6 milliards d'individus. Non, bien sûr que non, mais, est-ce vraiment moins prétentieux de le dire, je me dis que j'aurais si j'étais comm Besa tombé sur ces lettres ennivrées de Giacometti, eu la capacité d'y percevoir aussi tout le génie d'un potentiel qu'il vous reste ici à découvrir.

Je m'explique.
Souvent, je disais de cette manière sybiline, quasi mystiq, en cette courte maxime très synthétiq, à quelq serveuse d'un pays magnifiq, ou à l'habitant qui me disait sincèrement qu'il voudrait vivre en France, "Ce n'est pas ce que vous croyez". Il y avait dans cette phrases les deux tenants d'un sens que je savourais de voir porter ses fruits. L'vn étant le questionnement qu'il suscite, le second étant pour passerelle à ce text, la différence entre ce que ce l'on croit et ce qui est.
Pour citer Werber, 
L'interprétation.
Toutes ces chances que nous avons, de ne pas nous comprendre. Cette courte formule poétiq désormais résonne à mon esprit différemment.
La démarche n'est pas aussi évidente qu'elle y paraît, il ne s'agir pas de prononcer à voix haute quelq mots d'un text magiq pour que l'alchimie opère et que se produise un miracle, non. C'est un processus, une suite d'éléments de réponse apportés par chacun des intervenants qui la compose.

La phrase suivante je l'écris en souriant, en songeant quelle longue histoire entoure d'abord la seule venue à l'esprit de celvi grâce auquel nous en sommes là aujourd'hvi, d'un contour fut-il encor abstrait, de idée de l'imaginaire commun mis en partage, et quelle longue histoire encor, poursuit de l'amener jusqu'à nous dans l'état de BEAU non fini que j'ai le plaisir de conter maintenant.
 

Suite de la deuxième série de notes papier.
Je me dis même, avec le recul, que j'aurais pu être KEJO, une galéjade.
Je le comprends parfaitement. Il ne voulait pas se conformer à être ce que tout le monde attend de son prochain, l'attention et les formules toutes faites, trop peu pour lvi. Il préféra rester tel qu'il était, sans se mentir, où laisser se perdre son âme (sans hypocrisie et sans gâcher sa conscience), et vivre tel qu'il le voulait, quitte à ce que ça le mène n'a finir par vivre en reclus.

Par-dessus tout, c'est le jugement, ce jugement omniprésent des vns des autres, qui le perturbait, le rendait parfois acerbe, capable de couper court, abréger une conversation et s'enfuir sans mot dire ou maudire plvs. Il se sentait épié et, plvs que tout, incompris.

Les premiers temps, il écrivit pour exprimer ce qu'il ne pouvait dire à personne, comm pour se donner le sentiment d'être compris, d'une personne qu'il imaginait le lisant.
Avec les années ça devenait autre chose, il n'écrivait plus en se souciant qu'on le comprenne.

La révolution des brouettes. [TIME LAP TOP]
Quelq chose qui dit que l'écriture, contrairement à  toutes les autres disciplines est demeurée figée, sans évolution possible qu'un imaginaire saurait former. Que tout ce qui est, n'a été écrit qu'une fois, et depuis s'étend en se reproduisant. Tel un acte qui entraînant sa multitude, fait tomber les certitudes d'avants et d'après.
Par le passé j'étais futur, 
À présent qu'on se passe de moi, et que je me passe de tout, à  présent qu'il se passe de moi, tout, je ne suis plus ~ que parfait. J'ai revu à  la hausse mes objectifs quand il s'avéra qu'ils n'avaient plus aucun pouvoir de voir.

La révolution des brouettes, ce n'est qu'en trame l'histoire de la parution et de la publication d'un livre titré La révolution des brouettes, qui cause la révolution des brouettes.
On ne sait jamais le contenu de l'ouvrage, que quelq extraits mais jamais l'idée centrale réelle du roman, est-ce un essai ou un roman, un documentaire, une méditation, est-ce un recueil de poésie comm certains le disent parfois, une médiation ou un manifeste, et tout ça à  la fois. Ma foi, les rumeurs vont bon train. "D'yeux !~ mais pas que - ce qu'elle est belle !" Tous ces extraits cités de travers sont autant de villes croisées. "Et encor ne s'est-il, on le sait, passé à  son échelle qu'une seconde."
Tous s'y retrouvent et frémissent parce qu'A. les y a clairement décrits. Une femme, un amour, une maîtresse, un homm publiq, un présentateur, un auteur pudiq, tandis qu'vn artist quant à  lvi s'en vante, lvi qui pourtant s'y méprend, mais la femme du 3è, jamais ne semble l'avoir lu, ni en avoir entendu parler. To record only the water for ten days and find yourself back into a nature scene. Le fil conducteur en est un arrangement, une coalition, et la question qui en conclue le but. Are we, Rouge Titien men, the very last living souls ?
_You know my ennemy, and I know yours.
Our problem ends right where I do, and we begin.

Autrement dit : l'espoir n'a pas vécu ses dernières heures.
Persuasion
Cessez de cacher votre rayonnement derrière le boisseau.

Le potentiel de changer radicalement, fondamentalement la façon de vivre de l'homm, non plus dans son monde, ou hors du monde, comm pour ceux tentent d'y échapper, mais AVEC SON MONDE EN LVI.

Elle s'appellera Caetera.
Nous sommes tous, depuis notre naissance, à tous instant, presque (seulement presq) constamment, littéralement à une seconde du mouvement qui pourrait nous être fatal. Y compris en dormant. Ajouter, - ou multiplier, tout dépend comment vous procéder - à ça, les forces exogènes, qui peuvent aussi à tout instant conduire à la fin. Et quel que soit le risq pris, quelle que soit la façon dont on force la chance, on survit, et il y a même plus de naissances, que de morts. Comment, statistiquement, expliquer ceci de façon cohérente, quand on sait la complexité d'un processus de création de la vie ? L'explication apportée, mathématiquement ou non, à cette question, est la clef d'un mystère résolu, qui consiste à philosophiquement, et ésotériquement, expliquer l'essence de notre existence. Cette explication suffit en soi à résoudre le mystère tenace qui pèse sur la création, (à dissiper le brouillard tenace qui enveloppe le secret de la création).

Cette réponse, mes bras crient Nous l'avions, tandis que mon cerveau l'étreint.

IIi. Notes papier : Prochainement

Premier amas d'heures.

Besa est une femm

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6 décembre 2021 1 06 /12 /décembre /2021 03:32

Les feuilles des palmiers agitées par le vent
Font croire à la pluie.

On dirait 5 oiseaux qui composent, presq en dormant. Réguliers ou non, qui donnent de la voix pour tenir l'éveil d'un autre. Ici un rossignol, là un pinçon, ici encor, un siffleur, un autre joue de la flûte comm un débutant amusé.

Il y a toujours un chat qui vient s'inscrire un instant dans le cadre à l'arrêt, en suspens, et qui repart aussi mystérieusement.
Sporadiquement file une étoile qui retend la toile.
Les coqs toutes les nuits, dès 4h.
Et les lumières d'une crèche imaginaire, frétillantes dansent sur la colline.
Araignées du soir, espoirs dormants.

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29 novembre 2021 1 29 /11 /novembre /2021 08:28

Ce court instant d'amour

Polnareff

If they say it's over when it ends, then under what is it when it's starting ? C'est un monde que je comprends, à l'inverse de celvi où la plupart des actions me sont aussi parfaitement étrangères que je les ai pourtant acquises pour connaissances réflexes, tout en leur restant perplexe.
Polysémies superbes, je l'entends comm on monte, dans le sens des aiguilles d'une montre, le sens des marches, celvi qui leur est propre : car oui, dans ce sens-là, tout en a quand dans d'autres, rien ne va plus. Faites-vous jeux, faisons-nous le. 

Don't forget to add "For a better combability & a salon-smooth feeling"

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23 août 2021 1 23 /08 /août /2021 04:57

En faisant derrière le son des vagues durer toute la nuit la découpe de reliefs antiq sur le ciel encor empreint des derniers vestiges d'un soleil parti faire le tour de la terre, en donnant dans cette danse secrète, contemplation, l'extension que se trouvent aussi toutes les voix portées célestes comm le mois dernier à Sète, et en rendant enfin lever les pieds dans l'eau d'une première baignade au crépuscule devant la presq' encor entièrement pleine lune tout ce qui concerne l'humain en cet instant précis, temps et espace liés dans une compression d'exceptions se densifiant encor - 4 vies impossibles avant le petit-déjeuner -, l'écriture sied. L'esprit vaincu & l'âme vainqueuse, ainsi la plupart des décisions majeures, instant. Ainsi aussi l'écriture. Vite et sans réfléchir, comparaissant aux enchaînements de la mer, entre déferlement des vagues et accalmies.

L'inconscient de l'arbre fait tout (Étroduction)

 

La presQ'encor pleine lune a défilé toute la nuit, de Sud en Ouest, et est allée se coucher just avant que le soleil se lève, presq où lvi était la veille parti faire le tour du monde.

Les silhouettes de ces îles durant la nuit changèrent plusieurs fois à mesure qu'elle y défilait.

Peu avant l'aube comm la lune brunissait et était grossissant sur le point de disparaître derrière l'île de Corfu, la mer avait ces rides de vieille dame agitée, que la vie marq.

Entre déferlantes et accalmies. Une minute entière parfois, la mer se tait tout à fait, le silence assourdissant qui laisse percevoir, très lointains, quelq clapotis sous la roche, puis le déferlement des vagues reprend. Quand le silence retentit de nouveau, surréel, le son du fracas des vagues paraît surréel à son tour.

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25 juillet 2021 7 25 /07 /juillet /2021 10:03

Un très long passage pourtant.

Si je disais auparavant Ma vie comm art, la vérité est bien différente désormais, ou est-ce désormais que j'en prends conscience. Connaissance de l'impasse. Ni géographiquement pourtant, socialement l'impasse est philosophiq, éthiq, je ne sais, peut-être entière, elle englobe tout, et noie les détails où le panorama comm celvi que j'ai devant moi maintenant, vaste, aqueux, superbe, dans son mur absolu.

 

Géographiquement d'abord, Paris est, d'un certain point de vue, qui est le mien, même d'ici, maintenant où j'en suis loin, et d'où je la trouve quand je m'y trouve, une impasse. Elle obtrue les sens, en les sollicitant trop, plvs exactement, le besoin s'en fait sentir de les plutôt que tenir en alerte, fermer à toute la matière entrante, pénétrante, ambiante qui veut les submerger, ou plutôt les contenir dans une vasq hermétiq, étanche, non respirante. Un kway, et on sue dessous. 

Je ne vais.tout énumérer ici, maintenant, mais je vais me mettre en tâche de trouver ce qui cloche, chez moi pour être si souvent, si fortement saisi d'une sensation qui maintenant me fait en parler comm d'une impasse.

Pour commencer, ou plutôt l'éviter un temps avant d'y venir vraiment, pour tourner autour du pot ?, non pas, mais en faire le tour pour savoir de quoi il s'agit, je suis Cassandre. Je la suis même de très loin, et pourtant j'en suis près, comm dire je suis dans un rêve qui n'est pas le mien, reviendrait à la rapprocher de cette part de moi qui se sait inatteignable, aussi inatteignable que le certain bleu du ciel qui aurait la vraie couleur des rêves. Inatteignable donc. L'impasse pourtant, contraire, serait trop touchée, de toute part en contact... À voir, si en faire le tour permet qu'en effet ce dilemne ait un sens, même métaphoriq. Comm dire qu'on hait les tourist quand on en est un soi-même, se trouver bien quelq part comm si j'en étais un local, et que mon plaisir est gâché par cette venue soudaine, et brutale, frontale, bruyante et déplaisante des masses de visiteurs estivants. Mise en tropes, de rigueur, de trop.

Parmi ces douze filles en tshirt rose qui enterrent.une vie de jeune fille, je sais qu'un.monde et demi nous sépare, mais je ne suis pas celvi qui pense être et le revendiq à cette altitude qui place l'autre bien bas, altitude hautaine et prétentieuse.

Pourtant en me lisant, certains me disent que c'est moi qui y semble hautain, et prétentieux. Parce que je fais volontairement des phrases alambiquées, pensent-ils que je suis pédant, que je veux paraître plvs malin que tout le monde. Ce n'est bien pourtant qu'une formule de pensée qui souhaite forcer le regard, et non le faire se détourner. Ne ne suis pas prétentieux et hautain, just inadapté à cette certaine forme de vie qui à ceux qui le croient, semble être la seule qui puisse être.

Un trop long, - Un très long passage pourtant -. passage.

 

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22 mars 2020 7 22 /03 /mars /2020 10:12

Je me laisse faire, sans résister. Parce que j'ai détecté dans le voyage aventureux un moyen d'endiguer la course des heures sur la peau de ma vie. Je n'ai pas découvert le secret d'immortalité, sinon mon corps ne vieillirait pas. Or il change lentement, presq placidement. À la manière des éléphants. J'ai les muscles qui gonflent, le cœur qui ralentit. Déjà, les temps qui s'usent. Mais je me suis enfin réveillé de ce cauchemar dans lequel le temps s'enfuyait comm s'il avait commis une faute. Grâce à la route, je me suis mis en marche. Grâce à la marche, je me maintiens en mouvement et, paradoxalement, c'est quand j'avance devant moi que tout s'arrêt : le temps et l'obscur inquiétude de ne pas le maîtriser. (...) J'en suis arrivé à la conclusion que le nomadism est la meilleure réponse à l'échappée du temps. Mon but n'est pas ee le rattraper, mais de parvenir à lvi être indifférent. En réglant son compte à l'espace, le nomade freine la course des heures. Peu lvi importe que passent les instants, puisque, obstinément, il les remplit des kilomètres qu'il moissonne. Opération d'alchimiste : il change le sable du sablier en poudre d'escampette. Il brise le cadran de l'horloge et se sert des aiguilles pour piquer sa propre croupe. Le temps n'est pas un cheval dont on peut enrayer l'emballement en lui tirant la bride, il est donc préférable de le laisser galoper et de se venger de sa course en bouffant soi-même le monde. Au tic-tac de l'horloge, le voyageur répond par le martèlement de sa semelle. Un kilomètre abattu, c'est dix minutes gagnées. La marche à pieds oppose aux rouleaux du temps le mesure de l'espace. De cette lutte le voyageur sort vainqueur. Qui aura arpenté le monde au moyen de sa seule énergie aura exploré une autre dimension du temps. Plvs epaisse, plvs dense. Le temps de l'Occident est un courant d'air qui passe par la fenêtre de nos vies, il se mue sur le chemin en une pâte généreusement pétrie. (...) Avec la solitude pour compagne, les minutes comptaient pour des heures, et les journées des années.

(...) Pour échapper à la course déclinante que nos âmes mènent sur la terre contre la montre, rien ne vaut de se déplacer lentement. Pas à pas. Baissons l'allure et le temps lvi-même, par un étrange effet d'imitation, ralentira à son débit.

Sylvain Tesson

Petit traité sur l'immensité du monde

Écrire sur BOUVIER,

Lire CHALLE.

Manger intégralement JACK-KÉROUAC-SUR-LA-ROUTE, 

Puis revenir Joseph Kessel comm on dit À soi quand on reprend ses esprits, et qu'on revient d'un coma : À la vie.

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7 mars 2020 6 07 /03 /mars /2020 14:37

Crier, hurler ses mots de joie, de folies, les coucher non, les taper phrénétiquement sur la machine, c'est ça "pondre un tapuscrit" qui se vende 2.5 millions de dollars.

Jack Keroyac aimait les fous, les marginaux, les rebelles, les anticonformists, les dissidents.

À mettre ou non écho avec Nicolas Bouvier (l'Usage du monde -.publié pour la première fois en 1963), Sur la route de Jack Kerouac, publié en 1957 retrace de manière quasi autobiographiq les voyages faits entre 1947 et 1950 par l'auteur (qui s'y nomme "Sal Paradise") sur les routes américaines.

 

 

 

Le livre a été écrit en 3 semaines - du 2 au 22 avril 1951 - sur un rouleau de papier de 120 pieds de long (36 m !), dans la fièvre d'une cession d'écriture spontanée. Il crée ainsi un style totalement personnel, inspiré en partie du jazz bebop, qu'il aime pour la fulgurance de ce style musical baignant dans l'ardeur tonitutrante de l'improvisation. Son rythm de travail effréné à valu cette remarq :

 Cela n'est pas écrire, c'est taper!

Truman Capote

Une pure giclée debonheur dans une prose cataclysmiq

Thierry Crouzet, la mécaniq du tex

Un tapuscrit !~

Le livre ne connaîtra de succès qu'une décennie après sa rédaction.

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