L'ampadiem

  • : Le blog de Ampad Embiem
  • : Culture intra-utérienne d'une fleur technologiq : cheminement d'une réflexion de l'esprit sur les bords brillants de lyrism du théatre alternatif ~
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  • Ampad Embiem, je ne suis la qu'un jour sur deux, mais je le vis plutot bien
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Archangelism scientifiq

" (...) proche le moment ou, par un processus de caractere paranoiaque et actif de la pensee, il sera possible (simultanement a l'automatisme et autres etats passifs) de systematiser la confusion et de contribuer au discredit total du monde de la realite. " Salvador Dali, Minotaure No1, 1933.

Un tres beau site sur DALI

 

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Bienvenue a tout nouveau visiteur

Ce blog créé il y a un peu plus de 2 ans maintenant de l'association uniq de la surprise et du tant attendu, restitue intactes les bribes

de restes d'authentiques retrouvés ici ou la, de ce que les littérateurs et créateurs de ce monde, ont contribué,

avant nous déja, est-ce a dire et, encore aujourd'hui, a élaborer le Beau pour qu'il vienne jusqu'a nous

dans l'état merveilleux ou nous avons le bonheur de le trouver pour tenter d'y toucher.

J'ai pour but ici et ailleurs, Ici Et Maintenant, dans cet IEM permanent et constant d'instabilité, de le propager, de l'expérimenter, de le faire travailler, de le dédoubler, de le transposer et de le faire permuter avec ses doubles et avec ses moitiés, de le mettre tour a tour en exergue, en abime, en difficulté, en chaloupe meme et en page pour enfin et a terme, pouvoir le remettre a la retraite d'ou il se trouvera la force apaisée et sereine méritée d'une vie multiséculaire sur toutes les plages des temps, de mener devant nous, et pour nous, de lui-meme des actions pour s'autorégénérer sans plus s'en laisser conter ~

18 avril 2022 1 18 /04 /avril /2022 15:00

Une bonne chasse aux œufs de Pâques doit plvs tenir de la pêche que de la chasse. 

Tout d'abord, éviter de commettre l'erreur vulgaire d'annoncer le nombre d'œufs cachés que beaucoup de parents, ou plutôt de grands-parents font - surtout lorsq ils voient rarement leurs petits-enfants. 

Il faudra donc préférer dire qu'il y en a peu, afin d'une part d'augmenter le challenge, et la satisfaction en sera redoublée à chaq trouvaille.

La taille des œufs doit être fonction de l'âge des petits-enfants. Idéalement, une fois et demie leur taille semble un bon compromis, deux fois c'est trop - parfaitement, des œufs de 1,5m pour des enfants de 6 ans, 2m pour les 10 ans, et 2,5m de haut si les petits-enfants ont plvs de 40 ans.

Où les cacher ? Vu la taille, les enfouir sous un pissenlit ou derrière une jardinière, ça paraît difficile. Des tiroirs, de très grandes tailles feront l'affaire. 

Il faudra donc que les marmots soient suspendus à des élastiq rattachés à de perches que les parents ou grands-parents guident, et il faudra aussi que ce soit, vu la taille des œufs, un sport d'équipe pour aller les pêcher - pour les manger aussi, remarquez. Dans le jardin, des tiroirs, ça se répère facilement vous dites ? Pas s'ils sont déguisés en arbrisseaux, coloriés de vert, au camouflage complet dans les touffes d'herbes - des jardins suspendus, c'est en plvs l'occasion d'améliorer un peu l'art du jardinage domestiq.

Il ne reste que la question du type d'œuf - m'étonnerait que des poules au chocolat puissent pondre pareils calibres d'œufs, et les fabricants de nos chers œufs au chocolat ne semblent pas encor prêts à accueillir cette pêche aux œufs - je n'en vois nulle part qui dépassent les 150g - participative, il faudra donc l'année prochaine vous y prendre à l'avance pour les confectionner vous-mêmes. Les équipementiers de bateaux devraient pouvoir vous fournir le support idéal pour vous concocter un moule convable.

Bon courage, et vivement que nos marchands d'œufs en chocolat nous en pondent de 3m.

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11 mars 2022 5 11 /03 /mars /2022 13:52

Palier des tirades. Les terrasses escaladées de jardins, suspendues aux lèvres d'une parabole lue, haut et fort, tirant la pianist en plein concert. À bord d'un train de change, l'étreinte en cours mue. Au train où elle file, fissa brise avec entrain l'entrait et le point son orgue. À tant taire l'amant.

Muées des styles entre les divers faits d'eaux, d'arts, d'ombres et d'opprobres liminaires aux premières scènes à boire aux mères d'une indécise rêveuse d'orbes et de palettes circulaires surmontées de vestiges et de la mention en lettres violettes du mot Overrated, gras et italiq par-dessus la tétée au riz olé auréolée, haunted, la tête honteuse d'enduire en fuite le corps huilé d'arcs et de pins s'empire le long, y cheminant, d'histoires-rempart et de leurs douves de fêtes défaites, et victoire suivant les changements de la coutume posthume, exhumée costumière, postiche qu'y éternuer aux nez des lies du fleuve où je l'écoule entre deux navires touchés, émus, synchrones, fichus, les tissus tentés de marées, à maroufler sans moufeter plvs tard, les constantes ont changé. À bord d'un train de change, l'étreinte en cours mue. Les légendes s'ombrent et s'en relèvent, sombrent encor et sœurs relevées des gardes aux nuits du temps qui dort, courant et toujours nageur, baigné d'îlots à flots mettent en miette l'amitié qui s'enfile un premier vert avant de foncer les couleurs et leur enfoncer dans le bronze les primeurs d'un or repère, once et deux fois par la suite menant d'une pièce à l'autre sans ménager de chambre, à l'air pris des douches les doutes foncent, véloces et fuitent par l'intérieur d'une pomme où germer une idée primaire, palmarès au tir d'une ville voisine sous couvre-lit du fleuve, l'athlète haute et en forme de saumon. Pantalon en saumon, versé au saumon, coulé au saumon, son goût s'aux monts élève, sauvage et bien appris, méprise que poursuivre de croire toujours le contraire capable d'inverser une tendance, un son ou courber l'onde devant les chinés de la garde-robe d'un style plvs mûr encor, muant, cycliq, allant vertigo par l'escalier, tournoyer haut & cylindriq en remontant le fleuve jusqu'à la seconde scène, puis à sa dent d'enceinte décisive. L'ultime acte d'un soleil tamponné, tatoué, sous seing privé de pluie est de couler meuble, comm un fromage courant ou l'exception qui y champignonne une star, un champion ou ses challengers, une couvée, cube cuvé de la veine, veilleuse et vieillissante, tournée des bars de la pression sociale et des ducs de l'agilité suprême d'une cour de théâtre en pleine ère de répis, au report de l'arrêt d'un geste retenu après moults tergiversations, la sienne, sa terre et mer altérée, repère et mire.

Lamentaire au narrateur oniriq.

Lamentaire au narrateur oniriq.

Souper Gayak [tableaux]

Through the trees, the forest. Through the forest, a screen.

Monticules de bas-reliefs accrochés, vestibules gras, vêt y bullant suspendu au-dessus des miettes d'un reste de pain chaud séchant au soleil sur le sable amer qu'effleure le corps secoué d'émotions d'un sentiment de passage, un tas de gravures mises en grades d'un passage d'arbres véloces.

Hey saturday sun (les constantes sont en train de changer)
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10 janvier 2021 7 10 /01 /janvier /2021 05:25
Jour de fête

Jour de fête

Devant le vent levant d'excédents qui ayant pour le coup, vraiment de quoi excéder, s'érigeant défie les présomptueux accès d'une gent d'agents magnanime qui se défend s'exercer l'exécrant l'autorité suprême dont s'exécutent sans broutilles moutonnantes consulter les règles prises à la lettre de sécrétants succès aux excès proches de la crevaison d'abcès, les présidents présents qui ayant perçu dans ce nouveau marché ! l'Aldoram qu'il sans faille s'agissait s'en entichant d'enrichir à son pied des graines les plvs fertiles pour en récolter les foisons productives, forcés de se rendre au fait, et s'y rendant de fait, ont un à un défait d'effet défauts les plantations de vanille de leurs missives respectives, chacune s'en étant jusqu'alors, sans fréquences impactées, au seuil sensoriels, si bien nourries qu'on y avait sans réserve investi les meilleures velléités.

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8 février 2020 6 08 /02 /février /2020 09:07

Avions-nous en plein vol alors déjà, ou apprendrons-nous d'un jour qui parlera le mieux que nous n'en savons en fait encor rien, seulement entrevu l'étendue entière des possibles lavée de nos strates propres ?

Ces choses tournent dans la tête et s'y retourne un film qui comm la reconfiguration obliq, totale du soir au toit noir étanche hors de son élément en projète à sa matière dès la tombée des dos du ciel détourné pour être la cinématiq de ses arc-bouttements qui interpellent à chaq étape de leurs mutations et en appellent d'autres.

La pièce qui se vide par le fond, se joue comm un piano quand il se remplit d'eau à mesure qu'on en sous-pèse les notes qui s'en défaussent.

Exemples de lieux très propres tombés aux lieues communes par antonomase.


 

Si, l'Amour, bien sûr j'aime l'amour. Mais non l'idée si singulière qu'il faut à tout s'en faire pour ne pas trop s'en faire. Toutes les amours qui sont en soi sinon obliq, igniq et fêlées pour laisser les lumières y passer, uniq, folles et belles, deviennent quand on y passent la main à un succès successeur sol, bois ludiq et soie.

Décors bris des cols amarrés, simultanéisés de se retrouver dans des corps variables. L'âme mûre des océans transcende les visions d'éclosions de tout ce que l'on sur l'eau sème qui revient en l'air pris après chaq tour de relève à leur surface, de scient qui s'y concentre jusqu'à la rigifidication. De villes en villes, et d'époq en cloq.

Bouille qui s'émeut qu'il ait tant gelé que la surface n'y est plus meuble.

Comm des Pouilles à Pula, les voyageurs surannés

 

Si ces cyprès sont si loin qu'on ne sait si c'en sont, c'est parce qu'à ce point d'où me sied d'en scier le tronc, ma passion du citron s'assied sur ces visions sans s'essayer à s'en désillIer. 

Vert, je te veux vert, disait-elle, en des lettres si capitales de la ville secondaire qu'elles auraient mérité d'être aussi fatales que familiarisées. Des peintures causées cosses hallunissant comm des îles majeures hallucinées, ou la contingence continent de leur style uniq qui meurt sur le champ d'unions de n'avoir point de repère pour s'y fixer d'un seul trait d'horizons à l'unisson des lignes connues.

En démontant l'horloge puis en la remontant comm si c'etait un fleuve : dans le non-sens indémodable des aiguilles d'une montre que les sept sens des anguilles prendraient pour un monstre et recracheraient volontiers sans l'avoir digérée.

Se répandre de volées au premier degré comm d'autres pourraient se prendre les pieds dans la lettre d'Eusèbe de Césarée ~

Rameurs & âme des vagues, ensemble vacant avancent et distancent les reproches. Dissidents des armées du sommeil dissous des lits ensevelis en tant de vœux qu'il est de nuits dont découchent les soleils, nous sommes de tout sommes faits sans le dire assommés, sommant ou l'assumant pleinement, d'aises si mêlées d'assauts meuliers qu'un sommelier saurait sceller, et tombons trombes par sivières dans les rivières soumises d'ondes ombragées d'un levant qui dévisage le visage seulement d'abord vaguement envisagé du village de maje sagesse où avaler des vallées les valeureux virages nourrit l'idée fixe d'en faire sombrer les monts qui nous sèment entre autres sèves d'astre aux lèvres des passés et aux laves d'avenirs contournés pour être en racoleurs autant remontés rivage ~ horloges tentaculaires ~ que des temps acculés récoltent pour seul bien parmi les maux semés : au large, oubliés jadis si éblouissants que des bleus nés trop cyan, désormais loin teints avenants. Distance de détente au temps des attentes de tant de latences que de densités lestes.

Comme tout ce qui se sème au Sud et se laisse aimer d'Est en nuées, nous aurons récolte de l'effort fait lait & des patiences dépassées latences dans les champs des toujours tournant de la passion aux couleurs & autres fondeurs peintres ou coiffeurs, le phantastiq cœur de l'art à ses impulsions les plvs sonores.

Défaire d'un revers, des ingrédients de référence d'un verre dansé des doigts pour être offert demain les afférences versées pour verset pour que les solutions aux principes d'inférences diffèrent que leurs différences au fer rance natif et préhensile en soient déférées à l'envers, et les silences en soi si denses s'en voient ainsi versés contre tout déclinées en autant de révérences qu'il est de devers d'hanses entre ses lignes courbes et ses errances.

La déesse Nout dan toute sa splandeur arquée, tire aux flancs des plvs zélés.

Une pièce malade écrite pour se jouer de nous dans un morceau peu hospitalier de musiq

Ce n'est qu'en cessant, après multiples cessions d'essais de demeures en demeures, à l'accès d'extensions, de chercher dans la légèreté de l'être le bonheur & l'amour qu'on peut croître, et dépouille à plat créer la matière de devenir quelq chose, plutôt que demeurer demeures et ironie du sol mis en musiq pour mieux passer des jambes dans les vertébres. Les amoureux fous se retrouveraient-ils toujours, de vies en vies dans les exclamations jusq'à ce qu'il n'en soit en tête plus jamais question, mais peloton, voire bon dernier. Traverser un monde, un pays, une ville jusq' à son envers. Dans un sens puis toute sa sémantiq.

Pendant ce temps-là, en Belgiq
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17 avril 2013 3 17 /04 /avril /2013 10:48

La relation quasi filiale de l'oreille & de l'eau.

Prises de notes. 
Juillet. Baignées comm le sont ces tiges d'âge microscopiq qui quand elles montent décrivent des aqvarelles et se distinguent des houlettes des surfaces par bonds à leurs pointes grises autoctones, elles ont le sacrifice endémiq du repas sauté aux yeux dans l'heure d'arrivée de leur cargot d'émulsions sur les bastaings fixes attendus. Couleurs soniq des gouts.Août.
C'est entre un poteau rouge anodin à demi-peint en noir et une cargue dotée de roues carrées que s'ouvre à l'heure exacte ou une très exceptionnelle diversion de la particule d'évidement d'eau par branchies disparue s'en excusant sans façon et s'en contentant mieux que mieux, se franchit se glissant acrobatiquement et adroitement entraînée à l'école du cirq, et que se met à briller l'âge microscopiq ou les branches blanches et les bronches verticales qu'un cube portuaire prend pour son symbol le plus représentatif de sa stable autonomie temporelle sur les vastes emprises du poisson dans les idées reçues du siècle, se mettent bout-à-bout comm s'il était là l'accès à une toute autre fonction de membre intact de leur figuration. Ce figurant se figurant sa place il prend le temps d'un espace qui se parcourt visuellement.
Septembre. Joyau des eaux, il anticipe le flux, devance la houle jusq 'en outre-fonds se fonder à la masse un poids qui lvi ordonne d'été-inné scander ses rumeurs dans l-extrême onctuositué émergée eucalytus plastiq de ses voisins de repères par barq et par intempérances d'ampères. En huant, en rabrouant, en poussant vers la sortie et la faisant même rougir de honte, la mangue aérienne incruste qui avait sur les planes étendues sous-marines une espèce d'étau-croustillement crystalin caressé comm un désir de s'installer il fait honneur à sa gente phoniq qui entièrement lvi rend honneur dans cet ultime récital des marrées dont on retiendra surtout l'apothéose coraliq du verset décanté plutôt que chanté, verset qui reposant décroit de la surface ou il miroitait jusq 'aux poudreuses sablonneries ou sa rumeur exploitait un monde, verset conceptuel donc, et allégotiquement verset de composition, puisq prenant cette épaisseur propre à le rendre suffisamment lourd pour s'y apesantir il figure quel calme dès lors planne sur les fluxus post-dadaïsts des foules localement, irréversiblement, en proie aux révolutions permanentes internes, lesquelles dit-on sont les véritables joyaux des eaux. Un héro doté d-un' certain pouvoir, celvi de jouer. L'artist qui devançant par préscience son adversaire, déjoue ses plans et empêche que le pire se produise. Un specacle au lieu, se produit qui réunit la junte, jungle auxilière exhaussée auctume des fantômes dépités de facto décapités d'antan.

Octobre. Hippocampe de l'espace [Space sea-horse] :Valeriane aux balerines.
Je vous ai vue danser, maintenant mon ami compositeur va jouer les entremetteurs et vous proposer un projet que vous allez devoir par nécessités refuser. Ce que vous allez au lieu de ça trouver, ici peut vous intriguer, vous enflammer de roses, et vous déconcerter, mais restez concentrée, et sur un pied jouez ce rose flambant qu'on vous admire la courbe à faire chanter du dos comm une suomptueuse sympahonie aura été pour vous écrite, pour vous jouer; pour vous seule donc, dansez ~! Nous reviendrons je crois demain, elles sont déjà ravies se réjouissent de salir vous voir jouer, de ce rôle comm des axes inter-prêtés de la pièce, à leurs propres mains partagàes. À relire : Catharsis des marées montantes; Groupe sculptural sas cesse grandissant; ÉTATS.
Novembre. Maman à Tokyo. La façon que nous regardaient les dames quand je lvi faisais des gros béquots en nous prenant en photo sur la Yamanote. Elle avait ce sourire d'eau, ce sourire oui, que je lvi adore. Ce sourire ouï, si beau. Quand l'avenir jaillit en plein présent. Nous passe. Je ne te veux pas comm celvi qui me supporte. Ni dans le sens soutien, ni dans le sens tempérance, je te veux intempérant et même chaud ~ De temps en temps présence, d'autres héro. 

Jenvile; de viles envies

fiébrile; fièvres fébriles

amorce; amarres larguées

hâvrîles; paix passerelles

mâts; dressés

jouir;

jouillir; bouillie de jeux mouillés

loints; 

somptuambre;

actibre;

nouveaubre;

descsombre.

 La soif que rien n'étanche. Le feu inextinguible, sommet des heures que rien n'atteint. Far beyond ou une [Trag(ic)omédie] (...) elle se solde par la perte de l'identité, absolue et sereine, une percetion qui n'est qu'une croyance, du fou qui se dévore seul et s'inspire auto-suscité. Ouverte, entrée, pénétrée, là ou nous sommes perdus. Cette vasq sur autre chose. It will to drive nuts to this far beyond. J'en ai entrevu des bribes, par toi,
à cause de toi,
grâce à toi. Je veux toutes te les faire voir, t'en faire voir toutes les couleurs : comm tu m'en as fait voir de toutes les couleurs. Des bleus sur l'âme, indélébiles, les âmes neuves dans les couleurs d'id débiles. Nous rions, et nos rires sont cette soif que rien n'étanche. Dans une épopée comm épiq seul il est capable d'en rassembler la contemplation de facto a fortiori des raisons de la situation présente, leurs circonstances. Justifier le text, alligné comm leurs idées & grandes lignes les principaux participants.
Graphite, l'instrument des contrastes de cet artist qui a choisi de figurer sur dept-seix pans chachun des états des montagnes qui environnent son village natale. Pensé rose prononcé mauve. Comm un miaulement, le ronronnement de pensées et de roses d'un jardin des plantes aqvatiq. Une évolution spatiale plus que temporelle puisq -après avoir voulu que le ciel ait l'épaisseur de contraste des gris clairs déteinte sur la montagne nébuleuse, il vient au procès inverse ou le ciel est si sombre qu'il ne se détache plus d'une physiq lourde, se rapprochant des cimes comm en étant en quelq sorte, la continuité, le projet d'élan qu'on devine très haut élevé. Rapprochement graphiq et vélocité cinétiq ; une cinématiq de lançage pour un pont à troois tronçons. La distance temporelle des choses, ce décrochement glissement par strates, par phases, un instantané de la cinématiq des formations, les accidents de terrains ainsi un à un imbriqués, juxtaposés, qui super-pause offre à voir le devenir potentiel des choses. Deux bandes dessinées rivales.
Couleuses. Le Cid jam : [Super(mar)cherie]. On saitcomment ça finit pour concierge de l'esprit. Un cri effroyable, on aurait dit un rapace. Une plante grimpante, un serpent qui devenu volant est canibale. Les mafias chinoises. Un couple qui, lvi survit à la rupture promise de la lassitude. Chine éternelle, , submergés régulièrememt dans les eaux de ses nouvelles ères de barrages impériaux. Quand j'ai écrit une lettre aux dieux alors seul & dépourvu, désemparé de ne pouvoir à personne faire part de mesimpressions et volontés de scas échéants et de l'instant survenu. J'ai vu le savoir arraché et papier mâche, cette salade d'iris exprimées mises en lumière. L'un par l'utre, incidents. Aux dieux : sachant qu'ils nous épargnaient comm argent comptant leur reconnaissance d'une si grande part perdue perdurant part d'Iran, pourquoi pas. Pourquoi certaines femm qui font tant d'histoires pour un seule histoire n'éprouvent que l'amertume le moment ou l'histoire se produit enfin de nouveau. Et surtout quel nom porte cette figure de style moderne ? J'ai froid, ne sors plus, mes épaules seulement, reste. One way ticket des forçures. Innocence : *bon sens* en japonais. Quand il est si bon qu'il peut recommencer instantanément indéfiniment. Les citadins n'ont plus besoin de témoin de leur mariage, ils parient que ce qu'ils     boivent est ce qu'ils savent d'un monde témoin, passé de main en main dans un grand relais de gare. Billard pour nager. Je te croque comm ty m'as croquée, à la romaine. On naît encor que le 6 janvier rend lumineux, deux amants en voyages inprovisés qui durent et on renaît d'autant depuis ces demains-là, matins d'allures. Depuis hier, midis partout. Zéniths & couchants, soleils rouges oxydés qui s'égouttés écoutent parler, de mer d'un bleu réciproq, d'équivoq équinox. Et distant scomm des villes à trois pans, trois portées. Comm toi, le rapace. Dictons d'autres-sphères. Raffaello sur la pyramide l'Ouvre en grand. Quand le ventre trop plein le soir au coucher un cri strident surgit dans le rêve l'étourdissement puis le vertige engage le son promis par les dictons d'autres-sphères entendus à propos dans les soirs de repas lourds et dans les nuits qui les éxagèrent. Combien crie ta bouche aux strilles dents ? Il fait penser à celvi du rapace et aussitôt regarder en haut, mais bien souvent divergences ce n'est rien de plus q'un homm qui de l'étendue les temps siffle sur leurs balcons C'est pour le conscient, dans ce vertige hérité de nuits en nuits dans le vestige des rêves le signal qu'il ne peut être en terre vraiment inconnue nul rêve prémonitoire, les sens y étant si désordonnés que les calculs de l'inconscient se faussent d'emblée, leurs mesures, hors repères. Artaud. Ainsi il peut tout de même y avoir des enseignements à tirer de ces messages de l'inconscients, mais tous sont à prendre avec les mêmes pincettes que celles dont se réservent l'usage les vrais professionnels de la dissection plastiq, de son extraction philoméniq. Une terminaison nerveuse parfois, si, peut bien ici ou là trahir quelq schéma fort, sortant,entrant ou qu'importe, de et en simultanément, le champs des possibles et la connaissance des existants, si à lvi s'associent des signes forts de l'instinct pur, lequel est encor à ce jour le plus grand de mes mystèees non résolus. Des schémas hologrammiq sans doyte plus cosm-aéthiq~ Frogs au frigo, frais garrots des crocs qui lame l'âme en voyage, les bouches orgasismiq véhiculant véhémentes aimantes vélléitaires le plus de ces moteurs aux sens d'outre, propres à l'extase & à l'extrême fatigue. Semblant être les seules directions communes en prise, la métempsycose paraît ne pas être que le plus plausible, maissouvent aussi le plus invraissemblablement celvi des faits avérés qui rend les parfois possibles, et les rares si rarement dotés de dons aux jeux de dés. Bien que totalement impossible, le plus des possible, plus-que-possible, l'improbable en fait, révélé. Temps qi-il me plaît tant qu'il m'épelle, à cojguere comm il se doit trèize en formes souvents invariables et invariablement superlatif. Olfactifs. Dali est à Beaubourg, Raffaello au Louvre, YSL à Marrakech et moi je suis à Rome, à Figueras & à Essaouira. Villa Farnesina, Port Lligat & jardin Majorel, tous des Parcs Guel. Myths d'Ampadiem, anathématiq malles. Andalouse elle qui vient d'ailleuers, et d'ailleurs y est encor dit de Dali qu'il laisse derrière nous plus de secrets non élucidés que d'oeuvres et texts mis en lumière et que Gustave Moreau mis dans l'irréel a déclaré un jour ne rien dans une vie avoir confondu de ce qu'il était avec ce qu'il n'était pas des rêves. Le réel ici parcellisé; Gustave Wasa et Erich Steinbock sont des superlatifs d'invasion polysémiq. Leur famille démocratiq a dans le monde une idée recrué-décences des sons de L' illusions phoniq. Somatiq ces déspotes néo-barbarisms tirés comm du nez les vers de langues indo-européennes, des poésies qui comme des fruits pêchent à la ligne;

De voir comm s'echangent verbalement leurs couleurs les rouges et oranges.
Un hermite qui rôtissant s'est heritage mutilement rutilant rétiré des ambages
et cohues dont il prenait longtemps les pulsions quotidiennes au front des
formes en en couleur relevant les notes et les exposant comm des ardoises chaudes.

Iphigénie enlininée enluminure en lin de ses liminaires à des fins tragiq; défunts d'un tragiq de naissance et d'un humour noir de répétition : par usure et salissures, comm des tranchées. Restent un Guy Maddin et des lapins; Ovide dans les roses et les choux de même couleur; La Pérouse perd le sens des directions dans celvi des couleurs que la raison retient; Breton use & salit, abuse et sale les voies enrouées de mécanisms de Duchamp; Gus m'a mangé et vit depuis plus vieux que moi, autant et aussi long temps; à celvi qui en porte levant, les épaules ont remis leur monde à des réctifications rectiligne et des partitions cassantes, croquantes, craquantes et à cran, avec les crocs : à la seule force de la mâchoire et de l'appéitit qui en vient grandissant quand in l'y pousse comm mamie dans les roses d'odes d'Ovide. Les tout premiers chimists; dans mon papier aux dieux j'écrivais eau terre air âme, et le feu est le 5è élément qui anénatit les efforts des premiers à faire la vie se régénérer auto en circuit fermé. La palissade, la muraille, le mvr, LVI-même. Ça tourne !~ Mon delta à cheminées, acheminé. Who says it's ok ? À toutes épreuves, la réhausse d'une peinture d'arcades sur la porte voûtée d'une tonnelle à tous les vents, fixée au liant battu d'oeufs frais d'un fromage frais nature fait maison. Tout ferait maison dans cette situation. Ou paysage de voyage. Fromage frais nature fait fuit de voyages forts. La Pohème cette femme marche seule, l'angoissante constance de ce bruit de métal lointain, des tibes dressés sur la colline ou s'engouffre le vent, poétiq. Et elle est vêtue de saumon, orange rose, muant comm elle progresse parmi les vestiges de la bohème. La pohème, ses petits pas agiles très rapides, sir toute la descente. La subtilité de sa survie dans la planète réside dans cette notion de savoir relativiser. La grande c'est Cécile et le petit garçon Paul. Ou est-ce Eliza & Lucas, elle, la pro vit d'anses. Ciel vert essor phosphorescent, nuages de nuits oranges, couchant gris turquin roux oxydé, océan au loin dégradés des turquoises aux sous-chefs brunissant, vagues violettes, les derniers lents relacs sur le sable bleus fonçant hrs-champs, bleus tendus écoutés. Elle enclenchent la constellation à sa démarche demoiselle. Des sagittaires gondolés comm des mirettes convulsionnées, hanches à propos et les jambes en épi, ses paupières lard, ses cils lourds et ses sourcilières étendent leurs grands bras dans le dzrnier soleil couchant avant une génération de levants indémontables ~ 

 

Qui est le Bienfaiteur ? 

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22 novembre 2011 2 22 /11 /novembre /2011 08:30

 

Canard sauvage, verts des grands espaces

On a trouvé

                                 Dioclétien, de sa retraite de Nicodémie, mille jours,

à peine.

 

On l'a fait fumer ~

Cardinal aena corda, carpe mentale coeur d'airain inflexible traque d'émail

Marq d'écailles sur le front, visage spiral, aenatores aemulanter ~

Dynamiq des virages empruntés aedilatus à l'état à bon taux. Et bon escient.

La vélocité des premiers lieux, aedificialis leur intense contraction d'intérieur ~

vu dans l'accouchement réussi d'une masse adytum extraite du lieu suivant,

Celui ou 'ça change tout alors ' ~ Spontanéité advolo de sa venue.

 

Il avait dit-on 21 lacets numérotés de 10 à 12,

Et 48 autres versant nord-est du col de successions ~

On a dit : Où allez-vous comme ça Monsieur ? Eruption cutanée, magma des fonds marins.

La fille de la bonne : Pourquoi Monsieur dit que personne ne le voie aujourd'hui, je le vois, moi.


Sortes de chaînages de matière scientifiq par nature, alchimie des corps traversés de paysages ~


Chêne iroquo sapeli, je le conduis mieux qu'un fer, advocator fatigué et sans grande conviction qu'il me faille m'arrêter.

Tu devrais descendre mon amour ~ 

 

ARTISTRUTH
, deux vérités d'artistes aequaevus ~  

Il avait dit On 21 lacets.

"Depuis Laure, aegreo sur quoi tu planches ?

_21 lactes numérotés, non aena manu sed aegre.

_Et sur quoi tu tables aedifex ?~

_Les 10 et 11" aequabiliter.

_Qui ?

_Mercedes Rubirosa

_Mercedes RUBIROSA ~ D'où revenez-vous ainsi couverte d'ombres proupres & d'ambres palpables ~

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4 mai 2011 3 04 /05 /mai /2011 22:42

Celui qui fait sortir du flanc de la montagne une rivière de granit , rien mais de rouge jeté.
Le disq en vapeur d'eau quotidiennement à la même heure.

Sous la pluie il y a un passage secret.

En s'y aventurant j'ai entendu qu'il se parlait breton, puis c'était le jour suivant.

En s'abreuvant au pied d'un arbre un lacet détaché, du moins il prenait l'air.

 

Il rit tellement fort qu'il fait tout tomber à l'eau.

En m'abreuvant le pied de l'arbre, j'ai refait mes lacets mouiller plus qu'avant ~

 

 

lendemain.JPG

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4 mai 2011 3 04 /05 /mai /2011 11:44

A une date où être repris de contact par une amie perdue de vue

fait ressurgir de toute part, dans les murs, des vieux démons bruyants

J'éprouve la nécessité étrange de m'entourer d'enfants

Sans doute

               pour entendre plus souvent

                           des choses pures

                                        bonnes à boire 

                                                 J'ai bu la tasse.

 

L'amour à sa source, quantité d'enfance,

sans passé, ni croix,

Qui se propage encor,

               avant que Ferme

                         Forme Limitée soit prise,

                                        dans l'espace et dans le temps ~

 

L'enfant est encor cette quantité de matière

qui s'étend, qui ne retient rien, qui use des expressions sans ~

Qui aime sans ~

Qui rit sans ~

 

Quantité de BON SENS

           ~ JOIE ENFANTINE ~

 

Un jour un ami très cher, Breton, m'a dit

Je donnerais tout ce que j'ai pour oublier tout ce que je sais.

 

Je ne suis pas suspicieux, de nature au contraire, je donne tout,

à fond. Sans doute d'ailleurs est-ce pour cela.

Mais sa façon insistante, de faire, de tout faire systématiquement,

~ ses tours de passe-passe malins & mal intentionnés ~

en vue de me faire croire qu'elle me mentait ~

 

Sur toute la ligne

Ce qui est de plus malsain à ça : c'est à l'opposé de tout ce qui nous liait

 

Jusqu'alors ~

ALORS 

Tout reste à prendre, à découvrir bébé cadum

comme une première, de nouveau embryonnaire

Du grand nu abstrait ~

 

 

L-enfance-de-l-amour.JPG

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28 mars 2011 1 28 /03 /mars /2011 08:46

I -

"À quel étage ?

_Dans le 18e.

_Avec les domestiq ?

_En pleine convulsion de l'homm.

_Il mue

_Il ne fait que ça.

_Il a peut-être d'autres vues sur les toits qui observent le matin en attendant le retour de la rue.

_Il se domestisq tout seul, il se dresse.

_Sur ses jambes droites, le droit de regard, & sur celui-ci ?

_L'ambition de se faire faire des acrobaties devant la lune.

_Il reste un animal

_Domestiq.

_Et en échange il se nourrit, se récompense
_s'offre le luxe de la reconnaissance.
_Sa seule nourriture.
_Il n'est pas plus exigeant qu'à l'état sauvage, seulement l'état de droit le rend gazeux à ses heures.
_Parce qu'il a des sources plein les veines, il s'évapore au contact de l'air
_ambiant, comme son instinct à faire vivre toute image
_Il tourne
_Des bobines mises en continu, projètent des devenirs patients.
_Qui raconte les pièces ou il a commencé d'être élevé.
_ De s'élever, oui, sur les toits ou il garnit le ciel de son sourire ravi aux nuits.
_Elles ont mieux à offrir.
_Mais elle le destinent à des voies plus sombres
_Plus sottes, voies orales.
_Il s'y substitue assez efficacement, il imite même la nuit.
_Son chant organiq ?
_Sa fièvre pour les toiles.
_Maladie domestiq ou chroniq de l'animal mis/jeté à la rue ?"

II -
_Je te fais bien briller, à ton tour fais-moi JUIN jusqu'au matin ! ~ dès maintenant, n'attendons plus les défilés d'émois, fais-moi juin, prends-moi au raccourci des dates, fais-moi un bond sur l'émoi, ensemble rendons-nous, directement aux autorités qui veulent nous chercher brillants ou nous ne sommes encor qu'éclats frappants novices, naissants, & accélérons les cours, toutes ces cours ou tourne les papier qui t'écrie, tous ces cours qui s'écrivent des suites & des tournures passives des lendemains.
_Succéder à la matière vive.
_La supplanter, sans atteindre qu'elle atteigne l'excès ou elle implose.
_La teinte de tes rêves qui accèdent au Réel, le réel s'en déteint les couleurs vraies.
_Sur ma peau, comme un tatouage imprimé sur les sens,
_Filtre d'émotion
_Filtre d'impression
_Philtre de l'amour ~


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24 mars 2011 4 24 /03 /mars /2011 00:52

Alors, me direz-vous, ou pas puisque rien ne précède qui vous en donne l'occasion, depuis que j’en ai fini d’écrire sur les dernières langues vivantes employées par les civilisations mortes et qu’aucune racine de fond, aucun tronc commun ne trouve à toute évidence les suites à donner en une forme évoluée de la perception qui se créât quant à elle qui continue de se chercher des poux dans les conduits de la narine autoréflective, une solution, ou, au moins : un point de départ qui ressemble à une chute ~, que dois-je retourner à des activités qui donnent raison à la raison elle-même, m’en faire une, et prendre pour bonnes les raisons qui me sont tendues et me l’ont presque fait perdre ?

Des heures qu'entre deux tentatives vaines à voir des amis sur une toile se mouvoir - en vain pourquoi ? je ne le sais pas - je cherche à aborder cette ROME, des heures que je prends entre le plaisir détourné loisir à aller dans d'autres conduits suivre les bruyantes images des alentours littéraires sporadiquement trouvés sous le coude, dans les rubriques de la tête, entre les doigt-de-pied qui font au nez la grimace quand il prétend flairer mieux les voies les plus conséquentes - incroyable, soit dit en passant, ce qu'un pied peut puiser d'efficace dans les ressources d'une bibliothèq lorsq le hasard décide. NON, donc, je le disais bien mais, bien, maintenant j'y viens, voilà :

Gustave Cornelius. Une situation ingérable. Comme je ne parvenais plus depuis des années déjà de me sortir de moi, de faire l’exploit de mon corps physiq, de me dépasser jusqu’à la forme, pour atteindre celle d’olympiq qui devait me faire courir droit dans les sentiers où l’appel pressant accélérait ses voix et devenait menaçant, j’ai demandé à Gus, mon vieil ami, mon plus vieil ami, de m’aimer follement, au point de me ficeler, me découper en rondelles et me manger. Et il l’a fait ce con. Depuis je navigue avec lui sur les eaux, sur son bateau, il y passe son temps, des années que ça dure, c’est devenu l’homm invisible. Et me voilà donc aussi invisible que lui, à voguer malgré moi, sur ce bateau, on est dans le même à présent.

Je ne pouvais plus fuir l’appel pressant. Il était à faire ce …deuil en quelq sorte. ROME, disais-je. Si dure soit la tâche qui me fait trouver des subterfuges par tous les moyens, d’échapper à cette catharsis qui court et jaillit, à corps à cris dans les couloirs. Ces sentiers les voici. Une situation ingérable. 24h passés dans un état de crise, pris dans les couloirs où s’échappent à grandes vitesses les fumées de véhicules difficilement identifiables, et en tout cas : ‘inarrêtables’, ‘instopables’. Je devais faire un barbarism, j’ai décidé d’en faire deux, d’un seul coup.

L’appel pressant, oppressant comme le sont les étaux dans les étuis où l’étain repose quand la pose atteint les limites de l’extinction dans les fumées toxiq. Il ne reste plus grand-chose de moi aujourd’hui, de moi : comme j’étais à l’état originel. Un condensé, un vague précipité, une solution un peu aqueuse, mais ces quelq grammes – 8 si l’on en croit un certain film – ne sont rien, que chimie, qui doive avoir affaire avec l’âme, véritable, pas si solidement qu’elle entend prendre essence dans les sphères linguistiq de la raison. Laquelle est bien du reste la seule à contrôler une pensée qui se formule dans un de ces labos de la conscience. Pourtant ma conscience bel et bien, est là. J’ai pris conscience que ceci tanguait sitôt après qu’il m’a ingurgité, puis régurgité en grande partie.

J’ai eu quelq maux de tête, me sembla-t-il, et puis je me suis éveillé de ce leurre, qu’il ne pouvait s’agir là bien que d’un réflexe. 24h dans les conduits, à quatre pattes, fumées nauséabondes. Mais voilà j’essaie encor de distraire en détails épars le public en moi qui attend que le départ soit donné pour embarquer pour ROME. Rome, oui. Car voilà bien, j’ai fait ce premier jet, où il n’est pas possible de ne pas remarquer comme le discours abstrus à l’excès a supplanté cette fois mieux que d’autres l’essence même du fond, son sens, dans les noyades d’une confusion atteinte jusqu’à la sur-évocation, superposée, de toutes les lignes de mes pensées prises conjointement pour distraction. Pour quoi faire ? Ne pas le faire, justement.

Car quoi que j’en aie envie, quoi qu’il le faille et quoi qu’il le deuil, j’ai du mal. Oui.

Bon mais voilà, je ne peux pas décemment entériner un text en le basant seulement sur une ligne droite tracée à la main sur le creux de la vague qui va de Lisbonne à Istanbul, sous prétext seulement que l’histoire commence à cette première sur une plage, ne se poursuit pas à cette seconde – où j’arrivai trop tôt, ou dont je partai trop tôt pour la seconde fois, peu importe, ce qu’il en est : ceci ne peut pas se résumer à cela, non seulement, ni plus qu’il doit être d’introduction qui rende la juste valeur d’un amour, dans cet ordre géographiq,… : absurde. Illusoire, vain. Nul.

Gus m’a mangé. Ça oui. Après ? Vahé m’a plongé sur elle. On a pique-niqué à la romaine. L’ocre a fait briller les rues dans mes yeux. Elle en était amoureuse. De cet ocre qu’elle avait toujours connu, dans mes yeux qu’elle avait toujours mangés, elle aussi. Un plat local sûrement (Gus est de là lui aussi, paraît-il. Il n’a jamais du y foutre les pieds mais qu’importe, il ne m’aura pas cette fois, je reste dans le vif, et le sujet tient bon la barre).

Vahé, tu me manques mon ami. Et je dirais la même chose de Gus s’il ne m’avait pas en lui entièrement. Vahé donc : ne disparais plus veux-tu.

Voilà : Je le lui dis. Pas à lui, à ELLE : Disparais, sors de ma vie, reprends mes yeux, garde les clichés, fais disparaitre de ma vie ces laisses, ces chiens, ces broderies, tes jolis corps, cheveux, orgues, joues, murs ocres, bassin de bataille semie-navale, et chapelle, disparais et réapparais juste après, que j’aie le temps de pressentir comme éprouvant cet instant suivant qui pousse aux portes, celui où je te manquerai de peu dans l’angle d’une rue qu’on aura prise cette fois non plus conjointement, mais bien distinctement, pour que se refasse l’histoire.

Je ne me suis jamais marré avec ces détails qui veulent qu’une deuxième rencontre fortuite doive signifier qu’une vie découle comme des scènes à ressors dans les méandres quotidiens de la mort et de son amour mis en continuité, deux à deux, côte à côte comme des stupides petites mécaniques orgueilleuses qui se ressemblent depuis qu’elles ont ressenti en elles, en chacun, l’une l’autre, cette motrice impeccablement identique qui devait leur permettre de se recharger mutuellement en cas de panne. Non, ce genre de superstitions-là ne m’a jamais convaincu. Trop neuf, romantiq à deux sous, création des studios Disney, rien d’autre. Ici j’ai surtout voulu voir comme mes propres thèms, ceux de la vie telle qu’elle m’est venue, et telle qu’elle m’a été reprise – GUS M’A MANGER, en gros sur un mur, ça cause – à quel point donc ceci pouvait concourir, aller de pair, se confronter et finalement s’allier à l’expérience présente d’un amour qui déjà m’embarquait dans l’aventure sociale derrière le soleil. J’y reviens. Ceci n’est pas un détournement de l’attention, pas plus que l’évocation de grenouilles et d’ogre jouant du piano n’en sera quand vous en lirez l’évocation – toute surnaturelle et peu évidentes les jonctions vous paraissent-elles alors ~ Jugez moi, mais surtout pas ma bonne foi.

Des heures maintenant que je cherche par où amorcer, et que coulent au lieu de ça qui frappe en soute les parois indivisibles de ma caboche, les détails en émois derrière leurs sourires passablement habillés pour les circonstances. Pour disposer encor d'une réserve je peux ici poser ces bribes de la première lancée – place où elles s’intègrent parfaitement, ces lignes étaient cousues pour venir placer ici une pause comme un cliché : ces ocres dans l’œil, l’amour vicié sur les chemins de traverse parmi l’ogre au piano des velours qui font les muses passer pour d’autres.

Je vous ai toujours dit, etc… Je dis donc :

 

ROME (1)

 

- Hulmus -

 

Découlé de mes baignoires artificielles, pacifiq, concours suprême des circonstances de cycckle qui fait débuter

Lisbonne le plus à l'Ouest sur une plage atlantiq & place légitimement méditée

İstanbul en fin de course à l'Est pour les nouveaux levants sur les Méditerranées.

Rome qui conduit le bleu à foncer dans les décors jusqu'au marine ou à l'outre mer ~

et l'ocre plus jaune que rouge, de foncer l'orange jusqu'au fruit ~

un adage neuf, même un peu moins, dans les détours qui veillent, en ronde, sur l'Île Tibérine.

Étalages épars, et parties des talons épris de leur chausse et du pied qui s'est pris dans les rouleaux redondants de la navigation à l'aveuglette dans les lignes du conte avalanche dorée.

Ce lit des rivières, pour fin de route des mers aux canaux, qui n'en finissent plus de se reposer les unes sur le dos des autres, par étages, qui font l'étiage de leur complexe motrice.

Au milieu coule un bateau. Entre deux, et après ? Après, il ne se passe plus rien, il ne se passe plus une seconde sans qu'un évènement chute des hauteurs de chargement de l'émotion hissée à cet instant issu des cordages des précédents. Fleur bénigne, sans infraction. Voltige au creux des vagues.

Au milieu et après ? Ce bateau qui livre une bataille en son milieu, d'une géométrie avec son symétriq opposant, opponent comme on dit. Les gestes s'infiltrent, se glissent les uns dans le regard des autres,

insouciants des séquences comme des longues amares ~ depuis Raphaël dans cet oeil inquiet ~

à l'abordage des adages des ambages des longs cordages tombent à point sur les lignes qui se tracent des étendues dans les drogues mystiq envahies des yeux à la profondeur soleil de la veine empathie

Tellement vaine ~ plus serait abyssal, plus qu'inconséquent : causerait plus d'effets que rien, tout simultanément dans le chaos, sans raison ni passion, seulement hasardeusement.

Comme le mâle lui-même ah oui tiens ~C

'est vrai je n'y pensais plus. Il navigue de malles en malles dans les nacelles transbahuté, déporté, sans consigne sans insigne avec l'identité toute impersonnelle du chiffre qui en suit un et précède le suivant dans le doute.

Destrier hors concours que le mâle en vérité, la capacité en lui de tout rompre, de couper court à tout, d'un seul geste en calle, ou du haut du mât en répliques folles sur les caps les pics les rocs et les péninsules.

Je suis la mauvaise personne, vous vous êtes toujours trompé c'est ici que vous devriez en rire, demain votre main en tremblera. Vous n'en croyez rien ? J'ai toujours su que vous me prendriez, que vous me prendriez même pour une autre, indifféremment. Finalement. En final au port.

J'ai toujours voulu apprendre, apprendre, oui apprendre, tous les jours quelq chose de nouveau. L'amour ça oui, ça c'est du chocolat, ce lit-là n'est pas sorti du fleuve pour rien, pour rien il y retournera.

Soudoyons le voulez-vous bien ~ Apprendre, oui apprendre.

Que vous me preniez pour une autre. La face cachée du soleil m'a pris à parti, prise à part de mes exercices de défense, celle qui se cache pour rassembler ses effets & raccomoder ses meubles à tiroirs pour en tirer des linges sur la comète sans qu'elle comette l'irréversible, face cachée dans la lit adultérien de cette rivière.

Au milieu ? Eh bien mais au milieu coule un bateau ! ~

Pris à part je m'en suis laissé conter, il s'adressait à moi aussi directement qu'on peut le faire quand on se détourne du dos du mur pour se regarder en face danas la vérité de l'oeil, pour m'adresser quelq insigne ~ dans la discrétion des collaborateurs, me remercier pour tout, oui en m'écartant de ce geste magnanime, furtif mais perceptible, m'écartant pour de bon du centre de la scène mise en moi ~ remise à l'aventure sociale des autres ils continueront' hein vous continuerez bien il le faut. Gravités combinés même par à-coups.

 

ROME (2)

Ce sont ces images qui reviennent de loin,

comme des cargaisons chargées sans passé qui revoie le lointain

à la baisse, avec un filtre dans l'ouvrage de la perception,

de cales en dérives suivant les flots les agitations de la cuisine

où se préparent les mets d'hier, un petit rien d'épices pour arrière cour dans les goûts

où s'écoulent les rivières du passage ~

 (Début, toujours)

 

Toujours pas .....

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19 mars 2011 6 19 /03 /mars /2011 08:00

En 2o11 & les débuts encor incertains d'un nouvel Acte de bravoure du Théâtre Quantiq, j'annonçai par un beau matin de fin de pérégrination comme ceux qui se trouvent aux volets de mars quand on prend le temps d'en prendre en plein samedi s'il se présente ou fait le mime d'un miroir devant les fenêtres, qu' "Au-delà d'un certain degré de nomadism, rentrer chez soi c'est un peu voyager." De la même manière que, pour celle qui affiche clairement la couleur des eaux où elle baigne - mon nom, mes yeux qui s'en mouillent, ses propres aventures lyriq - en titrant un autre matin de mars qu'elle ne veut plus rien de l'Ordinaire dans sa vie, et qui par extension signifie que toutes les tangentes amenées par quelq raccourcis dans la vapeur des idées folles ou dans l'accération des timballes de la grand' voie, seront dès lors bonnes à prendre à pied ou à dos de mule comme un Sancho Pança fort de ses leurres visuels & de son guide spirituel, l'ordinaire deviendra un jour cette forme extra-ordinaire, qui s'extraie des jus de l'ordinaire donc, qui aura cessé d'être prise pour chemin le plus court.

Courant, justement, de pièces en pièces où il n'y en a plus semble-t-il, alors que je réveille l'appartement de sa longue ataraxie, pour visiter chacune de mes ampoules restantes pour les faire comparaitre devant l'instrument qui les veut juger toutes jusqu'à la dernière extinction - 5 grillées en deux semaines - je m'écrie comme me revient sur la tête cette ampoule du souvenir qui fait surgir de l'obsurité l'idée révélée à la lumière d'un développement antinomiq "La Révolution est aux murs", phrase entendue le jour-même, du moins la veille au soir que je passai à demi éclairé seulement, et quelq peu incommodé de ces soudaines interruption des sons et de l'image (qui en découle naturellement).

L'instant décisif, de ce retour, celui pris à pleins poumons un sac de voyage sur le dos qui parle encor quelq langues fourchues avec une aise déconcertante et une volubilité sans pareil, et ce sans appareil ou traducteur, cet instant décisif où la révolution annoncée aux murs doit me les pousser jusqu'à réduire mes espaces de travail et d'errances, aux seules cales d'un navire, cette "épure qui transvase de parois en planchers et de planchers en moi, l'onde qui vibre dans les vagues où je divague, et que l'inspiration décline, tout aussi simplement qu'elle le ferait d'une sauce ou d'une invitation." et me reposer à plat quand je n'aspire moi, bien sûr, toujours, qu'à ces extensions des vues qui me poussent les yeux profondément dans les lacs souterrains des jardins lumineux ou dans les plafonds tendus de toiles qui voguent verticalement le long des lits quand les rivières font naître, en poussant eux aussi, leurs plus grands crus, cet instant décisif où doit se tenir droit ou comme il lui siéra le mieux, l'assemblée teinte déjà de nuances et de bémols dans les répliq à tendre & mille fois et quelq attendues déjà, qui doit quant à elle aussi se tenir les côtes pour ne pas trop rire, se tenir fort et très vite pour durer plus longtemps, en amont sur les pentes, celui-là pousse où se dépassent les bornes et où se poussent du liège les bouchons enfumés, mon errance plus dans les cales encor, que je n'aurais pu l'espérer ou seulement l'imaginer. C'est dans ces entretoises de lamelles de la coque intérieure d'une étrave que j'embarque en me repliant dans mes espaces confinés de lumière diffuse, et d'où je chapeaute un ambitieux départ visant à viser plus. Toujours. Des sommets qui s'atteignent en courant, d'autres en naviguant raz l'eau. Bombarder par dessous de l'intérieur, de lumière, la scène obscur, ou faire tenir un monde créé de toute pièce sur un seul pied, telle est là bien la cartographie suivie par le personnel naviguant. Terre de l'esprit indépendante, cet espace reclu du reste, l'instant décisif d'un rassemblement des lignes éparses qui depuis des jours déjà, encombrent non plus seulement mes pages, mais bien mon esprit, à pivoter les unes dans le sens inverse des autres, à s'intercaler, à s'entre-croiser, à se contre-carrer et à s'administrer des doses soporifiq parfois de détails encombrants pour charger des mules aussi peu épaisses que celles de ma princesse à l'ordinaire évaporé des lieux mis en bulles dans la chaleur des temps.

Un dense repos des lettres arrivées par tonnes dans des sacs qui parlent trop fort dans les trains, doit acheminer toutes mes pensées vers une seule conclusion, qui bientôt partira faire son footing semi-hebdomadaire, laquelle prise comme une décision ferme et incisive, close et enfermée dans une seule issue qu'aucun secours ne saura déloger ou envoyer paitre avec la mule de passage, aura pour conclusion le présent texte : il faut abandonner Les Voies Creusées, abandonner les Pistes Tracées, abandonner, purement et simplement Le Voayage du Roi qui commençait ainsi*, devant l'autorité suprême que remet devant mes yeux incrédules un nouveau container, tout nouveau chargement électriq, parvenu dans la discrétion de la nuit entre deux mirages sonores et des passages à tabac plus drôles que douloureux, ce nouveau sac à pensées fraîchement rempli de saines lignes et, en elles, de lettres qui s'applaudissent en se sortant du sac ou du trou, selon l'image suivie.

 

*Le Voyage du Roi (juste-un-début :)

"Roman posthume,

Roman historiq

Roman Post-historiq

 

Il avait fait son pays, avec ses dossiers noirs, ses grandes campagnes dans les communes conquises, les châteaux de ses histoires cousues, et les camps plus discrets de ses aventures à taire. On disait "Moi M. le, ..." en se présentant avant de solliciter de lui quelq degré de ralliement, et il ne répondait jamais un mot à ces entrevues publiq.

Le corps de son règne avait eu la corpulance de la langue de son esprit, et s'établissait en toute conscience, comme il était aux yeux de tous LE roi : autorité suprême, DIVINE.

 

Les enregistrements audio attestant de la voix et de la langue parlées naturellement et avec aisance de cette descendance, enregistrements où l'on peut retrouver, pas à pas toutes les grandes scènes identifiées de sa phase couronnée, et mettre un nom sur ceux qui eurent à ses côtés un rôle.

Mais il est des anfractosités parfois dans la bande, des légères ou moins furtives séquences de passé, de prématurément passé, qui révèlent ce qui a été dit mille fois et jamais prouvé : le Roi avait un fauteuil dans l'ombre, d'où il n'est plus à prouver maintenant, qu'il avait recours à une forme bien peu commune de la magie.

L'édifice de son règne batit des pilliers comme des indices derrière sa mort, subsiste, de décors en esprits, le roi a laissé après l'oraison funèbre qui a enterré sa couronne, le lieu à tergiversations, et la place aux controverses, en touyt cas : matière à réfélexions en tout dernier lieu fit une dernière étincelle briller du fond du trou avant qu'il soit ensevelli, à l'oeil admiratif et ambitieux de quelq sous-fifres mal renseignés.

Il sera possible, les scientifiq en attestent, de recoudre les épisodes manquants de sa vie, en rasssemblant les bribes disséminées ici et là dans les inconscients de quelq malheureux frappés de visions sporadiquement, sans ordre et sans repère trouver pour diriger leur flots de paroles à quelq oreille bien entendante. etc etc etc"


NON, donc, il n'y aura pas de ça. Mais quelq autres pistes noires à prendre sans les mains avec la vitesse imposée par une législation qui s'improvise à chaq virage dans les élans de l'inspirations qui menace le souffle à chaq fois, se rompre d'extase et transe physiq ! ~

 

 

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11 mars 2011 5 11 /03 /mars /2011 02:37

"Aux discrets le tort des coups"

JR

 

Mme Tordescu,

est une de ces dames faite en fil de fer, comme les êtres sensibles seuls à la lumière d'une torche accrochée en rappel au pendant du cou savent en remarquer qui courent pour la première dans les traboules, de demeures en demeures.

Elle n'a pas toujours été secrète, tantôt elle était jeune, et criait dans les gares à la réponse des meutes auxquelles elle se fichait bien qu'on la sache appartenir. Mais un jour que les jours avaient passé qui avaient causé des torts ou des sorts entrant du lot des vies prises en appartements, en chaumières, ou prises au devant des naissances en grand nombre pour vie nouvelle, elle se trouva seule à brailler dans les lumières aveugles des cours intérieures.

Ce n'est pas une histoire triste. C'est un peu de ces basse-cours qui se prennent par la main, au détour des musicales qu'on danse comme on fait des têtes de morts-vivants pour impressionner les passionnés de passage. Un peu de ces gestes sans prétention qui font les nuages chavirer, juste un peu, dévier leur trajet dans les trajectoires en proie aux seuls vents dominants. Mme Tordescu - tordez-le moi, bon sang, ou c'est moi qui m'en chargerai ! - a passé l'âge, elle le dit sans arrêt. D'une seule traite en passant, sans signer d'accord ou de vague acquiescement dans le hochet de la tête sur ses épaules rentrées se coucher plus tôt, elle fait comme ça "J'ai passé l'âge" comme s'il s'agissait d'en prendre pour des perpétuités à chaque naufrage devant la gardienne de l'immeuble qui les fait bien, même un peu plus "Je vous les mets quand même ?" - Elle passe et elle prétend qu'elle a passé l'âge. On peut croire derrière sa subite évaporation dans les lieux communs où elle tombe sans attendre ni se causer de mal, qu'elle laisse entendre que sur ces murs, entre les lumières de ces couloirs, sur les parois visibles de toute enclave où s'emprisonnent les bruits éteints, et que dans ces cours intérieurs où ne jouent pas les enfants, ce sont là les années qui subsistent, et moisissent.

Ce n'est une histoire triste. C'est la pâle vérité que tient dans la bouche ce jaune absurde qui absorbe le son que l'on ne veut pas entendu séchant sur les cordes publiq, c''est ce linge froid et rèche qui saigne la peau au mirage des pelures de l'été qui est déjà parti, qui est déjà revenu, qu'elle n'attend pas, plus partant que revenu. C'est la lente éclosion d'un bout de femm qui se dit qu'il y a bien dans les recoins un peu de cet oxygène en pastiq qui peut endormir le bruit pour qu'on ne sache pas qu'elle passe par là, et qu'elle n'en finit plus de ne plus en finir de rien.

C'est à ça qu'on veut tordre le cou quand on le prend ferme entre les mains. Le bout de vie qui s'éteint dans l'étreinte et qui se laisse abandonner au fanion vieilli des marais verticaux de la vie prise en courant par les lueurs éléctriq des espoirs qui n'existeront toujours à ses yeux qu'un instant.
Un arrêt sur image, ce bout de temps sans composé, qui se dillue au passage de la main, si léger et prudent soit-il, si attentionnée se veuille son intention.

Une engelure dans la feuille de l'arbre cette mère qui nous épouse tous, nous aime, mais qui ne retient rien, de ces quelq échappées dans les périphéries, qui se soufflent dans le vent qu'un petit rien mettrait aux maux un terme, et au terme un sens qui en donne à la vie.

Elle ne pleure jamais Mme Tordescu. J'ai passé l'âge, qu'elle dit. Une blague, comme ce temps imparti. Facéties.

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5 mars 2011 6 05 /03 /mars /2011 03:31

Paradoxal dans ses manifestations, déconcertant dans ses signes, le moyen-âge propose à la sagacité de ses admirateurs la résolution d’un singulier contresens. Comment concilier l’inconciliable ? Comment accorder le témoignage des faits historiques avec celui des œuvres médiévales ? Les chroniqueurs nous dépeignent cette malheureuse époque sous les couleurs les plus sombres. Ce ne sont, durant plusieurs siècles, qu’invasions, guerres, famines, épidémies. Et cependant les monuments, — fidèles et sincères témoins de ces temps nébuleux, — ne portent aucune trace de tels fléaux. Bien au contraire, ils paraissent avoir été bâti dans l’enthousiasme d’une puissante inspiration d’idéal et de foi, par un peuple heureux de vivre, au sein d’une société florissante et fortement organisée.

Devons-nous douter de la véracité des récits historiques, de l’authenticité des événements qu’ils rapportent et croire, avec la sagesse des nations, que les peuples heureux n’ont pas d’histoire ? A moins que, sans réfuter en bloc toute l’Histoire, on ne préfère découvrir, en une absence relative d’incidents, la justification de l’obscurité médiévale.

Quoi qu’il en soit, ce qui demeure indéniable, c’est que tous les édifices gothiques sans exception reflètent une sérénité, une expan- sivité, une noblesse sans égale. Si l’on examine de près l’expression de la statuaire en particulier, on sera vite édifié sur le caractère paisible, sur la tranquillité pure qui émanent de ses figures. Toutes sont calmes et souriantes, avenantes et bonaces. Humanité lapidaire, silencieuse et de bonne compagnie. Les femmes ont cet embonpoint qui indique assez, chez leurs modèles, l’excellence d’une alimentation riche et substantielle. Les enfants sont joufflus, replets, épanouis. Prêtres, diacres, capucins, frères pourvoyeurs, clercs et chantres arborent une face joviale ou la plaisante silhouette de leur dignité ventrue. Leurs interprètes, — ces merveilleux et modestes tailleurs d’images, — ne nous trompent pas et ne sauraient se tromper. Ils prennent leurs types dans la vie courante, parmi le peuple qui s’agite autour d’eux et au milieu duquel ils vivent eux-mêmes. Quantité de ces figures, cueillies au hasard de la ruelle, de la taverne ou de l’école, de la sacristie ou de l’atelier, sont peut-être chargées ou par trop accusées, mais dans la note pittoresque, avec le souci du caractère, du sens gai, de la forme large. Grotesques, si l’on veut, mais grotesques joyeux et pleins d’enseignement. Satires de gens aimant à rire, boire, chanter et « mener grand’chère ». Chefs-d’œuvre d’une école réaliste, profondément humaine et sûre de sa maîtrise, consciente de ses moyens, ignorant toutefois ce qu’est la douleur, la misère, l’oppression ou l’esclavage. Cela est si vrai, que vous aurez beau fouiller, interroger la statuaire ogivale, vous ne découvrirez jamais une figure de Christ dont l’expression révèle une réelle souffrance. Vous reconnaîtrez avec nous que les latomi se sont donné une peine énorme pour doter leurs crucifiés d’une physionomie grave sans toujours y réussir. Les meilleurs, à peine émaciés, ont les paupières closes et semblent reposer. Sur nos cathédrales, les scènes du dernier Jugement montrent des démons grimaçants, contrefaits, monstrueux, plus comiques que terribles ; quant aux damnés, maudits anesthésiés, ils cuisent à petit feu, dans leur marmite, sans vain regret ni douleur véritable.

Ces images libres, viriles et saines, prouvent jusqu’à l’évidence que les artistes du moyen-âge ne connurent point le spectacle déprimant des misères humaines. Si le peuple eût souffert, si les masses eussent gémi dans l’infortune, les monuments nous en auraient gardé le souvenir. Or, nous savons que l’art, cette expression supérieure de l’humanité civilisée, ne peut se développer librement qu’à la faveur d’une paix stable et sûre. De même que la science, l’art ne saurait exercer son génie dans l’ambiance de sociétés troublées

 

Toutes les manifestations élevées de la pensée humaine en sont là ; révolutions, guerres, bouleversements leur sont funestes. Elles réclament la sécurité issue de l’ordre et de la concorde, afin de croître, de fleurir et de fructifier. D’aussi fortes raisons nous engagent à n’accepter qu’avec circonspection les événements médiévaux rapportés par l’Histoire. Et nous confessons que l’affirmation d’une « suite de calamités, de désastres, de ruines accumulées durant cent quarante-six ans » nous paraît vraiment excessive. Il y a là une anomalie inexplicable, puisque c’est, précisément, pendant cette malheureuse Guerre de Cens Ans, qui s’étend de l’an 1337 à l’an 1453, que furent construits les plus riches édifices de notre style flamboyant. C’est le point culminant, l’apogée de la forme et de la hardiesse, la phase merveilleuse où l’esprit, flamme divine, impose sa signature aux dernières créations de la pensée gothique. C’est l’époque d’achèvement des grandes basiliques ; mais on élève aussi d’autres monuments importants, collégiales ou abbatiales, de l’architecture religieuse : les abbayes de Solesmes, de Cluny, de Saint-Riquier, la Chartreuse de Dijon, Saint-Wulfran d’Abbeville, Saint-Etienne de Beauvais, etc. On voit surgir de terre de remarquables édifices civils, depuis l’Hospice de Beaune jusqu’au Palais de Justice de Rouen et l’Hôtel de ville de Compiègne ; depuis les hôtels construits un peu partout par Jacques Cœur, jusqu’au beffrois des cités libres, Béthune, Douai, Dunkerque, etc. Dans nos grandes villes, les ruelles creusent leur lit étroit sous l’agglomération des pignons encorbellés, des tourelles et des balcons, des maisons de bois sculpté, des logis de pierre aux façades délicatement ornées. Et partout, sous la sauvegarde des corporations, les métiers se développent ; partout les compagnons rivalisent d’habileté ; partout l’émulation multiplie les chefs d’œuvre. L’Université forme de brillants élèves, et sa renommée s’étend sur le vieux monde ; de célèbres docteurs, d’illustres savants répandent, propagent les bienfaits de la science et de la philosophie ; les spagyristes amassent, dans le silence du laboratoire, les matériaux qui serviront plus tard de base à notre chimie ; de grands Adeptes donnent à la vérité hermétique un nouvel essor… Quelle ardeur déployée dans toutes les branches de l’activité humaine ! Et quelle richesse, quelle fécondité, quelle foi puissante, quelle confiance en l’avenir transparaissent sous ce désir de bâtir, de créer, de chercher et de découvrir en pleine invasion, dans ce misérable pays de France soumis à la domination étrangère, et qui connaît toutes les horreurs d’une guerre interminable ! En vérité, nous ne comprenons pas… Aussi s’expliquera-t-on pourquoi notre préférence demeure acquise au moyen âge, tel que nous le révèlent les édifices gothiques, plutôt qu’à cette même époque telle que nous la décrivent les historiens.

C’est qu’il est aisé de fabriquer de toutes pièces textes et documents, vieilles chartes aux chaudes patines, parchemins et sceaux d’aspect archaïque, voire quelque somptueux livre d’heures, annoté dans ses marges, bellement enluminé de cadenas, bordures et miniatures. Montmartre livre à qui le désir, et selon le prix offert, le Rembrandt inconnu ou l’authentique Téniers. Un habile artisan du quartier des Halles façonne, avec une verve, une maîtrise étourdissantes, de petites divinités égyptiennes d’or et de bronze massifs, merveilles d’imitation que se disputent certains antiquaires. Qui ne se rappelle la tiare, si fameuse, de Saïta-phernès… La falsification, la contrefaçon sont aussi vieilles que le monde, et l’Histoire, ayant horreur du vide chronologique, a dû parfois les appeler à son secours. Un très savant jésuite du XVIIe siècle, le Père Jean Hardouin, n’a pas craint de dénoncer comme apocryphes quantité de monnaies et de médailles grecques et romaines, frappées à l’époque de la Renaissance, enfouies dans le but de « combler » de larges lacunes historiques. Anatole de Montaiglon nous apprend que Jacques de Bie publia, en 1639, un volume in- folio accompagné de planches et intitulé :Les

Familles de France, illustrées par les monuments des médailles anciennes et modernes, « qui a, dit-il, plus de médailles inventées que réelles ». Convenons que, pour fournir à l’Histoire la documentation qui lui manquait, Jacques de Bie utilisa un procédé plus rapide et plus économique que celui qui fut dénoncé par le Père Hardouin. Victor Hugo, citant les quatre Histoires de France les plus réputées vers 1830, — celles de Dupleix, de Mézeray, de Vély et du Père Daniel, — dit de cette dernière que l’auteur, « jésuite fameux par ses descriptions de batailles, a fait en vingt ans une histoire où il n’y a d’autre mérite que l’érudition, et dans laquelle le comte de  Boulainvilliers ne trouvait guère que dix mille erreurs ». On sait que Caligula fit ériger en l’an 40, près de Boulogne- sur-Mer, la tour d’Odre « pour tromper les générations sur une prétendue descente de Caligula en Grande-Bretagne ». Convertie en phare (turris ardens) par un de ses successeurs, la tour d’Odre s’effondra en 1645.

Quel historien nous fournira la raison, — superficielle ou profonde, — invoquée par les souverains d’Angleterre pour justifier la qualité et le titre de rois de France qu’ils conservèrent jusqu’au XVIIIe siècle ? Et pourtant, la monnaie anglaise de cette époque porte encore l’empreinte de telle prétention.

 

(...)

 

La combinaison des deux matières initiales, l’une volatile, l’autre fixe, donne un troisième corps, mixtionné, qui marque le premier état de la pierre des philosophes. Tel est, nous l’avons dit, le griffon, moitié aigle et moitié lion, symbole qui correspond à celui de laco r be i lle de Bacchus et du poisson de l’iconographie chrétienne. Nous devons remarquer, en effet, que le griffon porte, au lieu d’une crinière de lion ou d’un collier de plumes, une crête de nageoires de poisson. Ce détail a son importance. Car s’il est expédient de provoquer la rencontre et de dominer le combat, il faut encore découvrir le moyen de capturer la partie pure, essentielle, du corps nouvellement produit, la seule qui nous soit utile, c’est-à-dire le mercure des sages. Les poètes nous racontent que Vulcain, surprenant en adultère Mars et Vénus, s’empressa de les entourer d’un rets ou d’un filet, afin qu’ils ne pussent éviter sa vengeance. De même, les maîtres nous conseillent d’employer aussi unfi let délié ou un rets subtil, pour capter le produit au fur et à mesure de son apparition. L’artiste pêche, métaphoriquement, le poisson mystique, et laisse l’eau vide, inerte, sans âme : l’homme, en cette opération, est donc censé tuer le griffon. C’est la scène que reproduit notre bas-relief.

Si nous recherchons quelle signification secrète est attachée au mot grecγρυφ,griffon, qui a pour racineγρυποσ, c’est-à-dire avoir le bec crochu, nous trouverons un mot voisin,γριφοσ, dont l’assonance se rapproche davantage de notre mot français. Orγριφοσ exprime à la fois uneén ig me et unfilet. On voit ainsi que l’animal fabuleux contient, en son image et en son nom, l’énigme hermétique la plus ingrate à déchiffrer, celle du mercure philosophal, dont la substance, profondément cachée au corps, se prend comme le poisson dans l’eau, à l’aide d’unfi let approprié.

 


Basile Valentin, qui est d’ordinaire plus clair, ne s’est pas servi du symbole de l’ΙΧΘΥΣ chrétien, qu’il a préféré humaniser sous le nom cabalistique et mythologique d’Hypérion. C’est ainsi qu’il signale ce chevalier, en présentant les trois opérations du Grand Œuvre sous une formule énigmatique comportant trois phrases succinctes, ainsi énoncées :

« Je suis né d’Hermogène. Hypérion m’a choisi. Sans Jamsuph, je suis contraint de périr. »


A l’issue d'une réaction dont naît le griffon, lequel provient d’Hermogène, ou de la prime substance mercurielle. Hypérion, en grecΥπεριον, est le père du soleil ; c’est lui qui dégage, hors du second chaos blanc, formé par l’art et figuré par le griffon, l’âme qu’il tient enfermée, l’esprit, feu ou lumière cachée, et la porte au-dessus de lamasse, sous l’aspect d’une eau claire et limpide : Spiritus Domini ferebatur super aquas. Car la matière préparée, laquelle contient tous les éléments nécessaires à notre grand ouvrage, n’est qu’une terre fécondée où règne encore quelque confusion ; une substance qui tient en soi la lumière éparse, que l’art doit rassembler et isoler en imitant le Créateur. Cette terre, il nous faut la mortifier et la décomposer, ce qui revient à tuer le griffon et à pêcher le poisson, à séparer le feu de la terre, et le subtil de l’épais, « doucement, avec grande habileté et prudence », selon que l’enseigne Hermès en sa Table d’Emeraude.

Tel est le rôle chimique d’Hypérion. Son nom même, formé deΥπ, contraction deΥπερ,au-dessus, et deεριον, sépulcre, tombeau, lequel a  pour racineε ρα,te r re, indique ce qui monte de la terre, au-dessus du sépulcre de la matière. On peut, si l’on préfère, choisir l’étymologie par laquelleΥπεριον, dériverait deΥπερ, au-dessus, et deι ον, violette. Les deux sens ont entre eux une concordance hermétique parfaite ; mais nous ne donnons cette variante que pour éclairer les stagiaires de notre ordre, suivant en cela la parole de l’Evangile : « Prenez donc bien garde de quelle manière vous écoutez, car on donnera encore à celui qui a déjà ; et pour celui qui n’a rien, on lui ôtera même ce qu’il croit avoir. »

(...)

Sculptée au-dessus du groupe de l’homme au griffon, vous remarquerez une énorme tête grimaçante, agrémentée d’une barbe en pointe. Les joues, les oreilles, le front en sont étirés jusqu’à prendre l’aspect d’expansions flammés. Ce masque flamboyant, au rictus peu sympathique, apparaît couronné et pourvu d’appendices cornus, enrubannés, lesquels s’appuient sur la torsade du fond de corniche (pl. XII). Avec ses cornes et sa couronne, le symbole solaire prend la signification d’un véritable Baphomet, c’est-à-dire de l’image synthétique où les Initiés du Temple avaient groupé tous les éléments de la haute science et de la tradition. Figure complexe, en vérité, sous des dehors de simplicité, figure parlante, grosse d’enseignement, en dépit de son esthétique rude et primitive… si l’on y retrouve d’abord la fusion mystique desnatures de l’Œuvre que symbolisent les cornes du croissant lunaire posées sur la tête solaire, on n’est pas moins surpris de l’expression étrange, reflet d’une ardeur dévorante, que dégage cette face inhumaine, spectre du dernier jugement. Il n’est pas même jusqu’à la barbe, hiéroglyphe du faisceaux lumineux et igné projeté vers la terre, qui ne justifie quelle connaissance exacte de notre destinée le savant possédait…

Serions-nous en présence du logis de quelque affilié aux sectes d’Illuminés ou de Rose-Croix, descendants des vieux Templiers ? La théorie cyclique, parallèlement à la doctrine d’Hermès, y est si clairement exposée qu’à moins d’ignorance ou de mauvaise foi on ne saurait suspecter le savoir de notre Adepte. Pour nous, notre conviction est faite ; nous sommes certains de ne point nous tromper devant tant d’affirmations catégoriques : c’est bien unbaphomet, renouvelée de celui des Templiers, que nous avons sous les yeux. Cette image, sur laquelle on ne possède que de vagues indications ou de simples hypothèses, ne fut jamais une idole, comme certains l’ont cru, mais seulement un emblème complet des traditions secrètes de l’Ordre, employé surtout au dehors, comme paradigme ésotérique, sceau de chevalerie et signe de reconnaissance. On le reproduisit sur les bijoux, aussi bien qu’au fronton des commanderies et au tympan de leurs chapelles. Il se composait d’un triangle isocèle à sommet dirigé en bas, hiéroglyphe de l’eau, premier élément créé, selon Thalès de Milet, qui soutenait que « Dieu est cet Esprit qui a formé toutes choses de l’eau ». Un second triangle semblable, inversé par rapport au premier, mais plus petit, s’inscrivait au centre et semblait occuper l’espace réservé au nez dans la face humaine. Il symbolisait le feu, et, plus précisément, le feu enclos dans l’eau, ou l’étincelle divine, l’âme incarnée,


    la vie infuse dans la matière.

 

Sur la base inversée du grand triangle d’eau s’appuyait un signe graphique semblable à la lettre H des Latins, ou à l’ετα des Grecs, avec plus de largeur cependant, et dont la barre centrale se coupait d’un cercle médian. Ce signe, en stéganographie hermétique, indique l’esprit universel, l’Esprit créateur, Dieu. A l’intérieur du grand triangle, peu au dessus et de chaque côté du triangle de feu, on voyait à gauche le cercle lunaire à croissant inscrit, et à droite le cercle solaire à centre apparent. Ces petits cercles se trouvaient disposés à la manière des yeux. Enfin, soudée à la base du petit triangle interne, la croix posée sur le globe réalisait ainsi le double hiéroglyphe dusou fre, principe actif ; associé au mercure, principe passif et solvant de tous les métaux. Souvent, un segment plus ou moins long, situé à la pointe du triangle, se creusait de lignes à tendance verticale où le profane reconnaissait, non point l’expression du rayonnement lumineux, mais une sorte de barbiche.

 

Ainsi présenté, le baphomet affectait une forme animale grossière, imprécise, d’identification malaisée.

 

C’est ce qui expliquerait sans doute la diversité des descriptions qu’on en a faites, et dans lesquelles  on voit le baphomet comme une tête de mort auréolée, ou un bucrane, parfois une tête d’Hapi égyptien, de bouc, et, mieux encore, la face horrifiante de Satan en personne ! Simples impressions, fort éloignées de la réalité, mais images si peu orthodoxes qu’elles ont, hélas ! contribué à répandre, sur les savants chevaliers du Temple, l’accusation de démonologie et de sorcellerie dont on fit l’une des bases de leur procès, l’un des motifs de leur condamnation. Nous venons de voir ce qu’était le baphomet ; il nous faut maintenant chercher à en dégager le sens caché derrière cette dénomination. Dans l’expression hermétique pure, correspondant au travail de l’Œuvre, Baphomet vient des racines grecquesΒ αφευ σ,te in tu ri e r, etµ εσ, mis pour µεν, la lune ; à moins qu’on ne veuille s’adresser àµετερ, génitifµετροσ, mère ou atrice, ce qui revient au même sens lunaire,

puisque la lune est véritablement la mère ou la matrice mercurielle qui reçoit lateinture ou semence du soufre, représentant le mâle, le teinturier, —Βαφευσ, — dans la génération métallique.Βαφε à le sens d’immersion et de teinture.

 

Et l’on peut dire, sans trop divulguer, que le soufre, père et teinturier de la pierre, féconde la lune mercurielle parimmersion, ce qui nous ramène au baptême symbolique de Mété exprimé encore par le mot baphomet. Celui-ci apparaît donc bien comme l’hiéroglyphe complet de la science, figurée ailleurs dans la personnalité du dieu Pan, image mythique de la nature en pleine activité. Le mot Bapheus, teinturier, et le verbemeto, cueillir, moissonner, signalent également cette vertu spéciale que possède le mercure ou lune des sages, de capter, au fur et à mesure de son émission, et cela pendant l’immersion ou lebain du roi, la teinture qu’il abandonne et que la mère conservera dans son sein durant le temps requis. C’est là le Graal, qui contient levi n eucharistique, liqueur de feu spirituel, liqueur végétative, vivante et vivifiante introduite dans les choses matérielles. Quant à l’origine de l’Ordre, à sa filiation, aux connaissances et aux croyances des Templiers, nous ne pouvons faire mieux que citer textuellement un fragment de l’étude que Pierre Dujols, l’érudit et savant philosophe, consacre aux frères chevaliers dans sa Bibliographie des Sciences occultes.


« Les frères du Temple, dit l’auteur, — on ne saurait plus soutenir la négative, — furent vraiment affiliés au Manichéisme. Du reste, la thèse du baron Hammer est conforme à cette opinion. Pour lui, les sectateurs de Mardeck, les Ismaéliens, les Albigeois, les Templiers, les Francs-maçons, les Illuminés, etc., sont tributaires d’une même tradition secrète émanée de cette Maison de la Sagesse (Dar-el-hickmet), fondée au Caire vers le XIe siècle, par Hackem. L’académicien allemand Nicolaï conclut dans un sens analogue et ajoute que le fameux baphomet, qu’il fait venir du grecΒαφοµ ετοσ, était un symbole pythagoricien. Nous ne nous attarderons point aux opinions divergeantes de Anton, Herder, Munter, etc., mais nous nous arrêterons un instant à l’étymologie du motbaphomet. L’idée de Nicolaï est recevable si l’on admet, avec Hammer, cette légère variante :  Βαφε Μετεοσ, qu’on pourrait traduire par baptême de Mété.

On a constaté, justement, un rite de ce nom chez les Ophites.

En effet, Mété était une divinité androgyne figurant la Nature naturante. Proclus dit textuellement que Métis, nommé encoreΕριχαρπαιοσ, ou Natura germinans, était le dieu hermaphrodite des adorateurs du Serpent.

 

On sait aussi que les Hellènes désignaient, par le mot Métis, la Prudence vénérée comme épouse de Jupiter. En somme, cette discussion philologique avère de manière incontestable que le Baphomet était l’expression païenne de Pan. Or, comme les Templiers, les Ophites avaient deux baptêmes : l’un, celui de l’eau, ou exotérique ; l’autre, ésotérique, celui de l’esprit ou du feu. Ce dernier s’appelait le baptême de Mété. Saint Justin et saint Irénée le nommaient l’illumination. C’est le baptême de la Lumière des Francs-maçons. Cette purification, — le mot est ici vraiment topique, — se trouve indiquée sur une des idoles gnostiques découvertes par M. De Hammer, et dont il a donné le dessin. Elle tient dans son giron, — remarquez bien le geste : il parle, — un bassin plein de feu. Ce fait, qui aurait dû frapper le savant teuton, et avec lui tous les symbolistes, ne semble leur avoir rien dit. C’est pourtant cette allégorie que le fameux mythe duGraal tire son origine. Justement, l’érudit baron  disserte avec abondance sur ce vase mystérieux, dont on recherche encore l’exacte signification. Nul n’ignore que, dans  l’ancienne légende germanique, Titurel élève un temple au Saint-Graal, à Montsalvat, et en confie la garde à douze chevaliers Templiers. M. De Hammer veut y voir le symbole de la Sagesse gnostique, conclusion bien vague après avoir brûlé si  longtemps. Qu’on nous pardonne si nous osons suggérer un autre point de vue. Le Graal, — qui s’en doute aujourd’hui ? — est le mystère le plus élevé de la Chevalerie mystique et de la Maçonnerie qui en dégénère ; il est le voile du Feu créateur, le Deus absconditus dans le mot INRI, gravé au dessus de la tête de Jésus en croix. Quand Titurel édifie son temple mystique, c’est pour y allumer le feu sacré des Vestales, des Mazdéens et même des Hébreux, car les juifs entretenaient un feu  perpétuel dans le temple de Jérusalem. Les douze Custodes rappellent les douze signes du Zodiaque que parcourt  annuellement le soleil, type du feu vivant. Le vase de l’idole du baron de Hammer est identique au vase pyrogène des Parses, qu’on représente plein de flammes. Les Egyptiens possédaient aussi cet attribut : Sérapis est souvent figuré avec, sur sa tête, le même objet, nommé Gardal sur les bords du Nil. C’était dans ce Gardal que les prêtres conservaient le feu matériel, comme les prêtresses y conservaient le feu céleste de Phtah. Pour les Initiés d’Isis, le Gardal était l’hiéroglyphe du feu divin. Or, ce dieu Feu, ce dieu Amour s’incarne éternellement en chaque être, puisque tout, dans l’univers, a son étincelle vitale. C’est l’Agneau immolé depuis le commencement du monde, que l’église catholique offre à ses fidèles sous les espèces de l’Eucharistie enclose dans le ciboire, comme le Sacrement d’Amour. Le ciboire, — honni soit qui mal y pense ! — aussi bien que le Graal et les cratères sacrés de toutes les religions, représente l’organe féminin de la génération, et correspond au vase cosmogonique de Platon, à la coupe d’Hermès et de Salomon, à l’urne des anciens mystères. LeGardal des Egyptiens est donc la clef du Graal. C’est, en somme, le même mot. En effet, de déformation en déformation, Gardal est devenu Gradal, puis, avec une sorte d’aspiration, Graal.

 

Le sang qui bouillonne dans le saint calice est la fermentation ignée de la vie ou de la mixtion génératrice. Nous ne pourrions que déplorer l’aveuglement de ceux qui s’obstineraient à ne voir dans ce symbole, dépouillé de ses voiles jusqu’à la nudité, qu’une profanation du divin. Le Pain et le Vin du Sacrifice mystique, c’est l’esprit ou le feu dans la matière, qui, par leur union, produisent la vie. Voilà pourquoi les manuels initiatiques chrétiens, appelés Evangiles, font dire allégoriquement au Christ : Je suis la Vie ; je suis le Pain vivant ; je suis venu mettre le feu dans les choses, et l’enveloppent dans le doux signe exotérique de l’aliment par excellence. »

 

"Chacun est libre de prendre ce qu'il veut,

Moi je prends du tétractys."

FULCANELLI

 

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10 septembre 2010 5 10 /09 /septembre /2010 08:57

 

"Yanis, tout le monde connait Yanis ?, il nous rejoint dans quelques jours.

_Je ne suis pas sure de vouloir entendre parler de ce Yanis. Un fougueux inconséquent. Il n'a pas la tete sur les épaules.

_Mais il a un grand talent.

_C'est Yanis quoi...

_Les deux pierres de Croatie.

_On a la enfin l'opportunité de fondre les deux groupes de recherche.

_Les Artistes unis de SPLIT & DUBROVNIK, je vois déja l'affiche...

_La Nouvelle Factory ..."

 

 

La Tubéreuse

 

Yanis avait consacré deux pleines années de sa vie sur les traces du Couple Rose. Henri ROSSO, de son véritable nom, avait brouillé les pistes qui permettaient aux ROSSO de le retrouver.

Ayant fui un matin d'avril 2oo1 le domaine familial de la Beauce avec la femme de son pere, Carina - encore une plante, superbe celle-ci - La Tubéreuse, surnom sous lequel il eut été vain de tenter de dissimuler ses exploits bruyants, laissait en revanche aux quatre coins de l'Europe, les traces rémanentes de son passage.

Lorsque Yanis s'est lancé a sa recherche, contacté un autre matin d'avril, 6 années plus tard, par une agence de transmission de biens cher payée, et sans avoir immédiatement compris pourquoi lui, il a presque instantanément et par hasard, trouvé le nom de Rose sous lequel s'était couverte la nouvelle identité du couple.

Ils s'étaient d'abord installés a Venise, ou il ne mit pas plus d'un mois a trouver leur appartement...Un mois, parce qu'il avait fallu ce temps nécessairement, a vraiment le décider a s'engager dans un périple de ce genre. Ce n'était pas joué d'avance. Il avait d'abord cru a une erreur, et il aurait refusé catégoriquement s'il n'y avait pas eu une intrigue au sujet de son mystérieux correspondant... S'il ne pouvait évidemment dire par quelle obscure raison cette personne s'était intéressé a lui, il ne s'en sentait pourtant pas le moins du monde effrayé. Et devinait meme quelque opportune maniere qu'ont parfois les choses e se présenter sans annoncer d'emblée toutes les couleurs de leurs saisons.

 Il avait finalement accepté, et il le devait a Mathilde - encore Mathilde, maudite Mathilde, puisque te v'la. Son avis comptait plus que l'instinct décisif qui lui faisait croire en elle et en beaucoup d'autres choses, toujours toutes avérées, son avis comptait plus que tout d'ailleurs.

"Mais si tu ne sais meme pas qui est ce bonhomme...

_Je te l'ai dit, je pense que c'est quelqu'un que j'ai connu par le passé. C'est en tout cas bien a moi, Yanis Mnoumoudémé, qu'il s'adresse, et a personne d'autre. Je suis bien le seul a porter ce nom, a avoir en plus grandi au Vert des Maisons, et dont la soeur s'appelle Vanelle... Qu'est-ce que je peux te dire, c'est étrange, mais dépassé cet aspect... C'est sur le fond que je voudrais ton point de vue.

_J'ai les mirettes un peu fermées sur ton affaire, la. C'est pas que je le sente pas, mais ... Bon, sur le fond comme tu dis, bien, si ca t'amuse, si tu penses que ca va re réussir, si tu ne crains pas que ca te cause des ennuis, fonce. Moi je m'occupe de la boutique.

_Je ne dis pas que ca sera un jeu d'enfant. Au contraire, c'est cet aspect palpitant qui motive mon départ. Et pour tout te dire, je suis déja a Montpellier, et je m'apprete a rencontrer une femme dont j'ai trouvé des photos sur internet ou elle pose avec lui, il y a cette légende "M. & Mme Rose au mariage des Baia." C'est confirmé, mon instinct ne me trompera pas cette fois.

_Si tu as le moindre doute, fais demi-tour... Tu ne sais pas pourquoi ce type a changé de vie, pourquoi il a changé de nom, meme ce pourquoi on le cherche, ca peut etre une facade cette agence, et la transmission de biens, un prétext... Enfin, Yanis, tu n'es pas détective, tu ne l'as jamais été...

_Justement... C'est ce qui me fait deviner un peu, l'identité de mon correspondant...

_Si tu ne me dis pas tout, évidemment..."

 

Le cinema de Guy Maddin

 

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6 septembre 2010 1 06 /09 /septembre /2010 11:29

La récurrence, rance, hautement récurante meme, des lignes concourantes ~

Inhérentes aux occurences memes, des cuisses denses et rangés,

Me ramene, en ramant, au rame marrant d'arrivantes arrimées,

Qui viennent se faire au curé, réctifier les rictus écopés au rectum,

Du coupable de leur coup de coeur, en lui coupant les cables ~

Du cou, qui cuit, accablant du coup l'accabit d'incapables accusés

qui cousent encore en choeur du cuir au coin d'une table ~

 

Enlacées, lasses, salaces, salées comme leur essaim,

elles se prélassent a ses lacets a son salon en s'allongeant

et lisent en liasse les saillants essais des assises

sur leur singe assigné, assiégé par les sages en liesse.

Et assises au lit les aisselles salies dans la lie des saillies,

sans laisser de s'enliser comme Alice aussi loin, au lasso

sont des saintes au sein si pret, si loin du lien au lait ~ des mers

Les femmes affamées émasculent l'homme affable. ~

La faiblesse diaphane de sa si belle bouille pour cible.

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6 septembre 2010 1 06 /09 /septembre /2010 09:02

"Que fetez-vous ?

_Ce qu'on fait ? On boit.

_Non, vous fetez quoi ?

_On fete.... les faits !

_L'effet de quoi ?

_Les faits, le concret. Au concret !

_Tchin !

_C'est pourquoi vous faites la chasse au faîte des songes abstraits.

_Oui, que des faits ce matin, qui relatent des bonnes histoires.

_Au fait ?

_Oui ?

_Vous avez de l'humour ?

_bof, ouais, vite-fait.

_Oui, non rien en fait.

_T'aurais mieux fait de te casser."

 

"Tiens, je l'ai trouvé différent non ?

_Apres un différend, il s'est fait déferrer,sans différé.

_Il est moins indifférent peut-etre c'est pas un mal ...

_Pire c'est un enfer, maintenant plus il infere, moins il a fers. Il est déchainé.

_Plus inconséquent, oui. Il peut pas faire plus ? Il est Lefebvrist, il est fébrile, rien a faire, ca le fait pas.

_En référé, il pourrait se référer aux autres. Pour bien faire. Mais il a eu déja trop a faire de ca ...

_Ca confere de l'aférence a ses affaires, remarque, qui prennent de circonférence, je préfere ca.

_C'est surfait ! Et éphémere. S'il fait pas mieux, il aura aussi affaire a moi.

_Ca le fait briller. "La vertu a perdu de son prix pour celui qui se surfait celui de la vie."

_Faut déja le faire !

_Va te faire foutre.

_Déja fait. 

_Tu l'as dit.

_Déja dit. 

_Tu fais chier, casse-toi."


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10 juillet 2010 6 10 /07 /juillet /2010 09:39

 

#1 : Des Sous-Alimentés les carences en magnésium

 

"DANS L'ARC !~

_Nan Goeroges, souper chaud, j'ai la fille en d'eaux ~ Laisse temps d'ou table, en part-coing, et fais le thon qu'a tourner l'ongle d'arcs-quoi.

_Dans l'arc j't'ai dit, j'en déménagerai qu'au temps qu'reste. Y a pas de gout ta soit-disant nouveaute-au-croustillant-doré-dessus-et-tendre-fromage-dessous-c'est-la-chevre, j'en lancerai plus, seulement a la famille !~

_Elle a bon dos, La Famille !, a qui tu mets de l'itallyq quand tu t'emportes, si t'avais des fleches, et un peu de gout, tu lui dirais du feu, comme elle le vaut ! T'es pas qu'au monde, y a encore moi ~

_Que vaut quoi ?? AH-AH-AH ! Vaut que mes fleches, de l'arc j'te dis, fous le camp, Gargouill" !~

_Si tu t'y mettais un peu on serait sur le toit, qu'au plancher ~

_On est bien la, le plancher sent bon, le toit, sous des dehors impeccables, c'est la mouise qui te supplante, tu te laisses pietiner, tu te laissses mouiller l'oeil, mais c'est du them-au-meme ~

_Fais moi l'thon, je te dis, et que je sursaute, je veux pas revenir et le temps deja la, a moisir comme tout sous ce plancher-termitte [TM] ~

_Fous l'camp, ou c'est moi !

_Toi quoi ? Qui fous le camp ? Mes yeux oui ? Tu peux pas tourner l'ongle sans tout gacher, qu'est-ce t'irais foutre la-bas-d'dans, t'as qu'y faire ?

_J'ai qu'y faire, ouais, crois-moi, tu serais surprise, louloutte d'or.

_De La Famille, aux fleches, de l'arceau sans mon bon thon, et t'as l'temps qu'il te fallait, c'est quoi cette fois ? Tu conjures tout, y a la place a personne.

 

_La suivante, deja, désole-moi, ca me nuit, Contre-Quoi, je peux pas le faire de grand'chose, l'empiette, ca grignotte, devorant, hannetant, ce coquetant, et meme ! ~ aneté !

_*FAIS LA FILLE, JE FAIS LA BETE ~

 

_CA SUR, JE TE FAIS CONFIANCE ...Mais lache-moi le thon, gigotte" [Plus Phébusiens tu meurs]

 

 

 

#2 : Absorbés des spermes facilement stériles

_Spongieux, t'as qu'a remettre l'épicéa devant le trone, qu'on accede au frigo sans frire les facons de la plongée.

_Tu deviens grasse, les coucheries de sa majestée ont depuis long évacué ses lices sous roses en poulies

_Tu sais pas ? Jetée d'opprobre ! ~

_Mais son long, avec Goeroges, qui nous en passent l'été sous les haies, d'ici on parle, tout s'est vu en long-oeil.

_Sous tes rires, dis-toi sous tes rires, elle a mangé l'orbe en herbe Shiva ?

_Toute l'Orbe, des lisses aux creuses, elle l'a la, la manie des palliers, sous tes rires elle fait des bulles en tiers pavassés, des qu'on saule, s'agitent sous son coup, l'espace d'un putain-d'orgasm-sonore

_Sybillinne, me refais des vécus au trous des tetes, j'ai la caille sous l'chou, tu me déversera pas, alors ?

_Toute l'orbe j't'ai dit, son postier s'est fait pince en l'entrée, comme il veut, entre et sort, elle jouit des plus belles, en dormant sous la capuche. Son saule, ma seule Goeroges a tout dégloutissant dévallé des pentes en joute, s'en a vrillé un fait de béquille ! ~

_Sous le saule, ma Biche ! ~

_Et les Phébusiens répandent, on a des perles a mettre au ventre, les sous-planchers d'odeurs a vendre, ma Félicie.

_J'en fais des Temps, ma table a séché, veux-tu en lécher le pourtour !

_Jambe-moi dans le paillasson, Trouble-Fait, jambe-le en tiers qu'y lorgne les lamelles assez dodues ~

_Doryphore ! Et qu'a la voluptueuse clareté de la création de l'amphigouri social qui nous leve la croupe nous allions a des lustres nous repaitre du sort en échangeant des prunes au bal ~

_Félicie, mon Doré d'Ecailles molles, t'as le poisson dans la hanche, j'ai tout tablé dans tes spermicides, on va en faire, des épreuves aux acides négatifs, ton balancé aurait des ombres aux lacs, j'ai garni son blason.

_Gougeat !

_Ma louloutte d'or, t'as en remettre l'idée fausse, t'as en faire, noiraude, teint mat a Guri.

 

Casseroles confiantes

 

#3 : Des Phélochiens-sous-haies, sous l'eau-de-Soleil (Scene a trappes)

_Silence creux

_Ma Dupée, silence creux, d'ou tu tires les machés d'Orbe, j'envoie l'hetre au monde sous tes fibules en crosses maniées.

_Roseaux-aux-derches, fais pas, j'ai fabriqué l'oie en soutenant ta poule d'ongles

_Fis, j'envoie l'hetre au monde, mon orgasm est buché ! ~ Fis, j'ai l'ombre en rivieres, fis, je l'accompagne en ahurissante, fis, ma fievre a le son germé, fis matin, fis matin ! ~

_Fais pas, j'ai vomi d'une perle au glacier sans dalles vertes, les nuages frottes aux derches, fais pas, j'ai dupée, toi, utile aux fronts qu'orbe fait pondre sans le spermicide, bouilloire !~

_Bouilloire, mais combien ?

_Sans négocié, mon tout lieu d'as a vécu l'image au balcon, poutre con !~

_Fis !~ je jouis !~ fis, buche au rond, goulotte-moi en l'haye, j'ai la phrase symphonique, verbe haut et la grace moderne !~

_Pied. Sans nécocier, fais table au temps, sa derniere sauce avait les teints d'opprobre, nous devrions nous coucher, le temps qu'aient passé le flot & la montagne en lie.

_Combien !? Sous quoi, dans ma chasteté murée, la table aura du long comme un vertueux souper, franges aux laits montés frais, si tu faillissais que planter, l'orbe serait poussée, haie haute nous couchés, mes murs en frasque devant le Roi, ma plus courte scene d'orgasm, j'ai la parole aux nues des cous, la perle vaste m'encourage a t'utiliser mais fis, l'ombre en rivieres m'octroye le don, j'ai mouillé, serpiere ~

_Chut, je troue qu'on longe. Moitie, vise.

(elle se baisse et il pose sa main sur sa bouche)

_Rez-chaussée, j'ai trempé ma maigre culotte.

 

# 4 : mes cucs ont soifs aux conseils levés

(Scene visuelle sans paroles)

 

 

# 5 : médecins de garde ~

_On a mangé du ressort en trombes

_Hais ! Son long s'en est filé les bouchons en lorgnant les bénis, ma trompe en gage : elle revient d'outre-table

_Fis, quel tracas gorge a voulu bouillir sans le miroir les sarcophages d'on-facre, si ce dévolu s'était envoyé en l'air avec ma fille !~

_Elle a couché ses lieux en l'herbe, ce dans l'exploit du foulé, géants défenestrés de la vigne, si l'on scie sous succube son échasse en sceptiq, c'en soit fi d'excuser ma bonne humble, mon doux Roy, la fille est trépassée, je lui courrais assise les nattes en pelotons dévariés ~

_Soucoupe fraiche, destitue-toi, mets tes bas sous ton Roy, la courbette en double j'ai les aspects dans l'Azteq toujours méritants, fais des pompes a la Princiere, jamais t'y égareras le don du doigt !~

_Loing mon long, bon Roy, j'ai senti l'intacte au serf, d'ailleurs je la trouve a des ouates molles de la désuétude, j'ai senti l'intacte dans le trou du ventre, ma charité, sans me sauver, j'ai senti l'intacte dans mon trou, sans me sauver, l'onde amere dissipée de vos tranches, sous couvert, mes Temps pour vous soulever. Votre Princiere fait des coups, ma lourde gourde jaquete, mais dans les mains, mes éleves soulevent les dents d'une uniq vague aux marais des trompés ~

_Fis, les pompes et mon corps te tombe au froc. Mais dans l'ennui des villages d'ou court ta salopette et vos nombreux éleves, glane grappes de vices aux mouvances du tiers d'age, et je donne le thon a tes blanches tetes devant le marais que tu prénommes.

_Sombre fete, Loi Moy, Roy, pompes sentie, intacte ma femelle aux fréquentée, la nuit aura dos lisse, j'ai une élevée d'éleves en tiers d'age, mes yeux mouilles chassent l'ombilical du saugrenu, l'outre-marais sera torché, mes trombes font l'alcove en lieu, et ma truelle sait fermer l'haye. Elle aura son lion dans le cou, ma crete pique toute votre Bonté, Loi Moy Roy ~   (il a eu vachement peur quand meme)

 

# 6 : A l'entrée du débat ~

(Un panneau dit "Terrain glissant toute l'année". Ils se sont séparés silencieusement. On leur a dit de source anonyme que l'homm viendrait en premier. Vers l'heure qu'il est quand le paysan Goeroges rentrerait fatigué, sa pelle sur le dos avec les quelques rondins que sa femme lui aura demandé de voler. Ils esperent appréhender l'homm dans cet interstice, il faut, consigne a été claire, que la fille croie qu'il n'est pas venu. On a exposé quelques théories : 3c Café-Cloppes-Caca. Le général a acquiscé. Puis les 3p Partant-Préssé-Pipi. La encore, étant d'accord il a organisé ses troupes comme suit :)

morceau trouvé (pas vraiment choisi) ~

 

_Glisse-toi dans la felée, glisse-moi la seul, j'entre qu'on voit le clair de ta lune.

(il rit, et se retient immédiatement. Le chef de brigade houspille - sa vie est en jeu)

_Jallonez vos tribus, courbes poetes, mon ventre sous sangle a vue sur l'arete.

(l'autre rit encore. approche Goeroges, las comme prévu. Il sifflotte :)

"Dompté des sillons des trouvées crues dans la bévue, dompté des blasons, ma vue tremble et le coq en fait don"

(Comme il croit avoir entendu des rires, il s'interrompt : )

"Dans ma liasse, marche irruptive de doudou, comblé brin le clin, souffre si j'ai dans le couvert un fascinante illusion qu'on court les lampions d'un point de fait en forge." (plus rien, il reprend :)

"Dompté des sillons, ah non, dégluti en sceaux (il s'arrete, puis :)

"Dompté des blasons, ma vue a fait des ronds grillés au ... THON !"

Il l'a piégé. Le pauvre soldat d'infanterie en embuscade dans les haies qui tentait tant bien que mal de se retenir, a finalement explosé de rire. Goeroges est réputé charmeur des mots, et, s'il connait par coeur les paroles de ses classiques grivoix, il a volontairement placé au moment - voyez vous-memes - le plus incongru, un mot qui ne manque pas de surprendre.

Le chef de l'embuscade se retient de lui casser le bras, et, apres lui avoir dit d'improviser, le pousse hors de la haie.
 Il jaillit de la bordure du chemin, Goeroges sursaute. Finalement plus bete que quiconque l'eut imaginé, il allait reprendre sa marche, et peut-etre continué a chasser dans le vent les rires imaginaires de sa caboche cassée.

"Eh... Fanfaron des truelles, le thon des chants qui fracasse, gesticulé des pompes, j'ai failli dans le lain des combles, tu partirais a me méler un balcon dans le rire si j'ai de l'espace dans le riz qui fait des bonds (il lui pointe la direction. l'autre qui n'est pas autrement étonné, lui fait signe que oui, et le regarde suivre sa route. Le chef qui croyait que tout était raté a cause de sa tres mauvais improvisation, n'en croyant pas ses yeux, éclatte de rires a son tour. Goeroges, content que les rires continuent, reprend, amusé de ce jeu de la tombée de la nuit : )

"Dompté des calecons qui regorgent en Goeroges ... (rien, triste, il reprend : )

"Un lundi matin, l'empereur, sa femme et le petit prince, son tvenus chez moi pour me serrer la pince. Mais comme j'étais parti-ti-ti, le petit prince a dit-dit-dit Puisque c'est ainsi ... (rien, triste, il se casse).

Les autres ont rien compris. On dit Chut, quelqu'un vient.

 

# 7 : Dans le débat des francs-macons ~

INTERLUDE Scene d'action sans paroles

 

 

Accents du monde ~

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6 juillet 2010 2 06 /07 /juillet /2010 22:40

 

Sous-titre : ADAGE

 

S'il y avait un fil conducteur qui nous levite

ou evite a tout un chacun de se pendre a ces petites choses molles

ca se saurait non seulement, mais encore aurait-on l'adage sous la peau

a la naissance peut-etre.

 

S'agit de tirer une carte.

Vous etes Homme Femme Enfant Fidele Impatient Maudit Riche

Mon Mari ma Femme mon Fils ma Fille ma Belle-mere mon Grand-Pere

ne un 1er 2 3 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 18 19 20 21 23 24 25 26 27 28 29 30 31

janvier mars mai juin juillet aout septembre novembre decembre

2010 2009 2006 2005 2004 2002 2000 1999 1998 1997 1996 1995 1994 1993 1992 1991 1990 1989 1889 1988 1987 1986 1986 1985 1984 1983 1982 (ainsi que dans le calendrier Azteque, il y a une limite a toute blague)

 

Je veux savoir si il si elle si ils si elles si nous si je suis est sont sommes arrive arrives concluerons enceinte me trompe s'est retrouvee avons eu des enfants ensemble sont partis de la maison arriver tard au logie pourquoi enfin pourquoi pas depuis quand ou pourquoi enfin pourquoi pas ils sont partis j'ai faim je ne veux pas les voir

 

Il s'agit de ne pas la retourner tout de suite

Choisissez :

REINE IVRESSE TENDRE EMUS FATIGUES GASTRONOMIQUE HERBE RENNE Hypocampe COUILLES Blason ou TABLE-BASSE

Puis retenez.

 

Les camps de reine assise

A quand troublee des tempes

aux rennes denses

a tout le mobilier necessaire

a tout le necessaire immobilier

retenez encore.

 

Les temples aux reines

assises a table

ont tout le necessaire.

 

Aux temples des reines a l'assise necessaire

les tables ont tout d'une danse pour mobile.

 

Dense, Reine, Immobile,

Dansez, Reines aux Temples

Qu'on a aux tempes, aux reins.

 

Qu'on ait aux temps, pot de reine,

le necessaire pour pleurer a table basse

avant l'heure du diner.

 

Dense, Reine, tremble aux Tables

Tasse et Table enfin, que diable ! ~

un peu ce sol agnostique,

Indecisez-nous, qu'on ne sache plus a quoi avons l'affaire

d'un diner aux pleurs des basses assises.

 

Inconfortable.

 

7 juillet, vous etes ne sous les incantations d'une amie a moi

et le ciel vous le revaudra.

Il y a dans les reines rennes renes qui vous (e)conduisent d'un point G a un H, ou d'un a a un autre, plus loin,

les mille buches qui font des bons feux de vos paille quand vous n'y etes pas.

Vous n'y etes pas du tout, laissons ce chapitre.

Quand vous prenez le bien pour un mal acquis, ou le contraire,

vous avez le droit dde vous tromper,

il suffit de rectifier un tir

pour aller par la gauche, ou les embouteillages de rouge, et de jaune des Vosges paille toujours pas

se sont desengorges buvez-en deux ou trois le temps que ceci passe, puis passez.

 

Mettez le clignotant a gauche, et retenez.

Tirez une carte.

2 : TAROT MULTIJOUEUR

Apres branche votre console a un televiseur 3d multiscreen, et downloade l'upgrade qui vous premet de passer en mode multi, verifiez que vous etes toujours connecte, sinon relisez.

Tirez au hasard : rien ne se passe, c'est un numero de tarologie virtuelle.

Mise en garde : en tarologie classique, echappez a cette etape, de sorte a prendre les raccourcis qui vous tireront quant a eux, de votre sort, pour vous acheminer plus vite des memes points O a P sans passer par ailleurs. On appelle ca la teleportation. Il n'y a pas de danger, mais si ce n'est pas le trajet que vous vouliezemprunter, contacter directement le service contentieux, qui vous remboursera la difference (une lettre en moins, et vous pourriez cependant ne plus ressembler a rien. Notamment si vous etes Emile > C'est toi, Emile ? <

 

3 : DANTE.

Franchissez le fleuve terrible appele le STYX, mais n'allez pas jusqu'a TARTARE, dont on dit beaucoup de mal, notamment en ete, ou la traversee est reputee chaude, et meme un peu mortelle sur les bords surtout.

Trouvez Virgil. S'il n'y est pas, revenez plus tard.

Trouvez Beatrice. Virgil vous en sera mille fois reconnaissant.

Retournez en fin de journee sous l'arbre ou vous etiez entres.

La, reveillez-vous aussi calmement que possible, tachez de ne pas faire de pas brusque : les Lionne, Tigre, Serpent, et Mule (d'ou elle vient celle-la, c'est la version la plus recente) sont toujours en embusquade, prets a bondir.

Vous avez perdu votre sang-froid ? Egorgez une de ces betes (la moins feroce), elles en regorgent. Buvez. Deux ou trois gorgees seulement, juste assez pour en retrouver.

 

4 : TOROLOGIE

Reines assises aux temples modes ternes

Tables assises au coup d'un sein

Cou tordu portee de six

La torologie n'est pas un sport exact

Hallucinoge ou lance a pleine vitesse dans le sens du poil

avec pour aiguille sur la tete, celle de la semaine passee, volee au toreador imprudent

Le nombre 7 vous portera sur son dos, le bonheur d'une sortie en vie - c'est une belle reussite, ne baissez pas la tete ainsi

La defaite conciste avant tout d'etre droit quand passe le train.

Le premier sourcil qui a pousse dans la profondeur sans fond d'une main de marin soucieux de trouver le temps d'aller vivre en societe, est celui de droite.

Il a coupe deux voiles de l'etoffe de sa femme et en a fait un enfant, a qui il a donne les atouts necessaire pour reussir, ou lui avai echoue.

Comble pour un marin, remarquez sans rire.

Marquez une pause, redemarer, et si ca rigole trop, partez en levant la tete quand passe le train.

Les Reines aux champs sont des petites roues qu'une bicyclette 18e a abandonnees a la decheance

Les meres de ces phenomenes independants dit-on de toute volonte

sont la preuve de la lache attitude qu'adoptent en revanche volontiers

ceux qui ont fait la preuve, sans passer d'epreuve.

Un fleuve est un petit morceau de chaussure sans rainures,

a quoi le sol d'argile a attribue l'honneur de quelques experiences palpitantes.

Pietinements de votre tente par un troupeau de taureaux mis au parfum

Vous retrouvez le soir-meme quelque trace de cette irruption bien-odorante,

profitez de l'instant comme si c'etait le dernier, et gardez la tete haute, le train passe.

 

En deux temps, il y a trois mouvements,

vous avez remarque ca depuis longtemps, et decidez un jour d'en tirer profit.

Bien, mais quel bout prendre, pour chopper ce fil qui passe trop vite, toujours ?

TOROMACHIE : un animal aile dans une bulle microbienne a peu de chance de survivre en societe.

Ce n'est pas  a prouver, comme quoi tout ne l'est pas.

D'ailleurs tout est quoi, a partir de la ?

 

Lorsque le deuxieme mouvement passe, prenez garde, le troisieme est proche.

Le troisieme est bien plus que proche maintenant, il est la.

Deuxieme temps pour celui qui n'en a pas eu assez pour accomplir un origami complet.

 

Passez a l'etape Patience : recommencez.

La patience est amie de qui ? On la demande a l'accueil.

Elle a perdu toute racine, toute origine, veuve, orpheline, elle n'a meme plus de passe-droit.

 

EPREUVE DU FEU

A l'epreuve du feu, et a toute epreuve meme, il y a un outil tres bien vendu

la publicite l'annonce comme indestructible, insumersible, inimaginable, et meme

INDIVISIBLE (!)... Il faut peu croire les spots publicitaires, meme quand on a deux jours un 5 juillet.

 

En deux temps, trois mouvements, il y a deux jours, on est le 5 juillet.

Est-ce la, l'objet de convoitise, Reines assises.

Les rebelles endiables, tetus comme les mules d'un chemin long et sinueux au milieu de notre vie

ont relache prise, prise est lache, un poisson comme ca, le marin vous le dira, ca ne se mange pas.

Relachez-le, il vous le revaudra plutot deux fois qu'un.

 

Gagner un jour, par jour.

Mieux que les investissements SICAV, il y a de quoi faire avec un jour bonus.

Refaire votre vie, parallele. Allez autant que possible vers l'a sans qui paris seraient pris bettement

Prenez des tangentes des que vous en voyez, vous etes le nez sous un cygne

et il vous vaut bien.

 

Un jour gagne vaut bien un jour investi, 

la preuve par huit : il n'y a pas de jour perdu dans une semaine entiere

mais bien un jour gagne par jour (deja sept fois rentable)

huitieme : on sort d'un jour gagne par le meme cohue d'un jour de solde sans conges,

Il y a pourtant un coucher de soleil en commun, a la clef. En fermant une porte sur un jour, on porte la ferme du deuxieme gratuit.

 

Bon, allez utiliser tous vos coupons reduction, c'est votre jour de chance.

 

 

IEM, en attendant

 

 

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3 juillet 2010 6 03 /07 /juillet /2010 17:53

Il a fallu que je lévite une heure

levée sur les autres,

la du haut des toits

en autant que possible

gardant sur moi les yeux d'un désespoir massif

coulé aux ombres lourdes extraites

des meilleures pages de sa vie

je l'ai rencontrée malgré moi

en attendant toute autres

je l'ai rencontrée malgré moi

étendue en chemins des airs

comme conquise d  éja l' étayait,

l' était l' été passée par la,

plus tot avant le jour

elle a gardé d'elle cette mémoire seule

qu'elle n'était pas au monde

no encore no jamais,

no pres, no pressée d'y etre,

d'y arriver.

Elle n'existait déja pas,

elle le dit,

je n'existe en rien, pas en dehors de toi

dedans rien, gardant dessus rien

des airs limpides a frire

qu'elle consignait, gardait dessus rien

elle n'existait en pas

pas en pas

ni plus qu'en plus,

elle n'existait en ~

si convaincue elle en niait meme

 

A la toile fait d'un vol no veillant,

no sommeillant, elle a toile a pied,

fascinant de cr éature ~

et je luminais devant l'ombre a moi l évitée ~

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3 juillet 2010 6 03 /07 /juillet /2010 16:55

Brillant satine de soleil

marbre au sel, sol qu'une clef recouvre

retourner deux fois Angelique Ionatos sur elle-meme

Qui nous y veut voir des reves

Les yeux qui mouillent

le sol

Il faudrait ne jamais aller en Grece

Garder des temps ces souvenirs vecus une clef a la main

dans la tirade de Thebes contre Troie

dans la tirade de Minos,

dans celles d'un oiseau roi de civilisation qu'antique berne

berce, garde pour couverture, ensevellie ~

figee sur un age

Il faudrait ne plus rien savoir de la Riviere Euphrate,

du Tigre moderne,

des Tyrs ou des Babylone antiques, pour que rien

n'en disjoignent de nos memoires revees

les tirades anticipees des temps revolus

Revoudrez-vous un peu de Ninive, un peu de Ganges, apres ces pleurs

Que vous vois-je un coucher dans le fond du soleil,

ou est-ce un lever a la surface d'un lune partant avec deux esperluettes,

je ne veux rien savoir

Euphrate, meme ensevellie, ne parle plus la langue

qui me faisait vibrer au seul plaisir de l'oeil qu'on pose sur une gravure.

Seul Turner, semble-t-il, n'a jamais tourne sur lui-meme nos attentes,

pour atteindre ce que le Grand Canal de Venise, reste, a su reste, demeure parmi les autres

ou peut-etre Cythere, qu'avait figee Watteau, s'est empreinte sans economies

de celles glissees par ses arts - divins - antiques - qu'est-ceau fond de ton oeil ?

 

Revoudrez-vous un peu lire celle qui m'a fait bouillir quelque chose de sous-jacent,

dans les veines,

l'elire, puisqu'il ne reste qu'elle,

lui remettre les lauriers les plus neufs,

pour peut-etre la gatera son tour ~

 

De quels paysages modernes parle-t-on de refaire l'avenir,

de ces lumieres que les projections sur l'avenir ont su nous faire fremir,

je parle avec ambages jusqu'a succomber,

le present emprunte, abattu sous les balles,

ecrasees sous les economies ennemies,

s'est herite, s'est hypothetiquement hypoteque pour pur plaisir,

donner aux homm surs d'eux, l'assurance, juste la derniere manquante,

que rien sans eux n'existait.

 

Ma plus profonde larme a, il y a, bien longtemps, coule,

du coeur au sein, de la colonne cerebrale aux dernier reve du phosphene,

j'ai mange un pain aussi fade que peut l'etre ce temps, chaud, sans histoire, sans l'air humide

qui l'avait fait parler de nous, avec notre propre porte-voix.

Qui a brule Alexandris Biblios ~ Qui abritait quel secret, qui courait la rumeurs, qui faisait peser la menace

qui a brule quel risque, qui a limite la casse, qui menacait d'eclore,

de quelle vasque

quel groupe s'en est enfui, qui a atteint la cime

de quel monastere recule, qui garde enfoui le secret,

de quelle magie s'agissait-il de taire la formule,

de quel point d'esprit plutot, quel point qui s'enfuit suivant quelle ligne

qui trace quel l'esprit, en quel point

de fuite.

 

Ma plus profonde coulee des larmes a la colonne cerebrale en compote

s'est broyee du noir avec des oriferes corruptifs, des formules qui ne disent rien qui vaille

qui vaille.

 

Ah Alexandrie ! ~ Euphrate, Tigre, Babylone,que sais-je, que reste-t-il aussi de l'antique Argos, Athenes, des chapiteaux montes dans ma tete jusqu'a la casquette ou j'en ai maintenant, les basquettes humides de courir apres le mythe etient, mouille pour calmer les feux

ardents, charbons de coeurs tendus jusqu'aux limites.

 

Argos, mon chapiteau.

Quel mythe reste vivant en Korcula, ou des Cyclades, des sommets de l'antique qui bercait le bassin du nourrisson pour lui former le role aux pieces les plus avant-gardistes de la scene antique !~ Quel ne Herodote est mort sans signer un ~ ne Plutarque, est mort sans signer un ~ ne Eschyle est mort sans signer un ~ quel Grec n'a pas d'antique sous le moignon d'une souvenance, le terrible precipice d'une amertume qui le veut mourir sans avoir a naitre vraiment.

La jeunesse Irannienne, qu'a-t-elle de musellee, Irakienne, d'ancestrale a prouver, faire rejaillir, Greque a recouvrer, faire resurgir, Indienne de frustration a taire pour ne pas se blesser les rires d'eclats au cinema americain ~ que sais-je faire, que pleurer ne peut me faire retrouver.

Ne jamais aller a Thebes, n'en garder que le souvenir d'un reve ~

 

Mes conseils, des lectures

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3 juillet 2010 6 03 /07 /juillet /2010 16:50

Il est enrage c'chat-la ? _Non, il a mal aux deux dents du fond des boules. _Zut, desole, je savais pas _Ca va vous inquietez pas, j'ai l'habitude ~


Le corpus adiposum buccae, autrement nomme Boule de Bichat, c'est la boule de graisse qui donne leur forme arrondies aux joues.

(je vous conseille vivement de creer un identifiant, pour ces videos qui valent l'oeil, la joue, et toute les communications connues a ce jour bucco-sinusien ~)

 

S'il est question une fois n'est pas coutume, mais bien une fois en tout, d'extraire de ces gastronomies appetissantes quelque chose de neuf qui doive trouver son echo dans nos profondeurs bucco-sinusiennes pour regler ces maudits problems de fistule (une communication entre votre sinus maxilaire et votre bouche ne s'est pas resorbee), il est a dire aussi que lesdits echos ne sont et ne devront jamais devenir les seules communications interieures que l'homm dont l'avulsion dentaire doit etre problematiq, voire tres problematiq, soit capable de produire.

Il est des communications plus symptomatiq d'une partielle hysterie ou d'une totale insanite mentale causee ou provoquee (qui m'a donc provoque ?), qui trouvent quant a elles echos dans des oeuvres a caractere majoritairement enrage.

 

 

Théorie plastiq de l'arbre génétiq

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19 avril 2010 1 19 /04 /avril /2010 20:49

On peut croire tout ce qu'on veut des mauvaises nouvelles, que ça n'existe pas, qu'il y en a trois en tout, qu'avec un bout de scotch on lui tord le cou, etc, et même qu'il serait aisé de les arrêter nous-mêmes sans l'aide de personne.

Se prendre au jeu d'une traque, les chaser, les attraper ça ne sefait pas comme ça, non non.

Qu'est-ce que vous avez cru, pouvoir les attendre du haut d'un mur et leur sauter dessus à pieds joints jusqu'à ce qu'elles s'évanouissent dans la nature en des milliers de petites particules comme toutes les pussières dont elles sont faites et qu'elles redeviendront fatalement un jour aussi ~

Non-non, il ne s'agit pas de gentils petis cailloux, on a bien affaire à des mauvaises nouvelles (encore une, tiens donc !).

Pour commencer disons-nous bien (mais juste une fois) qu'il faut éviter d'en causer (parce qu'elles reviennent dessus comme des mots jetés en l'air ~ le tort fait pareil, elles sont jumelles, poussières, torts, et mauvaises nouvelles).

Il faut éviter d'en parler donc. Car comme toutes ces choses mauvaises qu'on peut régulièrement observer en se penchant au balcon (les voleurs, les bandits, les fous, l'argent, etc..), le plus on en parle, et le plus on en récolte (oui, comme la tempête levant l'homme qu'il a semée la veille aux Champs). Seule exception à cette règle d'or (et déjà établie) les frites mc cain, unique exception, vraiment.

 

Nous ne parlerons donc plus de mauvaises nouvelles une fois ce texte lu à haute voix ou écrit à quatre pattes par terre comme je le fais en ce moment. Nommons-les d'ailleurs plutôt dès maintenant je-sais-pas-moi-pourquoi-pas-Favorites, ou, tiens, mieux, et plus ergonomique, Favorites, tout court.

 

Les favorites, ce sont ces petites choses à franges molles, belles comme le vert, le vent, ou comme la tempête une fois récoltée, qui gambade à la culotte courte ou aux champs, au choix, comme le blé, et qu'une aventure plus exceptionnelle que tout dans la glaise, a rendu aussi croutsillantes, terribelment croustillantes, qu'irresistiblement mouillées ~ les favorites ont cet avantage incroyable d'être gorgées d'eau et remplies de dilemnes, c'est d'ailleurs pour ça qu'elles sont favorites (eheh)

 

 

TRAQUONS LA FAVORITE

______________________________________________________________________________________________________

Observons la quantité mouvante de choses indistinctes qui compose le grand tout qui devrait finir finir par nous absorber un jour. BNe nous laissons pas trop absorber par la pensée qui pase, restons facolisé sur nos problèmes, (et quels problèmes !), sachons saxons ou pas, repérer partout (le plus on va loin, le plus les favorites aussi, sont loin, mais de nous jamais), et en tout cas au premier coup d'oeil.

Ce n'est pas chose facile, mais c'est important. Tout de suite savoir identifier la favorite quand on a affaire à elle *. C'est important de mettre la main, le doigt dessus, dès qu'on en a la première opportunité, le plus tôt étant le mieux, avant qu'elle en devienne vraiment une, c'est important, vraiment... Vraiment...

Pas facile, non. Allez dire d'une crysalide sereinement (ou non, en tout cas salement) disposée sur la table basse d'un salon, que c'est un papillon que ça ne deviendra pas si on vous mettait pas le doigt dessus... Ou d'un oeuf que ça fera une excellente omelette quand on aura retrouvé le thym et le pot de chamignons frais (perdu dix mois plus tôt donc frais mon cul).  Voyez vous-mêmes, c'est pas évident (Hein?)

D'autant moins évident que les favorites ne sont suceptible de le devenir qu'à l'instant où on les a devinées où elles n'auraient été pressenties sous nul feu autrement. Prendre garde donc. La favorite il faut l'arrêter vite, très vite, avant qu'elle devienne cepour quoi elle a été faite, avant qu'ele cause du tortdont on veut,n no, absolument éviter de parler. Fermez-lui le clapet, mettez-la à la bière ou au cognac, et attendez qu'elle chante : elle devient inoffensive alors.

Si au contraire la favorite a eu le temps de devenir ce qu'elle est vraiment, vraiment, il est trop tard, etlà, elle fait mal.

 

CAMARADES !~ ENSEMBLE ARRÊTONS LES FAVORITES !

Les favorites connaissent la loi des séries, et c'est en ça qu'il faut que ça cese (deuxième saison déjà bidon), arrêtons-les vite.

Chose vicieuse, pernicieuse, insidueuse, et un peu casse-couille aussi, qui se faufile partout avec son petit corps tout joli tout plein de petites favorites (au bout des seins, des reins, des fesses).. Les favorites mon Dieu !, il faudrait un expert pour en parler.

Mais c'est s'égarer qu'y aller par ces chemins, c'est en profiler que je crois devoir accomplir le mien, commencer pour bien finir comme dit je sais plus qui, pour bien être sûr que tout sera bien assimilé et que j'aurai fait des solides aux favoirites, plutôt que vous aurais livrés vivants à ses griffes de sort dormant, de tort sortant, de mort tortillant...

COUPER LE CHEMIN A UNE FAVORITE : c'est déjà se donner les moyens de s'en sortir (en boîte, quelques unes)


1 - TENDRE UNE EMBUSCADE A DES FAVORITES -

Il faut savoir beaucoup de choses, oui, déjà, mais surtout il faut savoir une chose, la suivante : les favorites arrivent toujours par deux, et dès qu'elles sont deux, elles sont trois (jusqu'à ce que deux autres arrivent, etc. on n'est pas là pour faire des maths ~ ni jouer à des charades sur les nénuphars dans l'étang).

 

Donc le mieux, pour pas arrivé d'avance perdant sur un terrain de bourbier sans nom que même votre tête elle en sortira plus, c'est de ne pas attendre qu'elles arrivent. Aller les dégotter direct, il faut les débusquer. Ceci évidemment, si l'on sait où elles se cachent.

Où donc diable naît une favorite ? Difficile à dire. D'aucun prétendent que c'est le fantôme d'une autre, qui toujours revient. Le mieux plutôt que de se laisser aller à des crises d'angoisse ou céder à la panique qui pousse fort là-cdedans, c'est de retourner sur les lieux où vous aviez laissé la dernière favorite-en-date, qu'on appelle sympathiquement "passé", c'est du pasé, ouf, en soupirant. Une favorite (en cloque par exemple), peut accoucher à elle seule d'une bonne dizaine d'autres favorites avant de s'évanouir et crever enfin dans un dernier soupir (ou en ricanant d'un long rire cinglant, parait-il, légende irlandaise, mais bon, que croire des légendes irlandaises, elles disent aussi que la mère revit en accouchant de ses petits, ahahaha)...

 

La débusque - projet de titre du prochain film de Luc Beson ?

chercher une à une, TOUTES les favorites que vous avez connues, pardon, étouffées, comme on dit des sales histoires. 

Cru erradiquées, certaines peuvent avoir ressurgi de leur cendre (comme un lézard) ou même échappé aux flammes (comme une salamandre, puisque, sachez-le, si votre favorite est une salamandre - pas de bol - les salamandres ne brûlent pas, d'où - d'où? - ce symbol sur l'écusson de François Ier). Vérifiez bien donc que nulle trace ne subsiste, de ces favorites envolées. Sinon, accrochez-lui des ailes au dos et soufflez, on ne sait jamais, ça pourrait voler plutôt que marcher. 

 

 

II - SUR LES TRACES DES FAVORITES

 

Une favorite fugitive est une favorite qui vous fout la paix. Inoffensive. La favorite dangereuse, c'est celle qui est plus ou moins sédentaire. Pas tout-à-fait-sédentaire, non, juste-plus-ou-moins. Sinon ce n'est plus une favorite non plus, c'est un boulet. (autre chapitre)

Les favorites naissent d'habitude quand même plus dans la chaleur, dans ces foyers doucement alimentés de bonheur,, où ne croient vivre en général que les meilleures des nouvelles.

C'est ce qui les rend si mauvaises.

Là, où nourries de tout l'espoir, de toutes les joies de ce monde, de tout l'amour qu'un coeur humain peut contenir,

c'est là que naissent souvent d'un rien qui se sera sans doute infiltré après s'être faufilé par je-ne-sais-quoi-disons-une-bouche-d'aération, les plus mauvaises de toutes les nouvelles.

 

III - LES  FAVORITES A LA SOURCE

Il y a bien déjà Martine à la plage, Martine à la montagne, Martine à la ferme ~

Quand elle se baigne, ma favorite, elle est nue, elle est belle, elle s'invite.

La mauvaise nouvelle.

Là elle prend sa racine. Elle a besoin d'eau, oui. Car c'est une plante. En plus d'avoir l'air d"un ange, d'une sainte, en plus d'être une perle, et un cadeau de la vie, c'est une plante ~ tout ce qu'il y a de plus plantureuse oui-oui...


III - FAVORITE AU REVEIL : HOMME A TERRE

Une fellation réussie, disent ausi les légendes Irlandaises qu'il ne faut prendre qu'avec des pincettes (parce qu'ils en ont des incroyablement fines), c'est comme un scotch qu'on arrive à utiliser deux fois : on est tellerment content après ! ^&^

La favorite, cette mauvaise nouvelle que vous voulez prendre le temps de traquer, profitez-en, une mauvaise nouvelle perdue, c'est dix qui rapplique ("LA FAVORITE SEDENTAIRE TUE L'AMOUR, LE CELIBAT TUE-TOUT-COURT)

 

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BONUS étoilé:

*(tu vas voir de quel bois je me chauffe dit la vieille favorite aigrie parce qu'elle a perdu toute la fraicheur d'une vraie favorite ~ je m'égare)

 

 

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20 février 2010 6 20 /02 /février /2010 11:18
Nous avons bien jusqu'alors trouvé le moyen, les moyens les plus efficaces de nous débarasser de bons nombres des saletés sanitaires qui encombraient nos terres,
Nous avons désinfecté la salle de bain, nous avons javelisé la cuisine, et nettoyé la plupart de nos lieux de vie.
Communément, cette manie s'appelle Psychosomatose.
Nous pourrions aller jusqu'a mettre en bleu d'esprit tous les murs que nous voulons prendre pour tete.
Une vie intérieure, c'est difficile a accepter pour un etre qui se veut social, quand bien meme il ne sait plus qu'il n'est pas fait pour ca, encore a-t-il en lui ce petit quelque chose qui lui pousse au train les envies de tout mettre et confondre a sa sauce, selon ses propres humeurs, au gre de ses intentions, aux teintes de son imaginaire.
Physiquement, on peut opérer ce transfer de l'etre intérieur, sur nos intérieurs de vie... L'appartement qui loge, recoit, fournit le chaud, diffuse le soleil et abrite nos choses précieuses ~
est aussi le matériellement combustible, qui permet que tout ne soit plus seulement dépendant de notre propre jugement, dans lequel nosu avons appris a ne pas avoir entierement confiance, dont nous avons appris a douter, a nous mefier comme de ces autres choses fluctuates du monde ~ la valeur de la baguette commune, le prix du pétrole et le cours de  l'action Eurotunnel (encore que celle-ci soit plus plate dans le temps) ~
et permet en meme temps d'exposer les parties de soi, les moins personnelles finalement ~ comme une antre de l'esprit.
Mais alors, ou est-il l'esprit, depuis que nous l'avons évacué, sorti de ses retranchements, s'il n'est pas entierement dissous dans ce que nous avons pris pour materialisation de ses phantasms et de ses mouvements libelluliens ~
Il est élimé, édulcoré, vaguement ~ comme ca ~ éparpillé, et nous sommes en passe de ne plus faire de psychologie.

L'Esprit retourné sur lui-meme, c'était une impression de danger, la vie intérieure, c'était aussi utopiq que surréaliste, et chacun sait que les Surréalists n'inspirent guere plus que moi maintenant, le lobe gauche du cerveau, parlons-en.
Oh et puis non ^&^

Il faut comprendre que c'est un article conceptuel.
Qui se veut réaliste, de surcroit.
Un homm seul peut tuer le temps, s'il n'a pas toujours trop a faire.
Le jour ou il y parvient, il a le temps pour lui.
A présent, il passe son avenir a refaire son présent (son cadeau) raté du Noel passé... et rien n'y change.
Rien n'y fait, il se coupe la parole, il s'interrompt, et soudain ! ~ plus rien.
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21 janvier 2010 4 21 /01 /janvier /2010 10:13

  VIVE L'ANIMAL HUMAIN !~ 
et Longue mort aux Droids urbains !~

ENTROPIE DES TROPIQ

Nous sommes la, a cette petite distance et a cette courte-echelle, a cette longue-vue des paralleles tropicaux ou, dit-on, naviguent notoires des marchandises exotiq empaquetees sans transit dans les paquebots champetres a cales larges dites utopitres, etroits qui nous aussi largement que deux formes humaines au haut dresse d'un chainage d'arbres en voyage a l'amarre eucalyptus de tons fort agrumes, larguons mutuellement des idees a moitie comm des caisses ~ l'autre moitie etant comm souvent, plus arbre-vaste encor a l'interieur ~ qui remplies en d'avides monstruosites grimacantes, de formes speciales et de fonds tout courts, nous injectent dans la substance contraignante de leur amas comprime par abondance l'exaltation de leur essence ~ complementaire par essence, couple elementaire par incidences, co par extension et necessaire par hasard ~ pour voir comm s'y solidarisant elles veulent meme se rigidifier, solidifier l'ensemble, et, jusq 'a le rendre compacte, et immuable, s'y coulant touchees pieces de choix, le traverser de doutes. Nous l'arguons fierement, et sans long cou de trac, le passons aux peaux, comm un mot ou son expression d'onguent a l'orge-large-gammes d'eventuelles nuances chromatiq dotees de parole.

1o janvier

La, a la lessive des murets envisages, juste a leur pied qui se prend le matin-tres-tot dans un filet pretendu, un ecrou precontraint ou ~ pour autre chose que de simples lamelles de charpente a l'extraction laborieuse, l'imbrication d'orphevrerie qui dans des cascades de bancs chauds blanchit de tout soupcon les notes noires bercees par les rondes menees de la meme portee, la, en partitions libres, conditionnees comm le cote capri-precieux des livres aux ivresses d'une memoire qui fait des coulees et des fuites les bains d'humes, de ressentis et de prescient par excellence les matieres aux reflexions de chaq note sur ses nombreux echos renvoyes par metaphore du corps a l'aliment d'une idee allumee deteinte qui digere sa figure envisagee sans precellence comm un possible regard de styles scrutes qui se renvoient eux-meme a la ligne ou ils font le mieux mention de leur sens.

SCIENCE PAR HASARD

Transbahutees de pole malpoli en epis decentres et de pigment pur en d'houleux melanges au crepit d'un composite a faible durete dans le temps, un bras bris au frigo de leur evocation, l'autre attrait enfoui tatant a la hate deja le presenti eaxct de leusr exactions, les nourritures, muettes et pourtant si sonores qu'assises sourdantes, brassent et se torrefient, tordent et se dressent a leur haut cou en serrant de pres, amoureusement les mutipliant autant en mailles qu'enduites, les facades a dimensions multiples et tetes aleatoires qui decuplent leurs haies de fort en autant de lignes et de marques aux lotions vindicatives des sols qui veulent les dissoudre jusq 'a les absorber, au courant d'alternatives, les arborer et les rendre a l'eclat d'une ecorce dont elles sont l'esquisse inexorable, inexplorable et inexorable exquise de la table sans finission des eclectisms inhospitaliers, ambulants, l'escarcelle d'une tombee des hauts sur le pied de la lettre qui se prend bien fait aux organes, revolutionnaire et a la tete tournante d'une chaleur singuliere, dans ses propres dessous ~ pour un nouvel arrivage !~ qui promet quant a LVI de reproduire cet infini processus propre au rapport entre les patients et le dos acteur de l'evenement qu'ils tournent en terminant de devorer leur rapide dejeuner improvise sur les brancards d'un phenomene passant gira-phore.

NEWS DIGEST

Une erreur rapidement survenue en idee fausse au tournant se fait le mirage dans l'apercu remanent ou comm la dislocation instantanee d'une chimie digestive, l'ingredient trompeur qui prend la place de leurre et fait plsueirus fois sur elle-meme tourner l'anguille qui l'en priant meurt, et les profondeurs de chaq facade prennent l'ampleur d'une dimension quantiq, a l'infinie capacite organiq a digerer par liaisons des quantites de lignes ioniq au passage de leur corps au massage des lors fort, auxquelles des parades paoniq seules savent d'equivalents developper le ventilant d'evidences l'eventail ~

CORPS-METAPHORES

Des coactions chimiq, allegoriq, parfois physiquement en proie a l'emprise concertee d'images de recits anotes d'anneaux aux poles soutenus des pis envisages, s'empressent de prendre la tete d'une file defiee ou defilant par gout pour le spectacle autonome, l'exposition desinhibee des corps de foire par metaphore, sur les chainages d'arbres qui, sculptes d'eux-memes aux tours precedents, poursuivent de se densifier sous les pas s'avancant. ~ S'ouvrant l'appetit a l'aspect plastiq des humides ventres a nourrice flubustiere qui en piratent d'office la barre et en prennent les commandes, lesquelles se multiplient au sein meme des dimensions plus tot percues comm des disgressions aux grasses formes transitoires du cheminement de l'expression encourue par le risq de violation du champ semantiq decloisonne ~

 

Nous sommes en train d'ecrire, de fondre comm a la magie le manteau de neige fait de toutes les couleurs, et de penser, mettre en oeuvre de tres belles choses, dont je ne serai pas avare distribuer les resultantes, decoulantes, une fois celles-ci un tant soit peu eclairees des lanternes du langage universel et digestes a l'esprit ~ un nectar.

1* (pour exemple contre-facades) : cette connaissance mystiq, nommee WoW +++ ~ qui offre des dimensions humaines infiniment plus immenses que celles aux limites desquelles, par vocation mentale innee presq, l'homm est habitue a s'accoutumer.

https://www.youtube.com/watch?v=opvopULDhVI

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15 janvier 2010 5 15 /01 /janvier /2010 13:22

Venus lacustre au bas-cote,
Avec deux anses s'arc-boutant,
Aux pins dont les plafonds tintent l'imminence ~


Permanence de mes larmes.
Yeux mouilles des seves qui en abondent
aussi ininterrompues qu'aigue, aiguilles tintees de soleils,
comm m'en brillent dedans au devant des vues mouillees,
par myriades, des points clignottent,
tes airs de chanter devant ma profonde douleur
attisent mes rires et m'attirent vers toi ~

Comm une Gorgone plutot, ou une sirene tu enlises mes pas,
immobile et silencieux, je ne fais que te voir,
bruler mes mots, ma bouche, rouge d'ardente venue d'instants
a ta bouche ouverte qui s'egoutte en verts si pales, et bleus tentants.

La promesse d'un château, jideussoirs, body garden (jardins du corps)

[D'apres une lecture de Francis Ponge]

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