L'ampadiem

  • : Le blog de Ampad Embiem
  • : Culture intra-utérienne d'une fleur technologiq : cheminement d'une réflexion de l'esprit sur les bords brillants de lyrism du théatre alternatif ~
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Moi, Ampad

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  • Ampad Embiem, je ne suis la qu'un jour sur deux, mais je le vis plutot bien
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Archangelism scientifiq

" (...) proche le moment ou, par un processus de caractere paranoiaque et actif de la pensee, il sera possible (simultanement a l'automatisme et autres etats passifs) de systematiser la confusion et de contribuer au discredit total du monde de la realite. " Salvador Dali, Minotaure No1, 1933.

Un tres beau site sur DALI

 

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Ce blog créé il y a un peu plus de 2 ans maintenant de l'association uniq de la surprise et du tant attendu, restitue intactes les bribes

de restes d'authentiques retrouvés ici ou la, de ce que les littérateurs et créateurs de ce monde, ont contribué,

avant nous déja, est-ce a dire et, encore aujourd'hui, a élaborer le Beau pour qu'il vienne jusqu'a nous

dans l'état merveilleux ou nous avons le bonheur de le trouver pour tenter d'y toucher.

J'ai pour but ici et ailleurs, Ici Et Maintenant, dans cet IEM permanent et constant d'instabilité, de le propager, de l'expérimenter, de le faire travailler, de le dédoubler, de le transposer et de le faire permuter avec ses doubles et avec ses moitiés, de le mettre tour a tour en exergue, en abime, en difficulté, en chaloupe meme et en page pour enfin et a terme, pouvoir le remettre a la retraite d'ou il se trouvera la force apaisée et sereine méritée d'une vie multiséculaire sur toutes les plages des temps, de mener devant nous, et pour nous, de lui-meme des actions pour s'autorégénérer sans plus s'en laisser conter ~

18 avril 2011 1 18 /04 /avril /2011 12:17

  [Performance live : text à évolution très inconstante ~]

 

 

En passant la main, oui :

Tout s'atteint de folie

 

 

Métamorphose métaphoriq lente d'un text écrit pour changer de sens en cours ~

Chimie - alchimie

Comme une veste ou l'expression taillée pour un soir, le sens trop juste ne permettrait l'amplitude de nulle adaptation. Assister un phénonème lorsq 'il se produit, bénévolement : regarder son savoir-faire & tirer de lui les enseignements dans tous ce qu'il ne s'accomplit pas. Il produit sur l'oeil une image durable. Phosphène suprême. Les sentiers latéraux élimés, usés, marqués des cent pas des Santons, des chemins des douaniers aussi longs qu'ils sont courts sur pattes, il n'st depuis toujours pas de long chemin, seulement des petits pas. Toujours une façon multipole d'observer en escaliers un oeil en cascade depuis la scène figée qui nous déroule ses longs tapis rouges.

Comme il est sur une estrade, l'évènement perçu majeur/moteur/cinétique par l'oeil qui a l'habitude de ne porter attention qu'à ce qui est ou à se frotter à ce qui devrait être, qui est vu ou seulement imaginé là, laisse en fait derrière lui tout ce qui n'est pas, deviner quelq extension surprenante. L'estrade alentour, les nombreuses estrades alentours, tous les théâtres qui n'ont pas lieu, et ne se fixent donc jamais, laissés vacants, libres électrons de proximité qui intéragissent et se retournent des regards complices, d'un oeil qui ne voit pas, et d'un oeil qui n'a pas l'intention, en se serrant la main au seul champ visuel indéniable.

 

   C'est une écriture en apnée. Celle qui se fait écho dans les reflets multiples des miroirs face-à-face. Qui éponge, plonge et prolonge, donne des extensions aux réflexions anciennes, sur le moment présent.

C'est l'écriture qui fait des bonds. Un poisson en fête.

Celle qui revient de loin vers la surface, une écriture neuve, tous les jours. Un pêcheur Breton./

Qui se fait anadyomène à l'heure du couchant, puis au levant, de l'autre côté.

Une écriture qui peut pêcher, qui peut écrire elle-même, et qui peut même inspirer avant de plonger de nouveau.

Celle qui repart quotidiennement vers les profondeurs pour noyer un poisson. Jaillissant dans l'arbre, à sa cime, où se confondent ciel & terre tantôt remués.

Ou se compromettre à coucher avec les mots, la bunaire classiq : fleur bénigne, une grande classiq sur talons anguilles.

L'écriture écho déclinée. Nouvelle racine sub-aquatiq, après le passage de chaq levant, celle qui ne pousse pas droit, qui ne pousserait même plutôt pas du tout, et fait en fait des densités sa première raison d'être, d'aller chercher en dedans, toujours dans la tête de son coeur ~ le bras de son oeil en fait ~ une dévastation en guérissant les assauts causés plus tôt par l'abeille lionne. Celle qui refait des tours en recylcant les carrés et les cubes quantiq d'antan.

Encor à croître, par les deux bouts. Qui prend les deux bouts du monde tel que nous le sommons, et non tel qu'il naît des retranchements. C'est dans cette zone sorte de vague l'Espace laissé flou, qu'il se crée des ombres qui permettent au sens de prendre les formes subjectives à l'esprit du lecteur : un négatif, dune découpe dans l'air ambiant, qui dessine des desseins pour fin de course à un wagon qui s'élance dans les airs de ne pas y toucher.

 

Toile verte un grand bandeau. Il traverse une vaste mer de pourpres poulpes impalpables, l'assiège, la couvre, l'embrasse et se pose sur elle en position de siège. Il fait en vert se fondre le chien d'une place chaude en un coeur brillant comme s'il était 'à naître' ~ plutôt qu'organe vital. Un petit a priori qui a besoin encor de la souplesse vitale d'autres corps cardiaq pour jaillir hors de ses lieux & faire à son tour, naître une toile.

Mise en abyme comme une fenêtre le fait, le mieux avec vue sur la mer.

Ses reflets qui scintillent comme l'eau sur le soleil. J'ai vu/ su, je ne vois plus rien.

 

Le soleil d'un théâtre de l'oeil, toujours anachroniq ~ Car en écriture, le ciel est comme une mer agitée : le début d'une peinture qui finira par confondre l'horizon en couleurs.

J'ai pris tout mon temps. Tout est question de temps, le décanter, le laisser rebrousser chemin en prenant le tournant, il fallait cela moins figé que rétroactif, moins superposé par couches fussent-elles gracieuses ou d'épaisseurs laidement égales, qu'intéractif comm l'aurait été un bébé au sein de sa mère si j'avais voulu faire à cet instant brûlant l'amour plutôt qu'une peinture. J'ai donc pris le temps. Tout le temps alentour je l'y ai mis et dans sa première couche j'ai glissé-fondu-insinué-gravé-inséré le Bras-de-la-Muse ~ sa très grande branche fleurie de la plus grande multitudes de portées, comme la main l'est quand le printemps est là et que cessent un instant de flamber, de l'argent les liasses, les anarchistes adulés. Je le lui avais ôté ce grand bras tant aimé lors de notre précédente Grande effusion. Fusion de joies minimes en une effusion de Joie partagée ~ de part en part, en sa médiane. Pas si récente, rares sont ces moments-là montés si fort au haut des mâts en mal d'attente sur les mers. Pas de ces petits moments d'emphase ou la critiq s'élime l'ongle et ou on se met si courament, si nuitament, si souvent les corps en vrac : se mêler les membres dans un grand bouillon c'est une chose mais rien de suffisant à contenir dans une bulle de plusieurs heures d'apnée l'ample théâtralité d'un oubli qui fasse plusieurs jours plus tard seulenent déclarer 'j'ai laissé un peu de toi en moi la dernière fois' sans que cela se résume à faire de la poésie. Rare instant, produit de la seule indécision volontaire qui sourde de l'intime proche de la confession des yeux. Il reste de ces regards sur le coude et sur le poignet de ma muse longue, il reste d'empris dans cette couche qui est ma proposition pour trame, pour tuteur ou rouage de fonds de cour, le scintillement encor fumant de fragments des grandes explosions d'étoiles, celles qui font des myriades du cosmos jaillir à l'esprit et se disperser par ondes les vives lumières jusqu'à cristalliser un air giratoire, un éclat figé de la lumière, une note sur sa lancée ~ Le PRISM, le pourpre poulpe de  l'Impalpable : sa sous-couche grasse, moins épaisse que ne l'est le contour que j'ai tracé pour forme à un cercle de l'intimité ~incarné en plusieurs séries concentriq de pointillés~ tient dans ses quelq millimètres de hauteur la teneur plastiq d'une personnification rarement égalée de ce qui pourrait s'appeler le 'conflexe' de la horte, sa cage respirante : quand le coeur respire, il y a dans tout creux de la vague que dessine le diagramm de son ondulation fréquentielle plusieurs fois le dessin d'une vulve, qui elle-même effectue des micro-rotations, comme s'il fallait entre deux battements du coeur impulsé dans les gorges de son activité sensible, qu'il fasse plusieurs fois demi-tour sur-même, ainsi que le font les chiens avant de trouver une place convenablement appropriée qui sait, à des formes improbablement évolutives des champs qui l'entourent. Ne serait-ce pas précisément ce qui se produit ? À observer de près le visqueux mélance qui confondait alors devant mes yeux, mes propres jets d'oiseaux, résultants de l'intense expression de mes gestes par couleurs & cris qui me seraient reprochés le soir même par mes voisins, à la véritable physiq chimiq de ma Muse en morceaux, je découvrai dans les anfractuosités encor vives de ses idées mises en abymes les unes dans le silence des autres, ces profondes retenues hautement inspirées qui doivent régulièrement, quand je l'y pousse, mettre à la bouche de ma Muse des mots d'une liquidité sans égal : les lacs de mon esprit, espaces vacants d'exploitation des lignes ou ces champs de travail que le regard prend pour terrain de jeu, champs de travail, ou terrain d'entrainement, lorsque les vues se troublent & les champs se croiset jusqu'à donner naissance à des formes nouvelles de vie. La veille, tandis qu'entre mes rêves entrefondus des images jaillissaient du réel pour m'éveiller et éveiller à ma Muse une subite envie de mettre les voiles prématurément, un vieux professeur de physiq quantiq s'est adressé à moi en prenant la forme incroyablement insolite de préadolescent encor en cours de maths aléatoires en la classe de 6ème d'une école du 18ème arrondissement en sa scolarité d'une année déjà loin devant nous et pourtant encor à venir ~ et dans ses cordes étonnament vieillies en contraste de ses traits fins que le tableau noir de sa classe atténuaient jusquà le rendre quasi unifirme voire parfaitement plat du visage, il me donnait une leçon de physiq quantiq en employant pour celà, et quelle ne fut pas ma surprise, des termes recourant plus à la généalogie du cerveau qu'au lexiq usuel de la physiq à proprement parlé. Pourtant les rapprochements qu'il en faisait, et si je ne m'en souviens pas exactement c'est tout bonnement que ça n'avait aucun sens puisq mon esprir s'amusait à balancer dans sa voix des mots pêchés de façon évidemment aléatoire ~ et cependant hyper crédible !~ donnaient bien à comprdndre que les portes de la physiq quantiq respiraient leur plus intime mécanism dans les fondements même de la respiration du coeur, lequel !~ est une alvéole nichée dans les profondeurs les moins visqueuses de l'esprit : un vaste repère sans compensation de matière, sorte de grotte sèche dont les parois sont sillonées des milliards de vaisseaux immatériels qui consistent dans les connexions électriq ~ un grand ciel par temps d'orage, qui fait les voûtes d'une crique en fait. Néoptolème. Comm Ninive sur le Tigre.

 

Celle qui enferme le moins les volubilités de l'esprit dans une texture, laisse au lieu de ça se mouvoir le sens, relâché après enlevée. Où le corps parle d'esprit, et s'exprime par transparence.

Les choses laissées flottantes qui dessinent de grands espaces en ponctuant une ligne de flottaison.

Le vide lorsqu'il (se) fait froid (dans le dos) se remplit de cette dose utile de folie qui lui frictionne la chair de poule. En se réchauffant d’un air certain il monte aux cimes où ses silhouettes se fondent pour ne plus manquer l’audace de se prendre pour des formes ~ à part-entière-en-ciel, comme un arc, authentiq.

Tantôt pris d'accélérations, tantôt ralenti par le frottement, le wagon qui file sur les rails de la vélocité oculaire, se traîne une longue image, un parallèle disent les moins littéraires, une métaphore disent ceux qui n'ont rien compris dans le cercle de leur vue.

Dans cette niche, plusieurs petites 'sortes de fèves' : des cosses de haricots autant dire, à l'intérieurs de chacune desquelles ces micro-palpitations insensiblement perceptibles qui vont jusqu'à la ligne du point boustrophédon, cosses qui regroupées par je ne sais pas quatre ou cinq, formant des 'quantités de coeurs', disons des parties infimes : l'inventivité de l'amour tant créateur loge en cette loge de l'esprit ou le coeur n'est qu'à naître, faisant par anaologie et le jeune futur professeur me l'a fait comprendre tandis que j'en venais à lui poser la question, de cette enclave du cerveau le véritable 'coeur de l'homm' : le moteur mécaniq de son moteur physiq, est donc aussi le moteur mental de son moteur affectif, ce qui se tient assez finalement : pourquoi aurais-je eu à l'esprit à ce moment autre chose que pareilles analogies entre la vie et l'amour, moi qui fais des parallèles qui tiennent lieu de la surévocation des vies à couloirs.

Bien la toile s'appelle déjà la raison du coeur, et hormis cette profonde tranche semblée inextricable de philosophie quantiq nichée en sous-couche et si bien recouverte qu'elle ne sera d'ailleurs ni visible ni perceptible mais seulement écrite sur un tranchant de sorte qu'on aura 'conscience d'une sorte d'évidence', elle ne figure rien d'autre que la transmission de la bouche d'une muse e l'oeil de l'écrivain, d'une dose de temps équitable exprimé sous la forme d'un fluide authentiquement identifiable comme étant la bave que laisse le baiser de ses lèvres sur ma paupière, correspond au fluide de la matière pensante qui ote à la question 'pareidolie ou apophénie?' toute l'essence première de sa formulation ; un baiser sans bruit, un soupir, le souffle chaud qui fair circuler peut-être de la même manière transiter du coeur à la tête un esprit invisiblement vital comme un battement de langue de ma muse dans le fond de mes palais !~ la bouche voit des paysages qu'il me reste à reprendre à leur source, avant que la digestion en ait déformé l'éclat originel ~

 

Un Comédon plastiq. Je le vois bien l'extracteur de pensées, le comédon de l'esprit !~

Ce petit

clapotis de l'eau ~

qui se rebondit des tirades courtes au lieu de

se courir sur les haricots

comme d'autres, ailleurs. Hier encor elle riait.

En cet Ailleurs. Où l'autoctone moyen continue éternellement de voir qu'on démolit

Sa maison.

La dernière à tenir debout

Au milieu des immeubles qui déjà s'érigent

des remparts la pierre ocre-luminescente éblouie. 

Quand ils se tirent dessus.

La ville qui engrange.

 

 

Par friction ~ à l'usure ~ comme les contraires, les aspérités se réduisent les écarts, les silhouettes s’entre-fondent et les formes s’épousent amoureusement.

Celles qui laissent la place à l’adaptation, comme à des films les actrices de la pièce monté d’un mariage de toutes pièces.La scène se frotte à l'oeil comme l'homm au monde, et prend une sorte d'attitude, adopte la constance d'une forme perçue dès lors, pour la première fois et pour toujours, paraissant innée, crue, crue éphémère.

Plusieurs fonds à priori indépendants se nouent des connexions, ici et là, et jusqu'à prendre une forme ferme, de texture unie, s'entrefondre comme le fond les molécules, en leurs espaces de VIDE. Une métamorphose. Le vert se changer en bleu à la vue de tous. Sans pudeur, tandis que la nuit déjà est tombée. Des libellules en feu, la légende se changer sans pudeur. A la vue de tous.

Des verts et des bleus sombres, sobres sauts entre chiens et loups, dès la tombée des nuits, à leur tombée même.

Il subsiste cette quelconq différence d'âge qui rend au monde & à l'homm si difficile pourtant la tâche de s'entendre ~ S'entendre et se répondre. Deux sens mis en oeuvre dans celle de l'artiste qui parle quand il regarde.

L'homm qui est au monde comm il est quelconq, est à y naître comm on naît avec le devoir d'être, indifféremment de la quantité de stupéfiants qu'il faille prendre à la veine su monde pour que cela soit possible, à la veille de sa naissance. En mode symbiose, l’équinoxe de l’homm & du monde, son parasite affectif.

En cherchant partout alentour les signes distinctifs qui lui donnent des traits propres et des salles à vivre pour suites ou antichambre à élaborer plus, il se trouve au centre, au centre de lui-même, des intérêts qui sans lui rapporter immédiatement ce qu'il emprunte au monde, font empreinte sur lui ce qu'il rapporte au monde.

Ces notions déviées de la perception déviante !~ L'objet qui se meut, l'angle de vue, la distance chimiq à l'oeil & les nombreux obstacles qui la composent, l'oeil lui-même, son miroir, la perception, la hiérarchie, l'interprétation, l'analyse critiq et l’analyse brute, dont la circonstance, l'expression ~ De toute évidence deux personnes ne pourraient sous aucun prétext et sur nulle boule qui tourne vite voir d’une manière identiq ce qui se donne ~ La langue, le savoir, la connaissance prétendue, la valise précognitive, et tous les traits caractère qui rendent ceux-là différemment usés, ainsi comment encor pourraient-elles seulement l'exprimer de la même manière. La nuit tes une grande chambre vide au beau milieu de laquelle je me retourner, me réveille parfois, tombe d'un lit de liquidités et tout le long de laqulle quoi qu'il en soit je rêve ~ pendant que coulent les couleurs du rêve qui s'attend au pied. Rêver de tout ce long, de la chambre de la nuit, c'est parcourir le mur du vide comm on décélère pour refranchir celui du son en-dessous duquel les détonations se font encor attendre ~ Quand on trouve le sens de la porte ou quelq'un frappe le mur part dans les coins se renfermer sur lui ~ Les mots se dispersent dans la salle et la remplissent ~ de leurs hautes couleurs comm une mélodie. Qui cherche au sortir de l’éveil, un nouvel éveil.

 

 

L'intuition est fragile, devant le doute ~ La perception devant la connaissance de ces obstacles. N'est plus rien, écrire sur l'instant, ni plus que pour l'instant, naît plu de rien. De ce qui se porte sur le dos, au malheur d'un vieil autoctone encor réincarné en martyr, dès l'éveil : bon dieu, ils vont pas me foutre la paix. Il a fait des noms andromaque, statue, néoptolème et fleur, des adjectif. De bénigne, un nom. Leur a préféré les sens suivants, ceux qui se laissent courir sans garder une once de ce regard primitif sous le couvert. Après mille et quelq réincarnations, il a passé le temps. Toujours plus de gratitude chez eux que par ces antécédents prétendus, précontraints.

 

Qu'il s'agsse de rassembler plusieurs thèmes apparus une première fois aussi éloignés les uns des autres qu'il est possible de le dire de deux mains portées à bout de bras dans les grands angles d'un prism à la déformation de l'esprit sensible, ou de nouer ensemble les molécules parues dans un premier jet typiquement inassociables, il reste toujours pour ceux qui y croient, des zones de vide. Deux vies qui se touchent et regardent les mêmes yeux. Deux lois qui s'associent au droit commun. De la même manière que si l'on cède sa place au doute, il reste de la place pour trois. En zigzagant autour de leurs formes respectives. Un homm & une femm qui se touchent mutuellement en se regardant droit dans les yeux ce lieu commun.

Celui-ci où tout se noue. L'espace laissé vacant, l'espace sans temporalité.

Il raconte : c'était en 1788. Mon vieil ami Gus avait déjà l'âge d'être mon petit fils, mais même en retranchant noss deux âges nous n'avions déjà plus celui d'un vieillard, fût-il même d'une longévité extraordinaire. Un jamais vu : l'oeil de  ces canassons. Ils regardent un oeil profond, depuis l'intérieur du leurre, le leur. La politique n'existait pas en ce temps-là ~ pas au sens où on l'entend depuis toute la durée des dernières républiques ~ tout un chacun avait forcément assez affaire de ses petites circonspections locales autour de sa propre personne, pour s'amuser en batifolages mondains.

Eux qui souvent coûtent cher plutôt que rapporter gros. Le passé n'importe. Nulle porte n'est suffisamment fine, aucune ne franchit la ligne entre les balises qu'on a fixées. Tout ce qui sort des décors, lorsq'ils ont supplié qu'on leur fasse, voire du pays, voire des états derrière encor. Plus loin dans les barrières ou s'assemble au tissu le composé des passés qui nouent en un tour de bras le muscle au reste des efforts. Et ses effets aux tractions produites. Les épaisseurs des gousses & leurs facteurs croissants, deux ou trois petites lignes de codes invisible qui filent dans le nez les toiles odorantes à faire raccommoder avec leurs couleurs encor flottantes, sans décaper, juste posées sans fixation, prêtes à couler e effet. Comme elles, le fond. Comme lui les formes, d'effets remuent le jour des assemblées du rêve qui s'atteint par la voie de service, en hurlant ou en chuchotant qu'on ressort trop fort sur les trampolines. Qu'il s'agisse d'êtres ou d'avoir. Il y a toujours, il y est depuis lors, des translations pour formuler en l'état, la sensation survenue jaillissante ou intervenue mollement. Une passe sous les longues jambes de l'arbre, son oeil qui déploie un cirq ~

Pourtant, il se montrait déjà novateur, en étant pour l'époque chose rare, évincé de la scène publiq. Comme aujourd'hui l'homm ambitieux ou l'homm averti serait d'un revers concerté de la main de plusieurs têtes d'influences qui n'y trouvent pas leur intérêt, écarté des grands évènements populaires. Il a du se retirer, et s'installait en Touraine, où il commencerait vraiment à faire de la politique. Chemin long et sinueux qui lui coûta cher, avant d'arriver où on sait aujourd'hui. Dix-neuf canassons, une exploitation immense qui permettrait d'en multilplier la population par deux, tous les ans. Et de louer quelq services, de maréchal ferrant.

Ils sont passés, tous. Par ces zones érogènes de fleurs bénignes. La plus fine chair de rose pâle. La langue sur cet onctueux flocon de douceur, est un rugueux chasse-d'eau, un creux de la vague, reste d'un pêcheur invétéré.

Plus en dedans, il y est toujours, il y a déjà, lu les lignes jusqu'aux racines, celles-là qui se racontent des histoires, les détails croustillants. En sautant les passages dessinés comme des haies horizontales/. Il y a toujours, il y est encor, des liserets et des lisières qui se lisent et se lient, se nouent des amitiés aux fils des cils entre eux mêlés d'amour. Tragique et tendrement héroïque, une idée du luxe de l'avant-garde.

 

Tendre au sommet ou jailli mollement de rien dès sa base, comme ce qui se fait des signes en formulant une demande un peu audacieuse. L'être ou l'avoir, deux corps un seul esprit, et toute la pensée qui se concentre un miroir pour seul ligne de réflexion entretenue. La maintenance fait équipe pour assembler des songes les pensées réalisées, leur donner un peu de conduite la ligne qui file mieux que d'autres dans les décors à tables, à chaises, à lampes basses et boîtes autonomes pour centre. La fixation au châssis, doux leurre qu'il translate en toile, les ciels de jour. Les délavés de sels qui font se mouiller les rivages aux dernières lignes en vue. Plus un espace vacant, la plus lointaine des lumières déjà s'atteint de folie. Comme tout l'est.

 

Observer à l'oeil nu un astre qui ne commette pas l'impair de se dévêtir lorsq'il pleut et qu'elle fait gris dessus.

Elle a encor trop longtemps observé cet astre, son oeil est marqué durablement. Le phosphène, les acouphènes, tout ce qui ne jaillit plus mais s'empreinte d'une place au chaud, la preuve d'un air emprunté.

 

Plutôt que faire dans l'écriture de profondeur, chacun peut bien se mettre à pointer la surface du bout des yeux, juste pour qu'ensemble unis, les ensembles unis forment ce long tissu continu qui habille, comme le fait l'art de Manlio Rondoni, l'oeil nu.

 

  Conclusion andromaque : néoptolème de la fleur bénigne

Alors mon ami Gus a créé ce qui devrait s'appeler - s'il n'avait pas lui-même voulu toute sa mémoire effacée des archives, pour son propre bien - la conclusion andromaque : une idée de la permanante conclusion, celle qui jaillit comme chez Racine, ou Euripide, des prémisses mêmes de l'histoire, quis 'énonce des suites avant de finir de poser seulement des initiales pour lettre à chaq mot de début d'acte. Être enlevé et élevé dans le secret des homms, à la seule faveur d'un prétendu dessein divin, s'il ne poulait naturellement plus vivre avec cette idée pour base à l'oeil, qui pesait si lourd son pendant de certitude innée et sa fatalité déjà toute décomposée, il dut pourtant admettre avant de s'effacer de la conclusion andromaque elle-même, qu'il était là une piste à suivre, comme un de ces sentiers typiq, propres peut-être aux seuls Dante, Ovide, Virgil et écorchés vifs dans le sillage. Rodin, peut-être, Dali ou même Gustave Moreau pour trouver à cette longue trilogie des éléments limants qui alimentent le bassin d'un fin fief de sain fiel défait des liesses, lissé des ciels aux pieds des sels. Qu'en toute lettre le poète encor aujourd'hui reprend un jour fatalement.

 

Crois-tu, toi, dans la musique démoniaque ? (Une mère de famille qui vient de regarder un show tv sur une chaîne américaine)

L'essence de cette interrogation, comme celle de ce texte métaphoriq : la métamorphose d'un sens, son évolution. Les circonstances. La perception n'a pour état qu'un îlot d'éphémère. Mouvances dans le temps & dans l'espace. Celles-là qui se nouent des fibres au muret en croissant le long, comme des lierres.

Après tout ce qui a été conclu qu'il devrait être libre de parcourir, les mélodies de Moby qui prétend qu'il ne comprend pourquoi il se sent mal, tandis que sa plongée exprime l'immersion dans un état d'ataraxie déteinte, atteinte de malaise, de bien être fait au surfait, et qu'il reste encor, dans la frustration au point de concours de l'oreille et de l'oeil, une zone d'ombre indicible, prête à grandir, fortement inquisitrice, et même profondeur fleur bénigne : doucereuse, à la paix inerte, et inextricable de son essence, à la sève invisible, inexploitable. Impalpable ce poulpe, pourpre ce doux onguent à la gorge, quand la gorge est ouverte et que l'eau y entre.

Conclusion andromaque : il est des choses auxquelles il ne faut sous aucun prétext toucher. Le remettre à demain, c'est déjà lui donner la longévité de se reproduire dans les dates. Lorsque je suis devenu éleveur de canaçons avec Gus, je n'imaginais pas quel serait le monde dans le sillage des mois que nous allions faire vivre à ce pauvre bougre de canton qui avait eu le MALHEUR de le parjurer . . .

Gus, reclus, se croit banni de lui-même, lorsque sonne une mélodie, il croit que c'est sa propre création qui résonne, une vidéo devant ses yeux et il devient même parfaitement fou.

Des canassons enfin, quoi, l'hypothérapie tu parles d'une sinécure. Une philosophie hermétique. Hermétique à tout peut-être une soupape parfaitement étanche ! ~

 

Quotidiennement, devant les levants des nouveaux matins, il s'enlève lui-même, se séquestre du monde, se rançonne, et rationne même les victimes de son toujours-éphémère exploit quantiq, de se défaire de lui-même le visage de Marianus, s'en  extraire un résidu x, l'erreur commise, celle qui brille encor dans l'astre, et lui éblouit l'œil quand il l'a nu, et impraticable à toute manœuvre un peu osée de revenir au monde.

 

En plusieurs battements d'ailes du papillon devant l'œil qui en perçoit cette image combinée si souvent identifiée comme étant le phosphène ou le siphon d'une cuvette de toilettes, et qui n'est en réalité rien d'autre qu'une dense compression de plusieurs sens empruntés simultanément par toutes les empreintes qu'il reste de l'insecte de l'oeil, de ses différentes apparitions dans le temps. Un temps certes très rapproché ~ l'éventail de ces battement entre le premier et le second s'établissant le plus probablement sur une fraction de la seconde proche du zéro ou même déjà de la réfraction ~ et un espace très réduit également des différentes empreintes qui se chevauchent pour la plupart dans une holographie de moules diaphanes tous aussi absents les uns que les autres, de la vraie consistance qui à toute chose d'usage définit une forme, un impact, une conséquence voire, dans certains cas extrême même une cause ~ Ces espèces prises de vestige, encor en voie de développement au moment ou on les considère ici, prises à l'apogée de leur existence à l'esprit, ces espèces de clichés donc, considérés au moment ou l'esprit en prend conscience, moment qui est précisément celui ou le battement d'ailes phrénétiq du papillon est sur le point de disparaître du souvenir ~ soit en fait une autre fraction de la seconde proche du zéro ou même déjà cette fois plus certainement de la réfraction lumineuse de vasq en vasq dans les sphères mi-optiq mi-rationnelles de l'inconscience ~ ces espèces de clichés fondent à cet instant béni ou l'œil s'est surpris de la disparition de l'être cher qui d'habitude lui faisait battre bien plus que les cils ou les blés en pleins champs d'irrationalité concrète, ils fondent dis-je et je le redis tant c'est bon, en une seule et uniq combinaison, un seul et uniq costume de plongée, qui se qualifie lui-même ''d'étanche'' ~ aux impactes émotionnels de second ordre que pourrait produire, sur les planches d'un théâtre par exemple mais pas seulement, qui pourrait produire dans n'importe quel autre cadre en fait, une importance démesurément disproportionnée. L'oeil pourtant directement vulnérable à cette apparition, puisqu'il y est surexposé, il est en première ligne !, cet oeil pourtant le plus sûrement sensible à cette vue dans le sens ou c'est le sens précisément, son rôle le plus complet et sa fonction la plus établie, qu'il lui soit demandé de transmettre à l'esprit le plus vite ~ et même au plus lent ~ pour que soit aussitôt et avant qu'il soit trop tard analysée l'information qui fait à cet instant le spectacle le plus sûrement évident. Alors ? Quel sorte de message vient parasiter la fraction suivant le battement d'ailes du papillon des cils pour que ce dernier ne soit retransmis sur le grand écran de fumées de l'esprit embué que sous cette forme pour le moins abstraite et surtout intensément déconcertante pour moi qui en prends actuellement toute la mesure, qui n'en fait pas un vrai objet de critiq mais un sujet de censure comme on vient de le voir ? Justement, de façon trop juste pour permettre au corps expulsé comme le comédon l'est des voies nasales, de se mouvoir à ses aises et s'entraîner de façon régulière à des exercices d'aérobic proches de la mise en garde sanitaire, le système d'interprétation fiduciaire de la valeur intrinsèq de cette agitation du billet d'achat ~ l'oeil achète en effet à cet uniq son droit à exister ainsi que son devoir de servir : le système des sens fonctionne comme une véritable monarchie esclavagist et autoritarist ~ ce système d'interprétation est partiellement troublé, plongé dans l'obscurantism en quelq sorte forcé, des causes réelles et des raisons inventées de toute pièce sur des bases déjà fausses en vue ~ drôle ~ de susciter le débat intérieur non, mais de tromper le chasseur de papillon qui est alors à l'affût derrière cet oeil ~ c'est bien connu, la meilleure planq pour un chasseur de papillon équipé de son filet c'est évidemment un oeil ! Le plus trompeur des déguisements dont l'homm soit équipé ~ et ce, avec pour intention suprême de compresser autant que possible l'image reçue : le processeur si rapide soit-il, de l'esprit humain ne convient pas à une transmission intégrale des données de tous genres dont se compose une information, et la nécessité d'une réactivité ~ les réactionnaires de l'intérieur auront comme toujours on le sait heurement le dernier mot sur ces fascistes autocrates qui tiennent les sens en éveil en leur soufflant dans l'oeil jour et nuit, comme le font les tortionnaires de tout temps et du monde entier, lequels monde et temps s'en vengeront un jour aussi !, ~ la nécessité donc d'une réactictivé des plus irréprochables, ne permet pas d'autre processus que cette partielle combinaison qui fait donc, plonger dans l'eau un papillon quand son image en est encor à battre les ailes devant l'oeil qui en est parcouru comme un doute authentiquement furtif. L'instant béni qui suit encor les deux instants béni vus précédemment, celui-ci ou cette fois l'analyse a circulé et le conscient a plongé à on tour dans l'eau ou le papillon est disparu de toute surface de l'évidence classiq, est celui ou le doute assaille l'esprit de cette question qui a déjà foncé aux lèvres, de la valeur qu'il est à accorder à cette infirmation : infirme de sa perception, et cette parenthèse ne vaut d'exister qu'à cause d'une faute de frappe !~ l'oeil conçoit comme dérisoire et partiellement dommage pourtant d'oublier, cette autre parenthèse ~ visuelle, celle du papillon, pas la faute de frappe allons !~ l'influence de cet instant sur les suites : l'image n'a pas été suffisamment identifiée pour que soit donnée avec certitude une cause à ce bref passage de l'ombre du cil, d'une part, et les conséquences d'autre part étant nulle de ce passage, la fraction de la seconde désormais vraiment proche de la réfraction ~ bien plus que du zéro ou finissent de couler les autres prétendants à une plongée des combinaisons dans les eaux car il fait décidément de plus en plus chaud, n'est en fait immédiatement que troublé d'incohérences et d'hésitation et finit tout simplenent sa course non plus dans l'inconscient ou dans une tranche du souvenir, mais immédiatement éradiqué de tout, confondant bien en une seule image paranoaïq la notion de déséquilibre psychique qui est entendu dès le départ par cette évocation de l'absence absolue des deux seuls termes qui font exister une chose : son impact, et même si c'est plus rare, sa raison ou : cause. Si furtif soit-il on dit d'un battement d'ailes de papillon engrange dans sa suite ...vous connaissez la musiq. C'est invisible à l'oeil, nu en tout cas, et donc perçu par lui comme inconséquent. À ça je donne une suite : de quelles mesures l'oeil se prétend-il alors apte à percevoir les conséquences si celles là passent si simplement à la trappe que s'il s'était agi de ses propres cils.

 

 

 

  ~ [BOREALISM] ailé : La promesse d'un magnifiq torrent ~

  Torrent salin corps étranger. Qui s'allie, salit, s'alligne & s'aliène ~ Il s'agit de faire passer du magnétism à l'hyper-réalism, ces courants volants qui glissent à perte de vue lentement, opèrent des changements entre les mains quand on les y passe ~

 

 

 

 

Alain Jouffroy, Histoires nocives

"Ce lit

où se convulse la lune

ce lit-phare ce lit-naufrage

 

ce lit-guillotine où l'aube est une gifle

ce lit-miroir où mes rêves sont un crime

 

ce lit me juge

j'exige qu'il me tue s'il ne me calme pas"

 

 

 

Pierre Mabille, Le miroir du Merveilleux

 

"[Dans le] cercle magiq où Lewis Carroll aurait aimé entraîner Aice, il lui aurait été révélé [..] le jeu des équations par lesquelles eut eût pénétré plus aisément que par le terrier du lapin blanc dans le royaume enchanté.

Hélas ! les professeurs qui, au lycée, nous enseignent l'optiq, ne ressemblaient guère à Lewis Carroll. ils exposaient consciencieusement cette branche de la physiq comme une science particulière ayant sa discipline et ses applications pratiq. L'idée que la science est un langage, un mode d'exploration au même titre que la poésie et les arts, et que, par ces voies différentes, on tend vers un mystère uniq, ne paraissait pas les troubler. Par contre, l'élève que j'étais en avait le sentiment le plus net. Je comprenais déjà qu'il suffit de remplacer les notations scientifiq pour que les mêmes schémas représentent les démarches les plus diverses de la pensée. La valeur universelle de la géométrie, sa signification, à la fois intérieure pour l'esprit et extérieure dans la réalité, s'imposait à moi. Toutes les possibilités de constructions métaphyiq sont dans ces figures simples : et là résident lke danger et la tentation. Les tracés qui sont si utiles pour résoudre des problèms pratiq sont des pièges. On peut y intervertir à volonté l'objet réel et l'image virtuelle. cette liberté n'est pas particulière à l'optiq, elle règne dans tout le monde abstrait des mathématiq, elle aboutit au jeu de l'intelligence : au jeu d'Alice.

En dehors des conditions que l'esprit s'impose à lui-même, rien n'identifie les pooints du cercle, les sommets du triangle, le sens d'un mouvement ; dans l'expérience du monde, au contraire, toute indétermination disparaît , rien n'est irréversible, les choses ont une situation, une fonction et une direction qui leur sont propres. L'esprit est saisi de vertige s'il vient à croire que ce n'est pas l'homm qui s'approche de la table, mais celle-ci qui vient à lui ; que ce sont les objets qui font briller la lampe et non elle qui les éclaire ; ces exemples qui paraissent grossierset caricaturaux ne sont pas éloignés des équations que pose la métaphysiq. C'est bien de métaphysiq qu'il s'agit, en optiq ; si l'on songe que les mêmes tracés représentent aussi bien le trajet d'un rayon lumineux apportant à l'oeil l'énergie extérieure du monde, que le parcours du regard issu de nous et allant se projeter dans l'espace. Les circonstances ordinaires de la vie tendue vers l'action pratqi ne soulèvent par ces discussions, par contre elles deviennent priomordiales dès que surgit un phénomène inhabituel./

[...]

Pour moi [...], aucune différence fondamentale n'existe entre les éléments de la pensée et les phénomènes du monde, entre le visible et le compréhensible, entre le perceptible et l'imaginaire.

Dès lors, le merveileux est partout. Compris dans les choses, il apparaît dès que l'on parvient à pénétrer n'importe quel objet. le polus humble, à lui seul, soulève tous les problèmes. [...]"

 

 

  Par frictions, comme le pied la chaussure, tout se fait.

  La nuit se fait au jour, à l'aurore, quand se frottent les bleus sombres et laids verts ~

  Dans le lait de l'esprit à l'orée d'un imperceptible, et comme tout se fait, les espaces laissés vacants sont emplis,

  Plis quantiq de sens, qui en prennent tout à coup. Par frictions le corps se fait à l'air, et l'air aux creux des vagues ~

  Le ciel est la chevelure de la métaphore

  Le rêve c'est d'y passer la main.

  La peindre. En la peignant, elle laisse tomber de sa coiffe quelq principes

  Que l'on croyait inexorables.

  Rien ne l'est, tout se fait par frictions.

 

 

    -   Mise à jour : 27-o4

 

 

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commentaires

A
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