L'entonner comm un vin qui passant du fût à la bouteille par le chant, son exutoire et sa planche de salut, s'écoule comm s'y égraine son histoire le temps d'un été sur les sommets, et y entendre l'écho des ivresses d'aurore persistantes percer de tout son chœur les secrets d'amours enivrantes à l'heur barroq-sismiq paroxysmiq d'une emphase sous tutelle, ce refrain sans retenues ni contraintes, addictif par essence, son effluve & les physiq ruisselantes de sa robe harmonieuse.
Je présume, j'imagine, je suppose et je conçois comm possible qu'il y a un lien entre deux choses, et ce presq toujours, à des degrés variables et selon des lois parfois encor inconnues, mais que ce lien se fait et se nouent leurs interactions dans un cas bien particulier, qui impliquent un tiers. Rapprocher cette danse avec les libertés trouvées d'un linteau à se barrer de lvi-même, sortes de soie, sortant de soi par la grande porte, leur salut planché comm une épreuve au sulfureux anhydride & sa non moins sulfureuse campagne estivale. Comm les malentendus, je crois dans des choses qui ne s'expliquent pas.