L'ampadiem

  • : Le blog de Ampad Embiem
  • : Culture intra-utérienne d'une fleur technologiq : cheminement d'une réflexion de l'esprit sur les bords brillants de lyrism du théatre alternatif ~
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Moi, Ampad

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  • Ampad Embiem, je ne suis la qu'un jour sur deux, mais je le vis plutot bien
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Archangelism scientifiq

" (...) proche le moment ou, par un processus de caractere paranoiaque et actif de la pensee, il sera possible (simultanement a l'automatisme et autres etats passifs) de systematiser la confusion et de contribuer au discredit total du monde de la realite. " Salvador Dali, Minotaure No1, 1933.

Un tres beau site sur DALI

 

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Ce blog créé il y a un peu plus de 2 ans maintenant de l'association uniq de la surprise et du tant attendu, restitue intactes les bribes

de restes d'authentiques retrouvés ici ou la, de ce que les littérateurs et créateurs de ce monde, ont contribué,

avant nous déja, est-ce a dire et, encore aujourd'hui, a élaborer le Beau pour qu'il vienne jusqu'a nous

dans l'état merveilleux ou nous avons le bonheur de le trouver pour tenter d'y toucher.

J'ai pour but ici et ailleurs, Ici Et Maintenant, dans cet IEM permanent et constant d'instabilité, de le propager, de l'expérimenter, de le faire travailler, de le dédoubler, de le transposer et de le faire permuter avec ses doubles et avec ses moitiés, de le mettre tour a tour en exergue, en abime, en difficulté, en chaloupe meme et en page pour enfin et a terme, pouvoir le remettre a la retraite d'ou il se trouvera la force apaisée et sereine méritée d'une vie multiséculaire sur toutes les plages des temps, de mener devant nous, et pour nous, de lui-meme des actions pour s'autorégénérer sans plus s'en laisser conter ~

20 mars 2018 2 20 /03 /mars /2018 09:23

Associations d'idees
I. JARDINS : Cultiver / Fleurir / Verdoyants / Florissant / PLANTE : Pied, pousse, germe, graine, photosynthese, phytographie, phytogenie, nature & art ludiq : PLAY d'Alexander Ekman EST ballet Surrealist. 
II SUSPENDUS : Temps / geste / planneur / Temps arrete / suspense / attente / surreleve / hauteur / reverie / onirique / Babylon / Nobuco etc dinosaure / idee en l'air / envolee /
Par opposition a une terre sterile, ou un champ enfoui / par opposition a un retombee gastriq ou nucleaire / par opposition a toute oppositio, toute resistance etant inutile et toute chose etant egale par ailleurs.
Par extension : Un Champ - Duchamp par exemple, MArcel par convention, et les Surrealists par ce-que OUI !~ - deja explore, deja excave, deja ne, deja travaille, deja seme, qui a de la hauteur : qui est connu, a la vue de tous, qui est expose, artistiq donc, un champ qui parle, puisq 'il chante, qu'il nous chante d'en aborder les rives tant il est symbol d'onirism et d'envoutement, de serenite et de passions. Une jardiniere non, un ensemble de jardins qui se sont, associes les vns aux autres, rendus communs, au sens le moins comun, d'etre en commune mesure, des ville a la demesure de leurs agents speciaux, leurs ingredients, fondateurs et constructeur. Un Le Notre, bati dans le Temps, un Ancien, on dit avec respect, quand le Vieux est la, celvi qui tient toujours, qu'il est toujours LA, et qu'on ecoute quand il a un truc a dire, parce que bon, quand meme, LVI, il sait - si LVI, il sait pas, alors qui ?, hein ? ~ meme s'il ne sait pas, et quand bien meme on comprend rien de ce qu'il dit, parce qu'il parle un patoi qui a disparu depuis longtemps, eh bien, on en profite pour tirer quelq chose qui ne seait dit ailleurs nullement a l'identiq. C'est l'Uniq, l'igne, l'iniq, l'eunuq ?, pas trop non. D'emblee l'embage, les emballages recycles de tous les temps presents, suspendus, futurs anterieurs, passes internes, fous, presents continuels, et leur danse en ronde tissee facon MAtisse, atisee facon Soupeault, supposee molle facon supositoire. C'est un ensemble d'ecrits, de peints, de sculptes et de tailles dans les harmonies charnelles de chacune des choses empreintes que les materiaux offrent a travailler, c'est le resultat d'un travail de longue haleine - d7Ou ce cote suspendu, qui halete, ce cote aussi flanc a l'air, qui alaite apres une course folle, c'est l'aboutissement d'un marathon, la ligne franchie par un messager qui s'apprete a porter son mot de victoire just avant de rendre l'ame - a qui l'emprunte, le loue, l'achete et le revend,au prix fort d'une obliaison des genres entre eux, qui ont permi la creation d'un style plvs reeel que reel, plvs eleve qu'eleve, bien eleve, ou pas, en tout cas de bonne figure, qui figure un paysage aussi Surrealist : le mot est lache. Donc majestueux. C'est le sublim qui continue de briller et de s'evaporer, qui sublime encor, qui enrobe, comble, emerveille et fascine, qui subjugue, surprend, suspend donc !~ 

Dans leur travail de la terre, ces cutereux de Surrealistes ont meme pensee pousser les barrieres de leur domaine sur chaq face vers les airs environnants. Ici, une ouverture esst en plein ciel celle qui si elle le peut, s'avere voir pour toujours.
Si elle le peut : par temps clair.
Suspendre, c'est prendre de la hauteur le pouls ou l'aspect, le nom ou l'a pression arterielle. Prendre de la hauteur le gout, par imitation ? Oh non !~ par fraternite, par association d'idees.
Ses echanges avec ce qui environnent se font fluides, et permanent, permuttent et apportent, emportent et transvasent, en continu, de sorte de participer aux ajustements, faire s'equilibrer tantot, tantot basculer, comm commun film conceptuel, un film qui occupe (l'espace, en plvs de passer le temps a qui tend la main pour le prendre en pleine journee : dans parties sensibles, le coeur etc, faire peser et s'envoler de l'autre cote, s'emportant parfois aussi a dedoubler les quantites portees, lesquelles, on le dit produites : creations qui fractales ou auto-generation, portent d'elles-memes. C'est comm ca que swe suspent l'ensemble des jardins, porte par ce qui le compose. Les richesse interieures, invisible a l'oeil nu, une fois que celvi-ci s'habille, sont a la vue de tous exposes pour marier les supports, conjuguer l'essor, et porter la structure qui, de la, attend d'etre creusee. On ne dit pas les champs enfouis, comm on le dirait d'une tres vieille culture qui a perdu toute son influcence, et s'est fait oublier, ils les ont suspendus de sorte que, bon, il puisse s'en ecouler des quantites de temps avant que tout ca ne soit englouti plus visible. Il en faudrait des pelletees de nuages pour creuser un ciel qui s'offre en grand sans demander son reste, les voiles eux font office de bureau, de rideaux, de murs et de plafond. On peut regarder passer l'oeuvre quand bon lvi semble, parce qu'ici c'est l'ART qui avance, pas le monde sur lvi, pas les critiq autour de lvi, pas le public au milieu, pas la politiq contre lvi ou les pragmatiq malgre lvi. Le medecin est legist, l'art est Nouveau, le temps est suspendu comm on le dillate pour pouvoir trifouilller dedans sans perdre le nord, le temps, l'or ou l'avance prise sur le monde, On peut aimer ca et continuer de vivre avec ses principes innes, ses idees recues ou son bon sens, on ne perd rien. On gagne comm on gagne un etage, un sommet qui ne serait, attention quand meme, toujours que le genou d'un autre mont, d'une autre errection.

Association d'idees : un amas, si epais que nervure, rigidifie le tout.De sorte qu'aucun des Surrealists n'Aurait pu s'en sortir sel ou seul, seuil ou sale.
Mais bien uni dans l'association de l'esprit qui cree le monde merveilleux du reve et des images oniriq telles que celles qui naissent du piano de Satie quand il laisse a son libre cours le fleuve prendre a ses pieds sa source, son pied, sa chaise et meme son plancher pour amant.
Le tout etant lie (donc).

 

THE NEXT MORNING PICTURE
 
C'est un film conceptuel, un film interminable,
un film qui dure 7 jours, projeté dans une salle qui est une piscine,
qui est un restaurant, et qui a un solarivm qui domine toute la ville.
On y dort, on y mange, on s'y lave, et des gens entrent et sortent continuellement,
il se passe toujours quelq chose d'intéressant quand on a envie d'aller pisser.
Comm doté
du pouvoir incroyable qu'ont de faire agir des révélations exceptionnelles les perceptions participatives appréciées du passé.
Suffisamment long pour que tout n'y soit qu'un détail. 
Mais ça ne s'arrête pas, ça ne s'arrête jamais. Et quand enfin ça se termine, on a envie d'assister à la projection suivante.
Même si on ne sait plus quelle heure il est dehors, et alors on reste,
même si on se regrette dès que dix minutes ont commencé de rejouer la première scène,
et interminablement on assiste au même spectacle
qui se joue autant façon cinéma, que façon spectacle.
Et ça sent le fauve là-dedans. À la fin on y est tous des animaux. Le cirq
 
 
 
    
 
La-Belle-et-la-Bete--le-matin-suivant-copie-1.jpg
 

 

Il a beau etre flou c'est celvi-la et de loin qu'il prefere, contre tous ceux qui paraissent dans les magazines, il n'echangerait jamais celvi qu'il a pris lorsqu'elle reapparaissait par la lucarne de la cuisine. Il s'etait etendu encor nu sur les tomettes du patio, il se prelassait hypnotise sous le soleil qui filtrait par la verriere et que faisaient danser entre leurs decoupes les feuillages du ficus, et il avait attrape l'appareil photo a l'instant ou elle l'appela. "Dygo ?" La douceur de cette voix, il l'avait d'imprimee en tete pour toujours, il avait roule sur le cote aussitot comm si elle l'avait reveille. Elle s'etait tournee et faisait face aux denses rayons du soleil qui dessinaient le haut d'un large rectangle qui devait terminer plvs bas ondulant au gre des formes que son perchoir ne lvi permit pas de saisir, mais qui ainsi partiellement indefini cadrait. Ses cheveux lumineux et son visage a demi couvrant son corps nu dont le cliche ne detaillait qu'un infime extrait, nectar fait de presq rien d'autre qu'un bout d'epaule et du bout de son sein gauche.
Il pouvait prolonger des heures cette scene uniq, la percevoir dans toute la profondeur allanguie que n'avait a l'oeil de quiconq pas figuree la photographie en soi, mais qu'elle avait en quelq sorte de filigrane memoriel imprime comm un chant paoniq se developperait a chaq nouvelle observation operant comm un revelateur de l'image cachee. Une empreinte, compose argentiq d'epaisseurs comprimees ou ces agents de texture connus de lvi seul savaient prendre toute la teneur et devoiler l'arome - il pensait au fin connaisseur dont le nez libere les senteurs magistralement enveloppees d'un parfvm, que lvi evoqua une fois la surprise d'un regard neuf sur la photographie qui, faussant sa memoire, ne montrait plus le bas du dos ni l'arrondissement d'un rectangle de soleil sur ses fesses comm elle l'avait pourtant fait au debut, ca il en etait sur.
Il pouvait etendre a l'infini cette passion derisoire pour l'Instant.
Il pouvait revivre dans cette maison, et se croire au printemps,
Mais ce n'est pas ca qui l'Interessait, meme si malgre lvi les images et les sons profusant l'y replongeaient, et qu'Il en revoyait le faux etage, les plantes, le carrelage a hauteur d'yeux, et cette seule partie de la cuisine qu'il avait pu attraper du regard et imprimer au moment ou elle y etait apparue avant de monter le rejoindre pour faire leurs corps s'aimer encor.
Il voulait faire hurler une guitare, elle lvi peignait une toile complete, une nouvelle tous les soirs, un instant il la voyait a la tele et il partait l'instant suivant loin dans les precipices de ses courbes et les trombes de ses torsions, un instant elle parlait a la radio et le grain de sa peau gresillait alors physiquement dans l'emetteur, lisse et trouble, satine et granuleux, les asperites de son langage pour seule trame ou imprimer l'eveil d'un toucher, le parfvm d'un angle ou le baiser s'etait pose sous ses cheveux, une seule apparition d'elle aspirant sur le grand ecran, eut-elle donne la repliq si vite qu'on n'eut le temps d'applaudir son entree avant qu'elle en sorte, et son esprit quittait les lieux, il n'entendait plus rien alors, que le rythm de son coeur qui respirait dans le sien, sur un ilot isole, haut, dans un arbre qui surplombe les decors, un vehicule en teflon hyperconducteur ou tresaillaient leurs membres electriq comm la moindre vibration d'un filet de vent qui caresse la carlingue eut dans l'habitacle cause la sensation que s'abat avec le son tonitruant de la grele, la foudre. Ces secousses, veritables, du coeur, de son electricite il les ressentait comm elle les lvi avait transmises, ces emissions irradiant comm un materiau dangereux qu'on lvi aura explose nu et sans protection, dont ses veines se souvenaient l'effet et qui sitot se l'evoquant s'en comportent ebullitions et circonvulsions. Il se sentait tourner avec elle, acteur et public de sa vie, producteur et reproducteur de son corps en tant qu'element uniq, molecule rare, atome integral et complet, au grand complet qui lvi tombait des epaules quand elle au bruit du bois heurtant la ceramiq provoquait ses sens comm elle se dechaussait. Les talons, talents uniq, sens ignes, les lignes anguille, ses angles teints, les terres vibrees de leur exil au monde, ces contrees baties de sels, d'air et d'eau sublimant les elements dont ils dominaient en sainte trinite l'accouplement et les productions scintillantes sous les formes du possible, dans toutes les nuances qu'il restait a creer.
Il se dit qu'elle transite avec lvi dans un epais amas de ciel ou sejournent quand elle s'aiment les etoiles, pendant leur saison des chaleurs, le printemps englobant dans ses vasq a dimensions aleatoires presq tous les ages dont il soit donne de s'enquerir la position. Adoptees comm elles passerraient et repasseraient entre leurs doigts meles, y glissant comm du sable fin, roulant et se laissant modeler au gre de leurs unions charnelles et de leurs soupirs d'astre au repos. Magistral, piece videe par ses deux bouts comm un piano decompose pour un temps en deux corps qui peuvent se faire face, se refleter mutuellement, luire et se faire rire, et se completer pour etre, a tout moment, 1.

 

La veille, tandis qu'entre mes rêves entrefondus des images jaillissaient du réel pour m'éveiller et éveiller à ma Muse une subite envie de mettre les voiles prématurément, un vieux professeur de physiq quantiq s'est adressé à moi en prenant la forme incroyablement insolite de préadolescent encor en cours de maths aléatoires en la classe de 6ème d'une école du 18ème arrondissement en sa scolarité d'une année déjà loin devant nous et pourtant encor à venir ~ et dans ses cordes étonnament vieillies en contraste de ses traits fins que le tableau noir de sa classe atténuaient jusq'à le rendre quasi informe, ou uniforme, voire parfaitement plat du visage, il me donnait une leçon de physiq quantiq en employant pour celà, et quelle ne fut pas ma surprise, des termes recourant plus à la généalogie du cerveau qu'au lexiq usuel de la physiq à proprement parler. Pourtant les rapprochements qu'il en faisait, et si je ne m'en souviens pas exactement c'est tout bonnement que ça n'avait aucun sens puisq mon esprir s'amusait à balancer dans sa voix des mots pêchés de façon évidemment aléatoire ~ et cependant hyper crédible !~ donnaient bien à comprdndre que les portes de la physiq quantiq respiraient leur plus intime mécanism dans les fondements même de la respiration du coeur, lequel !~ est une alvéole nichée dans les profondeurs les moins visqueuses de l'esprit : un vaste repère sans compensation de matière, sorte de grotte sèche dont les parois sont sillonées des milliards de vaisseaux immatériels qui consistent dans les connexions électriq ~ un grand ciel par temps d'orage, qui fait les voûtes d'une crique en fait. Néoptolème. Comm Ninive sur le Tigre.
 
 

 

 

 

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