L'ampadiem

  • : Le blog de Ampad Embiem
  • : Culture intra-utérienne d'une fleur technologiq : cheminement d'une réflexion de l'esprit sur les bords brillants de lyrism du théatre alternatif ~
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Moi, Ampad

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  • Ampad Embiem, je ne suis la qu'un jour sur deux, mais je le vis plutot bien
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Archangelism scientifiq

" (...) proche le moment ou, par un processus de caractere paranoiaque et actif de la pensee, il sera possible (simultanement a l'automatisme et autres etats passifs) de systematiser la confusion et de contribuer au discredit total du monde de la realite. " Salvador Dali, Minotaure No1, 1933.

Un tres beau site sur DALI

 

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Ce blog créé il y a un peu plus de 2 ans maintenant de l'association uniq de la surprise et du tant attendu, restitue intactes les bribes

de restes d'authentiques retrouvés ici ou la, de ce que les littérateurs et créateurs de ce monde, ont contribué,

avant nous déja, est-ce a dire et, encore aujourd'hui, a élaborer le Beau pour qu'il vienne jusqu'a nous

dans l'état merveilleux ou nous avons le bonheur de le trouver pour tenter d'y toucher.

J'ai pour but ici et ailleurs, Ici Et Maintenant, dans cet IEM permanent et constant d'instabilité, de le propager, de l'expérimenter, de le faire travailler, de le dédoubler, de le transposer et de le faire permuter avec ses doubles et avec ses moitiés, de le mettre tour a tour en exergue, en abime, en difficulté, en chaloupe meme et en page pour enfin et a terme, pouvoir le remettre a la retraite d'ou il se trouvera la force apaisée et sereine méritée d'une vie multiséculaire sur toutes les plages des temps, de mener devant nous, et pour nous, de lui-meme des actions pour s'autorégénérer sans plus s'en laisser conter ~

21 octobre 2011 5 21 /10 /octobre /2011 11:10


Radeau

 

Embarqués les yeux bandés.

Sur une péniche, les yeux bandés je rame à la lente cadence d'un cuivre & comm moi quelq autres voix disent ce qui leur passe par la tête pour ne pas perdre les pédales, ou paniquer qu'on est sur le point de faire le mât de l'embarcation heurter le pont qui se devine.

L'art le plus humain consiste à peindre.

Dans la paume, un chêne, sur la peau du bas-ventre un tatouage qui meurt chaq fois que revit celui qui le découvre de trop de texiles.

Il y a dans le ton la même origine texturale, textuelle et contextuelle qui jaillit dans les toiles quand elles sont filantes dans les ciels d'août ou les mers d'octobre. Il y a du rouge plein les lignes quand l'auditeur voit double, trouble, et la foule croule ou prend la poudre ~ d'escampette ~ rend irrésoluble et se résoud pourtant à filtrer comm à l'oeil d'une image la photographe le fait ~

L'écriture est art sonore. Avant tout à voir les yeux mouillés à haute voix.

La nature même des traits, elle, est une consolation des couleurs, la psychologie de l'arbre.

Comm une ombre atténue le soleil sur nos peaux, et à travers nos foulards, le trompettiste - touche-t-il de bord à bord le quai lui-même d'une confiance imperturbable - s'interrompt.

 Lorsq l'ordre est enfin donné, après tatônnement de nos oreilles dans le marais des langues, astrus, de décélérer vers la gauche pour engager un virement à babord, notre ensemble parcourt à la nage un jargon de silence, jarret d'intention, jardin d'émotions

et ~~

   dans le bleu jauni des sourires nerveux, la transformation se produit ~

Reprenant l'homm à sa nature, l'en en dépossédant ~ sa première nature, hautement subjective. Produit des grandes images, les yeux bandés. "Il est grand temps", entend-on dire.  Des voix sur le quai prennent les commandes, les rires office d'ordre et l'enthousiasm la place de choix ~ 

Contrairement à l'image figée de la photographie à poil, qui remarq en premier lieu & ne voit bientôt plus que lui, comm l'objectif s'ordonne d'un point de vue et n'en bouge que pour faire glisser son spectateur vers les éléments cachés d'une collection visible; explicite et sur-exposée.

L'inconscient du jaune, seul, et du tracé s'y attirent et s'y attirant s'en tirent les traits comm des figures. Non-figuratif, comm l'art abstrait la peinture des cordes vocales, la lecture de l'image parlée, elle recense le noyau à sa naissance, sa nature décente, sa descente figurée sans découper la peau, dont le plissage impeccable et impeccablement variable dans le temps, rejoint les objets friables que l'espace, que tout l'espace recense lui-même. qui l'encense. Retire-toi plus lentement./

D'essence et par sens pour l'origine, dirigée vers un bord. Autre bord saillant, la marge ou la ligne saute et compte double, l'envolée'!~ similaire à celle des toiles qui ont la chance d'un ordre de lecture comm l'oeil contraint y est invité jusqu'à l'épuisement parfois des eaux de faible profondeur dans la casserole d'une ébullition rarement inégalable aujourd'hui encor, mis à part chez Manlio Rondoni ou elle est une raison fondamentale et une conséquence imparable, cette envolée !~ par-dessus les marges, qui fait d'un text bu, lu, nu, su, pu, dû, ou que dû veuille qu'on pûsse connaître de lui plus, incite, concis, saillant, insiste et consiste à faire naître avec les organes vitaux un moteur mi-lyriq mi-organiq, mi théâtral mi poétiq, et en tout cas aussi entièrement artistiq que personnel ~ Orgues de cuivre sur les lèvres ~

Le sommet d'un art d'ou, par temps clair on peut voir pour toujours, forme de crochet, l'onde vers le haut, liaison cycles, hémicylces dans la tête teinte, la taille de leurs principes de fonctionnement dont les fondements touchent et atteignent toute la temporalité qui hérite de notre monde chaq fois qu'il meurt et va renaître plus en dedans,

par séries de reproductions et de formation,

de condensation;

ces cycles sont à l'image du monde dans l'écriture omniprésents, ils sont une obsession comm celle d'une variété de vérités irréductible dès lors qu'elle a formule prise dans l'essor de plusieurs pensées arrimées en simultané.

Ce qui après les années de l'écriture/lecture/formulation de l'e'sprit/formation à bras-le-corps est resté de chaq text abandonné, thèm traité, histoire inventée et essais proposés demeure, en mémoire d'inaudible, d'indicible longtemps ~ et un jour devient maître des pensées ~ d'insaisissable longtemps au passé ignifugé, d'imperceptiblement insidueux, demeure l'idée de début et de fin conjoints ~

Relayés, & transitoires.

Qu'il es un début à chaq fin et une fin tout le long de tout processus qui achemine d.usage une chose née vers sa fin.des petites morts dans la vie, comm la vie s'en compte, s'en contente, y est tentée, et longtemps en tente aux mains preneuses de l'ordre qui mène les choix vers des résolutions et les résolution vers des qualités fixes, une ~ netteté. De l'esprit ~ honnête franche et très pointue, pointilleuse, ponctuelle et ponctuée de notes peintes au ciseau à piano, un enchevêtrement ordonné des choses qui prennent de l'importance à nesure qu'elles sont perçues implosant leur matiière de chaq seconde sur la suivante ~

Non figuratif. Un art qui domine son image et dont l.image domine elle-même l'idée seule, pour la dresser au rang érectible de siège éjecté !~ des pilotes vers leurs toiles de fond. Une mer, un océan, le lac qui se construit à deux dans l'opinion générale, jamais seul comm on est souvent tenté de le dire des écrivains. L'écrivain est un animal social.

LES INATTACHABLES, & l'insaisissable ~ sont les esprits fidèles qui le hantent.

Pour quelq'un. Il y a le tour de bras qui fait la sève se monter par mégarde un colosse d'infusions chaudes en remuant dans ses raisons une idée que les conséquences seron toujours l'inconnue x, telle est celle du voyageur. Car l'écrivain est le plus grand voyageur. Il ne sait pas ou il va, il bâtit dans les moins balisés des sentiers intérieurs, et conçoit ce que beaucoup disent inconcevable. Réconciliation dialectiq des contraires. L'un des premiers thèms qui m'ont bercé, porté, subjugué et fait réfléchir dans de profondes inspirations remplies d'air, gorgées de sens et de jus de fruits de Salavador Dali en 2oo2. Un peu de ce rêve dans la foi en l'amour. L'idée a germé depuis, et les conclusions font l'amour avec une réconciliation plus-que-parfaite des temps avec l'espace qui les coordonnent, géographiquement et numériquement. L'idée que l'insondable est une surface, que la surface est un sommet, et que la pscyhologie détoent tout ça etre les mains du langage, de l'abstraction de l'idée au niveau de l'expression grapgiq dont il se fait l'émissaire. Porteur des sens, ouvrier besognier, qui accomplit sa tache sans plainte en défilant les routes plut^ot que déployer de larges jambes. Rapprocher les terrains d'entente, réduire les distances en confondant les choses en excuses, comm le font les êtres aimants que l'homm n'aspire qu'à devenir. La seule véritale raison qui devrait lui teir plus à coeur que de développer en solitaire des facultés exceptionnelles. Fusion, éfusion. Poussé par le lichens j'ai pris dans la racine un air abondant en extrayant de l'écorce au moment de l'affranchir de quelq unes de ses plus sereines constantes d'être viant, un élan qui pousse à son tour dans le sillage d'un mot, d'une note, d'une touche jouée très adtoitement, l'orbe d'un arbre dessinée pour contenir tous les autres et les sentir en lui grandir les échelles jusqu'à la grandeur nature d'une expérience ~ Pratiq et non figurarif, ainsi que l'art le déplore, la science et la conscience sont de pair allant dans le sens d'un pragmatism durable qui veut à tout acte donner une raison, et à toute raison ôter le coeur. Pourtant ~ OUI !~ il est dans cette seule idée de bond une forme instable, le déquélibre qui est la nature même de l'homm, ce coeur indémodable. On y loge une balle qui se gonfle de toutes les intentions et frappe à pleine vitesse les parois du présent en brisant parfois les bras aux endroits ou se lit entre les lignes des énoncés de vide et du futur ou il se remplit de nous dès qu'on y verse une peu ou carrément une larme. Écriture d'emblée, après l'heur ou c'est écrit, l'heur ou cet écrit s'est inscrit, jamais moins novatrice qu'elle n'est à hocher plus d'une fois. À l'encontre de la feuille, dans le sens qui l'hérise. Les yeux bandés radeaux, une ligne de vie qui conduit le chemin de fer à la matière liquidd. 

 

Mélasse & céllulose ~

Matrice d'impalpables, faite pour n'être perçue dans son ensemble qu'un vaste champ d'incompressibles joints incompréhensibles et expansifs. Protection d'un rouage contre les techniciens mal intentionnés qui voudraiet aller y mettre leur doigt, jamais le bon. Le don de ne pas prendre de recul, jamais même pas lorsq le cou retentit sur les épaules ou se porte un lourd fardeau. Faît fait pour que défait le détail soit beau, et ne soit plus que ça. Dans son ensemble, le macro-réalism, l'échelle englobante enlaidit les choses qui veulent sur la peau porter les énoncés d'un beau, microscopiquement beau, infiniment beau. Que voyez-vous, non : Savez-vous voir ? L'homm a marché sur les continents, il a pris, vu, s'est métamorphosé, et au term il ne sait plus voir. Est-ce d'avoir dit un jour ceci est beau. Il a cessé d'observer, commencer de parler ~ anticipation du savoir. Il n'est pas dans le pied d'une lettre taillée dans les déformations sémantiques qu'ont organisées les défaites empiriq de l'histoire humaine de l'intelligence ~ inteligence : capacité à voir. Certains animaux aveugles sont bien moins intellligents qu'un artist talentueux ~ il n'est pas disais-je avant de m'intrrompre, dans le pied de lettre qu'on prend pour une vérité irréfutable d'humour qui défaille à une règle aussi saine que viable qu'est l'apologie de l'observatoire.

Là-haut !~ d'ou les astres paraissent plus gros tandis que les texts ont tendance à s'amensuiser de l'esprit au moment ou il les considère le moins, comm des vermiceaux ~ et plus comm des dessins ~ la voie qu'on suit en écoutant un artist chanter les louanges de l'être dont il aime le plus sculpter les formes d'un chantier, en formation ~ jusq'à l'érosion, de là-haut tout est nature. Et tout le redevient dès lors qu'il la dépasse et la travaille aussi phrénétiquement qu'il lui chante. Il : le regard posé sur lui à l'instant ou il saisit l'instant suivant entre deux fractions de la secondes partie courir entre les restes gestuels de précédentes récalcitrantes au changement. Un geste énoncé, lorsq il engage un brassement de conséquence c'est à dire en fait presq tout le temps, devient un mouvement perpétuel. Le continu qui interrompt toute inspiration des choses jaillissant du néant à la glaciation innée qu'est sa nature fondamentale, divise par bribes les traits en des multitudes de paysages, de personnages, d'histoires avortables et de levers de soleil bons à élever jusq'à l'âge adulte d'un zénith ou l'homm est le plus brillant et son ombre la plus forte pour cacher que les choses sont en fait faites pour être remarquées ~ Toute pensée faite pour être vue. Bue, lue, sue, due et encor redevable de quelq stimulation à créer d'autres choses. Les gens s'aiment, se meurent et se font référence. Il n'y a presq que par réflexion que l'homm existe. Je pense donc je brille en plein jour, et même e pleine nuit. Pour peu qu'il y ait de la lumière ou une oreille attentive. Un acte gratuit, aimer. Sans attendre il faut aimer. Fraîchement débarquée dans ma tête pour me mettre en ébullition

Canan a une silhouette auto-réflective, elle perce la nuit et est nyctalope comm on se permet de dire d'une chose qu'elle permet qu'une autre tourne bien rond dans le sens ou elle donne à sa position une place équivoq et à sa direction auoritaire la place réduite d'un moindre mal. 

Summer chocolate albizia de l'écrivain : À l'intérieur ? Mais à l'intérieur il y a un moteur !~ c'est un moteur qui bat. Le plein régime qui remet en forme. C'est pourquoi elle a des vagues sur le lissage réflectif des cheveux, et s'y lisent les soies de la peau de l'océan. La soie sa prison, sa passion le fruit avant d'être découvert, le ciel son écuelle, elle y boit, tous les mirages inhérents au corps humain. Le ciel ce miroir de l'eau. Tous les papiers effacent du peu de peau qu'ils comptent pour seule orbite, la myriade de petites vies qui font dedans leur rotation et leurx exercices physiq quotidiens aussi scrupuleusement que s'ils savaient qu'ils allaient écrire des avenirs dotés eux-mêmes de ce pouvoir superbe de créer le reste des temps jusqu'à se réincarner sous des formes diverses et, comm toujoursm variables.

 

Dans la foule qui de houle remue les vagues de mes sentiments ces jours, j'ai repensé à cette forme d'extraction à laquelle tu as procédé une fois, et grâce à laquelle, si anodine ait-elle été à son instigation de ma part l'y inscrivant comm de la tienne lui en mettant la lumière à la bouche, fut mis devant mes yeux une clarté que je n'aurais sans celà que laissé comm beaucoup de choses dites et écrites sur l'instant, qu'à la demeure des surfaces, celle qui vainct les échos, que le temps bat sans peine et qu'effacent les remous ~ Roche dure. À la prochaine multiplication nous émettrons des racines.

Quelle matière suffisante !~ cette production, auto-réflective, révélatrice, les négatifs de la photographie ici fondent en larme ou en sueur. Quelle matière suffisante une fois ingérée, pour quitter l'uniq emplacement d'une observation qui invite à l'argumentation, l'argumentation à la dispute et la discpute à une destribution des places qui vaque de vasq en vasq parmi les émotions que porte e elle la seule seconde de l'évocation. Évolutive, superlatives, archi-relative et même : autoréflective. Sa combustion est un dégagement de la main, une grande inspiration physiq, la stimulation organiq qui chante dans l'organism orgue . Alors nous navigons sur cette barq inachevée. La gravité la remplit d'eau alors nous restons légers pour le pas laisser sombrer un moteur, le pas lesté d'un coeur, ne pas laisser s'assombrir ces couleurs.

 

Voyage sous le foulard ~ Comm la peinture de Manlio l'écritute dévoile l'oeil de son tissu mental du leurre physiq dont le réel recouvre la substance la plus obvie, signifiante, singifiée. Voile du leurre physiq. J'ai des projets de fiac : octobre prochain, pour rien au monde, ne ressemblera à cet octobre de morts, et de houle. Il y aura des arbres nains, bien élevés, dans les mains enlevées du lendemain d'un été. Pluriel composite comm cette mini ovation reçue à la lecture d'une toile mouvante, entre deux heures du matin, enjoutées, écoutées, ajoutées, se jouxtant, faisant joute, secouées, qui se sont complémentées, complimentées. Le matin suivant, loin très loin de tout, les mains du réel recouvrent les yeux qui parlent en silence de changer le monde une semaine de plus par an. Comm les agrumes sont agréments, une sorte d'Argum pour argument donne au ton d'un goût fâné la touche en vie qui la passionne dans les reflets colorés. Argum : peinture Manlio. Malice aux sommiers. Tulipe, ail, rosiers. La floraisons flottent des matelas ou danse la renaissance dans les grandes eaux des bâtiments des rouges-oranges & fleuves-mauve-roses ~ Croix, sympathie des lichens, croissant aux quantités d'air ~ La lune se démultiplie, elle est par certains jours au nombre le 7 l'inégalable horizon d'une poire coupée en deux sur Satie.

Voici un an et u peu plus que je me suis passionné pour l'art de Manlio Rondoni, qui donne un souffle inspiré. J'ai présenti ce qui y deviendrait un éclat de lucidité, proche, très proche dans le temps de l'éclat du génie qui offre à entrevoir une brêche conscoente dans le regard à porter ~ sur les jeux de mouvances dont l'art couleur s'offre les termes sans fin. Les étendues émacipées, dissipées, dilatées, distillées des aventures mythologiq, évoluent comm les allégories ayant pris corps et âme pour forme naturelle définitve et ferme, ouvriraient des poches de la longue marche humaine, les souvenirs antiq, et les instincts génétiq. Une conscience florale. L'odeur est au coeur, elle est au coeur ce que la vue de l'image de l'esprit est à l'âme : sa seule liaison viable, la seule constante non friable ou prendre essor ne consiste en nul danger à terme. Que celui des thermes : s'en baigner et s'en évaporer. Allant en évaporée j'ai trouvé aussi cette année dans l e visage en plâtre massif qui habite le gymnase qui nous sert de théâtre aux visites de grands classiqs curieux, les moins oisifs d'entre eux, aussi les plus audacieux, d'Iphigénie plus que de mélopées les cordes d'une voie qui se suit en liant à main haute le corps à l'état d el'âme. Puisq j'en suis au bilan de l'an, après 13 voyages hors des frontières, j'ai la conviction que l'écrivain a la plus grande valise de tous voyageurs. 

Tu m'emmènes, dis ? ~

Quand j'y ai les yeux ouverts, elle s'étiole en démultiplications des infidélités. La seule constante est l'amour dans les coutures, la platte-bande inattachable, l'amour sans retour. Dans le coude cousu ad oc. Une ligne de vie rectifiée, l'ajustement sonore des vibrants d'un tracé rectiligne. En arrivant à la fin de l'an, en grand ordre dans les catastrophes qui s'apostrophent de strophes catalytiq, j'ai la sensation qu'il n' a jamais été aussi près de commencer en fait, se tournant sur lui-même pour faire une tête ouvrir grand ses bras. Une nouvelle confirmée que cet écho qui transvase une 64èm heure dans chaq seconde nouvellement amoncelée au long ruisseau nuissant. tu m'as mis la langue dedans. Un océan s'absorbe de luu-même dans la profonde contemplation de la surface du ciel dont il est le tissu le plus pendant du temps ~ Ouvrir grand des bras la couleur du sang qui afflue, ouvrir grand du coeur l'odeur d'un temps qui a flux ou se répandre ~ L'instant suivant celui qui a été projeté aussi vite que précipité sur l'horizontale d'un ciel ouvert sur toutes les fenêtres des possibles, est l'instant le plus latent, celui qui attend, celui qui s'apèse lourdement, et le plus ralenti de tous les temps agissant sur lui en frein. Enfreignant sa coulée douce, emboîtant son pas dans la course qui dévalle la pente ravalée la veille, il lui met dans le corps l'infini d'un potentiel, l'étendue d'un vaste, l'amorce d'une accentuation dotée de ce pouvoir incroyable, de pouvoir ~  ~

 

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