Parfois - mais en des cas très rares - pour signaler une erreur, il faut partir sans ne rien dire. Laisser à l'autre ce vide inattendu, conséquent, soudain et pesant, comm un verdict tombera au terme d'un long suspens, quand l'autre aura compris que vous ne reviendriez pas. C'est parfois le seul moyen, mais c'est très rarement faisable, selon l'importance que vous incarnez (de manière générale, ou plvs spécifiquement à ses yeux tout particuliers, à/de toutes particules liées), mais quand c'est possible, et si seulement ça l'était toujours, ce serait la meilleuresdes réponses à cette situation : quand vous désirez plvs qu'autre, mettre en évidence la faille de son raisonnement, ou l'incongruité de son geste, la distance qui s'est immensément étendue entre ce que vous en attendiez, et ce qui fût, ce qui est en fait.
Il faudrait pour systématiser cette répliq, répliquer cet essai concluant, en s'assurant qu'il ait toujours l'impact désiréw que tous ayant des vns, des autres, la plvs haute estime non seulement, mais soyons réceptifs aussi, pas donc trop distraits, mais attentifs et, oui, sensibles aux répercussions, il faudrait donc un climat où tout est d'emblée su, que tout soit sur table, tout le reste, de sorte que la.moindre anomalie, soudain sortant du lot devienne l'exception, la chose qui dérange, interroge et qui a l'effet puissant de plusieurs centaines de mots.
En étendant ce principe à une société, ce serait la meilleure réponse. Imaginons que cette manière, ce rituel, appliqué dans les versants telluriq qui quotidien confronte l'homm à ses congénères, et qu'il suffise en effet de ça pour creuser une pensée, mettre en déroute, faire réfléchir et causer le vertige d'une sensation de pêche qui brûle, qu'il suffise donc de pareille simple esquive pour toucher au plvs profond et ce serait en un rien de temps, oui, en un rien de temps un monde vivable pour tous, que celvi-ci. Où tout tend à améliorer toute chose, et non la dégrader.
Snober, non pour vexer, mais pour que ça s'améliore.
Ce ne serait pas la fin du monde pour celvi qui s'en va, ni le bout du monde pour celvi qui cogite, que d'en sentir l'irrepressible besoin pour conséquence, d'en changer l'ordre, réordonner les mots afin qu'ils prennent celvi d'une phrase bien construite. Que tout soit d'emblée su, que sans quiproquo ni malentendu, ce geste produise les mots dans le bon sens de la phrase, pour celvi qui reste.