Un ciel épaissi qui se normandit De secondes en secondes,
par zone d'échanges, leur fréquence chromatiq
ses silhouettes sur le lointain ne se distinguent à cette heure qu'à
leur attachement propre à une teinte du bleu-
gris qui leur va le mieux,
rêvant d'invisible
, des vives couleurs qui vont bientôt en jaillir comm
des costumes du jour.
Les nuages promènent leurs décisions
à faire sur la colline au-dessus du port
remuer les plus herbes folles par touffes de crinière.
Sorte de clairière, quelq lampes suffixe affichent les retour de la vieille ville,
des jaunes, des oranges tout au plus de bleus rémanents, qui projètent des façades
avec leurs jeux de fenêtres aussi ravies
à la structure native qu'en aquarelle.
Dilluées dans les massifs grossiers de la géométrie de la côte
qui leu sculpte une position ferme.
L'oiseau chante de joie, le premier qui vient de découvrir
qu'il avait survécu à la nuit. Elsa tarde à arriver dans la brume qu'on regarde quand elle se lève,
sur le ponton des grands drapés font croire à des gens gigantesq qui
se tiendraient assis dans la position identiq à la mienne,
prêts à emprunter au matin l'un
de ses couverts les plus réservés aux usages exceptionnels.