L'ampadiem

  • : Le blog de Ampad Embiem
  • : Culture intra-utérienne d'une fleur technologiq : cheminement d'une réflexion de l'esprit sur les bords brillants de lyrism du théatre alternatif ~
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Moi, Ampad

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  • Ampad Embiem, je ne suis la qu'un jour sur deux, mais je le vis plutot bien
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Archangelism scientifiq

" (...) proche le moment ou, par un processus de caractere paranoiaque et actif de la pensee, il sera possible (simultanement a l'automatisme et autres etats passifs) de systematiser la confusion et de contribuer au discredit total du monde de la realite. " Salvador Dali, Minotaure No1, 1933.

Un tres beau site sur DALI

 

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Ce blog créé il y a un peu plus de 2 ans maintenant de l'association uniq de la surprise et du tant attendu, restitue intactes les bribes

de restes d'authentiques retrouvés ici ou la, de ce que les littérateurs et créateurs de ce monde, ont contribué,

avant nous déja, est-ce a dire et, encore aujourd'hui, a élaborer le Beau pour qu'il vienne jusqu'a nous

dans l'état merveilleux ou nous avons le bonheur de le trouver pour tenter d'y toucher.

J'ai pour but ici et ailleurs, Ici Et Maintenant, dans cet IEM permanent et constant d'instabilité, de le propager, de l'expérimenter, de le faire travailler, de le dédoubler, de le transposer et de le faire permuter avec ses doubles et avec ses moitiés, de le mettre tour a tour en exergue, en abime, en difficulté, en chaloupe meme et en page pour enfin et a terme, pouvoir le remettre a la retraite d'ou il se trouvera la force apaisée et sereine méritée d'une vie multiséculaire sur toutes les plages des temps, de mener devant nous, et pour nous, de lui-meme des actions pour s'autorégénérer sans plus s'en laisser conter ~

6 octobre 2011 4 06 /10 /octobre /2011 21:46

 

Contes & légendes de l'Ampadiem ~

Oui, ils ont emprunté une barq passé minuit, ils ont mis leurs longues constantes sur les flots et leurs rivage s'est éloigné d'eux dans un grand bruit d'adieuxqui révélèrent la chose qu'ils désiraient le plus au monde.

  Le secret niché dans la plante, je pourrais commencer par trouver une racine. Celle qui ôte du carré un côté bien trop droit duquel il est irrémédiablement conduit un chemin vers sa fin. Inexorable, la forme décisive de cette vie, marquée d e sots indicibles, et d'absurdes, invisibles. Regardez-nous sur cette embarcations, nous jetant à l'eau comm des sombres idiots, quelle connerie ! _Indivisiblement je me rendais quotidiennement au bureau ou un homm à blanche barbe longue et toge de mage mâche la racine d'une plante vertueuse de ses ambitions à me faire mourir plus jeune dans une lotion de l'âge plus poussée qu'une technologie de la pointe. Là, en me rassurant qu'il n'y ait encor à trouver rien d'autre que des bouquets de mystères qui se font échos, suivent leurs logiq, se complimentent et se complètent, là je soufflais les derniers rêves ébahis. J'avais envie de cette barq comm le champignon de sa jeune pousse d'orchydée. Comprenant que forcément elle existe, cette formule qui met des carrés sur les racines d'un mal, qu'enfin s'achèvent les formes d'une structure sur pattes, molle et que rigides elles peuvent même consolider le rêve, lui donner de l'ampleur, durcir l'envie, raffermir la conviction et démolir au passage tout doute trop étroit pour laisser passer fuir en avenirs ~

_Epaisseur charnelle de la longueur de l'onde au passage du burin sur la paille tendre. Entendue sous la peau, elle se tenait  toujours prête à l'étendue d'espace d'une minute cousue dans l'heure. Aux aguets elle boit. Elle aboyait déjà à ses heures. Large perle d'ivresse suicidaire qui profite de son dos pour le tendre en patûre. Faute de mieux, ou par goût pour le mélodramatiq.Je ne sais comment.

_Elle rappelait toujours derrière elle ses myriades de petites pousses, les enveloppait sous son aile, les emmenait au ruisseau ou il est dit qu'on couve et console un corbeau taillé à flanc de la roche. Décrochement d'une pellicule de cet alliage féreux qui solidarise déjà aux nourritures terrestres les anciennes habituées du brunissage et promet des futurs avenants rompre la continuité.

_Glissement des terrains. Même sur l'eau je me sens le mal de terre. En se taisant elle laisse passer un songe, ange se levant sur ses grands cheveaux, une coiffe serrée de près par la main sous-entendue. La gouge à la manière noire du jour, son plat se sert de son relief pour relever. Admis les canards écroués pour complicité tombent dans le piège. Ceux qui souffrent du virus de la mosaïq. Un jeu d'enfant pour l'artisan talentueux, de leur découper dans la silhouette, une patate en chapelet, une suite d'intentions, une xtension de l'espèce. Jusq dans la manière, l'art. Aux veines, la manière noire, matière négative, absolu qui s'aborbe, replie sur eux-mêmes les espaces laissés vacants du vide, tout à propos. Hématite de la coupe biaise, rendu halogène, la teinte RAL 9001, cette pure pâle lueur, lenteur plus pâle que la lueur du jour demeurée les nuits depuis celle des temps qui courent.

_L'artisan que j'étais tend tous les jours une gaine qu'il destine au dessein, de lui mettre dessus l'étiquette d'une idée survenue. Sa main tremble jour après jour comme il tombe le nez de sa couture de la marche, la referme pour enclaver sur soi le projet arrivant, et lui serrer la poigne avant de l'éventrer. Recélant ses mystères enfouis dans sa dorure, le projet se laisse faire et renvoie tout sur lui, les bavant toutes et plus, les crachant par à-coups, les poussant hors de lui, et il s'évapore. Mezzotinto, xylograveur, l'illusionnist à toutes vapeurs dans les rainures. Comm une idée surgie qui perd de sa virulence à l'instant précipité de son évocation, la surévocation qui va trop loin hors limites. L'instinct créateur met son moteur sur pause. J'ai connu les sévices du sol, le péril des sécheresses du coeur.

Moi c'est celle qui fait le ciel s'écraser sur la côte. Quand vient le petit matin."

Je vous ai raconté le domaine aménagé : 

"Ce domaine aménagé qui se démène à ménager de nos modèles endommagés le mode qui mène à dégager ~

de l'âme elle-même la maxime naine et sans exil qui a soufflé un jour et dans la vue d'une vie, en acouphènes ou sous couvert 'Je t'ai mangé' ~" J'entendais parfois l'herbe se hérisser et les tiges aussitôt se couper net sous le pied.

"Ce vaste domaine à palliers, palais de chaises en osiers, bordé de forêts ou d'intangible, demeure grasse ruisselante,

dressée sur les chevaux couleur Turner d'un mirage proche de l'éveil ~ presse le pas qui s'écrase là par hasard."

Ce domaine aménagé se dressait sur les couleurs Turner d'un mirage pressé de plonger des fruits aux paniers jusq'à ma bouche d'ivrogne ~

Oui, nous étions des voyageurs, il n'y avait d'elles sur nous que cette plage qui faisait naître, toujours naissantes et toujours renées de leurs cendres, les petites soeurs criardes qui font des envies des sortes de symptômes, des orgies des vies passées, des passés surcomposés, des souvenirs d'outre ~

 

Le mirage des flots leur donne chaq jour l'illusion des nuits, et les nuits se prolongent jusqe sur les lignes d'horizons démultipliées à l'infini. Sur les cent quatre-vingt degrés qui ouvrent leur tête sur la surface de l'eau, ils sont noyés d'images anciennes, ou de rêveries fugaces, une fois déclarées à l'esprit comme des guerres perpétuelles, et l'inconsolable se perd dans l'immensité océane.

 

Serons-nous des sortes de mirages, un jour, à notre tour ? La question se boit salée.

 

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