Just après Peeping Tom à l'Opéra Garnier.

Au sens chromatiq des aiguilles d'un piano horaire qui se joue rempli de gauche à droite des lumières qui en atténuent le son couleur d'organes musicaux balayés des revers fréquentiels azimutés, coulé des verts aux aigus des angles les plvs pointus qu'à ciel ouvert, cœur à l'air sans corollaire, coronaire et découvert on peut sentir se battre une mesure, tu auras préféré le halo pluriel d'un sens lexical des partitions singulières qui en découpent coraux tronqués les arbres symphoniq par tranches subaqvatiq, pages et papiers illustrés d'eau, tendus des seins vers leur dessein choral d'un art plvs tactile, quantité de bleu quantiq plutôt qu'entité végétale entière ou encarts d'à propos.
Maints tendons de mains tendues, une amplitude tant visuelle que sonore, thermiq et sémantiq, spatiale & temporelle, encor élargie par les extensions virtuelles qui auparavant maintenant l'eau à 23° se creusaient intérieurement des aléas d'incartades quantiq à voir se faire tarir les loges submergées en caducée de balcons et baignoires caduq d'opéra pour accueillir les victoires des mets océaniq de jour révolus, et de nuit victuailles d'hauts séants évoquant les révoltes éloquentes de récoltes stationnaires des émoluments d'émaux liés aux mailles à partir. Just-à-la-lisière, assises pas franchement dedans, ni à l'écran d'un écart suffisamment grand pour filées en atténuer la perception épidermiq. Reprenons. Sur le bout de la langue réceptacle. L'histoire se poursuit, et comm la queue son propre chien hélé aux deux ronds de flancs qui en dévoilent un tiers ésotériq dans les comptoirs fumés d'un sommet du concert secret au sommeil de portiq de criq bâtissant, les yeux clos les nomadisms accrus lucarnes enchâssées de chromatisms superposés aux vues d'houilles planétaires des toiles qu'on scellées fait bailler s'étirant sécantes et décantées dans la traversée ludiq & sportive d'un champ des filtres potassés aux pistes que le doute a fuies chaotiq, d'émails ailées, enchanteresses zélées, soupes à demi-flipées mi-roir d'orées des idées souples s'effilochant au contact du cheveu qui y bave, lave et proprement imparfait toute sa bile.
J'ai quant à moi au dégradé du saumon au caramel au beurre salé des teintes de ta peau, du vers sculpté au bronze chaud d'une lecture préféré les nuances alternées de ces ingrédients prises dissociées pour amantes pour la durée uniq d'une nuit entière d'encarts interdits de fumets épars s'alliant dans la mélancolie diurne d'un zénith retentissant au ralenti.
Souvent je l'ai entendue pare-vue part prise même brisée tant briller. D'eux deux, trop à dire, il y a fort à parier que jusqu'aux sémaphores ils aimants mutuellement forés sèment et s'aimant fors intérieurs au firmament d'instars tresaillis saufs, que des cils avaient lus clos d'huis conduits même éconduits rebus fades fanés, pilotés de loin, pilosités d'un passage des postes imbriquées. Battements de corps décidés, ferme chocolant au couchant forme de soleil bais de baies entre elles liées par arcs sertis du rouge qui pique les biens tôt pris des partis du sort ressortis d'émails ailés qu'on ouvre aux publics éteints.

Réincarnation ratée. Ça y est enfin !~, [je cherche encor] ce corbeau chassé pour avant d'avoir trop systématiquement été si maladroit en prenant sa place sur un arbre parmi les siens, devant devant perché tenir dans sa gueule un fromage, le choix offert s'être montré si malin.

Qu'en avez-vous pensé ? Quand n'avez-vous pour la dernière fois pansées cette blessure et les tares qui taraudent l'esprit en congés songé plutôt laisser prendre au pouls accéléré la mesure de toute chose ? 
Arrêt sur l'image, atteinte figée à l'éclat de l'instant où le réflexe de l'onde reflété fixe l'axe à l'angle d'un aperçu où je te vois sourire niais percer un mystère né nié qui en une seconde disparaîssant des pensées réapparaît à qui dans tes yeux illuminés d'espoirs vient l'idée en elle s'étirant transcendée qu'il est du filtre dans une vision double se superposant aux vues nomades un réceptacle pour en capter l'aboutissement décanté sous leur forme de cartes aux pistes que le doute a fuies avec le rouge qui pique, dilemmes de longue haleine et paradoxes sans fin.
Arrêt terra et tri repetae.

Claire Dumont, des gâteaux et du pain. 
Contre-temps et mariés, pourrait être le titre, le film est délirant. Certaines brèves scènes - secondaires, où des personnages rencontrés une seule fois poursuivent leur action après que les personnages principaux les ont laissés - ont été décalées, et ressurgissent bien plvs tard, quand les évènements n'ont plus rien à voir.
O. est pour exemple allée chercher des médicaments, la pharmacienne est une dame âgée qui lui tendant les pilules dit quand prendre soin d'elle et quand de lvi, et lorsque la peau lisse passe dans la rue ses cheveux, O. repart aussitôt en disant haut si tard, je reviens. Dix minutes et cithares plvs loin, après une course pour suite au magasin et la ville traversée départs d'impératifs épars en parts tôt pris on voit de nouveau la pharmacienne restée immobile à cueillir sur un arbre un couple d'étrangers, qui lvi demandent s'il y a des comprimés pour la toux. Elle leur sourit et c'est essai désuet directement la scène suivante, où O. se réveille d'une nuit courte pour prendre à bras-le-corps le bateau. Le suspens est tel qu'on croit que la pharmacienne a un rôle à jouer, mais non, peu après O. prend le large et c'est cette fois la gardienne de l'hôtel que l'on voit maintenant auparavant l'eau imparfaite à 23° nettoyer la moquette de la chambre de O en se mirant à présent dans le reflet de verre lisse d'un vers lu luisant, sans incidence non plus. Après plusieurs suspens de ce type, on finit par croire que toutes ces personnes sont liées, qu'il va y avoir un dénouement à leurs brèves rencontres, une parole de paréidolie qui trahira peut-être, on l'espère quasiment un détail, quelq chose, mais toujours rien, et les personnages secondaires qui réapparaissent une fois après une scène uniq se multiplient, transitions des scènes. Ce n'est que quand on commence de source sûre de savoir que le prolongement de leur action est sans effet, qu'un suspens fait redouter - et en rire ! - qu'il y ait cette fois lieu d'une surprise. Et non !~ jamais de conséquence.
Autre chose, c'est le même drôle !~ d'acteur qui joue tous les rôles d'homms à vélo. Volets après volets, ce n'est fenêtres d'un court sur le métrage en long suivant que la troisième voire la quatrième fois que le détail force à revoir les occurrences passées, et qu'on est nés de la dernière pluie nez à nez avec l'impossible humidité intrinsèque du film alors intrigués de l'avoir si souvent vu, questionnés de sachant si c'est possible que ce soit ce soir soit ce matin soit le même homm pluvieux, plvs plaisant ou même seulement un peu plvs âgé. Intrigue supplémentaire, en effet c'est impossible, jusqu'à ce qu'il soit impossible aussi que ceci saisi ait le moindre intérêt dans l'histoire, l'homm à vélo ne pleut plus ni ne peut plvs de malles avoir de rôle dans quelq sorte de dénouement ou mue, puis il est même Impossible meme émus que ce fût le même personnage. D'abord drôle de constater que le même acteur joue tous ces mirages furtifs, il arrivera même une fois que c'est un homm qui pousse une poussette, puis même le policier qui prend une déposition dans le type de seconde apparition uniq évoquée ci-avant. Ce second phénomène est pour certains publics attentifs visibles au premier visionnage, invisible au premier lecteur qui peut pluripotent ne pas y porter attention, ce même après plusieurs tentatives de s'atteler à ses accroches en se détachant de ses lavages répétés.
De nombreuses secondes occurrences parmi les anecdotes et leurs antidotes jaillissent phases et d'emphases dépareillées tout le long du film qui se constitue des suites nuptiales aux doutes latents d'un miel des lunes infléchies et que l'on ne peut des scellés déceler qu'après avoir saisi et en avoir cherché l'importance, les jeux de scènes dynamisées du réalisateur ci-avant décrits comm des miettes amuies qui cochères tantôt, tantôt porches perchés cacheraient, qui sait, une seconde lecture, plvs haute, ou profonde, plvs secrète du film, ce qu'en effet peut laisser supposer sa mystérieuse conclusion de cours inclusives. Comm si les sacs de course, noeuds, course er ressacs de vers servis chauds, sertis et gant de velours, rétroviseurs bris, chaussette à pois, terrasse d'une tasse de café terrassant un ogre, oranges bleues et liquid vaisselle jaune fluo devaient faire dîner de vignettes ou deviner ignée une sorte de bulbe de charade mousseuse et amusante, porteuse et prêteuse sur gage d'un message alternatif aux premiers flux visuels et sonores, sémantiq et thermiq, spatiaux et temporels du film. Une alternative pure de la duvetine à l'action, c'est ce que sont en fait toutes ces images quasi subliminales que le diaphane choregraphié des dégradés dégradants sublime et régurgite vaporeux.
La montre seule et la ferme, apparues au début et qu'on revoit à la fin avec l'importance qu'elle ont, forcent à penser qu'il peut y avoir des interprétations à tirer de ces bribes éparses d'éléments d'apparat transparent en apparence aléatoires. Il semble d'ensembles unis lorsqu'on rejoue le film, qu'ils sont dissociés et qu'il y a plvs que lors du premier visionnage de dialogs, un tas d'échanges, et ce quel que soit notre degré d'attention, semblent nouveaux lorsq'on voit le film pour la deuxième fois.

L'homm aux neuf pères. Comment le ciel pouvait-il charrier pareilles quantités d'eau qu'il en dégringole des cascades ininterrompues. CaféA, l'orgie romaine. Féminité er distinctions. L'homm est né d'une soirée comm celle-là, où sa mère sous le signe de Jupiter a vécu la nuit la plvs mémorable de toute sa vie.
Le petit garçon en jaune vu en soute en costume de foot lors de la toute première scène de shoots, qui par l'importance capitale que cette mise en exergue détonante et pleine d'annonces laisse présager, n'ayant quant à lvi d'importance que d'un point de vue conceptuel - pour les questions que peuvent soulever ses actes en repensant à ce début une fois la fin tombée - et non dans l'histoire elle-même, que raconte le film, c'est encor là une fantaisie qui peut faire délirer les cinéphiles de longues heures - dès le second visionnage sans doute, lorsq démarre le film, avec les haricots, qui évoquent d'emblée le petit garçon. Les haricots, éléments de récurrences tels que vus ci-avant, constituent l'aspect le plvs délirant et décalé du film, à rapprocher du non moins délirant Peeping Tom, tous deux capables toutes catégories confondues, opérant filmiq, scéniq ou arsenic, transcendant en l'air de flair faire chacune des techniq de diversion auxquelles un génie créateur et réalisateur a recours pour nous faire voir miroitant une espèce de profondeur mystiq qui ne semble tenir en boîte et résider que dans un nulle part de toutes parts décelé, d'ailleurs introuvables l'entrée perdue. Triptych entaché des bâches d'Antioche, débâcle fétiche des ocres d'entichés chétifs & de chats filés fâchés. Demain, c'est relâche.

Défié et déjoué Anton Bykov, re-chords battus et réaccords perdus, typiquement du genre à faire illico fi des filets et à prétentieux dire Je me fous des menaces et criées, et je joue le plvs fort.