Reaction physiq instantanee

11 décembre 2011 7 11 /12 /décembre /2011 15:32

Durée de trajet toute relative, une seconde par heure en enfermant 64 par débit et roseaux grimpants, les uns dans le sillage des autres, en épaississement aux laques conformes de la vie moderne. Ralenti de cette veine qui a flux ou s'abreuvent les troupeaux amassés harassés éreintés et rognés de tout part, de la rate aux reins, de rotabilité tabler au stabilo, surligné d'émotion sur le moment suivant qui prend tout sur lui et porte son dos sur des lignes solides. La magie frétillante de cette nuit pétillante d'étoiles, eaux gazeuses couvertes de ciel, soda potable, en japonais 'sora' : le ciel. Voûte céleste confirmée, conforme et posée là sans d'émotion se laisser emporter à quelq remous, pourtant concentre en elle, dans l'infini les forces les plus immenses, ses formes les moins visibles à l'oeil nu, déshabillé dos dévêtu de transparence aux leurres visuels d'un réalism concentré de jus, un nectar d'heures en puissance. Toute la technologie de la pointe y repose latente, une intention de produire, confrontée à l'intense immersion de marge qui absorbe du mâle jusq' aux versions les plus compétentes ~ en la matière : abouties. Jusqu'au bout frapper le lac, son fond de bassin et ses résidus phoniq, les sédiments sémantiq aux pluriels endémiq, ondulant au passage de force, suivant la grace attention d'une pluie à sa courbure galbée que galvanise l'orgue laborieux des agitations extérieures à tout. L'effort produit, retenu pendant les 63 premières heures de la seconde évacuées par le gouffre qui se creuse spontanément, que s'engouffre et dêforme de virulence son essence concentrée, l'effet multiplié, rempli d'armées, milices armées des intérieurs de chaq ministère, octroyé par la forme des choses, zpousées par la forces des natures bonnes d'office, condense dans sa capacité à devenir de nouveau un effet et de nouveau un acte et de nouveau une circonstance détente. L'acte lui-même, la voûte sa voile à soupape, gonflée de buée et qui se gorge de bruine à mesure que monte le sol sur sa portée, musicale lèvre d'Ostande, livre de stands consignés à la dédicaces des amoureux qui se regardent dessous pointer un exact emplacement. La carte du ciel dans les roseaux, son épaisse fragilité contenue dans la conscience des homms, en une seconde pourrait fuir et péricliter, la suivante surgir si l'évènement le volait, phénomène en suspens devant le gouffre des heures que la nuit contient dans son seul bassin. Je remue en toi la joie de mes signes, je te veux prendre conscience de tout ce qui me forme, donner corps à ma vie et prendre corps en toi, voler ta vie dans les éclats de la mien, et nous posséder l'un de l'autre l'infinie variété contenue dans l' anfractuosité recèlée des formules potentielles qui se donnent une consistance chimiq à chaq passage de la main voleuse sur le cheveu peignant sa propre toile de maître. Enveloppée sans révélateur pour positif accru, crue des démence je vise à cette ligne toute confuse prendre un pouls sans azimuts définis, la seule indétermination pouvant courir l'instinct à ses propres surprises, et à ses salles prises par-dessus nous quand nous nous y étendons nus, nous y étendons les vues. Sans voir ni entendre rien d'autre d'attendu. Un condensé d'efforts, des qu'on danse c'est les formes ~

PHILEAS FOGG FEVER

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