/fdata%2F2357440%2Favatar-blog-1068422290-tmpphpGJnAT7.jpeg){kind=avatar}
/fdata%2F2357440%2F%2Favatar-user-1666726-tmpphpzfClL5.jpg){kind=avatar}
Rue Joubert ou rouge augures ~
Ruches ouvertes ou rutes fourchette, qu'en dire, et quand le faire ?
M ais pourquoi diable avons-nous accepté d'attendre au bord de l'eau ?
Décrier ou décrire selon les jours les délices de la mort. Ces sortes de hortes fortes
Décrire : tombé à l'état de clown !~ après tout rien n'en reste. De vif sinon de fourchette.
Je me nourris de coca et de bière. Toute la nuit coca et tout le jour bière. Mis en bière comm on tombe à l'état de clown.
En reprenant pour la première fois depuis longtemps ce couloir sinistres il comprend enfin, que si ça n'avait pas été aussi sinistre étant enfant, il ne ne serait probalement pas endurci autant.
Le frisson de la stupeur, le frisson du moment où il est sinistre,
Le frisson de l'instant aussi, où il comprend.
Ce frisson qu'il procure enfin, qu'elle a lorsq 'il lui dit quelq chose de même ordre.
M ais pourquoi diable avons-nous accepté d'attendre au bord de l'eau ?
Ses existences parallèles, ces sortes de hortes fortes, cette multitude de lui extatiq ou moucheté d'âpres fêves en transe fibule d'ailes chorale, chimie alpestress, alchimies d'ordre identiq, authentiq techniq de rappel. Toutes revenues dans un mauvais rêves, criant "Nous avons créer un monstre".
Chaq présent a recommencé de sonner à un point zéro tout voyent dfféremment le temps qui se propose un fond de ciel ou une cour vide pour dos, un chantier à gerber, de la grande armée sentimentale, où il occupe la blasante, sa triste, sa clownesq nouvelle place, définitive, presq innée, de clown absurde, risible.
Un jour ce sera le même homm, il le sera deux fois simultamément ~ oui et alorq quoi ? Pour qui est-ce ? La chambre 21o. Quantiq 2.o ~ Ces sortes de hortes fortes
Comm une Amériq nostalgiq. Elle veut sa nouvelle ère de guerre froide. Airs de rien, aire de jeu, ère de combat. Vain. Sans l'ivresse. Les combats ne sont plus assez glorieux, laissons tout derrière, mais derrière c'est encor la mer !~
Elle se prépare maintenant. Dans le vestibule, elle en fait, d'autres, des gaillardsn, plus grands. Des 5 ou des 6 tout simples. Sansd eux l'air et le brillant respirent mieux la chambre de ma vie. Quoi qu'on dise de l'être qui doive l'habiter pour l'être. Pour deux. Ils nourrissent la haine. Par un peuple ingrat, forcément ingrat.
Chorégraphie Pina Bausch. Le corps laisse une empreinte. Dans le monde il a ses pas marqués. Se débarrasser de ses certitides comm par brouettes rabrouer toutes les convenances, les connivences de l'usage des choses sues. Il sue. L'un cherche les causes réelles & l'autre leurs plus belles façons. Tant mieux si c'est la même. Tant pis sinon.
Sinon.
Half past drunk you get funked up.
Mais pourquoi diable avons-nous accepté d'attendre au bord de l'eau ? Une vie durant, pour quoi ? Ce messie aurait pu venir de n'importe où, même des terres, on prétend qu'il chute encor, oui mais libre. S'il y avait seulement eu une alternative ça se serait vu au premier coup d'oeil. Ou à la lancée des fers. À la croisée des regards peut-être, lorsq les choses se font au liège tendre des sièges de longues durées, qu'aussi les portes sont devenues depuis de suffisants lustres de suspension qui s'alternent des plafonds de gonds aux seuls seuils souillés de saillies de vagues de milliers langues en chute libre !, ces sortes de hortes fortes qu'on porte mieuX que mortes vives ~! Il est possible sinon mieux que jamais on ne constate qu'on n'avait pu sans fuir, s'enfuir. De ce corps humain.
Pourquoi diable l'eau ?~
Un tragiq de répétition, ou d'une vue d'ensemble : ceci n'est pas un bois rouge. Un tourment, tout au plus.
/idata%2F2357440%2FImage--Imaginaire--Imagination--etc-%2Ffree-kitten-album-art.jpg)