De longue haleine, un ciel en fonte, tendu ~
en éléments autonomes, qui ne se touchent toujours qu'à peine
A grand peine, ciels mondrians.
Haletant, à bout de souffle, en fin de course
Il s'arrête pour le moment qui lui tient le coeur
d'observer en nombreux silences ~
J'aimerais tellement leur appartenir, se dit-il au-dehors,
Être des leurs,
un charpentier comm tant avant ça ~
Dussé-je pour celà tout réapprendre il me faudra
surtout trouver dans le temps
celui de le tuer en travaux pratiq utiles
de ceux dont on peut dire après coup
qu'ils le valaient ~
CIEL !, c'est vous ! Des tyrans sur les cordes ~
Qu'il le faille et encor pourtant
le trou comble fait croire au vide
qu'il reste de l'espace qui ne soit occupé à rien d'autre
que de gravats du temps perdu ~
des restes et des archives antiq,
des vestiges hauts mis bas des vertiges ~
collants noués de fibres crochues comme des atomes, affinés, d'affinités ~
d'une infinie clarté proche du diaphane ~