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  • : Le blog de Ampad Embiem
  • : Culture intra-utérienne d'une fleur technologiq : cheminement d'une réflexion de l'esprit sur les bords brillants de lyrism du théatre alternatif ~
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  • Ampad Embiem, je ne suis la qu'un jour sur deux, mais je le vis plutot bien
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Archangelism scientifiq

" (...) proche le moment ou, par un processus de caractere paranoiaque et actif de la pensee, il sera possible (simultanement a l'automatisme et autres etats passifs) de systematiser la confusion et de contribuer au discredit total du monde de la realite. " Salvador Dali, Minotaure No1, 1933.

Un tres beau site sur DALI

 

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Ce blog créé il y a un peu plus de 2 ans maintenant de l'association uniq de la surprise et du tant attendu, restitue intactes les bribes

de restes d'authentiques retrouvés ici ou la, de ce que les littérateurs et créateurs de ce monde, ont contribué,

avant nous déja, est-ce a dire et, encore aujourd'hui, a élaborer le Beau pour qu'il vienne jusqu'a nous

dans l'état merveilleux ou nous avons le bonheur de le trouver pour tenter d'y toucher.

J'ai pour but ici et ailleurs, Ici Et Maintenant, dans cet IEM permanent et constant d'instabilité, de le propager, de l'expérimenter, de le faire travailler, de le dédoubler, de le transposer et de le faire permuter avec ses doubles et avec ses moitiés, de le mettre tour a tour en exergue, en abime, en difficulté, en chaloupe meme et en page pour enfin et a terme, pouvoir le remettre a la retraite d'ou il se trouvera la force apaisée et sereine méritée d'une vie multiséculaire sur toutes les plages des temps, de mener devant nous, et pour nous, de lui-meme des actions pour s'autorégénérer sans plus s'en laisser conter ~

10 juillet 2010 6 10 /07 /juillet /2010 09:37

 

 

 

"Ces mots que l'on dit, on n'est toujours

qu'a deux doigts de les taire"

Georges PERROS. (Les Papiers Collés, II)

 

ZDENKO REICH - Préface a une étude sur la métaphore

in Manifeste surréaliste, Auntologie.

 

"Si une démarche poétiq est humainement possible, si une représentation imagée, une métaphore, faite dans ce monde, et en vue de ce monde, peut exister avec un contenu qui n'est pas d'une autre nature que le contenu de la pensée logiq - et si moi, je puis la concevoir et etre emu sans la soumettre a une justification logiq - force m'est donnée de me demander : comment  se fait-il qu'une telle démarche puisse avoir lieu sans entrainer une modification complete des fondements de notre connaissance ?

Je cherche en vain, dans tous les systems philosophiq, une réponse satisfaisante. La philosophie a, dialectiqment, pris (con)naissance comem antithese a toutes les démarches de la pensée qui n'ont pas été capables de s'enchasser a l'intérieur d'un system dont le but est d'expliquer le monde.

Si la philosophie n'avait pas été accaparée par la religion qui a créé dans son sein un dérivatif tres efficace pour tout ce qui se dérobe a son entreprise - et qu'on s'obstine encore aujourd'hui a qualifier de pensée irrationnelle, terme aussi vague que louche qui aggrave la dualité entre les démarches de l'Homm et fait le jeu des postulat mystiq - elle aurait certainement eu une évolution bien différente et ce problem été résolu beaucoup plus tot, [en aurait moins été faussé par trop longue déformation, ajoute MAN RAY, reprenant les postulats de Tristan TZARA].

Il n'est donc pas autrement étonnant qu'en 1725, juste au moment ou se desserait l'étreinte de la religion, un siecle avant que se format une nouvelle conception de l'homm, basée sur les lois de son propre devenir, il n'est donc pas autrement étonnant, dis-je, qu'un penseur de la clairvoyance de Jean-Baptiste VICO ait publié [peu apres avoir importé la pattate sans doute] sous le titre : "Les Principes d'une Science Nouvelle", un ouvrage ou il inciste sur la valeur de l'activité poétiq comme base d'une nouvelle connaissance de l'homm.

"Les Philosophes et les philologues devraient s'occuper en premier lieu de la métaphysiq, comme de la science qui cherche ses preuve, non pas en-dehors, mais dans les modifications memes de l'esprit qui médite sur elle. Le monde des nations ayant été fait par des homms, c'est dans l'esprit de ces memes homms qu'il faut en chercher les principes."

Les théories de VICO, mélange de pensées profondes qui annoncent déja l'arrivée du matérialism historiq - et je pense ici a ce principe : "L'histoire humaine est différente de l'histoire naturelle, parce que nous avons fait l'une et nous n'avonspas fait l'autre.", que Marx a repris dans le Capital comme fondamental pour toute étude des religions, et de divulgations absurdes sur l'évolution de l'humanité depuis les géants jusqu'a l'homm moderne [pourquoi serait-ce aburde ?], expliquée par la Mythologie, ont presq entierement méritéleur oubli [ouf].

 

[...Long passage inintéressant...]

 

L'avenement [Grec] de la philosphie dans l'histoire est logiquement justifié par la possibilité permanente pour la pensée, d'ouvrir une breche a l'intérieur de de dédoublement - des que la pensée est libérée du joug de la civilisation qui dans son stade  archaiq exige de chaque effort mental un maximum de réalisation possible [...] - et de polariser, méthodiqment, tous les raisonnements entre le sujet et l'objet [ECRIRE sur L'Obvie et l'obtus, de Roland BARTHES].

La destinée de la philosophie a été la ruine de son entreprise. Au lieu de considérer cete dualité comme provisoire, au lieu de la dépasser en faisant intervenir le dynamism de la pensée, elle a creusé l'abime entre l'homm et le monde, cherchant une place convenable qui n'est ni dans l'un dans l'autre, mais voulant a tout prix etre partout a la fois, afin de juger de tout et n'étant, finalement, nulle part [ouf].

C'est la raison de l'Inefficacité de tous les systems philosophiq, de leur apauvrissement progressif [et le capitalism la-dedans ?] au profit des sciences exactes, a qui la philosophie a donné, historiqment, naissance.

Incapable [!] de réaliser le moi dans toute son étendue, parce qu'elle n'étudiait que le moi qui est tourné vers le monde extérieur, en vue de la connaissance, en laissant a la psychologie le soin de l'approfondur davantage [ouf], incapable [!] d'atteindre le monde extérieur, qu'elle a du abandonner [ouf] a la physiq, a la chimie, la philosophie se trouve aujourd'hui [ouf] devant cette alternative [merde] (si  l'on peut, naturellent ici, parler d'alternative [bon, bah n'en parlons plus] ) : ou bien se convaincre qu'elle tourne [ouf], qu'elle tournera toujours [oula] dans les limites de la pensée non réalisée [je sais pas, je me rends pas bien compte la ~] et qu'elle tombe [merde !] lentement [ouf] dan sun sommeil [ouuu] agnostiq, endormie par son eternel leitmotiv "je pense, je pense, je pense" - ou bien s'envoler [ouais] vers une idée, transcendante et, entre les plis d'un dieu [tiens, une métaphore, enfin] oublier sa propre inutilité [MERDE !]

 

Andalouse (mécontente) :

_Alors, pourquoi Ampad, couché italliquement comme tu le fais si bien, pourquoi DONC !, diffuser un text, si c'est pour le descendre avec la rage d'un insatisfait, cette rage aussi stérile que le sont les a priori ?

_Bof, comme ca. Il y a a boire et a manger, et j'avais plutot les crocs ~

 

Allez, avec humour :

 

"L'avenir appartient à ceux qui se lavent tôt, parce qu'il reste de l'eau chaude" (Proverbe Québecois)

Coluche : "L'Avenir appartient a ceux qui ont le veto"

 

 

LA METAPHORE TRANSFIGUREE, Paul Nouger in Les Images Défendues (Le Surréalism au service de la Révolution)

  Transformer le monde a la mesure de nos désirs suppose cete croyance que les homms, dans leur ensemble, sont animés a des degrés divers, du meme besoin profond de s'échapper a l'ordre établi.

La validité de l'enterprise est liée a l'existence d'un tel désir.

Il est donc capital de le déceler dans sa totale extension et c'est ainsi que Magritte observera qu'une certaine figure de langage en pourrait témoigner, la métaphore, a condition de la prendre d'une maniere qui n'est pas l'habituelle.

La métaphore ne releverait pas d'une difficulté a nommer l'objet, comme le pensent certains, ni d'un glissement analogiq de la pensée. C'est au pied de la lettre qu'il conviendrait de la saisir, comme un souhait de l'esprit, que ce qu'il exprime existe en toute réalité, et plus lojin, comme la croyance, dans l'instant qu'il l'exprim, a cette réalité [DESCHAMPS : Rois & Reines traversés par des nus vite !]. Ainsi des mains d'ivoire, des yeux de jais, des levres de corail.

Mais il n'est guere

 de sentiment

qui se double a quelque degré

d'un sentiment contraire.

Le désir qu'il en soit ainsi se trouve aussitot miné, chez le commun des homms, par la peur, - la peur des conséquences. La métaphore, on ne consentira plus a y voir qu'un artifice de langage, une maniere de s'exprimer [késsexa, qu'est-ce sex a , BRETON] plus ou moins précise, mais sanas retentissement sur l'esprit qui en use, ni sur le monde auquel il s'adresse.

C'est ainsi que l'on peut en venir a sohiaiter une métaphore qui dure, une métaphore qui enleve a la pensée ses possibilités de retour [bien la saisir, qu'assurément elle ne bouge plus].

A quoi tend la seule poésie que nopus reconnaissons pour valable. Et la peinture, qui confere au signe l'évidence concrete de la chose signifiée, a laquelle on n'échappe plus.

 

 

Audiberti ~ Et, Toujours, La Nouvelle Origine

 

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