Depuis déja tres peu de temps,
et pour tres peu de temps encore,
la négligence tue.
Ils t'ont dans l'oeil, base,
jetée a ma merci, le pied,
d'une lettre supplie-moi de t'en remettre
des cadrans des quarts l'image folle noyés
qu'on t'a inversée d'eux, a l'essence
soule jusqu'a l'heur bonne ou trouble
ou ton vol épanoui, fievre occitane dans le blanc opaque
a pleine vitesse aplanie des vasques opalines,
ovalisée de cet en-bas l'écart ~
la mode nouvelle a béquille s'est écrasée,
l'écarquillante entre, s'est arcade saccadée
te prend réduite au support droit levant
qui n'en laisse a rien d'autres, sac au dos prete impression pour ca,
d'une myriade chaude-panoramiq des remises en nombre
ce que tes poudres électriq aux yeux sautent ~
qu'ils te durent, aux moins, aux plus aux tons fassent,
le plus long temps l'espace d'instant qu'on fuit d'une peste
comme l'écaillée d'une entaille au front.
Vois qu'ils résistent, te survivent dans le souffle
les monts d'émois, sillonne-les s'ils voient aussi
les premiers te mettre le grapin
dans un bocal d'eau sans liquid en-dessous,
nuageuse Occitane, développé-couché moi.
Ces gaz dévallés a rangs comme une pente douce
du mot suintant le suivant, vallée, de l'avalée ~
Dans l'heur, j'ai le pied levé a toi pour rappel, Occitane,
l'ombre te piétine, valise en cordesdes flancs
affalées, la jetée des falaises aux sombres bas
ils t'ont touché l'oeil a ma merci,
les levres mouillées d'un fin de scene, a ta seve brulante
virevoltant entre tes noyaux, les doutes intérieures, tunnels nus ~
élucubrations ensemble l'esprit émergeant ~
des dessus, aux dedans ~ nous délivrant mes prises
qu'on passe ou qu'on fasse mine, d'en jouer l'essor aux dés ~