L'ampadiem

  • : Le blog de Ampad Embiem
  • : Culture intra-utérienne d'une fleur technologiq : cheminement d'une réflexion de l'esprit sur les bords brillants de lyrism du théatre alternatif ~
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  • Ampad Embiem, je ne suis la qu'un jour sur deux, mais je le vis plutot bien
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Archangelism scientifiq

" (...) proche le moment ou, par un processus de caractere paranoiaque et actif de la pensee, il sera possible (simultanement a l'automatisme et autres etats passifs) de systematiser la confusion et de contribuer au discredit total du monde de la realite. " Salvador Dali, Minotaure No1, 1933.

Un tres beau site sur DALI

 

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Ce blog créé il y a un peu plus de 2 ans maintenant de l'association uniq de la surprise et du tant attendu, restitue intactes les bribes

de restes d'authentiques retrouvés ici ou la, de ce que les littérateurs et créateurs de ce monde, ont contribué,

avant nous déja, est-ce a dire et, encore aujourd'hui, a élaborer le Beau pour qu'il vienne jusqu'a nous

dans l'état merveilleux ou nous avons le bonheur de le trouver pour tenter d'y toucher.

J'ai pour but ici et ailleurs, Ici Et Maintenant, dans cet IEM permanent et constant d'instabilité, de le propager, de l'expérimenter, de le faire travailler, de le dédoubler, de le transposer et de le faire permuter avec ses doubles et avec ses moitiés, de le mettre tour a tour en exergue, en abime, en difficulté, en chaloupe meme et en page pour enfin et a terme, pouvoir le remettre a la retraite d'ou il se trouvera la force apaisée et sereine méritée d'une vie multiséculaire sur toutes les plages des temps, de mener devant nous, et pour nous, de lui-meme des actions pour s'autorégénérer sans plus s'en laisser conter ~

11 décembre 2011 7 11 /12 /décembre /2011 12:47

 

L'artist c'est le Ver d'Inde, il tisse sur les bords du Gnagâ, et du matin au soir puis du soir au matin, suivant les encadrements floraux qu'obtiennent en se dilatant les yeux de la rivière sacrée sur sa lucarne penchée prête à littéralement basculer sur ses eaux, il agrémente d'argiles ou d'ocre fantôme les murs qui s'absorbent dans les profondeurs de mur de ses travaux plastiq ~ Sa barriq en bois entièrement flottant est immergée par de très lourds lestes qu'il lâche quotidiennement comm d'authentiq ancres lorsq'il veut ''refaire surface'' comm il dit, l'expression contrairement au français ou elle signifie réapparaître après une absence, exprimant le fait de revenir à la vie physiq, retrouver ses esprits après un enferment, ce qui, si on y réfléchit deux minutes de trop dans une conversation sous les eaux, revient bien un peu au même, pour peu qu'un artist comm nous en sommes tous, soient des enfants capables de passer à côté parfois des insignifiantes insistances de l'indispensable irrésponsabilité devant les biens matériels qui n'aspirent eux, qu'au confort, ce leurre, ce piège au rouage enrôlé de déviance. Quand il a plongé toutes ses toiles se liquéfient, son lit se gorge d'eau sale, boueuse, qui ne parvient jamais à sécher dans la journée, et ses murs se couvrent d'une épaisse teinte de chapeau à resorts, qui gondolent quand l'homm marche sous la pluie. Sa mezzanine demeure cet épicentre d'une activité magmatiq intense, il y monte toutes sortes de hasards, qui à chaq remontée régurgite les cadavres molestés de la rivières, les corps non identifiés, choses abstraites que ces planctons à fibres mixtes qui semblent résulter d'un travauil artistiq hautement expérimental déjà. Tous ou oresq finissent sur sa toile, projetés, et finissent donc le soir même par s'en échapper pour, dit-il, reprendre le cours de leur histoire ou il prend son droit sur le chemin un temps croisé de celui de l'homm ~ Po-et & Mystificateur à ver, il coud toutes sortes de pelouses atomiq, qu'un vieil ami Russe installé depuis des années sur les bords du fleuve rouge un peu en amont lui a rapporté de son service militaire en Sibérie. Des étrangeté dégluties d'une époq crâneuse, de cerfs-volants à hélices et de biches à pieds rotatifs, desquels criaient des morts affreuses. En parcourant par le sentier qui rejoint les deux cavernes, Turner a trouvé le temps de voir Venise et Cythère vaincues par le fourmillement des guerres civiles du monde, et son reflet du monde de Watteau sur les bords de la rivière sacrée a consacré l'histoire de son point de vue subjectif en s'éloignant le plis possible de ces deux phéomènes de foire qui arpentent quotidiennement les eaux en lui prenant le pouls au bras à son niveau le plus maigre. Pour manger chez Verdinde, il faut être muni de pinces à linges, car il dévore les vêtements qui flottent dans les airs comm des poissons attrapés aux hameçons qu'il aurait tendus sur des colets en vue de se saisir de quelq faisans surréalists de passage. Mais de faisans surréalists point ces jours, que de petits points des pastilles de couleurs pastel qui s'emparent des horizons pour leur dresser des tables de mets ou des murs d'enceinte. Leur monde est un descendant du gorille, un mélange indécent de mal-vivre et de sophistication de férailleurs gitans comm il y en a aux abords de Paris à la Porte de la Villa des Roses que je sillonne régulièrement à la recherche de l'entrée des enfers quand j'en ai le temps, la passion et la patience surtout. Revenons à ces vêtements qui moisissent sur les feux mouillés du rouge, ce sont des poissons précuits, il les décroche des pinces de l'embarcadaire des gondoles à l'aide de longues perches à éclisses, qui en coulissant se déclenchent des petits mécanism à ressorts pour faire sauter sur son fil la proie qui s'y plaisait autant qu'elle en mourait d'envie. Ce qui n'est pas le cas du tourist moyen qui, après s'être rendu sur place poir vérifier les éloges du guide mendiant en venant, se voit investi du devoir de faire des démentis et de vomir, presq aussitôt. C'est un atelier avant d'être une auberge, M'sieur.

 

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