I, Fourchette haute - Au loin dehors on entend quelq chose. Les enfants frissonnent on durait de la musiq. Avec ceux que tu aimes il se comporte en héro. Pour toi il accomplit des miracles. Mais oui c'est bien de la musiq. Il y a cette grande toile de farine de blé qui couvre la forêt je suis pass" dessous hier ils y élèves des cailles elles volent dans tous les sens sous la volière bleu d'Océanie. Une toux rauque qui se couvre de nappes en lierres. Nul ne sait encor ou mène cette musiq mais le chemin circule et on entend dire qu'au loin dehors après la volière c'est un chapeau qui porte une tête plus haute que l'autre ~ une énigme qui aime ceux pour qui je te comporte en héro. On entend qu'il se dissipe, de notes par touches éparses, un painist ésseulé. Il brâme.
Des cailles qui frissonnent et les enfants qui courent dans tous les sens. | |||
| |||
Poésie II ~
A toutes ces micro sociétés ~ englouties dont il ne restera plus jamais rien.
J'ai un mal fou à aimer les ouvertures faciles des porte-bagages.
Je t'aime sous l'eau.
Il n'y pas 3 trois fois plus de Cocteau qu'en été.
Jamais sans la liaison de ma chemise avec la tienne.
Il faut une pleine saison à celui qui relie les 8 miennes.Remettons à hier ce qu'il en vient, et fontons la paix à demain, puisqu'il y reste de la place. | |||
| |||
III - Obélisq salivaires sur les becs benzènes que vous érigez d'une pointe comm des crayons possédant une cime pour tailler. un buble tout au plus une pousse à voir se fâner à la sortie des cols ~ À ces lieues découpées des tailles humaines à la vertigineuse torpeur plastiq douce & la gravité inversée ~ | |||
| |||
Iv - Fourchette basse, proche du seuil - Avant, quand les lacets se plaisaient à décrire sans amour des circonvulsions pas bien méchantes. Sans conséquence les obélisques. Il salaient les routes d'oriflammes et brûlaient les flocons blancs en vol. |
Moi qui aimais tant rêver
Maintenant que tu es là que mes rêves tiennent dans tes rires
Je ne veux plus fermer l’œil de la nuit
Dormir c’est un peu comme mourir.
J’ai toruvé ce morceau de bois, ce plâtre, cette plaque en polyuréthane,
Sculpte-moi encor quelq chose.
Fais-en fais-moi ce que bon te semble.
Ce que bon te semble me va, tout me va, je porte à merveille le nombre de tes éclats.
Je porte à l’infini le nombre de vies passées avec toi. Je porte dans tes bras mon corps, refais-le moi
Valsons ensemble amour*
Oui car il n’est d’autre manière élaborée de m'y trouver.
Comme tendre une embuscade aux violons, les désarçonner, les désarmer, en user désabusés, en jouer déjoués des cordes ~
Désmorcer une ligne tendue aux poissons.
Cette seule façon alors de faire grincer sur toi les accords et de faire fuir cuire ruisseler la diphtongue musicale,
L’accord parfait des corps partis l’un dans l’autre se jouer des tours et ses tendre des embuscades jusqu’aux
Lèvres ~
Ses derniers échos dans mes rêves avant de plonger dans un profond sommeil "Jamais on ne meurt si l'un ne veille pas"
S'ensuit ivre de bêtise le rire, indugent avec soi d'une lucidité proche de l'extase ~