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  • : Le blog de Ampad Embiem
  • : Culture intra-utérienne d'une fleur technologiq : cheminement d'une réflexion de l'esprit sur les bords brillants de lyrism du théatre alternatif ~
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  • Ampad Embiem, je ne suis la qu'un jour sur deux, mais je le vis plutot bien
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Archangelism scientifiq

" (...) proche le moment ou, par un processus de caractere paranoiaque et actif de la pensee, il sera possible (simultanement a l'automatisme et autres etats passifs) de systematiser la confusion et de contribuer au discredit total du monde de la realite. " Salvador Dali, Minotaure No1, 1933.

Un tres beau site sur DALI

 

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Ce blog créé il y a un peu plus de 2 ans maintenant de l'association uniq de la surprise et du tant attendu, restitue intactes les bribes

de restes d'authentiques retrouvés ici ou la, de ce que les littérateurs et créateurs de ce monde, ont contribué,

avant nous déja, est-ce a dire et, encore aujourd'hui, a élaborer le Beau pour qu'il vienne jusqu'a nous

dans l'état merveilleux ou nous avons le bonheur de le trouver pour tenter d'y toucher.

J'ai pour but ici et ailleurs, Ici Et Maintenant, dans cet IEM permanent et constant d'instabilité, de le propager, de l'expérimenter, de le faire travailler, de le dédoubler, de le transposer et de le faire permuter avec ses doubles et avec ses moitiés, de le mettre tour a tour en exergue, en abime, en difficulté, en chaloupe meme et en page pour enfin et a terme, pouvoir le remettre a la retraite d'ou il se trouvera la force apaisée et sereine méritée d'une vie multiséculaire sur toutes les plages des temps, de mener devant nous, et pour nous, de lui-meme des actions pour s'autorégénérer sans plus s'en laisser conter ~

5 septembre 2021 7 05 /09 /septembre /2021 06:08
Méli-mélo mélomane en forme de manifest du festival du beau et de l'authentiq à l'origine de l'animation poétiq

Il y aura une femm,

Sans titre pour l'instant,

Les béatitudes sobres,

Domaines paoniq,

Il y aura, encor une fois.

 

C'est un festival du BEAU !~, & de l'authentiq qui sont à l'origine de la poésie, se tenant simultanément dans les ruelles nocturnes et substantiellement sthéniq de toutes les vieilles villes, révolution æsthétiq pour forme de trait-barrière tiré comm un gest entre les ères, sortante et émergée, qui caractérisent l'époq. Un dernier inventaire, qui s'ensuit d'un éclat de lumière quantiq, stroboscopiq & convulsive, tachycardite épileptiq de l'aire de jeux toute numériq où les temps s'effondrent dans un espace paoniq, auto-réflecteur & dématérialisé sous la forme d'une fanfare des temps futurs en béatitudes sobres.

Le seul moyen pour les derniers récalcitrants à l'évolution de l'espèce vers une forme neuve, d'accepter et de l'intégrer comm viable, sereine et émouvante, de se faire à l'idée que les temps passés sont bien révolus ou non, destinés à quelq souche consignée, dont seront préservées comm pérennes, à l'abri, conservées en l'état en vue d'une éventuelle future décongélation, toutes les marq les plvs authentiquement humaines de ce que l'âme émue était dans un temps capable de faire ressentir à ses congénères sans recourir encor aux élaborations sophistiquées, superficielles, dénaturées & totalement détachées de ce qui caractérisera les temps à venir pour un moment ~ just un moment, à passer, moment où patience est de rigueur, pour regarder l'avenir avec sérénité.

Et puis tout reviendra comm avant.

C'est un roman-océan, et non un roman fleuve, une histoire entremêlée d'art, d'essai, théâtre & poésie, littérature poussée comm on dirait des eaux, d'une Vénus Anadyomène ou d'un Volume Archimède, de croquis, d'estampes, d'esquisses et d'instants figés, captations sonores d'effluves, tonalités, un roman-océan qui ne parle de l'amour que pour qui veut en lire et qui ne retient pourtant rien des tambours du cœur, de l'harmonie des corps et des mains liantes d'un organe symphonist qui y joue sa rumeur mélodieuse comm un prestataire prodige des volontés de l'âme.

Première partie, il y aura une femm. D'emblée et sans d'emblée savoir la situer. Énigmatiq hors-repères. La vraie phase romanesq, au sens le plvs, précisément, sensée, plusieurs histoires distinctes qui démarrent concomitamment. Un marché qui s'installe dans les ruelles nocturnes de la vieille ville, stands de gens venues d'époq révolues, pour l'instant sans titre, ni de fin définie de série desservant.

Sans titre pour l'instant, justement, deuxième partie, arrêt plan serré, instant figé, éclat, qui s'installe en terrasse d'un café. Âge d'or, théâtre humain, animal ou sauvage, alternativement. On dirait Poesidonia, ou Pagos, Galissas, sur Syros. Ça c'est de la golden hour, comm dirait Paurhun.

Le trait tiré des béatitudes sobres, toutes les réponses données aux questions jamais posées d'intrigues internes dérisoires, illusoires, presq méninges bénignes, peignes et péniches à brosses secouées de proue en poupe et vice-versa, mouvement planétaire, ressac sur les rivages face-à-face.

Un petit syndrome de Stendhal ~ il va falloir lvi trouver un nom nouveau ~ pour le tourist Américain, le tourist Japonais & les Parisiens venus à Sète, découvrir ici, l'image romantiq latine, le rêve poétiq transcendant, que l'envahisseur épargne encor.

Quatrième partie, éclat quantiq des domaines paoniq, extrusion confuse, d'abord abstraite, sorte d'explosion d'une toile de Manlio Rondoni ou lumière d'un Kandinsky, d'un Pollock puis d'un Dalì qui prend du sens quand on reprend du recul le droit et les impayés. L'inventaire poétiq y est comm absorbé dans une boîte numériq, qui vient à disparaître, l'ère nouvelle s'annonce d'un autre genre de l'espèce naissance, genèse de l'homm-œuf géopolitiq, floral synthetiq, embryon d'un esprit qui s'extrait de sa matière.

Cinquième partie, la dernière, il y aura, encor une fois, la fin reste un mystère entier, tendant soit optimist soit fatalist, vers deux possibles issues, que chaq lecteur imagine, librement selon son point de vue. La lecture d'un scop poétiq à l'extrême, parfaitement défait de toute volonté de convaincre ou de s'orienter, non prédéterminé ni précontraint, sans antécédent si possible, renouveau inoriginé, sans racine ou membres à relier, polysémie superbe, isthm détaché, archipels des interprétations libres, ouvertes aux imaginaires propres, étape finale du conceptuel : la victoire inévitable des subjectivités des individualités incompatibles, et leurs abstractions virtuelles pour absorption mutuelle. Une partie de moi est très enthousiast à cette idée et s'en réjouit pleinement, tandis qu'une autre s'en fout complètement, et une troisième s'en exaspère, inquiète et rageuse, laquelle rejoint la seconde qui s'en fout complètement.

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