De l'air en août aux senteurs et reflets d'élans puissants, pleines bouffées, s'agissent d'émaner telles des commandes chimiq, symptomatiq, moléculaires & rage de dent, les trouvailles aventureuses d'un abordage de l'Art, avec son grand A dominant, un amas déglutis bon marché, dégoulinant quasi dégueulasse de ce que l'été brûlant inspire aux feuilles de l'être quand bat fort ce cœur tant il en est chaud, des expulsions, éjaculations grottesq, symphoniq plurielles à souples voiles aux vents, qui les y prennent, s'en imprègnent, s'y reprennent et y reviennent encor, qui s'établissent selon les plages offertes du temps aux cours du jour passant, sage, savant, sable et saillant. L'art en rute de l'été, aqvatintes reproduites à la chair de l'âme, à son tissu fibreux, à sa lumière épaisse, caresse de velour, aux ploiements torsades de l'aorte qui s'emballe, sans blague, pour cent balles.