Une projection lumineuse ~ brillante divination publiq-*en-fête ~ répondant, quelle répartie !~ sur murs les mouvant d'un espace dérouté à qui veut le voir ou en entendre aux questions >Pourquoi l'art éphémère ?≤ et <Pourquoi pas maintenant ?> l'ébauche d'une réponse qui vaille d'être sue, et quelle suie !~ s'ensuit qui sans suite s'en fuit ensuite même sans suer ou transpirer laisser transparaître quelq indice sous-jacent d'autres vérités toutes nues à savoir et n'avoir en tête que pour ~ occuper le temps dans une diversion de l'ordre du divertissement aux problématiq courantes d'une courte aire de soi sous occupation.
Sur pâte et marchant vite, les fluides liquid amniotiq des pensées expérimentées couchées là numériq sur la soie enlisée d'un support oniriq, pour trame et véhicule de l'idée en cours, transport des émotions se font don & présents, celvi d'oublier le reste et ceuxqui courent pressés secourant les temps voisins d'une poignée de mains si promptes qu'agiles à dire adieu et bienvenue simultanément à ce qui part et ceux qui pour ça viennent combler les lignes laissées places vacantes aux sourires partagés. Atelier des Lumières, "Verse" de Thomas Vanz, un échos aux rendez-vous approximatifs du matin-même ou les vers étaient à propos, et les propos eux se tenaient pour temoin d'une course folle du jour à venir, acheminé là, épuisant d'un filet le cou d'une courbe sauve entre les directeurs artistiq d'une conduite à l'état d'arbre en été, qui le sont encor. Que nous avions, nous les leur volons encor, nous le savons, l'idée lave des salles combles ~sans injure ou douceur, sans objet préconçu, que des images pulmonaires, qui s'inspirent dans le cœur les veines d'une même cardiaq aux pulsions partagées.